Qui n'a jamais connu ça ? On se rend à un événement, qu'il soit professionnel ou privé, et on ne discute qu'avec les personnes que l'on connaissait déjà. Pourtant, ce type d'événement est justement une merveilleuse occasion de rencontrer d'autres personnes, de nouvelles personnes. Mais trop souvent, on est trop timide. On ne veut pas avoir l'air de s'imposer. Il pourrait y avoir un silence gênant ou la personne abordée pourrait être désagréable. Pour beaucoup, il est donc plus simple et plus détendu de continuer à ne parler qu'avec ceux que l'on connaît déjà. Au moins, on sait à quoi s'en tenir. Mais si l'on n'aborde pas parfois des inconnus lors de manifestations, on risque de vivre en dessous de ses possibilités. Qu'il s'agisse de sujets et d'opinions intéressants manqués, ou peut-être même de contrats et d'amis.

La peur du rejet

Il est vrai que personne ne l'avoue à l'extérieur, car que penseraient les amis ou les collègues si l'on disait : "Je ne veux pas aller à la manifestation. Je ne connais personne là-bas. Et je ne veux aborder personne. J'ai simplement peur de déranger si je m'assieds ou me mets à côté de gens que je ne connais pas". Les arguments, ou plutôt les excuses, tels que "Je ne peux pas aller à cette manifestation, je n'ai malheureusement pas le temps" sont alors plutôt reconnus socialement.

D'un point de vue purement factuel, on pourrait dire : "Va donc faire un tour. Si tu abordes quelques personnes, tu auras certainement quelques conversations. Et si quelqu'un te rejette effectivement, tu iras simplement vers d'autres participants à l'événement". Voilà pour la logique. Et comme cela semble aussi plausible, la plupart des gens qui aimeraient bien réseauter, mais qui ne savent pas comment s'y prendre, stressent ici.

Soudain, des pensées angoissantes, souvent très (auto)destructrices, se bousculent dans la tête : "Pourquoi suis-je trop stupide pour dire à quelqu'un 'Bonjour, qu'est-ce qui vous amène à cette manifestation?' ou 'Bonjour, je suis Max Mustermann. Nous ne nous connaissons pas encore. Comment as-tu eu connaissance de l'événement ?"

Les fausses attentes sont trompeuses

Celui qui attend ou exige de lui-même qu'il rencontre des personnes intéressantes ne peut qu'échouer. Car on pense alors beaucoup trop et on juge : "Mais de quoi il a l'air ? Je n'irai pas chez lui !", "Ils boivent de la bière si tôt ? Ça ne peut pas être des gens raisonnables !" ou "Oh, il se tient là tout seul, alors il ne peut pas être important ! Ces jugements sont fatals - et tuent dans l'œuf toute idée de réseau.

Dans le réseautage, il ne s'agit pas en premier lieu d'aborder "seulement" certaines personnes, mais en général des personnes que l'on ne connaît pas encore - sans préjugés. Après tout, on ne doit pas passer toute la soirée (ou le reste de sa vie) avec la personne que l'on vient d'aborder, mais changer d'interlocuteur. Et oui, parfois, il n'y a pas d'étincelle - mais d'autres fois, c'est immédiat. Mais c'est normal. Mais si vous cherchez désespérément des clients ou un nouveau partenaire par le biais du réseautage et de l'approche, vous vous mettez beaucoup trop de pression. Vous avez certainement déjà fait cette expérience : les personnes qui veulent immédiatement vous vendre quelque chose lors d'un événement ont l'air très désespérées aux yeux des autres - et donc peu attrayantes.

Comment engager la conversation ...

Une manière assez décontractée de procéder est de faire un rapide tour de la salle de réunion, puis de se présenter, par exemple à une table haute où il y a encore un peu de place, en disant "Bonjour, je m'appelle Max Mustermann. Puis-je me joindre à vous ?". En règle générale, les autres personnes présentes à la table sont en train de discuter, mais vous laissent volontiers entrer dans leur cercle. Il ne s'agit pas de faire la conversation à toute la table, mais d'écouter d'abord. De quoi parle-t-on en ce moment ? Peut-on apporter une contribution ?

Dans l'idéal, on ne se fait pas remarquer en tenant un long monologue, voire une conférence. Mais cela peut vite arriver si l'on a l'ambition d'enthousiasmer les personnes présentes ("Que pourraient penser les autres s'ils ne sentaient pas quelle personne géniale vient de se joindre à eux ?) Il est préférable de poser une bonne question sur le sujet qui vient d'être abordé, afin de manifester son intérêt et, dans l'idéal, d'élargir son propre spectre de connaissances.

C'est précisément cela qui est très important : poser des questions pour comprendre encore mieux les autres. Ne pas faire de monologues non sollicités. La sympathie s'installe rapidement lorsqu'on remarque qu'une autre personne s'intéresse vraiment et sérieusement à nos expériences et à nos opinions.

Si vous n'êtes pas du tout à l'aise avec le sujet de la table, il vaut mieux ne rien demander ou dire de vous-même, mais peut-être intervenir quelques minutes plus tard, lorsque le sujet vous convient mieux ou est plus intéressant. Ou, lorsque quelque chose est terminé, introduire un autre sujet, par exemple "Et qu'avez-vous particulièrement apprécié dans l'exposé de l'orateur invité sur scène que nous avons entendu tout à l'heure dans la salle ?".

Et quand est-ce que l'affaire arrive ?

"Alors, qu'est-ce que vous faites ?" est une question tout à fait courante lors du premier contact. Il faut toutefois trouver le juste milieu entre l'insistance et l'indifférence. Si l'un des interlocuteurs est trop en mode vente alors que l'autre n'est pas du tout en mode achat, cela devient vite gênant.

Ce qui a fait ses preuves, c'est le passage à un sujet commercial plus approfondi après coup. On peut par exemple ajouter la personne via LinkedIn et l'appeler quelques jours après avoir pris contact avec elle : "Je suis content que nous ayons discuté récemment à Berlin lors d'un événement. J'ai vu que vous faisiez A et B. Je me suis dit que j'allais prendre mon téléphone, car j'ai là un complément précieux. Pouvons-nous en parler brièvement ?"

Le réseautage à la perfection

Celui qui veut vraiment réseauter ne va pas seulement discuter avec des inconnus pour finalement leur vendre quelque chose, mais pour les aider de manière inconditionnelle - donc sans arrière-pensée. En bref, on soutient la personne en lui donnant des contacts, des conseils ou des recommandations, si l'on a l'impression que ces suggestions lui seraient profitables. On renforce ainsi sa propre réputation à moyen terme, même si chaque personne que l'on a aidée ne rendra pas - et ne peut pas rendre - directement la pareille. En fin de compte, on devient dans tous les cas un interlocuteur encore plus attrayant, car le fait d'être une personne qui voit des solutions et des moyens, qui a de nombreux contacts et qui soutient les autres sans préjugés et sans attendre de contrepartie, se répand de plus en plus.

Auteur :

Oliver SchumacherFormateur en vente depuis 2009, professionnel des réseaux et marque personnelle, il pose de manière sympathique et fondée de nouveaux jalons dans le domaine du transfert de connaissances, de la culture d'apprentissage et du positionnement personnel. Sous la devise "Sois vrai", il montre comment chacun peut devenir le numéro 1 - qu'il soit indépendant, cadre ou collaborateur. Pour lui, les moteurs de la croissance sont avant tout la curiosité et le courage, la discipline et la confiance (en soi).

Dans le cadre de son dixième anniversaire, l'entreprise suisse a posé de nouveaux jalons pour l'avenir. Dr Pascal Scheiwiller, CEO de la société suisse von Rundstedt : "Nous souhaitons nous positionner plus largement et investir davantage dans de nouveaux domaines d'activité en plus de l'outplacement". Pour ce faire, von Rundstedt Suisse a trouvé avec le groupe Alixio un nouveau partenaire et investisseur approprié et financièrement solide. La société allemande v. Rundstedt & Partner GmbH a transféré la totalité de ses parts au groupe Alixio. Sophia von Rundstedt, CEO de la société allemande, déclare à ce sujet : "Nous avons rempli notre mission et écrit une histoire à succès avec nos collègues suisses. Nous sommes heureux que l'entreprise suisse puisse désormais se positionner et se développer encore plus largement avec le Groupe Alixio".

Le groupe Alixio est le premier prestataire de services RH en France. Grâce à des investissements et des partenaires ciblés, il ambitionne de devenir le leader du marché dans toute l'Europe. Guillaume Allais, Group CEO d'Alixio, déclare à ce sujet : "Nous souhaitons mettre en œuvre notre modèle de réussite dans toute l'Europe. La Suisse est un marché clé pour l'Europe. Nous sommes heureux d'avoir trouvé en von Rundstedt Suisse le meilleur partenaire possible pour cela". Le chef de von Rundstedt Suisse, Pascal Scheiwiller, reprend également la direction générale du groupe Alixio en Suisse. Outre l'activité de von Rundstedt Outplacement, trois autres secteurs d'activité en font partie.

Avec l'acquisition du groupe OTP, Alixio reprend un prestataire expérimenté en matière d'assessment, de coaching, de reclassement et de mesures relatives au marché du travail. Avec sa propre marque X-PM, Alixio apporte en outre en Suisse une activité établie au niveau international et leader dans le domaine du management par intérim. Enfin, Alixio Consulting fournira à l'avenir aux entreprises diverses prestations de conseil dans le domaine des ressources humaines.

"Pour nous, cet investissement ne vise pas en premier lieu la croissance, mais plutôt l'augmentation de la valeur ajoutée pour le client. De plus en plus d'entreprises sont engagées dans de profonds processus de transformation. Les quatre domaines sont hautement synergiques et nous permettent de soutenir nos clients dans leurs changements de manière beaucoup plus globale", explique Pascal Scheiwiller.

Source : www.rundstedt.ch

Les cadres, mais aussi les chefs de projet et les vendeurs doivent souvent mener des entretiens difficiles dans leur travail quotidien. Par exemple, lorsqu'il s'agit de donner un feedback critique à une personne. Ou de résoudre un conflit au sein d'une équipe. Ou de mener une négociation délicate avec des clients.

Toutes ces tâches représentent toujours un défi émotionnel pour les personnes concernées. En effet, notre cerveau se met souvent en mode "combat" ou "fuite". Nous avons donc tendance, comme dans une situation de menace, soit à fuir, soit à attaquer. Cela signifie à nouveau

• Les pensées et les réflexions rationnelles passent au second plan. Et
• En raison de notre tension émotionnelle, nous ne sommes plus aussi souples que d'habitude pour formuler de bonnes questions et réponses adaptées à la situation.

Ne pas perdre la tête dans les situations d'entretien délicates

Comment parvenons-nous à garder notre calme intérieur et à continuer à influencer positivement la dynamique dans de telles situations de stress dans lesquelles nous nous retrouvons - parfois de manière prévisible, parfois de manière inattendue ? Entre autres, en utilisant des formules adaptées à la situation et ciblées lors de l'entretien. Nous devrions donc avoir des phrases adaptées à ces situations.

En tant que coach et formatrice, on me demande souvent : "Existe-t-il une recette pour les entretiens difficiles ?" Il n'existe du moins pas de recette miracle, car tant les personnes impliquées dans de tels entretiens que les situations et constellations respectives sont très différentes. Néanmoins, de nombreuses personnes souhaitent des approches éprouvées qui les rassurent et les aident en cas de besoin.

Comment dire cela ? Huit phrases ciblées

C'est pourquoi j'ai listé ci-dessous huit phrases qui ont fait leurs preuves dans la gestion et le travail quotidien, notamment parce qu'elles visent à résoudre les problèmes en partenariat. C'est pourquoi elles sont perçues comme empathiques et qu'elles peuvent être utilisées de manière polyvalente. Elles aident en outre à instaurer la confiance, à réduire les tensions et à orienter les discussions dans une direction productive.

Phrase 1 : "Quelle serait pour vous une solution acceptable dans cette situation ?"

• situation : L'interlocuteur bloque ou montre de la résistance
• C'est pourquoi la phrase aide : Nous avons souvent tendance à vouloir convaincre les autres de notre solution et à la présenter pour ainsi dire comme "sans alternative". Or, la pression entraîne généralement une contre-pression et génère souvent une résistance. Cette phrase montre que vous êtes prêt à prendre en compte la perspective de l'autre et signale une ouverture d'esprit. En impliquant votre interlocuteur dans le processus de résolution, vous favorisez une collaboration constructive et créez un espace pour des (nouvelles) idées communes de résolution de problèmes.

Deuxième phrase : "Arrêtons-nous un instant : Il est important pour moi que nous trouvions ensemble une solution constructive et viable".

• situation : Une conversation menace de s'envenimer ou devient houleuse.
• C'est pourquoi la phrase aide : Cette phrase agit comme un "signal d'arrêt" pour une dynamique d'escalade. Elle permet de se concentrer sur l'objectif de la discussion et contribue à calmer la situation. En même temps, elle transmet le désir de coopérer.

Phrase 3 : "J'ai beaucoup d'estime pour vous et votre travail. C'est pourquoi j'aimerais aborder ouvertement le point suivant".

• situation : Lorsqu'il faut aborder des sujets délicats qui pourraient peser sur la relation.
• C'est pourquoi la phrase aide : Cette phrase montre que votre feed-back critique ne repose pas sur un manque d'estime de votre interlocuteur. En exprimant d'abord votre reconnaissance, vous créez la base d'une discussion ouverte et ciblée, au cours de laquelle votre interlocuteur ne se sentira pas agressé.

Phrase 4 : "J'ai l'impression que quelque chose d'important n'a pas encore été dit. Est-ce le cas et souhaitez-vous en parler ici" ?

• situation : Si vous sentez que votre interlocuteur hésite ou se sent mal à l'aise.
• C'est pourquoi la phrase aide : Cette phrase crée un espace pour une communication honnête. Elle montre que vous percevez aussi le niveau non verbal ou émotionnel de la conversation et que vous êtes prêt à parler, par exemple, de choses aussi personnelles que les peurs et les angoisses (diffuses), les espoirs et les attentes. Cela permet souvent de dénouer les tensions et les blocages et d'instaurer un dialogue plus profond.

Phrase 5 : "J'aimerais m'assurer que nous parlons tous les deux de la même chose et que nous voulons dire la même chose. Comment voyez-vous cela ?"

• situation : Lorsqu'il s'agit de décisions importantes ou de malentendus potentiels et d'intérêts divergents.
• C'est pourquoi la phrase aide : Cette phrase signale une écoute active et assure la clarté. Les éventuels malentendus - par exemple en raison de la différence de position/fonction - peuvent être identifiés et résolus avant qu'ils n'entraînent des problèmes plus importants.

Phrase 6 : "Faisons une petite pause pour mettre de l'ordre dans nos idées, puis reprenons calmement la parole, l'esprit clair".

• situation : Une conversation devient trop émotionnelle ou s'enlise.
• C'est pourquoi la phrase aide : Une pause permet de reprendre ses esprits et de calmer ses émotions. Les deux parties peuvent ensuite reprendre avec une énergie nouvelle et un objectif clair. La résolution du problème n'est pas remise à plus tard.

Phrase 7 : "Quelle serait pour vous la prochaine étape idéale dans cette situation ?"

• situation : Lorsque quelqu'un doit prendre des responsabilités et que vous souhaitez encourager l'initiative personnelle de votre interlocuteur.
• C'est pourquoi la phrase aide : Cette phrase invite votre interlocuteur à participer activement à la réflexion et à faire des propositions concrètes. Le mot "pas" est particulièrement utile dans ce contexte, car il signale un devenir actif ainsi qu'une mise en mouvement orientée vers un objectif. Il incite à penser en termes d'action plutôt que de se perdre dans des concepts abstraits et diffus. Cela encourage la responsabilité et l'initiative personnelles et clarifie les attentes d'une manière réalisable.

Phrase 8 : "Je comprends que c'est difficile en ce moment. Que pouvons-nous faire pour vous faciliter la tâche" ?

• situation : Lorsque l'interlocuteur est confronté à un défi.
• C'est pourquoi la phrase aide : L'empathie associée à une volonté d'aide concrète et affichée fait baisser la pression qui pèse sur votre interlocuteur, sans pour autant le déresponsabiliser. Le mot "nous" dans la phrase implique que la situation n'est pas traitée de manière unilatérale. Il montre que vous percevez le défi comme tel et que vous proposez donc activement votre soutien. En même temps, il implique le partenaire dans le processus et l'invite à assumer une (co)responsabilité et à chercher des solutions réalisables.

Comment utiliser les kits de sauvetage avec succès

• Conseil 1 : Adaptez les formulations exemplaires susmentionnées à votre style et à la situation. L'authenticité compte !
• Conseil n° 2 Combinez les phrases avec des techniques d'écoute active pour renforcer encore le dialogue.
• Conseil n° 3 La pratique rend parfait ; réfléchissez aux situations ou aux conversations dans lesquelles vous pourriez essayer une de ces phrases.

Apprendre à formuler des phrases utiles est similaire à l'apprentissage de phrases clés dans une nouvelle langue.

Au début, ces phrases vous paraissent souvent inhabituelles, mais plus vous les utilisez, plus elles deviennent naturelles pour vous. Tout comme pour l'apprentissage d'une langue, ces "outils de communication" vous permettent de réagir avec souplesse et de vous exprimer avec assurance dans des situations difficiles. Et tout comme pour l'apprentissage d'une nouvelle langue, la pratique et la répétition sont les clés du succès.

A propos de l'auteur :

Sabine Prohaska est propriétaire de l'entreprise de conseil Séminaire Consult Prohaska (Vienne), qui aide les entreprises à mettre en place une nouvelle culture d'apprentissage au sein de leur organisation. Elle forme également des formateurs et des coachs (en ligne). Elle organise régulièrement des ateliers d'utilisateurs (en ligne) pour les personnes actives dans le domaine des ressources humaines sur le thème de l'utilisation de l'IA dans le domaine de la formation continue et du développement du personnel.

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/erste-hilfe-koffer-fuer-heikle-gespraeche-rettende-saetze-in-schwierigen-gespraechssituationen/

La RICS, une organisation professionnelle reconnue dans le monde entier dans le domaine de l'immobilier et du Facility Management, accorde l'accréditation au Master of Science in Real Estate & Facility Management (MSc REFM) et certifie ainsi que le cursus présente un niveau académique élevé, une forte orientation pratique et un réseau étroit avec la branche. Les diplômé-e-s obtiennent ainsi un certificat de qualité international important, qui leur ouvre des possibilités professionnelles élargies.

Reconnaissance internationale et avantages de carrière

Avec l'accréditation RICS, la ZHAW renforce sa position d'institution de formation leader dans le domaine du Real Estate et du Facility Management. Les étudiants bénéficient d'une série d'avantages exclusifs. Grâce à l'accréditation, le MSc REFM offre aux diplômés un accès facilité aux marchés du travail internationaux dans le secteur de l'immobilier et du FM, ce qui leur permet d'élargir leurs perspectives de carrière. Les étudiants et les alumni ont la possibilité de faire partie du réseau international de la RICS et de participer à des événements exclusifs, à des formations continues et à des forums spécialisés. L'accréditation RICS, en tant qu'assurance qualité indépendante, souligne le haut niveau académique et la pertinence pratique de la formation, ce qui confère aux diplômés une reconnaissance supplémentaire sur le marché du travail.

Importance stratégique pour la ZHAW et le secteur

L'accréditation RICS est une étape importante pour la ZHAW et confirme le développement continu de la qualité du cursus. "Cette reconnaissance montre que notre formation correspond aux standards internationaux et qu'elle prépare au mieux les diplômés à une carrière réussie dans le secteur de l'immobilier et du FM", souligne Isabelle Wrase, responsable de la filière MSc REFM.

La collaboration étroite avec le secteur, l'orientation interdisciplinaire et l'enseignement axé sur la pratique sont des éléments centraux du cursus. Ils contribuent à préparer de manière ciblée les spécialistes et les cadres aux défis d'un marché immobilier dynamique et de plus en plus numérisé.

Plus d'informations

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/msc-real-estate-facility-management-als-erster-in-der-schweiz-rics-akkreditiert/

Les évolutions économiques, juridiques et technologiques ont considérablement modifié le rôle des administrateurs. Les exigences en matière de gouvernance, de direction stratégique et d'innovation ne cessent d'augmenter. Le CAS Conseil d'administration HWZ transmet donc des compétences essentielles pour combiner avec succès stratégies d'entreprise, responsabilités et force d'innovation. L'accent est mis sur le métier d'administrateur.

Une attention particulière est accordée aux défis spécifiques des PME gérées par leur propriétaire, des entreprises familiales, des start-ups et des entreprises en croissance, ainsi qu'aux effets des tendances, de l'innovation, de la technologie et de l'intelligence artificielle. Un excursus supplémentaire fournit en outre les bases les plus importantes concernant les fondations et leurs différences par rapport à l'activité de RV.

"Les membres du conseil d'administration ne doivent pas seulement contrôler, mais aussi poser activement les jalons de l'innovation et du développement durable. Notre filière d'études transmet précisément ces connaissances pratiques", explique Max Meister, co-directeur de la filière CAS Conseil d'administration HWZ.

La formation continue s'adresse aux membres actuels et futurs des conseils d'administration, aux délégués et aux présidents ainsi qu'aux membres des directions, aux fiduciaires et aux juristes. Les cadres de coopératives, de fondations et d'autres formes juridiques profitent également de cette formation continue axée sur la pratique.

Des compétences pour les conseils d'administration de demain

Les participants apprennent à gérer de manière stratégique les défis entrepreneuriaux actuels, notamment le monde VUCA-BANI et l'industrie 5.0, et à assurer un travail efficace au sein du conseil d'administration. Ils développent une approche pratique de l'organisation et de la gestion des conseils d'administration, améliorent leur gestion des parties prenantes et renforcent leurs compétences dans les domaines de la gouvernance d'entreprise, de la conformité et du développement durable des modèles d'entreprise. En outre, le cursus enseigne comment identifier les tendances numériques et sociales actuelles et les intégrer dans la stratégie de l'entreprise.

"La numérisation et les nouveaux modèles d'affaires exigent des membres du conseil d'administration davantage de clairvoyance et de leadership. Notre CAS offre les outils nécessaires à cette tâche exigeante", ajoute Pascal Stocker, co-directeur de la filière CAS Conseil d'administration HWZ.

Blended Learning : un apprentissage flexible et proche de la pratique

Le CAS Verwaltungsrat HWZ est basé sur une approche d'apprentissage mixte (blended learning). Les participants se préparent aux sessions en présentiel à l'aide d'une plateforme d'apprentissage moderne et d'inputs en ligne spécifiques. Cette combinaison de formats d'apprentissage numériques et de sessions interactives sur place permet de combiner de manière optimale la théorie et la pratique et favorise les échanges intensifs avec les enseignants et les autres participants.

La formation est dispensée par des experts de haut niveau issus du monde de l'économie et de la science, qui apportent une longue expérience des conseils d'administration et transmettent les meilleures pratiques pouvant être mises en œuvre directement dans la pratique.

Plus d'informations et inscription

La première édition du CAS Verwaltungsrat HWZ débutera mi-octobre 2025 et durera 16 jours, dont 50% de cours en ligne. 

Plus d'informations

L'entreprise de tissage de lin high-tech Schwob SA, dont le siège est à Burgdorf BE, produit depuis 1872 des textiles de haute qualité pour l'hôtellerie, la gastronomie ainsi que pour les cliniques et les résidences. Quelque 240 collaborateurs produisent du linge de lit et de table apprécié non seulement en Suisse, mais aussi à l'international. Outre la production, Schwob propose également des services dans le domaine de l'entretien des textiles. L'entreprise allie l'artisanat traditionnel à la technologie la plus moderne et mise délibérément sur le site suisse. 

Tradition et innovation depuis 1872

Lancé à l'origine comme tissage de lin, Schwob s'est établi au fil des décennies comme spécialiste des textiles durables et exigeants grâce à des investissements constants dans des installations de tissage et de confection modernes. Dans les années 1970, l'entreprise a transféré sa production à Burgdorf et s'est développée depuis lors. Une étape importante a été franchie en 2008 avec l'entrée dans le secteur de l'entretien des textiles. En intégrant ses propres blanchisseries, Schwob a créé un concept qui allie parfaitement la production et l'entretien.

Grâce à des investissements continus dans la technologie, l'assurance qualité et les méthodes de production durables, l'entreprise s'est positionnée comme une valeur sûre dans le secteur textile suisse. En 2017, l'entreprise a reçu le prix international de la branche RWin et a été désignée comme leader dans le domaine des services textiles en Suisse. En 2022, Schwob SA fêtera ses 150 ans d'existence.

Service textile complet d'une seule source

Schwob SA va au-delà de la simple production et propose un service complet à sa clientèle grâce à ses cinq blanchisseries. De l'enlèvement à la livraison dans les délais, en passant par le nettoyage, l'entreprise se charge de l'entretien professionnel des textiles. Le service complet de location de linge permet d'utiliser le linge de manière flexible, sans avoir à se soucier du stockage, de l'entretien ou du remplacement. Cette combinaison de design, de production et d'entretien des textiles crée une solution économique et durable pour l'hôtellerie, la restauration et le secteur de la santé.

Responsabilité environnementale et sociale

La durabilité caractérise l'ensemble de l'entreprise, de la production à l'entretien des textiles. Des procédés préservant les ressources et des matériaux durables sont au cœur de la fabrication. Les besoins en électricité sont entièrement couverts par des énergies renouvelables, dont l'électricité issue de 100 % d'énergie hydraulique et d'installations photovoltaïques. De plus, les technologies modernes de blanchisserie réduisent continuellement la consommation d'eau et les émissions de CO₂. Mais Schwob n'assume pas seulement une responsabilité écologique, mais aussi sociale. L'entreprise s'engage pour des conditions de travail équitables et investit de manière ciblée dans la formation et le perfectionnement de ses collaborateurs.

Plus d'informations : www.schwob.swiss / www.svc.swiss

Prix SVC Espace Mittelland 2025

La remise des prix aura lieu le mercredi 12 mars 2025 au Kursaal de Berne. Près de 1'300 invités issus des milieux économiques, scientifiques, politiques et culturels sont attendus. Le Prix SVC Espace Mittelland a été décerné pour la première fois en 2003 et l'édition 2025 en est déjà à sa quinzième édition. Plus d'informations.

"Bien que les entreprises reconnaissent la nécessité de se pencher sur la numérisation, l'IA et la cybersécurité, elles manquent souvent d'informations accessibles et pratiques", explique Dudli. TechNovice vise à combler cette lacune en regroupant les connaissances spécialisées et en les rendant accessibles.

Champs thématiques centraux de TechNovice

TechNovice se concentre sur les domaines numériques essentiels qui influencent l'économie de la Suisse orientale :

• Intelligence artificielle & automatisation : Analyse de la manière dont les entreprises peuvent optimiser leurs processus et obtenir un avantage concurrentiel grâce à l'utilisation des technologies d'IA.
• la cybersécurité : Discussion sur les stratégies et mesures efficaces que les PME peuvent mettre en œuvre pour se protéger contre les cybermenaces croissantes.
• Transformation du monde du travail : Étudier l'impact de l'IA sur les profils professionnels traditionnels et identifier les nouvelles compétences requises qui apparaissent.

A long terme, TechNovice prévoit d'offrir une plateforme aux experts de la région afin de partager leurs connaissances avec un public plus large et d'encourager ainsi le transfert de connaissances.

Besoin d'agir pour les entreprises de Suisse orientale

Des études récentes de l'OCDE, du WEF Future of Jobs Report 2025 et d'Avenir Suisse montrent que les métiers de bureau traditionnels sont de plus en plus influencés par l'automatisation. Des postes tels que commis, collaborateurs de centres d'appels et comptables sont confrontés à des changements significatifs, car l'IA est en mesure de rendre les processus standardisés plus efficaces. Parallèlement, de nouveaux métiers apparaissent dans les domaines de l'analyse des données, de la cybersécurité et de la stratégie de l'IA, qui sont d'une importance cruciale pour les entreprises.

"La question centrale n'est pas de savoir si les entreprises doivent intégrer les technologies numériques, mais comment elles peuvent le faire de manière optimale", souligne Dudli. TechNovice propose des informations fondées et des approches pratiques pour aider les entreprises à prendre des décisions stratégiques en matière de transformation numérique.

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Platit AG est un fabricant leader d'installations de revêtement PVD. Ces technologies augmentent la durée de vie, l'efficacité et les performances des outils et des composants. Cette entreprise familiale indépendante, dont le siège est à Selzach SO, emploie 150 personnes et a installé plus de 650 installations de revêtement dans le monde entier. Avec des filiales de service, d'assistance et de vente en Europe, en Amérique du Nord et en Asie, le spécialiste du revêtement entretient un partenariat étroit avec ses clients et propose des solutions qui s'intègrent parfaitement dans les processus de fabrication existants. Platit AG s'est établie comme leader mondial dans le domaine des revêtements à l'échelle micro et nanométrique et développe entièrement elle-même la technologie correspondante.

Des solutions de revêtement flexibles pour les exigences les plus élevées

L'entreprise propose un large choix d'installations de revêtement de haute technologie qui se distinguent par leur conception modulaire, leur grande flexibilité et leur facilité d'utilisation maximale. Les clients bénéficient de la longue expérience de Platit en matière de revêtement cathodique par arc, de revêtement par pulvérisation et de technologie HiPIMS. Ces procédés sont utilisés dans différentes applications et peuvent être intégrés dans des processus hybrides.

Outre les installations de revêtement, Platit AG développe également des systèmes complets clés en main qui couvrent toutes les étapes du processus de revêtement dur en amont et en aval - du décapage et du prétraitement des arêtes au contrôle qualité en passant par le nettoyage et le post-traitement. Les systèmes s'intègrent ainsi parfaitement dans les processus de fabrication et de réaffûtage d'outils existants. Une caractéristique centrale de la technologie Platit est la philosophie open source : les clients peuvent adapter les revêtements PVD à leurs exigences spécifiques et à leurs besoins individuels et faire avancer leurs propres développements. Il en résulte des solutions sur mesure avec une performance de revêtement maximale, qui permettent un avantage concurrentiel décisif.

Augmenter l'efficacité, prolonger la durée de vie

Platit attache une grande importance à l'utilisation à long terme de ses installations de revêtement. Des mises à niveau ciblées et des mesures de rétrofit permettent de moderniser les installations existantes et de prolonger sensiblement leur durée de vie. Le remplacement des entraînements, des pompes ou des commandes améliore l'efficacité énergétique et contribue à une production économique. Les clients bénéficient ainsi non seulement de solutions de revêtement performantes, mais aussi de coûts d'exploitation réduits à long terme.

Un service complet pour une performance maximale

Outre des installations de revêtement de haute qualité, Platit AG propose un service complet qui soutient les clients tout au long du cycle de vie du produit. De la formation et du conseil technique à la livraison rapide de pièces de rechange en passant par la maintenance régulière, l'entreprise veille à ce que les installations puissent être exploitées durablement avec une efficacité maximale. Grâce à une étroite collaboration avec ses clients et à un réseau de service mondial, Platit garantit une disponibilité élevée et une amélioration continue des performances des installations.

Plus d'informations : www.platit.com / www.svc.swiss

Prix SVC Espace Mittelland 2025

La remise des prix aura lieu le mercredi 12 mars 2025 au Kursaal de Berne. Près de 1'300 invités issus des milieux économiques, scientifiques, politiques et culturels sont attendus. Le Prix SVC Espace Mittelland a été décerné pour la première fois en 2003 et l'édition 2025 en est déjà à sa quinzième édition. Plus d'informations.

La dernière étude Digital Banking Maturity de Deloitte analyse, à l'aide d'une méthode d'achats mystères, plus de 1'000 fonctions bancaires numériques auprès de 349 banques dans 44 pays, dont 12 banques de détail suisses qui couvrent ensemble plus de 80% du marché. Le retard des banques suisses s'est encore accentué ces dernières années : 18e il y a quatre ans, 21e il y a deux ans, elles ne sont plus que 27e aujourd'hui.

Lors de la première étude en 2018, la Suisse se classait encore dans le top 5. Alors que d'autres marchés ont développé leurs offres numériques avec des stratégies mobile-first, des interactions clients basées sur l'IA et des services financiers intégrés innovants, les banques suisses n'ont cessé de reculer au fil des ans.

L'onboarding numérique est compliqué

Des progrès ont tout de même été réalisés en matière d'ouverture de compte numérique. Toutes les banques suisses étudiées, sauf une, proposent désormais une ouverture de compte numérique. Des temps d'attente de plusieurs heures ou jours ne sont toutefois pas rares en Suisse. Les banques numériques internationales permettent d'ouvrir un compte en quelques secondes grâce à des contrôles en temps réel assistés par l'IA, à l'instar d'Apple Pay ou de Google Pay. En Suisse, par contre, un appel vidéo ou même une visite en agence restent souvent nécessaires.

"Les banques suisses ont fait de petits progrès en matière d'ouverture de compte numérique, mais le processus reste comparativement compliqué et lent par rapport aux banques étrangères. Dans des pays comme la Grande-Bretagne, un selfie et un scan de la carte d'identité suffisent pour une vérification par IA et l'ouverture d'un compte", explique Cyrill Kiefer, Banking Consulting Lead chez Deloitte Suisse.

Faible interaction avec le client

Le smartphone s'impose comme le principal canal d'accès aux opérations bancaires, surtout à l'étranger. Les notifications en temps réel des dépenses en sont un exemple. Pourtant, seul un tiers environ des banques suisses proposent cette fonction. La différence est encore plus marquée pour les fonctions d'épargne intelligentes. Seules quelques banques suisses utilisent des algorithmes basés sur l'IA pour adapter les plans d'épargne au comportement individuel en matière de dépenses. Cette automatisation fonctionne comme les recommandations musicales personnalisées des services de streaming basées sur le comportement d'utilisation.

De même, les applications bancaires mobiles suisses manquent souvent de fonctions de base qui favorisent les interactions et la fidélisation de la clientèle. Les tableaux de bord interactifs, les outils de budgétisation personnalisables ou les analyses financières en temps réel sont quasiment inexistants. Alors que les précurseurs numériques utilisent l'IA pour la catégorisation automatique et les conseils d'épargne, les clients des banques suisses doivent souvent gérer leurs dépenses manuellement ou se tourner vers des applications externes. "La vraie valeur de la banque numérique ne réside pas dans le nombre de fonctions emballées dans une appli, mais dans la manière dont elles répondent aux besoins des clients au bon moment", affirme Cyrill Kiefer avec conviction.

Services à valeur ajoutée ignorés

 Les principales banques numériques proposent deux fois et demie plus souvent des services à valeur ajoutée tels que des tickets de transports publics, des abonnements de streaming et des outils de gestion financière. Les banques suisses n'exploitent pas ce potentiel. Le retard est particulièrement frappant en ce qui concerne les services d'assurance intégrés : Seule une banque suisse étudiée intègre de telles solutions de manière globale. Les banques suisses sont également à la traîne en ce qui concerne l'automatisation des tâches administratives : les décomptes d'impôts, la gestion de fortune in-app ou les paiements de factures en un clic sont depuis longtemps des standards sur de nombreux marchés mondiaux.

Alors que les précurseurs numériques mettent rapidement en œuvre des innovations, les réglementations et une stratégie conservatrice freinent les banques suisses. Il manque également la plupart du temps une stratégie mobile-first claire. De plus, les précurseurs numériques utilisent les apps comme interface centrale, alors que les apps suisses restent souvent de simples extensions de l'e-banking. Au lieu d'investir dans des interfaces intuitives et la personnalisation, de nombreuses banques se contentent de miser sur des fonctionnalités supplémentaires, avec pour conséquence des apps peu claires et peu conviviales.

Les banques attribuent un potentiel de croissance

Mais la fidélisation de la clientèle n'est pas la seule à être menacée. D'importantes nouvelles sources de revenus restent également inexploitées. Les pionniers du numérique augmentent leurs revenus par utilisateur grâce à des ventes croisées intelligentes ou à des produits financiers intégrés. Le manque d'assurances intégrées, de produits d'investissement et de services de style de vie explique en grande partie pourquoi les banques suisses se voient attribuer un potentiel de croissance par rapport aux champions numériques étrangers.

"Les banques doivent passer du statut de simples fournisseurs de services de paiement et de gestion de compte à celui de plateformes de services numériques. La gestion financière, les systèmes modernes de paiement direct, la gestion des abonnements, les systèmes de réservation ou les solutions de mobilité doivent être intégrés de manière transparente pour devenir des compagnons numériques du quotidien. Ceux qui ne participent pas à ce changement risquent de perdre toute une génération de clients", a déclaré Cyrill Kiefer.

Plus d'informations sur l'étude

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/schweizer-banken-fallen-im-globalen-digitalisierungsrennen-weiter-zurueck/

Olwo AG est une entreprise de production, de commerce et de distribution leader dans le secteur suisse du bois. Depuis près de 100 ans, l'entreprise est gérée comme une entreprise familiale et se trouve entre-temps dans la troisième et la quatrième génération. Avec environ 200 collaborateurs, Olwo exploite deux scieries à Worb et Erlenbach ainsi qu'une raboterie à Stalden. L'entreprise propose un large assortiment de matériaux en bois et allie tradition et technologie de pointe. Grâce à cette offre diversifiée, Olwo SA est un partenaire important pour les artisans, les architectes et les maîtres d'ouvrage.

Compétence en bois depuis 1926

Le nom Olwo signifie "Otto Lädrach, Worb". Ce qui a commencé en 1926 comme scierie louée à Enggistein est aujourd'hui une entreprise de production et de commerce largement implantée dans la branche suisse du bois. Au cours des dernières décennies, Olwo n'a cessé d'étendre ses capacités, notamment en agrandissant le site d'Erlenbach et en intégrant une holding familiale indépendante. Parallèlement, l'entreprise a continuellement investi dans la modernisation de ses infrastructures - de la rénovation des scieries de Worb et d'Erlenbach à l'introduction de processus logistiques numérisés. En 2023, un changement de direction a en outre eu lieu : Après 25 ans en tant que CEO, Markus Lädrach a transmis la direction de l'entreprise à son cousin Thomas Lädrach.

Travail moderne du bois avec précision

Le sciage et la transformation du bois d'épicéa et de sapin font partie des compétences clés d'Olwo SA depuis des décennies. Les deux scieries sont orientées vers les besoins des clients et permettent, grâce à des installations modernes, de proposer un large assortiment de haute qualité. La modernisation permanente des sites de production optimise l'ensemble de la chaîne de création de valeur. De plus, des solutions logistiques numériques permettent un contrôle précis des processus - de l'approvisionnement en matières premières à la livraison. Des relations à long terme avec les fournisseurs garantissent l'approvisionnement en matières premières provenant de régions forestières proches et riches en matières premières.

Durabilité et stratégie d'avenir

Olwo AG mise sur une utilisation responsable du bois, des méthodes de production modernes et des énergies renouvelables. L'entreprise utilise du bois suisse issu d'une gestion forestière durable et utilise du bois ainsi que de l'électricité solaire pour une production d'énergie qui préserve les ressources. Dans le cadre d'une convention d'objectifs avec l'Agence act Cleantech Suisse, Olwo s'est engagée à réduire sa consommation d'énergie et ses émissions de CO₂. L'entreprise a été récompensée pour ces efforts.

Olwo est également orientée vers l'avenir sur le plan stratégique : La modernisation continue des sites de production et les investissements dans les processus numériques garantissent la compétitivité et l'efficacité. Avec un fort ancrage dans la branche du bois suisse, une infrastructure ultramoderne et une focalisation claire sur la durabilité et la qualité, l'entreprise crée les bases d'une croissance à long terme.

Plus d'informations : www.olwo.ch / www.svc.swiss

Prix SVC Espace Mittelland 2025

La remise des prix aura lieu le mercredi 12 mars 2025 au Kursaal de Berne. Près de 1'300 invités issus des milieux économiques, scientifiques, politiques et culturels sont attendus. Le Prix SVC Espace Mittelland a été décerné pour la première fois en 2003 et l'édition 2025 en est déjà à sa quinzième édition. Plus d'informations.

La phase de qualification 2025 se déroulera en ligne du 1er mars au 1er mai. Les meilleurs d'entre eux se mesureront ensuite les 12 et 13 juillet lors d'une rencontre sur place - le lieu n'a pas encore été déterminé. L'équipe nationale suisse de hacking de cette année sera recrutée parmi les participants les plus performants du tour final. Celle-ci représentera la Suisse, entre autres, à l'European Cyber Security Challenge (ECSC) 2025. Ce championnat européen de hacking se déroulera du 6 au 10 octobre à Varsovie.

Pour faire partie de l'équipe suisse de hacking, il faut être âgé de 14 à 25 ans et être de nationalité suisse. Mais tout le monde peut participer aux qualifications.

Vous trouverez plus d'informations sur le site web de la SHC.

En réunissant leurs forces dans les domaines de la cybersécurité et des réseaux, les entreprises proposent tout d'abord de nouvelles fonctions "as-a-service". Il s'agit notamment de la gestion des identités et des accès (IAM), de la détection et de la réponse étendues gérées (MxDR) et des services de cyber-risque. Après cette première phase, le partenariat se concentrera sur le développement commun de nouvelles solutions.

"La cybersécurité est une priorité absolue pour les entreprises. Grâce à notre longue expérience dans ce domaine, Verizon propose des solutions qui protègent nos clients et sécurisent leurs données", explique Kyle Malady. Il est le CEO de Verizon Business. "Nous observons l'évolution des besoins de nos clients et développons de nouvelles capacités dans le domaine de la cybersécurité. Le partenariat avec Accenture est la clé pour étendre nos capacités et fournir des produits nouveaux et innovants pour répondre aux besoins les plus urgents de nos clients".

"Le paysage de la sécurité devient de plus en plus complexe, poussé par les nouvelles technologies, les incertitudes géopolitiques, les réglementations mondiales en matière de données et de cybersécurité, les risques dans la chaîne d'approvisionnement et un déficit de cyber-compétences. Les entreprises doivent donner la priorité à la résilience pour garder une longueur d'avance sur l'évolution des menaces", a déclaré Manish Sharma, PDG d'Accenture pour les Amériques. "Nos solutions, associées aux services de réseau centralisés et à la vaste expertise de Verizon en matière de sécurité, permettront aux entreprises de mieux protéger leurs données et leurs opérations contre les cyberattaques".

"Le ciblage de Verizon sur les services de sécurité, associé à la collaboration avec Accenture, permet aux deux entreprises de répondre efficacement à la demande croissante de solutions complètes de cybersécurité", explique Craig Robinson. Il est vice-président de la recherche IDC pour la sécurité et la confiance. "Cette initiative renforce la position de Verizon Business sur le marché et adapte son offre aux tendances actuelles du marché et aux besoins des clients".

Plus d'informations

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/verizon-gibt-strategische-partnerschaft-mit-accenture-bekannt/