La pandémie élève l'employer branding au rang de facteur économique

Les défis du 21e siècle - comme le changement climatique ou la numérisation - confrontent les jeunes générations à une incertitude globale face à l'avenir. De nombreux jeunes veulent désormais prendre cet avenir en main. Ainsi, près d'un Allemand sur deux déclare vouloir travailler pour une grande entreprise afin de participer à des [...].

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Marque employeurHerausforderungen des 21. Jahrhunderts – wie der Klimawandel oder die Digitalisierung – konfrontieren die jüngeren Generationen mit einer umfassenden Unsicherheit vor der Zukunft. Viele junge Menschen wollen diese Zukunft nun selbst in die Hand nehmen. So gibt fast jede*r zweite Deutsche an, dass er oder sie für ein grosses Unternehmen arbeiten möchte, um an grösseren und einflussreicheren Projekten arbeiten zu können. Gefolgt von rund einem Drittel, die am liebsten ein eigenes Startup gründen würden, um die volle Kontrolle über Karriereinhalte und die Auswirkungen ihres Businesses zu haben. Das junge Streben nach Sinnstiftung und Weltgestaltung zeigt sich gleichermassen darin, dass mehr als jede*r Dritte in einem niedrigbezahlten Job arbeiten würde, der allerdings für sie oder ihn bedeutungsvoll ist. Mehr als die Hälfte der jungen Deutschen erklärt ausserdem, lieber weniger arbeiten und dafür ihre Zeit den Problemen widmen zu wollen, die für sie Bedeutung haben. Im Generationsvergleich stehen dem zwei Drittel der Befragten aus der Baby-Boomer-Generation gegenüber, die dem nicht zustimmen – ein gesellschaftlicher Paradigmenwechsel.

Les principes au banc d'essai

L'envie de changement des jeunes générations n'est toutefois pas seulement motivée par le contenu, elle ne s'arrête pas non plus aux règles du jeu établies de la vie professionnelle. Alors qu'auparavant, les études supérieures étaient encore considérées comme incontournables, les trois quarts des 18-34 ans interrogés pensent aujourd'hui qu'il est possible de faire carrière et de réussir sa vie même sans un tel diplôme. La majorité absolue, soit plus de 90% des jeunes interrogés, indique en outre qu'ils soutiendraient un revenu de base inconditionnel pour leur génération - motivés en premier lieu par le besoin accru de sécurité, mais aussi de flexibilité au sein de la génération, afin de pouvoir investir du temps dans les thèmes qui, à leur tour, ont de l'importance pour eux.

Investir dans la marque employeur est important

"Les jeunes générations n'ont pas seulement perdu des expériences essentielles pendant la crise sanitaire mondiale, elles ont également été témoins du peu de choses qui ont été faites pour elles pendant cette période. Il en résulte logiquement un besoin accru de sécurité, un désir de contrôle sur leur vie et une volonté de participer à la construction du monde qui les entoure", explique Sandra Onofri, Havas Germany Group Strategy Director. "Les entreprises qui ne peuvent ou ne veulent pas répondre à ces exigences, tout comme celles qui n'ont pas de but convaincant à présenter, perdront des talents importants sur le marché du travail très concurrentiel. Ainsi, les investissements dans l'Employer Branding, par exemple, deviennent un facteur économique indispensable pour chaque entreprise".
Le site Étude "Génération Covid a été élaborée par Havas et réalisée sous forme d'enquête en ligne par Market Probe International. Environ 17 500 personnes dans 32 pays ont participé à l'étude. Le rapport est disponible sur Site web de Havas. The post La pandémie élève l'employer branding au rang de facteur économique appeared first on Semaine publicitaire m&k.

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