Pourquoi les 'stay interviews' devraient faire partie de votre culture d'entreprise

La fidélisation et la satisfaction des collaborateurs sont des aspects essentiels de la réussite d'une entreprise dans le paysage concurrentiel actuel. Les 'stay interviews' (= entretiens de maintien) - des entretiens réguliers avec les collaborateurs actuels afin de comprendre leurs motivations, leurs préoccupations et leurs espoirs au sein de l'entreprise - constituent une stratégie efficace qui gagne en popularité.

"Les stay interviews régulières offrent un aperçu de la satisfaction des collaborateurs et des domaines à améliorer". (Image : www.depositphotos.com)

Christian Atkinson, Country Director de l'entreprise suisse de conseil en ressources humaines Robert Walters, donne un aperçu précieux de l'importance des stay interviews. Son expertise montre comment ces entretiens structurés permettent non seulement de retenir les talents, mais aussi d'aligner les souhaits des collaborateurs sur les objectifs de l'entreprise et de favoriser ainsi son succès.   

L'importance des stay interviews

Les entretiens de maintien diffèrent des entretiens de départ traditionnels, car ils se concentrent sur les collaborateurs actuels. Christian souligne leur importance et note : "Les entretiens de maintien réguliers offrent un aperçu de la satisfaction des employés et des domaines à améliorer. Cette approche proactive permet d'aborder les problèmes à un stade précoce et d'améliorer l'engagement global des collaborateurs".

Mener des entretiens de maintien dans l'emploi efficaces avec les collaborateurs   

"Lorsque nous parlons de réaliser des stay interviews efficaces, nous parlons en fait d'une approche stratégique visant à mieux comprendre nos collaborateurs. Ces entretiens sont menés régulièrement, en général dans le cadre des entretiens semestriels et annuels, et permettent de prendre le pouls des collaborateurs".   

  • Satisfaction au travail : il s'agit d'un élément crucial, car les employés font part de ce qu'ils considèrent comme épanouissant et stimulant dans leurs tâches. Ces connaissances permettent d'adapter les tâches aux points forts et aux préférences des employés.   
  • Développement professionnel : il s'agit ici des souhaits de carrière des employés et du soutien nécessaire de la part de l'entreprise. L'adéquation entre les objectifs et les programmes de développement favorise la croissance et la loyauté.   
  • Environnement de travail : un aperçu de la culture d'entreprise, de la dynamique d'équipe et de l'atmosphère générale contribue à améliorer l'engagement et la satisfaction et à garantir que chacun se sente à l'aise et motivé au travail.   
  • Feedback : en encourageant les contributions aux politiques et processus de l'entreprise, les points aveugles et les domaines à améliorer sont mis en évidence.   

"En abordant ces domaines lors de Stay Interviews, vous ne vous contentez pas d'interroger vos collaborateurs. Vous créez activement un lieu de travail où ils ont envie de rester et où ils se sentent bien", explique Christian. 

Transformer les idées en mesures    

La véritable valeur des stay interviews réside dans les enseignements applicables qu'elles fournissent. Après avoir mené ces entretiens, les entreprises devraient analyser systématiquement le feedback. En s'engageant à écouter les collaborateurs et à réagir à leur feed-back, elles cultivent une culture de confiance et de collaboration.   

Impact sur la fidélisation du personnel   

En répondant de manière proactive aux préoccupations et en réagissant au feedback de leurs collaborateurs, les entreprises peuvent augmenter considérablement la satisfaction des employés et réduire le turnover. Christian : "Lorsque les collaborateurs se sentent valorisés et écoutés, ils sont plus enclins à s'investir dans leurs tâches et dans la réussite de l'entreprise. Cette approche proactive permet non seulement de fidéliser les talents, mais aussi d'améliorer le moral général et la productivité".   

Ancrage de Stay Interviews dans la culture d'entreprise   

En intégrant les entretiens de maintien, il ne s'agit pas seulement de procéder à des évaluations régulières. Il s'agit de promouvoir un environnement de dialogue et d'amélioration continus. "Cette approche ne soutient pas seulement le développement de la carrière individuelle, mais favorise également une dynamique d'équipe soudée et pousse l'organisation vers une excellence durable", conclut Christian.  

Source : www.robertwalters.ch

La maison de retraite Hochweid reçoit le label pour les soins palliatifs

Le centre pour personnes âgées Hochweid à Kilchberg ZH a obtenu la certification pour les soins palliatifs du label "qualitépalliative". La base de cette certification a été un processus de longue haleine dans le setting des soins palliatifs, au cours duquel les structures, les concepts et les guides ont été constamment développés. Il y a trois ans, le groupe interne spécialisé dans les soins palliatifs a été créé.

Centre pour personnes âgées Hochweid
Centre pour personnes âgées Hochweid à Kilchberg : "Nous sommes là pour répondre aux souhaits des personnes qui vivent ici". (Image : www.alterszentrum-hochweid.ch)

La fondatrice du mouvement moderne des soins palliatifs, Cicely Saunders, a dit un jour : "Il ne s'agit pas de donner plus de jours à la vie, mais plus de vie aux jours". Le travail quotidien dans le setting de soins palliatifs de la maison de retraite Hochweid est très lié à cette affirmation. "Un audit sur les soins palliatifs ne s'obtient pas du jour au lendemain. C'est un processus qui se construit sur de nombreuses années et qui devient ainsi une attitude chez tous les collaborateurs, à tous les niveaux. Ce n'est qu'ensuite que l'on franchit le pas de la certification", explique la directrice Sara Tomaschett.

Le président du conseil de fondation, le professeur Michele Genoni, ajoute : "Nous sommes fiers d'être l'un des rares centres pour personnes âgées de Suisse à avoir obtenu cette certification. J'ai été très impressionné de voir tout ce qui est fait, comment l'être humain est placé au centre et où sont les difficultés. A tel point qu'à la fin, tous les employés sont en deuil et font le guet lorsqu'une personne quitte définitivement la maison". Christian Grothe, directeur des soins du centre pour personnes âgées Hochweid, déclare : "Pour nous, le processus de certification et les mois de préparation nous ont énormément apporté. Nous avons ainsi pu introduire et appliquer des instruments reconnus, développer le réseau interprofessionnel compétent et améliorer les processus de qualité". 

L'équipe d'audit est enthousiaste

L'Association suisse pour la qualité dans les soins palliatifs a examiné sous toutes les coutures le centre pour personnes âgées Hochweid à Kilchberg et a procédé à la certification. L'équipe d'audit a été enthousiasmée : "On sent que la culture, l'estime et le fait de porter les gens sont vécus. C'est exactement ce qui caractérise les soins palliatifs. Mettre l'être humain au centre est vécu par toute l'équipe. Tout le monde fait partie du processus, on se soutient mutuellement. L'approche interprofessionnelle est vécue à la Hochweid. On sent la culture des portes ouvertes. Ce qui est frappant et rare, c'est que le conseil de fondation adhère lui aussi pleinement à cette démarche. Cela libère des ressources financières et humaines. Le tableau des effectifs de la Hochweid est supérieur aux directives cantonales. Cela permet des entretiens même après le plan de travail - les heures supplémentaires sont compensées par jour, ce qui est très apprécié par les collaborateurs".

Qu'est-ce que les soins palliatifs ?

"Nous souhaitons garantir aux résidents et à leurs proches une qualité de vie adaptée à leur situation jusqu'à la mort et au-delà, et apporter un soutien approprié aux personnes proches. Pour ce faire, nous incluons des interventions médicales, alternatives et de soins ainsi qu'un soutien psychique, physique, social et spirituel", explique Christian Grothe. Les soins palliatifs sont plus qu'un accompagnement en fin de vie, la vie est au cœur de la démarche. Celle-ci est également un aspect important du concept de soins palliatifs. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) définit les soins palliatifs comme "une approche visant à améliorer la qualité de vie des personnes malades et de leurs familles confrontées à des problèmes liés à une maladie potentiellement mortelle : en prévenant et en soulageant la souffrance, en identifiant précocement, en évaluant de manière irréprochable et en traitant la douleur et les autres troubles pénibles de nature physique, psychosociale et spirituelle". Sara Tomaschett précise : "Nous voulons permettre aux résidents de vivre dans l'environnement qu'ils souhaitent, selon leur normalité et les désirs de leur cœur".

Ne plus avoir peur

La Société Suisse de Médecine et de Soins Palliatifs affirme que les possibilités de soins palliatifs doivent être intégrées de manière anticipée et précoce, c'est-à-dire en complément des mesures curatives et de réhabilitation. L'accent des soins palliatifs est toutefois mis sur le moment où la guérison d'une maladie n'est plus possible et ne constitue plus un objectif primaire. Dans cette dernière phase de la vie, l'accent est mis sur la qualité de vie et le soutien des personnes concernées et de leurs proches. Grâce à un traitement bien équilibré, on essaie de faire en sorte que les derniers mois de vie soient vécus en grande partie sans douleur. Les patients ne doivent plus avoir peur de douleurs insupportables. 

Source : www.alterszentrum-hochweid.ch

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/alterszentrum-hochweid-erhaelt-label-fuer-palliative-care/

Plans 1e dans la prévoyance professionnelle : ce qu'il faut savoir

Les entreprises peuvent augmenter leur attractivité en tant qu'employeur avec des plans 1e. Les personnes qui envisagent d'introduire un plan 1e comme élément de leur solution de prévoyance doivent tenir compte de certains points. Certes, les bénéfices des placements sont plus intéressants, mais le risque est supporté individuellement par chaque assuré.

L'employeur décide si des plans 1e sont proposés et à quels assurés. (Image : www.depositphotos.com)

Les plans 1e, qui permettent aux assurés de choisir leur stratégie individuelle parmi un nombre limité de stratégies de placement, ont longtemps fait de l'ombre. Cela a changé en 2017, lorsque des questions centrales ont été réglées et que la protection du capital en cas de sortie a notamment été abandonnée. Après ces adaptations, les plans 1e ont été nettement plus répandus et sont proposés par de plus en plus d'entreprises avec la caisse de base comme élément d'une solution de prévoyance attrayante. 

La protection du capital disparaît

En principe, c'est l'employeur qui décide si des plans 1e sont proposés et à quels assurés. Tous les assurés qui disposent d'un revenu suffisamment élevé sont alors automatiquement assurés dans le plan 1e. L'employeur peut mettre à disposition jusqu'à 10 stratégies de placement au choix. L'une d'entre elles doit être peu risquée en raison de la suppression de la protection du capital. Enfin, cela signifie pour les assurés qu'ils reçoivent à leur sortie exactement les fonds qu'ils ont épargnés sur leurs comptes de vieillesse individuels après toutes les années de placement.

Si un plan 1e est intégré dans la solution de prévoyance, les assurés profitent pleinement des opportunités offertes par les marchés des capitaux, mais supportent également eux-mêmes le risque de placement pour cette part de la prévoyance vieillesse. Cela vaut également pour l'avoir de vieillesse transféré d'une caisse de base à la Fondation 1e. Les rendements des placements sont intégralement crédités au capital. Ainsi, il n'est pas nécessaire de cofinancer des effets de redistribution tels que des pertes de retraite ou des baisses du taux d'intérêt technique pour le capital de prévoyance des rentes.

L'ancienne protection du capital est totalement supprimée sur l'avoir de vieillesse transféré. Dans un cas extrême très improbable, il serait même envisageable que les assurés aient perdu une grande partie de cet avoir de vieillesse au moment de leur sortie de la fondation 1e en raison de pertes de placement. Si les fonds ont déjà été pris en compte dans la planification de la retraite ou si un versement anticipé est prévu pour la propriété du logement, les assurés feraient mieux de ne pas verser d'avoir de vieillesse de la caisse de base dans la fondation 1e, ou du moins un avoir réduit en conséquence.

Assurés averses au risque

Pour les jeunes assurés en particulier, le plan 1e offre une chance de pouvoir profiter de rendements plus élevés à long terme. Selon l'expérience du marché WTW, un assuré sur cinq en moyenne a toutefois investi dans la stratégie à faible risque. Des potentiels de rendement considérables restent donc inexploités. Le placement "Life-Cycle" (plus de risque de placement dans les jeunes années si cela est compatible avec le plan de vie, réduction du risque de placement à l'approche de la retraite), rendu possible par un plan 1e, semble plutôt rarement mis en œuvre dans la pratique.

Quelle que soit la cause de la décision, les assurés doivent généralement accepter un rendement ou une rémunération plus faible dans la stratégie à faible risque que ce qu'ils auraient obtenu dans leur caisse de base. Une communication renforcée avec les assurés, mais aussi l'utilisation des offres d'information par les assurés, peuvent mettre en évidence les avantages du placement "Life-Cycle".

Attention au changement de caisse de pension

Si les assurés changent ou quittent leur employeur, il convient de noter qu'une prestation de sortie est due lorsqu'ils quittent la Fondation 1e. La valeur de l'avoir de prévoyance au moment de la sortie doit être transférée à l'institution de prévoyance d'un éventuel nouvel employeur ou à une institution de libre passage, selon la suite de la carrière de l'assuré. Dans la pratique, le versement d'une prestation de sortie se fait en principe sous forme de liquidités. Cela signifie qu'en règle générale, tous les titres sont liquidés au moment de la sortie. Un transfert de titres est difficile à mettre en œuvre, mais n'est pas interdit par la loi.

Pour les assurés investis dans une stratégie de placement plus risquée, cela peut signifier l'obligation de vendre des placements à un moment inopportun et de réaliser ainsi des pertes importantes. La fondation 1e peut prévoir réglementairement le maintien d'assurés dans la fondation en tant que membres externes pour une durée limitée. L'avoir de vieillesse reste alors investi sans changement. Mais cela ne dure que tant qu'il n'existe pas de nouvelle assurance auprès de la caisse de pension d'un nouvel employeur. Il est néanmoins recommandé aux assurés d'examiner cette possibilité en fonction de l'environnement de marché, ce qui leur permettrait de reporter la vente de leurs placements.

Changement de stratégie avant la retraite

Lorsque l'on approche de la retraite, les stratégies plus risquées devraient être abandonnées au profit de la stratégie à faible risque. Jusqu'à la retraite, la stratégie à faible risque génère des rendements faibles, voire négatifs. Afin de profiter d'une stratégie plus risquée à la fin, il faut obtenir des rendements plus élevés pendant la période précédant le changement de stratégie. Au moment de la retraite, les fondations 1e prévoient le versement d'un capital. Les assurés supportent donc eux-mêmes le risque de longévité sur le capital vieillesse ou le couvrent sous la forme d'une rente de vieillesse. Celle-ci est généralement coûteuse ou liée à des taux de conversion très bas. Il est judicieux d'harmoniser la prévoyance vieillesse en cas de retraite de la caisse de base avec celle de la fondation 1e. Ainsi, la combinaison du versement de la rente de la caisse de base et de la prestation en capital du plan 1e peut être tout à fait judicieuse sur le plan économique.

 

Il convient de tenir compte de ce qui suit

Entrée dans le plan 1e

  • Examen approfondi/information sur la pertinence du transfert de l'avoir de vieillesse

Constitution d'un capital vieillesse

  • Respecter la stratégie du "cycle de vie" de l'installation
  • Utiliser les informations disponibles à ce sujet

Changement de caisse de pension

  • Envisager un maintien limité dans le temps dans la fondation 1e existante

Retraite

  • Passer à temps à une stratégie à faible risque
  • Vote prévoyance vieillesse Fondation 1e avec caisse de base

 

Auteur(e) :

Stephan Wildner est directeur général chez WTW Suisse et Fiona Stocker est experte en matière de caisses de pension (SKPE).

La société de conseil WTW propose des solutions basées sur des données et des preuves dans les domaines des collaborateurs, du risque et du capital, qui permettent aux entreprises d'être plus résilientes, de motiver les collaborateurs et d'optimiser les performances.

Fonds de capital-risque pour soutenir les start-ups de l'IA

Zendesk, fournisseur de la solution IA complète pour l'expérience client (CX), annonce le lancement officiel de son fonds mondial de capital-risque. L'objectif est de soutenir les entreprises qui se concentrent sur l'amélioration de l'expérience des clients et des employés en s'appuyant sur les technologies d'IA.

Zendesk Ventures
Le fonds de capital-risque aide les entreprises émergentes à développer leur potentiel. (Image : www.depositphotos.com)

Dans ce contexte, Zendesk Ventures annonce de nouveaux investissements dans PolyAI, une entreprise qui développe des assistants vocaux avancés, et dans unitQ, une plateforme de feedback client basée sur l'IA. Le fonds aide les entreprises émergentes à développer leur potentiel en fournissant du capital-risque, de l'expertise dans les domaines du CX et de l'IA, ainsi que des options de partenariat stratégique pour la croissance et l'innovation.   

"Toutes les entreprises sont sur le point d'adopter l'IA. Nous sommes impatients de nouer des partenariats avec des entreprises qui font avancer cette nouvelle ère", déclare Ben Barclay, SVP Strategy, Corporate Development & Transformation chez Zendesk. "Notre objectif va bien au-delà de notre propre développement de produits : nous soutenons un écosystème de start-up dont la vision correspond à la nôtre. Le service client et le service d'assistance interne pour les employés évoluent rapidement grâce aux progrès de l'IA. Investir dans ces entreprises, c'est non seulement favoriser leur croissance, mais aussi la capacité de nos clients à offrir des interactions extraordinaires". 

Le portefeuille de Zendesk Ventures comprend déjà la plateforme d'intelligence conversationnelle Observe.AI et Zuper, fournisseur de logiciels de gestion des services sur le terrain. Les deux nouveaux venus annoncés dans le portefeuille se concentrent sur le CX basé sur l'IA et l'efficacité opérationnelle : 

  • PolyAI, une solution axée sur les canaux vocaux, permet aux clients de Zendesk de rendre les interactions complexes de suivi des commandes et de mise à jour des livraisons aussi naturelles qu'une conversation humaine. Des clients de différents secteurs ont ainsi pu augmenter leur chiffre d'affaires et réduire le volume d'appels ainsi que le temps nécessaire au traitement des demandes par des collaborateurs humains.
  • unitQ, une plateforme de feedback client basée sur l'IA, permet aux entreprises de collecter et d'analyser en temps réel les interactions et les feedbacks des clients provenant de plus de 60 sources différentes, afin d'identifier efficacement les causes des problèmes rencontrés par les utilisateurs tout en améliorant le Net Promoter Score.  

"Le marché exige de meilleures expériences client personnalisées. Cet investissement dans l'avenir commun de Zendesk et PolyAI, ainsi que nos recoupements dans le domaine des centres d'appels, forment une symbiose forte", a déclaré Michael Chen, VP des alliances chez PolyAI. "Zendesk Ventures renforce notre partenariat existant et nous permet d'accélérer le développement d'innovations de produits et d'améliorer l'engagement des clients en utilisant notre technologie d'IA pour les canaux vocaux afin de continuer à fournir des interactions vocales authentiques et de haute qualité. Ensemble, nous sommes impatients d'ouvrir la voie à la prochaine génération de CX". 

"Le partenariat avec Zendesk signifie que nous nous associons à une entreprise leader, ce qui nous ouvre les portes de talents de haut niveau et de réseaux industriels", déclare Christian Wiklund, cofondateur et PDG d'unitQ. "Cette fusion nous a permis d'acquérir un riche bagage de connaissances qui profitera à l'ensemble de notre portefeuille. Plus qu'un simple financement, nous faisons désormais partie d'une communauté et bénéficions d'un mentorat individuel pour nous aider à développer notre entreprise". 

Source : www.zendesk.de

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/venture-capital-fonds-zur-foerderung-von-ki-startups/

Chiffres actuels sur la situation des places d'apprentissage

Selon le baromètre des transitions, 66% de toutes les places d'apprentissage pour l'été 2024 sont occupées. Les jeunes envisagent le plus souvent une formation professionnelle initiale après l'école obligatoire. La plupart des places d'apprentissage vacantes se trouvent dans le commerce de détail, comme cuisinier/cuisinière et dans la construction.

Selon le baromètre des places d'apprentissage, 66% des 75'724 places d'apprentissage proposées pour l'été 2024 ont déjà été attribuées. (Image : www.depositphotos.com)

L'apprentissage à la mode

A la fin de la scolarité obligatoire, la plupart des jeunes optent pour une formation professionnelle initiale. Les écoles de maturité et les écoles de culture générale constituent le deuxième choix le plus fréquent. 

Places d'apprentissage occupées

Selon le baromètre de la transition, 66% des 75 724 places d'apprentissage proposées au total pour l'été 2024 ont déjà été attribuées, ce qui représente une augmentation par rapport à l'année précédente (2023 : 63%). 
Depuis août 2023, environ 180'000 candidatures en ligne ont été envoyées via yousty.ch.

Places d'apprentissage vacantes

L'aperçu suivant montre les professions ayant le plus grand nombre de places d'apprentissage à pourvoir pour le début de l'apprentissage en été 2024 :

(Image : www.yousty.ch)

Professions avec le plus grand nombre de places d'apprentissage vacantes pour le début de l'apprentissage 2024 sur yousty.ch (état au 20 juin 2024)
*GvE = Concevoir des expériences d'achat.

Faits concernant le/la gestionnaire du commerce de détail CFC

  • Fin mai, 16.8% de places d'apprentissage de moins qu'il y a un an étaient occupées.
  • Au total, 14.1% de places d'apprentissage en moins ont été publiées cette saison par rapport à l'année précédente.

Faits concernant le cuisinier/la cuisinière CFC

  • Fin mai, 13% de places d'apprentissage de plus qu'il y a un an étaient occupées.
  • Au total, 2,1% de places d'apprentissage en moins ont été publiées cette saison par rapport à l'année dernière.

Faits concernant l'installateur/trice-électricien/ne CFC

  • Cette profession pourvoit traditionnellement les places d'apprentissage au printemps, mais a enregistré cette saison un nombre élevé de pourvois entre novembre et février.
  • Fin mai, le nombre de places d'apprentissage occupées est à peu près le même que l'année précédente.
  • Au total, 0,8% de places d'apprentissage en moins ont été publiées cette saison par rapport à l'année dernière.

Source : www.yousty.ch

SCSD : nouveau slogan et conseil scientifique

Les Swiss Cyber Security Days (SCSD) auront lieu pour la deuxième fois les 18 et 19 février 2025 sur le site de BERNEXPO à Berne. Sur les deux scènes principales, des intervenants nationaux et internationaux de haut niveau montreront pendant deux jours pourquoi le cyberespace et les nouvelles technologies telles que l'intelligence artificielle comptent parmi les plus grandes opportunités et les plus grands défis de notre époque.

SCSD 2025
SCSD 2025 avec le slogan : Eye of the Cyber - create tomorrow. (Image : www.scsd.ch)

Les orateurs sont issus des domaines de la science, de la recherche, de la défense, de l'administration, de l'économie et des médias. Après le succès de cette année, avec plus de 2'300 visiteurs, des salles de conférences remplies ainsi que plus de 90 exposants, la prochaine édition est déjà en route.

Le nouveau slogan est tout un programme : Eye of the Cyber - create tomorrow

Avec le slogan "Eye of the Cyber - create tomorrow", les SCSD 2025 se penchent intensément sur l'urgence de façonner activement et courageusement l'avenir numérique. C'est pourquoi les SCSD 2025 se pencheront en détail sur les défis issus du cyberespace et sur le potentiel des nouvelles technologies. Le programme mettra en lumière les dernières découvertes dans les domaines de la technologie, de la recherche et de la géopolitique du cyberespace.

Un conseil scientifique garantit la meilleure qualité

Le nouveau conseil scientifique de la SCSD est composé d'experts renommés en matière de domaines et fonctionne comme un groupe de réflexion interdisciplinaire. Tous les membres du conseil disposent d'une réputation internationale confirmée et d'un vaste réseau.

Sont représentés au sein du comité scientifique

  • Touradj Ebrahmimi : directeur du Multimedia Signal Processing Group, EPFL
  • Dr. Marc Stoecklin : Head of Security Research, IBM Europe
  • Elisa Torres : Fondatrice & CEO Girls in Quantum
  • Dr. Jean-Marc Rickli : Responsable des risques mondiaux et émergents, GCSP
  • Martin von Muralt : délégué du Réseau national de sécurité, SVS
  • Damir Bogdan - CEO "QuantumBasel
  • David Marti - Direction du programme d'intelligence artificielle "Pour Demain

"En février 2025, Berne sera à nouveau la cybermétropole de la Suisse. Des sommités nationales et internationales mettront en lumière les opportunités et les défis du cyberespace ainsi que les technologies émergentes et leur impact sur la société" déclare Doris Fiala, présidente de la SCSD et ancienne conseillère nationale PLR.

Source : www.scsd.ch

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/scsd-neues-motto-und-wissenschaftlicher-beirat/

GastroSuisse a été élue : Beat Imhof remplace Casimir Platzer à la présidence

Lors de la 133e assemblée des délégués de GastroSuisse, les élections de renouvellement général ont été au centre des débats. A Neuchâtel, les délégués ont pris congé de Casimir Platzer, qui a dirigé la fédération pendant dix ans. Le Zurichois Beat Imhof a été élu à la tête de l'association. Le nouveau vice-président est Gilles Meystre, originaire du canton de Vaud. Daniela Segmüller, David Maye et Samuel Vörös ont été élus pour la première fois au comité directeur.

Le nouveau président de GastroSuisse s'appelle Beat Imhof. (Image : GastroSuisse / Andreas von Gunten)

219 délégués ont participé à la 133e Assemblée des délégués de GastroSuisse aux "Patinoires du Littoral" à Neuchâtel. Casimir Platzer, président sortant de GastroSuisse, a dirigé pour la dernière fois le programme très chargé. Le thème central dans la patinoire du club de hockey sur glace de Neuchâtel était les élections générales. Platzer a dirigé l'association pendant dix ans. "Je suis reconnaissant de ce que nous avons accompli et d'avoir fait de notre association l'une des plus importantes du pays", a déclaré le Bernois de l'Oberland en faisant une rétrospective de son mandat.

Esther Friedli et Gilles Meystre, membres du comité de GastroSuisse, ont rendu hommage à son action : "Casimir Platzer s'est engagé avec beaucoup de cœur pour notre branche et a rendu notre fédération particulièrement efficace sur le plan politique. "C'est ainsi que Platzer a renforcé et institutionnalisé le groupe parlementaire hôtellerie-restauration pendant son mandat et qu'il a créé les rencontres au sommet avec tous les partis. Il s'est battu de manière conséquente pour des conditions-cadres politiques et économiques favorables à l'hôtellerie-restauration. Les délégués ont donc nommé Casimir Platzer président d'honneur.

Deux candidats se disputaient le poste de président : l'actuel vice-président Massimo Suter, originaire du Tessin, et le Zurichois Beat Imhof. Dès le premier tour de scrutin, Imhof a remporté la course. "Je suis très heureux et je vais tout mettre en œuvre pour répondre aux exigences élevées", a déclaré le président de GastroSuisse fraîchement élu. Beat Imhof est cuisinier de formation et a obtenu un master en management général à la Haute école EMBA de Lucerne. A 52 ans, il a été directeur de dine&shine Event Catering, SV Suisse SA de 2011 à 2015, puis responsable du catering et directeur adjoint de Samsung Hall de 2015 à 2018. Depuis 2018, il est CEO du Casinotheater à Winterthour. Imhof a deux enfants et est président de GastroWinterthur depuis 2023. Jusqu'en 2023, il a enseigné à la FHGR et à la ZHAW dans le domaine de la gestion d'événements. Il est en outre expert aux examens HFP de Hotel & Gastro formation à Weggis.

Muriel Hauser et Moritz Rogger, deux membres de longue date du comité directeur, ont démissionné. Tous deux ont été nommés membres d'honneur. Les délégués ont élu Gilles Meystre, également membre de longue date du comité, au poste de vice-président. Maurus Ebneter a été confirmé au poste de trésorier. Sept candidats se sont disputés les six autres sièges du comité directeur. Daniela Segmüller, David Maye et Samuel Vörös ont été nouvellement élus au comité. Le nouveau comité de GastroSuisse se compose donc comme suit :

  • Beat Imhof, Winterthur ; président (nouveau)
  • Gilles Meystre, Pully ; vice-président (jusqu'à présent membre du comité)
  • Maurus Ebneter, Bâle ; trésorier (sortant)
  • Bruno Lustenberger, Aarburg ; membre du comité (jusqu'à présent)
  • André Roduit, Saillon ; membre du comité (ancien)
  • Esther Friedli, Ebnat-Kappel ; membre du comité (jusqu'à présent)
  • David Maye, Neuchâtel ; membre du comité (nouveau)
  • Samuel Vörös, Lucerne ; membre du comité (nouveau)
  • Daniela Segmüller, Zurich ; membre du comité (nouveau)
Le nouveau comité élu de GastroSuisse (de g. à d.) Bruno Lustenberger, Maurus Ebneter, Esther Friedli, André Roduit, Daniela Segmüller, Samuel Vörös, Beat Imhof, David Maye, Gilles Meystre. (Image : GastroSuisse / Andreas von Gunten)

Source : www.gastrosuisse.ch

Les marketeurs inquiets de l'uniformisation des données

Salesforce a présenté son dernier rapport sur l'état du marketing. Le rapport se penche sur les dernières tendances et examine comment les marketeurs évaluent et implémentent l'IA dans leurs processus, comment ils collectent, gèrent et utilisent les données et comment ils garantissent la confiance des clients et la sécurité des données face aux préoccupations croissantes. Plus de 4 800 responsables marketing de 29 pays - dont 75 en Suisse - ont été interrogés.

Seuls 39% des personnes interrogées en Suisse sont satisfaites de leurs possibilités actuelles en matière de gestion des données clients et de l'expérience client correspondante. (Image : www.depositphotos.com)

Les principales conclusions de la Suisse

Pour les responsables marketing d'ici, la priorité est d'améliorer l'utilisation des outils et des technologies. Les CMO subissent souvent la pression de maintenir, voire de dépasser les performances marketing avec moins de ressources. C'est pourquoi ils peuvent voir une solution prometteuse dans l'optimisation de l'ensemble des technologies qu'ils utilisent actuellement.

En revanche, ils estiment que le plus grand défi consiste à uniformiser les sources dans lesquelles les données clients sont stockées. Les données et l'intelligence artificielle peuvent aider les responsables marketing à atteindre les clients d'une nouvelle manière et à lancer des campagnes plus efficaces. Mais elles sont encore loin d'avoir épuisé leur potentiel. Même ceux qui obtiennent déjà de bons résultats estiment qu'il existe encore un potentiel d'amélioration : 

  • Seuls 39% des personnes interrogées en Suisse sont satisfaites de leurs possibilités actuelles en matière de gestion des données clients et de l'expérience client correspondante. 
  • 68% ont accès à des données en temps réel pour mener des campagnes. Mais 47% ont besoin pour cela de l'aide de leur service informatique.

L'IA est utilisée à grande échelle : Les spécialistes du marketing veulent utiliser l'IA avec succès dans leur entreprise en se basant sur les bonnes données, mais s'inquiètent en même temps de la sécurité et de la confiance des clients, tandis que la mise en œuvre gagne du terrain. 

  • 83% des experts en marketing en Suisse expérimentent déjà l'IA ou l'ont entièrement intégrée dans leurs processus de travail. En moyenne mondiale, seuls 32% ont pleinement intégré l'IA dans leur marketing et 43% supplémentaires testent la technologie.
  • Les trois cas d'utilisation de l'IA les plus populaires en Suisse sont : 
    • Publicité programmatique et achats médias
    • Automatisation de l'intégration des données
    • Améliorer la segmentation de la clientèle et la modélisation du groupe cible

"Nous sommes entrés dans une nouvelle ère de l'IA. Les spécialistes du marketing seront particulièrement efficaces s'ils tirent parti des progrès rapides de la technologie pour mieux s'engager avec les clients et les prospects. Une base de données solide sera déterminante pour le succès de l'IA des équipes marketing, car elles travaillent à rassembler et à unifier les données clients pour une activation en temps réel", commente Vanessa Gentile, Head of Marketing Salesforce Suisse, à propos des résultats.

Synthèse de résultats et de tendances plus larges et mondiaux

Dans le monde entier, les spécialistes du marketing utilisent en moyenne 9 mesures tactiques pour collecter des données clients et mieux comprendre leur groupe cible. La majorité d'entre elles proviennent d'activités de service à la clientèle. Les marketeurs innovants sont plus enclins à adopter une vision connectée de leurs clients et une approche "full funnel" des données. Les données entièrement intégrées sont plus fréquentes dans les entreprises qui pratiquent un marketing performant. Cela suggère que les investissements dans les bons outils sont payants et que l'unification des données peut donner un avantage aux responsables marketing. 

Source : www.salesforce.com

Des données de base parfaites sur les matériaux en 3 étapes

Des données de base matérielles complètes, exhaustives et à jour sont un facteur de réussite dans les projets d'automatisation, de numérisation et de migration ERP des entreprises industrielles. Mais comment y parvenir ? Les spécialistes de simus systems apportent une méthodologie de projet, des logiciels et des règles de base qui permettent de réduire les efforts habituels de nettoyage, de structuration, d'ajout et de suppression de données.
Réduire considérablement la classification.

simus systems
3 étapes : simus systems réduit les dépenses habituelles liées à l'achat de matériel.
Données de base. (Image : simus systems GmbH)

La démarche s'articule en trois étapes :

Étape 1 : Analyse de la base de données

Pour que la première étape ne soit pas la plus difficile, simus systems commence par analyser un échantillon du stock de données existant dans le cadre d'un avant-projet. Celui-ci peut être présent dans des bases de données, des systèmes ERP et PDM. Selon des règles prédéfinies, les données sont triées, enrichies et stockées dans une base de données de résultats par le puissant logiciel simus classmate. Les objectifs et les efforts de la gestion des données de référence sont définis sur la base des premiers résultats.

Étape 2 : Boucles d'optimisation basées sur des règles

Dans un deuxième temps, l'ensemble des données est systématiquement comprimé, enrichi et structuré par des ensembles de règles intégrés et adaptables. Simus classmate compare les données de l'entreprise avec des classes standard sur les pièces normalisées et achetées et propose - si souhaité - des classes pour la gamme de produits spécifique à chaque entreprise. Le classement des données basé sur des règles permet d'obtenir très rapidement des résultats corrects.

Ces résultats sont encore affinés dans le cadre d'ateliers avec les départements concernés. Le moteur de recherche classmate Finder permet aux personnes impliquées dans le projet de filtrer et de visualiser les données afin d'identifier d'éventuelles erreurs, doublons ou imprécisions. Ensuite, les règles de base sont adaptées en fonction des besoins du client jusqu'à ce qu'une boucle d'optimisation fournisse tous les résultats souhaités.

Grâce à l'automatisation, de grandes quantités de fiches de matériel sont transformées rapidement et facilement en conformité avec l'ERP et importées via des interfaces. Grâce à cette méthodologie et aux règles de bonnes pratiques, les utilisateurs et les prestataires de services économisent jusqu'à 80% des dépenses habituelles.

Classmate Finder : grâce au moteur de recherche, les entreprises optimisent le
pièces, évitent les doublons et réduisent les efforts de recherche. (Image : simus systems GmbH)

Étape 3 : Garantir durablement la qualité des données

La troisième étape consiste à garantir la qualité des données obtenue. Les collaborateurs autorisés trouvent rapidement et de manière fiable toutes les données souhaitées grâce au classmate Finder. Cela réduit les efforts de recherche et protège contre les doublons. De même, cela permet de mettre en place un processus de création de base de données articles obligatoire. Des workflows définissables de manière flexible automatisent la création conforme aux règles des fiches de matériel au-delà des limites des départements. Les gains d'efficacité résultent d'un taux élevé de réutilisation des composants, de la standardisation des pièces achetées et d'une réduction des dépenses de gestion et de stockage.

Source : www.symus-systems.com

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/in-3-schritten-zu-perfekten-material-stammdaten/

Pawi Group AG publie son rapport environnemental 2023

Pawi Group AG a publié son rapport environnemental 2023, qui donne un aperçu complet des progrès réalisés par l'entreprise dans les domaines de la gestion de l'énergie, de l'économie circulaire et de la durabilité sociale. En tant que fournisseur de solutions d'emballage dans les secteurs alimentaire et non alimentaire, Pawi s'est engagé à réaliser un avenir globalement durable.

La société Pawi Group AG a publié son rapport environnemental 2023. (Image : www.pawi.com)

La gestion de l'énergie constitue un axe important de la stratégie de développement durable. La décision de se raccorder au chauffage urbain à Winterthur (Suisse) et l'utilisation du photovoltaïque à Singen (Allemagne) sont des mesures essentielles pour réduire l'empreinte écologique. L'accent est également mis sur le développement de solutions d'emballage plus durables. Ainsi, Pawi développe, en collaboration avec l'EPF de Zurich, des films à base d'eau de soja pour les sachets à bande transparente en papier. "Notre objectif est de contribuer de manière significative à la protection de l'environnement en utilisant des énergies renouvelables et des technologies efficaces", explique Edoardo Finotti, Co-CEO Operations de Pawi Packaging Schweiz AG.

Pawi a également fait de grands progrès dans le domaine de la durabilité sociale en introduisant la structure organisationnelle sociocratique également sur le site de production de Singen. Cette structure vise à promouvoir une culture d'entreprise positive et à renforcer la participation et la responsabilité des employés. "L'introduction de la sociocratie nous permet de créer un environnement de travail dans lequel chaque voix est entendue et où chaque collaborateur peut participer activement aux décisions", explique Ralf Kautzmann, directeur général de Pawi Packaging Deutschland GmbH.

Objectifs et engagement à long terme

PAWI réaffirme son engagement à long terme en faveur de l'environnement et de la société. Outre l'objectif de contribuer à la réduction des émissions de CO2-Afin de contribuer à la neutralité carbone de la ville de Winterthur d'ici 2040, des objectifs basés sur la science (SBTi) seront introduits à moyen terme. D'autres mesures comprennent la rénovation prévue du toit, y compris l'installation de panneaux photovoltaïques sur le site de production de Winterthur, ainsi que l'intégration de camions électriques dans le parc de véhicules.

Source : www.pawi.com

Le groupe Berlinger se réoriente stratégiquement

Vente de la division de surveillance de la température à la société américaine Sensitech Inc. L'activité antidopage reste dans la famille.

Andrea Berlinger-Schwyter - Le business de l'antidopage reste dans la famille. (Image : René Niederer / www.artwiese.ch)

Le groupe Berlinger, connu au niveau international pour ses produits antidopage et ses systèmes de surveillance de la température à la pointe de la technologie, se réoriente. La société Berlinger & Co. AG (secteur de la surveillance de la température) sera officiellement vendu au troisième trimestre 2024 à la société américaine Sensitech Inc (Carrier Global Corporation). La société Berlinger Special AG (produits antidopage), leader du marché depuis plusieurs décennies, restera dans le giron familial. Les deux secteurs d'activité continueront d'être basés sur le site de production actuel à Ganterschwil, dans le canton de Saint-Gall.

Réorientation stratégique du secteur de la surveillance de la température (Berlinger & Co. AG)

En septembre 2023, le conseil d'administration de Berlinger & Co. AG a décidé de repositionner stratégiquement sa division de surveillance de la température. Berlinger & Co. AG a développé au cours des trois dernières années l'une des plateformes les plus modernes au monde pour la surveillance de la chaîne du froid des vaccins, des produits pharmaceutiques et des essais cliniques. Cette plateforme, connue sous le nom de marque "Smart Systems", ainsi que les appareils de surveillance de la température qui l'accompagnent, font partie des produits les plus innovants dans les applications correspondantes.

Cette industrie globale exige une présence mondiale et des solutions flexibles sur les différents marchés. En vendant l'activité de surveillance de la température à la société américaine Sensitech Inc. (Carrier Global Corporation), leader sur le marché international, la famille propriétaire Berlinger-Schwyter veut assurer une croissance durable pour ses propres développements et positionner ses services et produits dans le monde entier.

Reprise de Berlinger & Cie SA prévue au troisième trimestre 2024

Les négociations pour le rachat de Berlinger & Co. AG ont pu être conclues avec succès en juin 2024. L'acquisition formelle de l'unité commerciale Cold Chain Monitoring (Berlinger & Co. AG, avec les filiales Antaris Solutions BV et Berlinger USA LLC) devrait être achevée au troisième trimestre 2024. La société Sensitech Inc., basée à Beverly, Massachusetts (USA), rachète Berlinger & Co. AG, (Cold Chain Monitoring) et ses quelque 85 collaborateurs.

L'unité commerciale antidopage reste la propriété de la famille Berlinger-Schwyter

Les produits antidopage de l'unité commerciale Berlinger Special AG, leaders depuis des décennies, restent la propriété de la famille propriétaire Berlinger-Schwyter. Berlinger Special AG produit sous la marque "BEREG Kits" des récipients de contrôle antidopage pour des applications humaines et animales. Ceux-ci sont utilisés dans le monde entier lors de presque toutes les manifestations sportives importantes et des entraînements préparatoires. Depuis une dizaine d'années, les animaux sont de plus en plus soumis à des contrôles antidopage lors des grandes manifestations et des entraînements. Berlinger Special AG est également leader dans ce segment en pleine croissance.

Planification commerciale durable

Avec cette étape stratégique importante, les conseils d'administration des sociétés Berlinger (Berlinger & Co. AG et Berlinger Special AG) s'assurent que les deux sociétés, dans des domaines d'activité différents, puissent continuer à se développer avec succès et de manière rentable. Avec ses deux unités commerciales, le groupe suisse Berlinger est déjà actif à plus de 90% sur le marché international. L'accès aux marchés internationaux est d'une importance capitale pour le développement durable de tous les services du groupe Berlinger.

La vente de l'entreprise de surveillance de la température Berlinger & Co. AG à la société américaine Sensitech Inc. a été jugée par le conseil d'administration comme une variante idéale et garante d'avenir pour les propres innovations. Sensitech Inc. est le leader mondial dans le domaine des systèmes de surveillance de la température. L'intégration des systèmes et des services développés en Suisse et aux Pays-Bas dans un groupe international (Carrier Global Corporation) permet un développement continu et une présence globale sur les marchés respectifs.

L'acquisition formelle de Berlinger & Co. AG (systèmes de surveillance de la température) est attendue pour le troisième trimestre 2024. L'exécution de la transaction sera communiquée publiquement. Concernant le prix d'acquisition, il a été convenu de manière tacite.

Source : www.berlinger.com

La numérisation peut combler un cinquième du "fossé climatique" d'ici 2030

En faisant avancer la numérisation, la Suisse peut réduire jusqu'à 20 pour cent des émissions qui doivent être économisées pour atteindre l'objectif climatique d'ici 2030 (écart climatique). C'est ce que montre une nouvelle étude de l'initiative de localisation digitalswitzerland et de l'association économique faîtière economiesuisse en collaboration avec Accenture.

La Suisse s'est engagée à réduire ses émissions annuelles de 50 pour cent d'ici 2030 par rapport à 1990. (Image : www.depositphotos.com)

L'étude souligne à cet égard l'importance des technologies numériques pour atteindre l'objectif climatique de la Suisse et montre que la numérisation constitue un levier significatif pour combler le "fossé climatique" d'ici 2030.

Objectif climatique 2030 : la Suisse doit réduire drastiquement ses émissions de CO2

Conformément à l'accord de Paris, la Suisse s'est engagée à réduire ses émissions annuelles de 50 % d'ici 2030 par rapport à 1990. Cela correspond à une réduction d'environ 55 à environ 28 millions de tonnes de CO2eq. Les émissions sont déjà en baisse, mais un défi apparaît clairement : au cours des six prochaines années, la Suisse doit réduire davantage de CO2eq que cela n'a été le cas au cours des 34 dernières années - et combler un déficit climatique annuel d'environ 16 millions de tonnes de CO2eq. Une tâche herculéenne pour laquelle tous les moyens doivent être mis en œuvre.

Les technologies numériques offrent un potentiel d'économies considérable

L'étude examine comment les technologies numériques peuvent contribuer à la réduction des émissions de CO2eq dans les secteurs du bâtiment, du transport, de l'industrie, de l'agriculture et de l'énergie. Pour ce faire, des cas d'application numériques spécifiques ont été examinés, comme par exemple les systèmes de gestion intelligente des bâtiments, l'optimisation des itinéraires en temps réel dans le transport de marchandises ou les processus automatisés dans l'industrie. Pour ce faire, deux vitesses de numérisation - numérisation standard et numérisation ambitieuse - ont été comparées, qui se distinguent par la vitesse à laquelle les cas d'utilisation sont adoptés.

L'utilisation de tous les cas d'application étudiés pourrait permettre d'économiser entre 1,2 et 3,2 millions de tonnes de CO2eq par an d'ici 2030, ce qui correspond à environ 7 à 20 % de l'écart climatique existant ou à une à deux fois les émissions actuelles du canton de Thurgovie. Le rythme de la numérisation est déterminant pour l'ampleur du levier : une numérisation ambitieuse permettrait de plus que doubler les économies par rapport à une numérisation standard. Par conséquent, si la tendance actuelle n'est pas seulement poursuivie, mais que la pénétration des technologies numériques sur le marché est accélérée, il sera possible d'exploiter leur plein potentiel pour la protection du climat.

L'économie et la politique face à leurs responsabilités

Les résultats de l'étude montrent clairement que les entreprises et les particuliers suisses apportent une contribution importante à la protection du climat en utilisant les technologies numériques. Il apparaît en outre que le potentiel d'économies entre une numérisation standard et une numérisation ambitieuse est très éloigné. Afin de réaliser l'intégralité du potentiel d'économies, c'est en particulier à la politique qu'il incombe de créer les conditions-cadres nécessaires et de renforcer la numérisation pour le site d'innovation suisse.

Source : www.digitalswitzerland.com

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