Raffaele De Rosa devient le nouveau président du conseil de fondation de Promotion Santé Suisse

Le vendredi 22 novembre 2024, le conseil de fondation de Promotion Santé Suisse a élu Raffaele De Rosa comme nouveau président du conseil de fondation et successeur de Guido Graf. Raffaele De Rosa prendra ses fonctions le 1er janvier 2025.

Raffaele De Rosa Président du conseil de fondation
Raffaele De Rosa prendra ses fonctions de président du conseil de fondation le 1er janvier 2025. (Image : www.gesundheitsfoerderung.ch)

Raffaele De Rosa, né en 1973, est un conseiller d'État tessinois. Depuis avril 2019, il est directeur du Département de la santé et des affaires sociales et conseiller d'État dans le canton du Tessin. C'est la deuxième fois qu'il occupe un poste au gouvernement tessinois. Grâce à sa vaste formation économique - y compris l'obtention d'un doctorat - et à sa longue expérience dans l'économie privée, tant en Suisse qu'à l'étranger, il apporte de vastes connaissances au conseil de fondation.

Politiquement actif depuis 2000, il a été maire de la commune de Riviera de 2017 à 2019, date à laquelle il a été élu au gouvernement cantonal. Au niveau cantonal, il a été membre du Grand Conseil du canton du Tessin entre 2003 et 2019. Il s'est en outre engagé dans de nombreuses commissions, dont la Commission administrative et financière, qu'il a présidée de 2018 à 2019.

Le conseiller d'État tessinois apporte une combinaison impressionnante de connaissances spécialisées et d'expérience politique. "Nous sommes très heureux d'accueillir Raffaele De Rosa en tant que nouveau président du conseil de fondation. Grâce à son expérience et à son engagement, il donnera des impulsions importantes à notre travail futur dans le domaine de la promotion de la santé et de la prévention", a déclaré Thomas Mattig. Il est le directeur de Promotion Santé Suisse.

Nouvelles priorités stratégiques pour Promotion Santé Suisse à partir de 2025

L'élection de De Rosa marque également le début d'une nouvelle période stratégique pour la fondation. L'objectif de Promotion Santé Suisse est d'améliorer de manière mesurable et à long terme la santé de la population en Suisse, d'informer les gens et de leur donner les moyens d'adopter un mode de vie sain, ainsi que de renforcer les conditions sociales qui soutiennent ce processus.

Sur la base d'un bilan réjouissant du travail effectué jusqu'à présent, Promotion Santé Suisse mise sur la continuité pour les années à venir. Parallèlement, elle élargit ses priorités. Ainsi, les programmes d'action cantonaux seront complétés par des projets pilotes pour adultes, répondant ainsi à un besoin des cantons. Dans le domaine de la prévention, l'objectif est de financer durablement des projets qui ont fait leurs preuves. La gestion de la santé en entreprise sera adaptée aux exigences futures, en particulier pour les PME.

"C'est pour moi une grande joie, un honneur et une motivation de pouvoir me mettre au service d'une fondation aussi importante que Promotion Santé Suisse. Pour moi, il est essentiel de diffuser une image positive de la santé et de m'engager pour la promotion du bien-être physique, psychique et social des personnes et des communautés. Il est tout aussi important pour moi de soutenir les programmes et les projets de promotion de la santé et de prévention qui favorisent le développement des compétences individuelles, l'inclusion, l'égalité et la participation des personnes et des communautés. Pour ce faire, il convient de soutenir une approche globale et transversale avec des actions à tous les niveaux, à toutes les étapes de la vie et dans tous les milieux. Il s'agit d'impliquer toutes les parties prenantes et de renforcer les nombreuses organisations et associations actives sur le terrain", a déclaré Raffaele De Rosa à propos de son élection.

Un remerciement à Guido Graf

Raffaele De Rosa reprend le flambeau de Guido Graf, qui a marqué le rôle de président du conseil de fondation pendant de nombreuses années avec beaucoup d'engagement et de clairvoyance. L'ancien conseiller d'État du canton de Lucerne a également dirigé la fondation à travers des périodes difficiles comme la pandémie de coronavirus et a donné de précieuses impulsions. La fondation remercie chaleureusement Guido Graf pour son engagement et sa contribution marquante à la promotion de la santé et à la prévention en Suisse.

Le premier rendez-vous à l'agenda de Raffaele De Rosa après son élection est la conférence nationale de promotion de la santé du 30 janvier 2025 sur le thème "Cohésion sociale au niveau local : renforcer la santé de la communauté".

Source : www.gesundheitsfoerderung.ch

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/raffaele-de-rosa-neuer-stiftungsratspraesident-gesundheitsfoerderung-schweiz/

Un vent nouveau pour les fusions et acquisitions des PME suisses : Saxenhammer s'installe à Zurich

Saxenhammer, l'une des sociétés de conseil en fusions et acquisitions et en finance d'entreprise les plus performantes d'Allemagne, ouvre un site à Zurich. Avec cette expansion, Saxenhammer crée un pont qui manquait jusqu'à présent entre les PME suisses et l'espace d'investissement DACH et répond ainsi à un besoin croissant de la classe moyenne suisse.

Le leader allemand du conseil en fusions et acquisitions de PME Saxenhammer ouvre son premier site suisse à Zurich. (Image : www.saxenhammer-co.com)

Depuis plus de 20 ans, Saxenhammer est un partenaire fiable qui accompagne surtout les PME, mais aussi les grandes entreprises, lors de l'évaluation de l'entreprise, de la succession ou de la vente de l'entreprise, de la recherche d'investisseurs, des processus d'achat et d'expansion et de la négociation de possibilités de financement alternatives. Avec le CEO Christian Saxenhammer, les meilleurs experts de Saxenhammer pour les PME s'engagent désormais aussi en Suisse pour leurs clients et poursuivent l'objectif de soutenir les PME suisses dans leur parcours. L'expérience de plus de 400 transactions réussies et son propre ADN d'entrepreneur font de Saxenhammer un partenaire d'épargne idéal pour les PME.

Le directeur général du nouveau site zurichois est Andreas Pöllen, un banquier expérimenté en matière de corporate finance et de fusions et acquisitions. Andreas Pöllen vient de chez Edmund Rothschild. Il apporte une longue expertise en matière de M&A et de financement ainsi qu'un réseau de premier ordre avec des entreprises, des investisseurs et des spécialistes financiers en Suisse et dans la région DACH. Grâce à sa propre expérience entrepreneuriale et à sa compréhension approfondie des défis et des opportunités auxquels les PME sont aujourd'hui confrontées, Andreas Pöllen et son équipe de Zurich proposent des solutions sur mesure et d'égal à égal. Tout à fait dans l'esprit de la tradition Saxenhammer.

Grâce à ce nouveau site, l'équipe peut agir encore plus près du marché suisse et utiliser son expertise de manière ciblée pour relever les défis des PME locales. Les entreprises suisses bénéficient ainsi d'un conseil international expérimenté, professionnel et sympathique, avec un accès efficace aux marchés et investisseurs internationaux, notamment en Allemagne et en Autriche.

Un partenaire solide pour les entrepreneurs suisses

Christian Saxenhammer voit des opportunités particulières pour les PME suisses dans l'espace DACH : "L'espace alpin compte parmi les régions économiques les plus fortes du monde et se caractérise par sa force d'innovation et sa stabilité. Les PME suisses y apportent une contribution importante. Mais malgré un environnement d'investissement positif, elles sont confrontées à des défis croissants. La pression de l'expansion et de la transformation augmente la demande de stratégies M&A sérieuses et compréhensibles. Les relations économiques étroites entre la Suisse et l'Allemagne, qui ont une longue tradition, sont donc aujourd'hui plus importantes que jamais. Saxenhammer est le constructeur de ponts idéal pour faciliter l'accès des entreprises suisses à l'espace d'investissement germanophone élargi".

Le directeur de Saxenhammer Swiss, Andreas Pöllen, ajoute : "Le marché suisse des fusions et acquisitions, attractif et compétitif au niveau international, est de plus en plus dominé par de grands acteurs mondiaux, qui ne disposent toutefois souvent pas des structures idéales ni de la compréhension nécessaire de la culture locale des PME et des préoccupations des PME suisses. L'entreprise de conseil prend ici clairement le contre-pied et se concentre, contrairement aux grandes banques d'investissement et aux sociétés de private equity, sur des transactions de fusions et acquisitions de 10 à 100 millions de francs. De nouvelles questions de financement se posent également de plus en plus pour les PME suisses. Comme l'octroi de crédits se déplace de plus en plus des banques traditionnelles vers des prestataires de financement alternatifs, il faut envisager de nouveaux modèles de financement, parfois inhabituels pour les PME suisses. Là aussi, nous nous y connaissons".

Des décisions stratégiques pour un avenir stable

Face à ces développements sur le marché financier mondial, il est crucial pour les entreprises suisses d'analyser en profondeur leur situation actuelle et d'examiner les options possibles. C'est là que Saxenhammer, en tant que sparring partner qui comprend aussi bien le marché suisse des PME que la région DACH, peut donner de précieuses impulsions. Grâce au solide réseau de Saxenhammer et à son regard extérieur honnête et indépendant, les entreprises peuvent évaluer leur situation de manière réaliste et prendre des décisions stratégiques en position de force.

Le conseil de Saxenhammer repose sur une connaissance approfondie de la culture locale des PME suisses. Saxenhammer offre l'indépendance, le savoir-faire et le suivi personnel que les entrepreneurs recherchent : un interlocuteur d'égal à égal, qui est toujours là pour eux, même dans les processus les plus exigeants, et qui les accompagne à travers toutes les phases d'une clarification et d'une transaction.

Source : www.saxenhammer-co.com

Grensol reçoit 150 000 CHF de Venture Kick pour la récupération de matières premières précieuses à partir de déchets recyclés

La start-up suisse Grensol, spécialisée dans les cleantech, a reçu un investissement de 150 000 CHF de la part de Venture Kick pour poursuivre le développement de sa technologie innovante de valorisation des déchets plastiques, qui ne produit aucune émission.

Solution de recyclage Grensol
Le CEO Rajiv Singhal et le CFO Marc Ocskay. (Image : www.venturekick.ch)

Le recyclage des voitures génère près de 20 % de déchets, principalement constitués de plastiques mélangés, de fragments de métal et de verre broyé. Ces déchets sont souvent incinérés ou mis en décharge. Une pratique qui entraîne non seulement des coûts élevés pour les entreprises de recyclage, mais qui augmente également la pollution et les émissions de CO₂. Parallèlement, la demande croissante de matériaux nécessaires à la transition énergétique entraîne une pression accrue sur les ressources naturelles rares.

La solution propriétaire de Grensol répond à ces deux défis en transformant les résidus de recyclage en matières premières fonctionnelles qui peuvent remplacer de nouveaux matériaux, tout en évitant des méthodes d'élimination coûteuses et polluantes. L'entreprise prévoit d'étendre cette approche à d'autres flux de déchets tels que les déchets électroniques et les déchets plastiques. Des systèmes compacts et efficaces seront mis en œuvre directement sur les sites industriels existants. De cette manière, la récupération des ressources est maximisée et la quantité de déchets réduite.

Un marché potentiel de 90 milliards de dollars

Grâce à sa technologie, Grensol a le potentiel de transformer chaque année plus de 80 millions de tonnes de déchets en matières premières bon marché et sans émissions, tout en économisant plus de 500 millions de tonnes d'émissions de CO₂. L'entreprise voit un marché potentiel de 90 milliards de dollars pour de nouveaux matériaux et des économies dans la gestion des déchets. Cela représente une contribution essentielle aux objectifs mondiaux de développement durable.

La première phase de la solution de récupération des métaux et des minéraux est actuellement mise en œuvre dans une installation de démonstration suisse située dans le canton de Soleure. Celle-ci se trouve sur le site de l'ancienne usine de papier de Biberist, qui a été réhabilitée par la société de développement immobilier HIAG.

Objectif : une économie circulaire durable en Suisse

Grâce au soutien de Venture Kick à hauteur de 150'000 CHF, Grensol va poursuivre le développement de sa solution de recyclage pour les voitures et étendre son application à d'autres flux de déchets. L'objectif est de promouvoir une économie circulaire durable en Suisse et au-delà.

L'équipe fondatrice est composée du CEO Rajiv Singhal, du CFO Marc Ocskay et du CTO Dr. Marco Ziegler. Elle est soutenue par le Dr Silvan Suter, directeur de la recherche et du développement, et le CBO Federico Bussmann. Ensemble, ils apportent leur expertise dans les domaines de la gestion d'entreprise, des finances, de la technologie, de la recherche et du développement commercial afin de construire un avenir plus durable et sans déchets.

"Venture Kick nous a apporté un soutien décisif dans notre parcours entrepreneurial - avec le financement nécessaire pour les premières phases, le précieux feed-back d'un jury qualifié et des possibilités passionnantes comme l'AMAG Sustainability Challenge", déclare Rajiv Singhal. "Ce soutien nous a permis de développer notre vision de manière conséquente et d'atteindre de nouveaux jalons".

Source : www.venturekick.ch

La réparation bat le recyclage : la durabilité des vêtements de travail

Un "droit à la réparation", tel que l'Union européenne le prévoit depuis peu pour les appareils électriques, pourrait également contribuer à promouvoir la préservation des ressources dans l'industrie de l'habillement. Avec la révision de la loi sur la protection de l'environnement au printemps 2024, le thème "Réparer au lieu de jeter" gagne également en importance en Suisse. Un objectif déclaré mise ici sur des textiles durables et recyclables et sur la réduction des déchets textiles. Le prestataire de services textiles Mewa a depuis toujours intégré la réparabilité des vêtements professionnels dans son offre.

Un "droit à la réparation" pourrait également contribuer à promouvoir la préservation des ressources dans l'industrie de l'habillement. (Image : www.mewa.ch)

Le service de réparation fait partie de la routine du service textile

Le service complet pour les vêtements professionnels et de protection de Mewa répond déjà aux exigences du "droit à la réparation" à bien des égards. Outre le remplacement des fermetures et la réparation des parties déchirées, le remplacement de parties entières de vêtements comme les poches, les manches ou les poignets en fait également partie. Des kits de réparation adaptés sont produits en même temps. Même les vêtements de protection peuvent être réparés en toute sécurité. Le recyclage des vêtements mis au rebut est une pratique courante qui permet de réutiliser les pièces encore en état de marche. "Si l'on considère qu'en Europe, environ 5,8 millions de tonnes de textiles deviennent des déchets chaque année, la réparation marque des points par rapport au recyclage du point de vue de la durabilité", explique Wolfgang Quednau, associé gérant de la Betreuungsgesellschaft für textiltechnische Anwendungen GmbH (BTTA).

Moins de consommation de ressources grâce à une longue durée de vie

Lors de la fabrication de textiles, la plupart des ressources sont utilisées pendant la production des matières premières. Par conséquent, plus un vêtement est utilisé longtemps, plus son impact environnemental relatif est faible. "Pour les textiles professionnels, qui sont beaucoup plus sollicités que les vêtements de mode, une durabilité prouvée ne peut être obtenue qu'avec des vêtements de haute qualité et réparables", explique l'ingénieur textile Wolfgang Quednau. Afin d'avoir plus d'influence sur la qualité des textiles, Mewa dispose de son propre développement de produits pour les vêtements professionnels et de protection. Les nouveaux matériaux sont soumis à des tests physiques intensifs avant d'être utilisés. "Lorsque les vêtements professionnels résistent à de nombreux cycles d'utilisation sans perte significative d'aspect ou de fonctionnalité, cela contribue non seulement à la durabilité, mais permet également de réaliser des économies. Les clients profitent des deux", explique Wolfgang Quednau.

La recyclabilité est un grand sujet de recherche

En tant que prestataire de services textiles orienté vers le développement durable, Mewa poursuit différentes approches de recherche sur les possibilités d'utilisation de matériaux recyclés ainsi que sur le retraitement des fibres de textiles usagés. Le recyclage a cependant encore ses limites. Un grand défi est la qualité des matériaux recyclés, comme l'explique Dr Diana Wolf, Recherche & Développement chez Mewa. Il s'agit d'une part de la résistance, qui est absolument nécessaire pour les vêtements professionnels, et d'autre part du comportement à la teinture. "Les matériaux réutilisés doivent ici être équivalents aux produits de base non recyclés", explique Diana Wolf pour décrire l'objectif de la recherche.

Un circuit textile fermé

Actuellement, Mewa s'engage, entre autres avec l'université technique de Braunschweig et l'école supérieure de Niederrhein comme partenaires scientifiques, dans un projet de recherche de l'organisme responsable du projet, Jülich. Ce projet, financé par le ministère fédéral de l'Éducation et de la Recherche, est consacré à la possibilité de recycler chimiquement le polyester des mélanges de fibres pour en faire des fibres réutilisables (code de subvention : 033R408A). "Nous voulons ainsi rendre possible ce que l'on appelle le recyclage 'textile-to-textile'. Ainsi, les vieux tissus mixtes polyester-coton pourraient servir à fabriquer de nouveaux tissus. Ce serait un jalon sur la voie d'une économie circulaire textile vraiment globale", explique Diana Wolf. Elle est persuadée que les exigences du nouvel acte délégué pour les textiles du règlement sur l'écoconception accéléreront sensiblement le développement de processus de recyclage améliorés pour les textiles.

Source : www.mewa.ch

Cadeaux de Noël du chef : plus de déception que d'appréciation ?

BHN, le principal distributeur de bons multicanal et fournisseur d'incitations pour les employés en Europe, a publié une étude sur l'évolution actuelle des comportements en matière de cadeaux à Noël. Les données issues d'enquêtes menées auprès des employés révèlent des tendances en matière de solutions d'achat basées sur la technologie et de budgétisation stratégique pendant la période de Noël.

Près de la moitié des travailleurs considèrent que leurs employeurs leur font de mauvais cadeaux. (Image : BHN)

Tous les ans, l'employeur déçoit

Le verdict n'est pas très festif : près de la moitié des salariés (45%) considèrent que leur employeur leur offre de mauvais cadeaux, tandis que 36% déclarent que les cadeaux ne correspondent jamais à leurs souhaits. Il est particulièrement décevant de constater que l'année dernière, la moitié des employés sont repartis les mains vides - et que seuls 24 pour cent s'attendent à une quelconque attention de la part de leur employeur cette année.

Il en ressort que de tels cadeaux sont importants pour le personnel. Ainsi, 45 pour cent des personnes interrogées ont déclaré qu'elles ne démissionneraient pas avant Noël pour s'assurer un cadeau ou une prime. En outre, 74 pour cent soulignent qu'ils se sentent valorisés par un cadeau, tandis que 60 pour cent indiquent qu'une récompense leur donne de la motivation et de l'énergie pour l'année à venir.

Pour les employeurs, cela signifie que Noël est une période pendant laquelle ils doivent faire preuve de prudence. Après tout, les cadeaux sont essentiels à la fois pour fidéliser les employés et pour leur bien-être.

Répondre aux soucis économiques avec des cartes-cadeaux

Il est important pour les employeurs de prendre en compte l'attitude générale vis-à-vis des cadeaux lorsqu'ils élaborent des stratégies de cadeaux pour leurs employés.

En effet, la situation économique tendue continue de jouer un rôle important pour les consommateurs : de nombreux collaborateurs utilisent les cartes cadeaux pour acheter des produits alimentaires (20 %) ou des vêtements (25 %). Pas moins de 13 pour cent utiliseraient un chèque-cadeau pour l'entretien de la maison et 21 pour cent pour le carburant. Les principales préoccupations des consommateurs sont le coût des services publics (53 pour cent), l'inflation (65 pour cent), le prix des denrées alimentaires (57 pour cent) et le prix du carburant (26 pour cent).

Étant donné l'importance de la budgétisation et de la planification, les employeurs peuvent utiliser leurs stratégies de cadeaux pour 2024 afin d'aider leurs employés pendant une période financièrement difficile de l'année. La valeur de la carte cadeau ne doit même pas être très élevée : 32 % des personnes interrogées ont déclaré ne pas savoir quel montant elles souhaitaient. 18 % souhaitent une valeur comprise entre 51 et 100 euros et 22 % entre 101 et 250 euros. Certains salariés (12 %) se sont également déclarés satisfaits d'une valeur inférieure à 50 euros.

Le cadeau idéal ?

Les cartes cadeaux restent l'une des options les plus populaires dans les entreprises : Cette année, 84% des personnes interrogées souhaiteraient recevoir une carte cadeau de la part de leur employeur si elles avaient le choix. Le moment de la remise joue également un rôle : environ la moitié des salariés préfèrent recevoir l'attention dès le début du mois de décembre. Seuls 19 % préféreraient recevoir leur cadeau à la fin du mois.

"Il est certainement décevant d'entendre combien d'employés sont déçus par le comportement de leur employeur en matière de cadeaux", déclare Patrick Schlieper, directeur Business Development Dach chez BHN. "Après tout, les cadeaux de Noël sont une manière festive d'exprimer aux collaborateurs l'appréciation pour toutes leurs prestations tout au long de l'année. Maintenant que la période des cadeaux est à nos portes, les entreprises devraient agir indépendamment de leur budget et profiter des avantages des cadeaux flexibles. Il est grand temps de dire adieu à la boîte de chocolats poussiéreuse et d'envisager à la place une carte cadeau qui permette aux bénéficiaires de s'offrir ce qu'ils veulent vraiment - ou ce dont ils ont besoin".

Source : www.blackhawknetwork.de

4ème Immo Dialogue Est avec focalisation sur les oppositions et les exigences de durabilité

Après trois éditions déjà, l'Immo Dialog Ost à Saint-Gall est devenu un lieu de rencontre important pour le secteur immobilier de Suisse orientale. La quatrième édition du forum immobilier aura lieu le 27 mars 2025 sur le thème "L'immobilier sous pression - des projets entre oppositions et exigences de durabilité".

L'Immo Dialog Ost est devenu un lieu de rencontre important pour le secteur immobilier de Suisse orientale. (Image : www.immo-dialog.ch)

Le secteur immobilier est aujourd'hui plus que jamais sous pression. La multiplication des oppositions lors des procédures d'autorisation et les exigences croissantes en matière de durabilité compliquent de plus en plus les projets de construction. Le 4e Immo Dialog Ost abordera précisément ces problématiques et ces défis le 27 mars 2025 à l'Olma Halle 9.2 à Saint-Gall. Les conférences et les discussions qui auront lieu cet après-midi-là doivent permettre aux professionnels de l'immobilier de Suisse orientale de trouver des solutions pratiques aux obstacles actuels dans les processus de planification et d'autorisation de construire.

Un programme de haut niveau

Des intervenants de renom parleront des défis actuels du secteur immobilier lors de la quatrième édition de la manifestation : Karin Bührer (directrice de Développement Suisse), Remo Daguati (président du Réseau Site Suisse, propriétaire de LOC AG), Stefan Cadosch (CEO keeValue), Klauspeter Nüesch (VRP et GL Nüesch Developement AG), Patrizia Wachter Tanner (directrice et VRP Prefera Immobilien AG), Andrea Cristuzzi (propriétaire et directrice du groupe Cristuzzi), Jörg Schläpfer (directeur macroéconomie Wüst Partner), Ivan Furlan (directeur de l'Office des permis de construire) et Donato Scognamiglio (conseiller cantonal, PDG et cofondateur de IAZI AG). La manifestation sera à nouveau animée par Roman Bolliger.

Nouveau partenariat

L'importance croissante de l'Immo Dialog Ost pour le secteur immobilier de Suisse orientale se fait également ressentir au niveau des sponsors. L'organisateur a pu gagner un autre partenaire important de la région pour la série de manifestations, à savoir les services municipaux de Saint-Gall, partenaire de bronze.

Plus d'espace pour le réseautage

Outre le programme passionnant sur scène, Immo Dialogue Est offrira à partir de l'année prochaine encore plus d'espace pour les échanges et les rencontres. Le déjeuner très apprécié, qui pouvait jusqu'à présent être réservé en option, sera désormais inclus dans le prix de la participation. Ainsi, tous les participants auront la possibilité de se mettre en réseau avec des collègues de la branche dès le déjeuner debout.

Inscription disponible

Les inscriptions pour le 4e Immo Dialogue Est du 27 mars 2025 à l'Olma Halle 9.2 sont déjà ouvertes. en ligne est possible. Le prix d'entrée normal est de 295 francs. Les membres du Swiss Circle bénéficient d'un prix de participation réduit de 245 francs. En outre, un prix spécial de 120 francs est désormais proposé aux étudiants. Le prix d'entrée comprend le déjeuner, les pauses et l'apéritif.

Source : www.immo-dialog.ch

Le climat des affaires dans la branche MEM à son plus bas niveau depuis trois ans et demi

L'indice Swissmechanic du climat des affaires pour les PME de la branche MEM glisse en octobre 2024 à son niveau le plus bas depuis janvier 2021. Un nouveau recul des commandes et des marges, associé à une faible utilisation des capacités, caractérise la situation actuelle. Environ un tiers des entreprises interrogées ont réduit leurs effectifs. Compte tenu des défis actuels, les PME-MEM sont pessimistes quant à l'avenir.

Le climat des affaires dans la branche MEM glisse en octobre 2024 à son niveau le plus bas depuis janvier 2021. (Image : www.depositphotos.com)

Le climat des affaires dans la branche MEM s'est encore refroidi à l'automne, comme le montre la dernière enquête trimestrielle de Swissmechanic. En octobre 2024, l'indice du climat des affaires PME-MEM de Swissmechanic a glissé vers sa valeur la plus basse depuis janvier 2021. Cela fait maintenant un an et demi que le pulsomètre des PME-MEM se situe dans la zone négative. Seul 1 pour cent des entreprises qualifie le climat actuel des affaires de très favorable. A l'opposé, 74 pour cent le jugent plutôt défavorable à très défavorable.

Réduction du personnel dans une PME-MEM sur trois

Le manque de commandes reste également le plus grand défi, suivi par les charges persistantes dues au franc fort. Au total, 60 pour cent des PME ont enregistré une baisse de leur chiffre d'affaires au troisième trimestre 2024 et presque autant ont vu leurs marges diminuer. Le taux d'utilisation des capacités des entreprises est actuellement à peine supérieur à 80 %. A cela s'ajoute le fait que pour près d'un tiers des PME interrogées, la production n'est plus assurée que pour une période maximale de quatre semaines. Un tiers des entreprises a dû réduire ses effectifs par rapport à l'année précédente. Un quart d'entre elles manquent de fonds propres pour investir.

2024 reste difficile, 2025 laisse un espoir prudent

Les PME se montrent donc pessimistes pour le dernier trimestre 2024. La demande étrangère reste le grand défi. Environ la moitié des entreprises interrogées s'attendent à de nouveaux reculs des commandes, des chiffres d'affaires et des marges. Malgré les défis actuels, il existe, selon les experts, des signes d'une possible reprise conjoncturelle pour 2025. La baisse des prix de l'énergie et des taux d'intérêt pourrait donner des impulsions à la branche MEM l'année prochaine et permettre au moins une légère reprise.

Source : www.swissmechanic.ch

Bug Bounty Switzerland lance un bouclier pour renforcer la cyber-résilience

Avec le Cyber Resilience Shield, Bug Bounty Switzerland lance sur le marché une solution basée sur des données, facile d'accès et évolutive pour augmenter la résistance des entreprises dans le monde numérique. Avec le Cyber Resilience Score, le bouclier offre en outre des possibilités simples de benchmarking de sa propre cyber-résilience.

Bouclier de cyber-résilience
Avec le Cyber Resilience Shield de Bug Bounty Switzerland, les organisations obtiennent une solution évolutive en appuyant sur un bouton. (Image : www.bugbounty.ch)

Bug Bounty Switzerland, le pionnier suisse du piratage éthique, présente le Cyber Resilience Shield, un bouclier de protection puissant, évolutif et facile d'accès qui renforce la résilience des entreprises et améliore ainsi leur cybersécurité. Avec un modèle de prix transparent et sans avoir besoin de ressources de sécurité supplémentaires, le Cyber Resilience Shield offre une protection complète en appuyant sur un bouton. Celui-ci est adapté aux besoins spécifiques de chaque organisation.

En tant que pionnier dans le secteur, Bug Bounty Switzerland a perfectionné l'utilisation de l'Ethical Hacking au fil des années et a ainsi appris comment exploiter les programmes de Bug Bounty de la manière la plus efficace. Sur la base de ce savoir-faire, l'entreprise a maintenant développé un modèle innovant. Celui-ci optimise l'ethical hacking en utilisant les données des programmes de bug bounty passés et en cours et en recourant à une technologie d'intelligence artificielle moderne.

Tests continus et score de cyber-résilience

Le Cyber Resilience Shield protège les entreprises contre les cyber-attaques en identifiant les points d'attaque critiques et en les fermant avant qu'ils ne soient exploités. Le système assure des tests de sécurité continus et ciblés, qui se concentrent sur les vulnérabilités présentant le plus grand potentiel de menace. Grâce à une hiérarchisation rapide des vulnérabilités identifiées et à des recommandations d'action claires, les failles de sécurité peuvent être adressées efficacement - même en dehors de l'organisation concernée. Le Cyber Resilience Shield mobilise toutes les parties nécessaires pour remédier rapidement aux vulnérabilités identifiées.

Une valeur ajoutée supplémentaire du Cyber Resilience Shield est l'évaluation de la cyber-résilience d'une organisation au moyen du Cyber Resilience Score. Celui-ci réunit différentes dimensions de la cybersécurité préventive en une seule valeur. Les entreprises obtiennent ainsi une vue d'ensemble claire de leurs propres capacités à gérer les vulnérabilités par rapport aux autres acteurs de leur secteur. Le Cyber Resilience Score leur permet de suivre leurs progrès et d'identifier les domaines où il est le plus nécessaire d'agir. Le Cyber Resilience Shield ne fournit pas seulement des données aux entreprises, mais aussi des rapports détaillés. Ceux-ci fournissent notamment à la direction, aux cadres et aux conseils d'administration des informations importantes pour mieux comprendre les cyberrisques de leur entreprise et améliorer sa résilience.

Une approche en quatre étapes pour améliorer la cyber-résilience

La méthodologie sur laquelle repose le Cyber Resilience Shield est basée sur une approche en quatre étapes de "gestion continue de l'exposition aux menaces", adaptée au piratage informatique éthique.

  1. Identification et surveillance de l'ensemble de la surface d'attaque de l'entreprisey compris tous les actifs accessibles au public tels que les marques, les domaines, les adresses IP et les ressources en nuage. En utilisant les nombreuses données que Bug Bounty Switzerland a collectées au fil des ans dans le cadre de ses activités, le Cyber Resilience Shield crée un modèle sur mesure pour identifier les zones à risque.
  2. Activation d'un mécanisme de protection adaptatifIl s'agit d'un programme de protection des données qui cible les menaces et les risques identifiés. Pour ce faire, le Cyber Resilience Shield orchestre intelligemment et en permanence l'intervention des hackers éthiques avec de nouvelles connaissances issues des données disponibles. Il assure ainsi une protection précise et ciblée.
  3. Hiérarchisation des points faibles à corriger sur la base de leur potentiel de menace réel, en impliquant également des équipes non techniques dans le processus. Pour remédier aux vulnérabilités identifiées, Bug Bounty Switzerland collabore également, si nécessaire, directement avec les parties tierces et les autorités impliquées.
  4. Rapports transparents et benchmarking avec le Cyber Resilience Score comme élément central. Le Cyber Resilience Score permet aux organisations de comparer directement leurs mesures de cybersécurité avec les meilleures pratiques et les résultats du secteur. Ceci, ainsi que les autres rapports, leur permet d'adapter en permanence leurs investissements dans la sécurité aux conditions actuelles.

Un accès rapide à l'amélioration continue de la cybersécurité

Avec le bouclier de protection de Bug Bounty Switzerland, les organisations obtiennent une solution évolutive en appuyant sur un bouton et à un prix fixe annuel. Celle-ci s'oriente sur les menaces en constante évolution du monde numérique et renforce intelligemment leur cyber-résilience à l'aide de l'IA. Le Cyber Resilience Shield permet de se lancer rapidement dans l'amélioration continue de la cybersécurité tout en offrant des perspectives claires et réalisables à la direction.

"Sans la collaboration de hackers éthiques, il est impossible pour les entreprises de trouver toutes les failles dans leurs systèmes exposés sur Internet. Et pourtant, de nombreuses entreprises renoncent encore à utiliser des programmes de bug bounty. Que ce soit parce qu'elles craignent de coopérer avec des hackers éthiques, en raison de la complexité de l'exploitation, du travail supplémentaire ou des coûts difficiles à planifier", explique Sandro Nafzger. Il est CEO et cofondateur de Bug Bounty Switzerland. "Avec le Cyber Resilience Shield, nous adressons ces craintes et facilitons l'accès des organisations à l'utilisation du piratage éthique grâce à une solution parfaitement orchestrée, sur simple pression d'un bouton".

Source : www.bugbounty.ch

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/bug-bounty-switzerland-lanciert-einen-schutzschild-zur-staerkung-der-cyberresilienz/

Burnout en fin d'année ? Voici comment faire le plein d'énergie et commencer l'année 2025 en force

À l'approche de la fin de l'année, de nombreux professionnels sont soumis à la pression croissante des délais serrés, des obligations festives et du défi de concilier vie professionnelle et vie privée. Cela conduit souvent à un burnout de fin d'année, un état d'épuisement mental et physique qui peut nuire à la fois à la productivité et au bien-être. Pour vous permettre de récupérer et d'aborder l'année 2025 avec une énergie nouvelle, Robert Walters, spécialiste suisse du recrutement, vous donne des conseils pratiques pour gérer le stress, fixer des limites et donner la priorité aux soins personnels.

La reconnaissance précoce des symptômes de burnout est la première étape pour reprendre le contrôle. (Image : www.depositphotos.com)

Reconnaître les signes de burnout 

Le burnout ne survient pas du jour au lendemain. Il s'installe progressivement, souvent sans que vous vous en rendiez compte, jusqu'à ce qu'il affecte vos performances et votre bien-être. Vous devez être attentif aux signes suivants : 

  • Fatigue permanente ou sentiment d'épuisement
  • difficultés à se concentrer ou à rester motivé(e)
  • Irritabilité ou sentiment de se détacher du travail

La reconnaissance précoce de ces signes est la première étape pour reprendre le contrôle. 

Pourquoi le burnout atteint-il son apogée à la fin de l'année ? 

  • La fin de l'année apporte souvent avec elle une parfaite tempête de facteurs de stress :
  • Charge de travail intense en raison de projets et d'objectifs qui arrivent à échéance
  • Équilibre entre les exigences professionnelles et les obligations personnelles et sociales
  • Négliger de prendre soin de soi dans la hâte de tout faire

Si cette pression reste incontrôlée, elle peut avoir des conséquences à long terme, comme une baisse de la satisfaction au travail et des performances. 

Stratégies pratiques pour se ressourcer et se réorienter  

1. maîtriser son temps En prenant le contrôle de votre emploi du temps, vous pouvez réduire le stress et vous créer des espaces de liberté. Essayez ces conseils :  

  • Fixez des priorités dans les tâches : Concentrez-vous sur ce qui est le plus important plutôt que d'essayer de tout faire. 
  • Divisez-les en plusieurs parties : Divisez les grands projets en étapes plus petites et plus faciles à gérer.  
  • Déléguer : Partagez les responsabilités chaque fois que c'est possible afin d'éviter d'être submergé. 
  • Utiliser des blocages de temps : Attribuez des blocs de temps ininterrompus aux tâches les plus importantes et prévoyez de courtes pauses pour vous recharger. 

Une méthode efficace est la technique du pomodoro : 25 minutes de travail concentré suivies d'une pause de 5 minutes.  

2. fixer des limites : Des limites saines protègent votre temps et votre énergie. Découvrez ici comment les créer :

  • Refusez poliment les tâches qui dépassent vos capacités.
  • Communiquez clairement à vos collègues et à vos clients vos horaires de travail et vos disponibilités
  • Séparez-vous du travail à la fin de la journée afin de garantir une séparation claire entre le travail et la vie privée

Les limites ne préviennent pas seulement l'épuisement professionnel, elles favorisent également une productivité et une satisfaction accrues. 

3. donner la priorité aux soins personnels Le bien-être physique et mental est important pour conserver l'énergie et la concentration :

  • Restez actif : même de courtes promenades peuvent améliorer votre humeur et réduire le stress.
  • Nourrissez votre corps : des repas équilibrés assurent une énergie durable
  • Détendez-vous consciemment : des pratiques comme la méditation ou la pleine conscience peuvent vous aider à vous détendre.
  • Ramenez de la joie : les loisirs, la lecture ou le temps passé avec des êtres chers peuvent restaurer votre joie de vivre.

Quand chercher du soutien 

Si un burnout vous semble accablant, n'hésitez pas à vous manifester :  

  • Parlez-en à votre supérieur : Discutez avec lui de la manière dont vous pouvez adapter votre charge de travail si vous ne pouvez plus la gérer. 
  • Utilisez les ressources sur le lieu de travail : de nombreuses entreprises proposent des programmes d'aide aux employés (PAE). 
  • Consultez des spécialistes : un thérapeute ou un coach peut vous aider à développer des stratégies d'adaptation sur mesure. 

Le recours à l'aide n'est pas un signe de faiblesse, mais un pas proactif vers la résilience.

Commencer l'année 2025 avec positivité 

Pour aborder la nouvelle année avec plus de force, vous devez d'abord changer d'attitude. Voici comment procéder : 

  • Réfléchissez à ce que vous avez accompli : Célébrez vos progrès, petits ou grands
  • Fixez-vous des résolutions claires : Définissez des objectifs réalisables pour votre croissance personnelle et professionnelle.
  • Pratiquez la gratitude : cultivez la positivité pour vous donner de l'élan pour l'année à venir

N'attendez pas et agissez dès aujourd'hui 

Le burnout est un défi, mais aussi une occasion de revoir vos priorités, de vous ressourcer et de vous recentrer. En reconnaissant les signes, en fixant des limites et en prenant soin de vous, vous pourrez gérer le stress de la fin de l'année et aborder 2025 avec une énergie et une motivation renouvelées. 

Source : www.robertwalters.ch

Prix SVC Espace économique Zurich 2024 : Schneider Umweltservice AG

Le 26 novembre 2024, le Prix SVC Wirtschaftsraum Zürich sera décerné. L'entreprise Schneider Umweltservice AG de Meilen ZH sera en finale. Un bref portrait de cette entreprise leader dans le domaine du recyclage et de l'élimination des déchets.

Aujourd'hui, Schneider Umweltservice AG emploie environ 370 personnes. (Image : Schneider Umweltservice AG / www.umweltservice.ch)

La société Schneider Umweltservice AG de Meilen ZH, fondée en 1905 comme petite entreprise de transport, s'est développée sur quatre générations pour devenir une entreprise leader dans le domaine du recyclage et de l'élimination des déchets. Aujourd'hui, l'entreprise emploie environ 370 collaborateurs et exploite onze centres de recyclage ainsi que cinq points de collecte dans les régions économiques de Zurich, Zoug et Lucerne. Complété par des points de collecte mobiles, Schneider propose des solutions complètes pour tous les matériaux recyclables et les déchets, aussi bien pour les particuliers que pour les entreprises.

Des solutions de recyclage innovantes pour tous les secteurs

Schneider Umweltservice propose un large éventail de solutions d'élimination et de recyclage. Outre le retour et le recyclage de matériaux recyclables tels que le papier, le verre et les plastiques, l'entreprise s'occupe également de l'élimination professionnelle des déchets spéciaux. Schneider joue notamment un rôle clé dans le secteur de la construction. De grandes quantités de déchets minéraux provenant de travaux de transformation et de déconstruction sont transformées en matériaux de construction recyclés de haute qualité dans des installations modernes de concassage et de tri. Ces procédés contribuent considérablement à la réduction des déchets et permettent de recycler efficacement les matériaux de construction.

Des concepts durables pour un avenir respectueux de l'environnement

Schneider Umweltservice AG poursuit des objectifs ambitieux afin d'améliorer son bilan écologique : D'ici 2028, plus de 90% des transports doivent être effectués à l'électricité. Le passage aux véhicules électriques réduit considérablement les émissions de CO₂. En outre, l'entreprise mise sur le développement d'installations photovoltaïques qui produisent de l'électricité pour ses propres besoins sur six sites. Dans les centres de recyclage, l'eau de pluie est utilisée pour le nettoyage des véhicules, ce qui permet d'économiser 60'000 litres d'eau potable par an sur le site de Volketswil. Grâce à l'utilisation de technologies modernes telles que les séparateurs magnétiques et la technologie proche infrarouge, Schneider parvient à séparer efficacement les matériaux recyclables et à augmenter encore le taux de recyclage.

Responsabilité sociale et environnementale

Outre sa responsabilité écologique, Schneider Umweltservice s'engage également dans le domaine social. Grâce à la collaboration avec le Werkheim Uster, des personnes souffrant de troubles cognitifs sont intégrées dans le processus de travail. De plus, l'entreprise soutient le projet de protection du climat de Fair Recycling au Brésil, dans le cadre duquel les anciens réfrigérateurs sont recyclés et les gaz contenant des CFC sont rendus inoffensifs. Jusqu'à présent, 1,5 million de réfrigérateurs ont ainsi pu être recyclés et près de 1,8 million de tonnes d'équivalents CO₂ ont été économisées.

Plus d'informations : www.umweltservice.ch / www.svc.swiss 

Prix SVC Espace économique Zurich 2024

La remise des prix aura lieu le mardi 26 novembre 2024 au Kongresshaus de Zurich. Quelque 1'500 invités issus des milieux économiques, scientifiques, politiques et culturels sont attendus. La cérémonie de remise des prix sera animée par Nik Hartmann. Plus d'informations.

Cyberétude 2024 : les mesures de protection sont souvent négligées

L'étude Cyber 2024 est une enquête représentative qui donne un aperçu de la conscience de la sécurité numérique des PME, de la population et des prestataires de services informatiques en Suisse. Bien que presque toutes les personnes interrogées perçoivent la cybercriminalité comme une menace sérieuse, peu d'entre elles prennent des mesures de protection proactives - même si, au cours des trois dernières années, quatre pour cent des PME et des fournisseurs de services informatiques et cinq pour cent de la population ont été victimes d'une cyberattaque.

La cyber-étude 2024 souligne l'urgence de mettre en œuvre des dispositifs supplémentaires contre la cybercriminalité, tant dans les ménages que dans les entreprises. (Image : www.depositphotos.com)

Au cours des trois dernières années, quatre pour cent des PME interrogées ont été victimes d'une cyberattaque, ce qui correspond à environ 24'000 entreprises en Suisse. Pour 73 % d'entre elles, cela a entraîné des dommages financiers considérables. Alors que 68% des prestataires de services informatiques interrogés considèrent le risque d'une cyberattaque comme important ou très important, plus de la moitié des PME interrogées estiment que le risque d'une attaque grave est faible. Ce faux sentiment de sécurité pourrait avoir de graves conséquences pour les entreprises si elles ne prennent pas rapidement des mesures.

Il est également inquiétant de constater que quatre entreprises sur dix n'ont pas de plan d'urgence ni de stratégie de continuité des activités en cas de cyberattaque grave. "La cybersécurité doit être une priorité. Grâce à la sensibilisation et à la formation, nous pouvons améliorer les compétences numériques des PME et minimiser les risques. La Mobilière a créé à cet effet une série d'événements mobiles : 'Cyber on Tour' offre aux collaborateurs des PME la possibilité de vivre de près les cybermenaces et de s'en protéger activement", explique Simon Seebeck. Il est responsable du centre de compétences Cyber Risk à la Mobilière.

Un potentiel élevé grâce à l'amélioration des mesures organisationnelles et techniques

La plupart des prestataires de services informatiques interrogés pour l'étude recommandent aux PME suisses de prendre la sécurité plus au sérieux (43 %) et de former leur personnel (29 %). En ce qui concerne le choix du bon prestataire de services informatiques, Andreas W. Kaelin, cofondateur et directeur d'Allianz Digitale Sicherheit Schweiz ADSS, fait remarquer : "Les prestataires de services informatiques ont une influence directe sur la cyber-résilience de leurs clients PME. Il est donc important qu'ils puissent prouver leurs compétences techniques et organisationnelles, par exemple en obtenant le label de qualité CyberSeal". 

L'étude montre que les outils numériques efficaces, tels que les gestionnaires de mots de passe, la biométrie ou les clés d'accès, ne sont utilisés qu'avec réticence dans les PME. Les PME suisses ont encore plus de mal à prendre des mesures organisationnelles telles que l'implémentation de concepts de sécurité ou la réalisation d'audits de sécurité et de formations du personnel.

Les particuliers estiment que leur propre cybersécurité est élevée

Au cours des trois dernières années, cinq pour cent des particuliers interrogés ont été victimes d'une cyber-attaque. Et pourtant, la majorité des personnes interrogées estiment savoir plutôt bien, voire très bien, comment se protéger contre les cyberattaques. Environ la moitié d'entre elles estiment que la cybersécurité de leur propre ménage est élevée. Cette estimation est en contradiction avec le comportement de la majorité des personnes interrogées : ainsi, plus d'un tiers des participants à l'enquête utilisent majoritairement le même mot de passe pour différents services, et les mises à jour ne sont pas effectuées en temps voulu par beaucoup.

"Le fossé entre la prise de conscience et l'action est préoccupant", souligne Katja Dörlemann, présidente, SISA. "Alors que beaucoup reconnaissent l'importance de la cybersécurité, peu prennent des mesures concrètes pour protéger leur vie numérique. Il est crucial que les individus et les entreprises prennent des mesures proactives pour atténuer les menaces croissantes".

La population souhaite des informations sur la protection contre les cyberattaques

La différence entre les menaces perçues et réelles se manifeste également dans le domaine des achats en ligne. Près des trois quarts (72%) des personnes interrogées ne s'inquiètent pas du tout ou rarement d'être trompées sur des boutiques en ligne ou des plateformes de réservation, 13% des personnes interrogées ayant effectivement déjà fait l'expérience de payer pour quelque chose qu'elles n'ont pas reçu au cours des cinq dernières années.

L'étude montre certes que près des deux tiers des personnes interrogées souhaiteraient être mieux informées sur la manière de se protéger en ligne, mais que la volonté ou les capacités de passer à l'action font défaut. Kristof Hertig, Lead Cybersecurity & Infrastructure chez digitalswitzerland, fait remarquer : "Les informations sur la cybersécurité existent déjà aujourd'hui. Mais elles doivent être mieux communiquées à la population. Dans le rythme effréné de la vie quotidienne, la cybersécurité est une idée lointaine pour beaucoup".

Action requise : la cybersécurité, une responsabilité partagée

La cyberétude 2024 souligne l'urgence de la mise en œuvre de dispositifs supplémentaires contre la cybercriminalité - tant dans les ménages privés que dans les entreprises. "Les petites PME et les particuliers en particulier ont besoin d'aide pour renforcer leur résilience", estime Nicole Wettstein, responsable du programme prioritaire Cybersecurity, Académie suisse des sciences techniques SATW. "La collaboration entre les entreprises, les professionnels de l'informatique et les décideurs politiques est la clé pour promouvoir un quotidien numérique sûr en Suisse".

Baromètre mondial des talents : Une grande satisfaction au travail malgré le stress et des possibilités de promotion limitées

Le Baromètre mondial des talents de ManpowerGroup, publié pour la première fois, montre que les collaborateurs en Suisse ont une perception positive de leur équilibre entre vie professionnelle et vie privée, de la sécurité de leur emploi et de leurs qualifications pour leur poste. Le stress quotidien élevé et les possibilités limitées de développement professionnel constituent toutefois un problème. Les employeurs ne devraient pas se reposer sur leurs lauriers, car il existe un potentiel pour attirer et retenir les talents.

La majorité des employés suisses jouissent d'un équilibre positif entre vie professionnelle et vie privée et se sentent liés aux valeurs de leur employeur. (Image : www.depositphotos.com)

ManpowerGroup a présenté son premier Global Talent Barometer, un rapport complet qui offre un aperçu de l'état d'esprit des collaborateurs dans 16 pays, dont la Suisse. L'indicateur central du rapport est le Talent Barometer Score, calculé sur la base de trois indices : Bien-être, Satisfaction au travail et Confiance. Ces indicateurs donnent un aperçu du point de vue des collaborateurs et fournissent aux employeurs les connaissances dont ils ont besoin pour examiner la situation sur le lieu de travail et leurs stratégies de gestion des talents.

En comparaison, la Suisse n'est que dans la moyenne

Avec un score de 67% au baromètre des talents, la Suisse se situe au-dessus de la moyenne mondiale de 64%. Ce résultat positif est à relativiser si l'on considère que la Suisse n'arrive qu'en 9e position sur les 16 pays ayant participé à l'étude.

"La relation entre les employés et les employeurs est à la croisée des chemins", déclare Eric Jeannerod, Managing Director de ManpowerGroup en Suisse. "Il est certes encourageant de constater que 80 % des employés trouvent un sens à leur rôle. Mais le fait que plus d'un tiers d'entre eux envisagent de changer d'emploi doit être considéré comme un rappel à l'ordre pour les employeurs. Les entreprises qui comblent des lacunes importantes ne retiendront pas seulement les meilleurs talents, mais stimuleront également l'innovation et conserveront un avantage concurrentiel sur un marché de plus en plus dynamique et mondial".

La Suisse fait partie des pays où le niveau de stress est le plus élevé

L'indice suisse de bien-être, qui s'élève à 64%, correspond à la moyenne mondiale, ce qui indique que la majorité des travailleurs suisses jouissent d'un équilibre positif entre vie professionnelle et vie privée et se sentent liés aux valeurs de leur employeur. Toutefois, l'augmentation du niveau de stress quotidien dont font état les travailleurs suisses constitue un défi. Avec 46% d'employés se sentant exposés à un stress quotidien élevé, la Suisse fait partie des pays où le niveau de stress est le plus élevé, seulement dépassé par les Pays-Bas et le Danemark.

En ce qui concerne la satisfaction au travail, les employés suisses se situent légèrement au-dessus de la moyenne mondiale : 64% se déclarent satisfaits de leur rôle (63% au niveau mondial). Ce taux de satisfaction indique que de nombreux employés en Suisse se sentent en sécurité dans leur poste, ce qui contribue à la stabilité générale de l'emploi et à une ambiance positive au travail.

En ce qui concerne l'indice de confiance, il en résulte un niveau similaire à la moyenne mondiale pour les travailleurs suisses, avec une valeur de 74%. Une nette majorité en Suisse (91%) est convaincue de ses capacités et indique qu'elle a suffisamment accès aux technologies nécessaires à ses tâches. 79 % indiquent qu'ils disposent des outils nécessaires pour travailler efficacement.

Promouvoir la carrière, assurer le succès

Néanmoins, les possibilités d'avancement restent une préoccupation pour beaucoup, puisque seuls 51% des employés suisses estiment avoir suffisamment de possibilités d'avancement dans leur entreprise. Cela montre un potentiel d'amélioration dans le soutien à l'évolution de carrière.

"La main-d'œuvre d'aujourd'hui n'est pas seulement à la recherche d'un emploi. Elle recherche un environnement qui valorise son individualité et favorise sa croissance", explique Eric Jeannerod. " Compte tenu de la complexité du lieu de travail moderne, il est essentiel pour les employeurs d'accorder la priorité au bien-être global de leurs collaborateurs et au développement de leur carrière. De cette manière, les employeurs peuvent créer une culture de l'engagement et de l'innovation qui non seulement attire les talents, mais favorise également la loyauté et la réussite".

Source : www.manpowergroup.ch

get_footer() ;