Gagnant du Prix SVC Zentralschweiz 2020 : Renggli AG de Sursee

(Update) Le 26 mai, le gagnant du Prix SVC Zentralschweiz 2020 a été désigné - après deux reports. Parmi les six finalistes, c'est la société Renggli AG de Sursee, dans le canton de Lucerne, qui a remporté la course. Les autres entreprises sur le podium sont Elbatech AG et Shiptec AG.

Le gagnant du Prix SVC Zentralschweiz 2020 : Max Renggli, CEO & président du CA de Renggli AG lors de la remise du prix au KKL Luzern. (SVC/KEYSTONE/Manuel Lopez)

En fait, le Swiss Venture Club (SVC), une association indépendante à but non lucratif visant à promouvoir et à soutenir les PME en Suisse, aurait voulu décerner le Prix SVC Zentralschweiz 2020 en juin 2020 déjà. Mais la pandémie est venue contrecarrer cette intention. Mais le moment était enfin venu : l'après-midi du 26 mai 2021, l'animateur Nik Hartmann a accueilli les invités admis en direct au KKL Luzern ainsi que les plus de 180 spectateurs* du streaming en direct.

Récompenser l'élite des PME

Selon le conseiller d'Etat uranais Urban Camenzind, président du jury, et le responsable régional SVC Christoph Baggenstos, il n'a jamais été question d'un refus. Les six finalistes ont également fait l'objet d'une nouvelle vérification afin de s'assurer qu'ils avaient conservé leur "valeur de prix" pendant la "prolongation de la couronne". Selon les indications du jury, rien n'a dû être modifié dans le résultat - et les lauréats ont pu être tenus secrets jusqu'à la fin. "Nous récompensons des entreprises qui font partie de l'élite des PME suisses. Notre regard se porte sur des entreprises exemplaires qui créent des emplois et contribuent à façonner l'économie suisse. Avec le Prix SVC, nous offrons à ces entreprises une plate-forme qui leur permet de montrer leur succès à l'extérieur. Enfin, l'attention portée à nos lauréats par le Prix SVC doit être une source d'inspiration pour d'autres entreprises", explique Baggenstos.

Six finalistes de haut niveau

Le jury a désigné le lauréat du Prix SVC Zentralschweiz 2020 parmi les six finalistes suivants. Ces six entreprises ont été nominées au terme d'un processus de sélection en plusieurs étapes parmi 120 entreprises de la région :

  • allvisual ag, Steinhausen : Sur la base des meilleures pratiques, allvisual conseille et met en œuvre des services et des solutions dans les domaines de la transformation numérique, de la gestion du cycle de vie des produits, de la fabrication intelligente/des services et de la visualisation 3D pour les entreprises des secteurs de l'aéronautique, de l'automobile, de la construction de machines et d'installations et de la technique médicale. Détail intéressant : à l'origine de l'entreprise, il y avait la conception et la construction d'hélicoptères. Mais cette activité a finalement été vendue à une entreprise italienne qui, entre-temps, s'est lancée avec succès dans ce domaine.
  • Elbatech AG, Ibach : L'entreprise installe des systèmes modernes de radiocommunication dans les tunnels pour les exploitants ferroviaires de toute la Suisse et assure ainsi une communication sans interruption pour tous les voyageurs. La conception et le montage d'installations de courant de traction ainsi que les forages au diamant sont d'autres domaines d'activité importants. Une particularité de l'entreprise : son parc de véhicules comprend désormais sa propre locomotive.
  • Gübelin, Lucerne : L'entreprise, connue pour son expertise en matière de pierres précieuses, crée et produit des bijoux dans son propre atelier sous sa propre marque Gübelin Jewellery, et distribue en outre dans ses boutiques des marques horlogères de luxe mondialement connues. Afin de garantir que les précieuses matières premières - or, pierres précieuses - proviennent d'une source sûre, Gübelin mise sur la technologie blockchain.
  • Renggli AG, Sursee : Avec plus de 95 ans d'expérience en tant que partenaire de construction en bois et entreprise générale, Renggli AG propose des projets de construction en bois efficaces sur le plan énergétique et durables dans une architecture moderne - aussi bien pour des immeubles d'habitation à plusieurs étages, des bâtiments commerciaux et publics que pour des maisons individuelles. L'entreprise familiale, dirigée par la quatrième génération, fêtera son centenaire en 2023.
  • Seiler Käserei AG, Giswil : En tant qu'entreprise traditionnelle indépendante et gérée par son propriétaire, la fromagerie Seiler SA produit d'excellentes spécialités fromagères depuis 1928. Seiler ne traite que des matières premières naturelles, sans aucun additif. Le lait provient de fermes à l'agriculture contrôlée, directement des coteaux et des vallées des environs. Certaines variétés de fromage sont également disponibles en qualité bio.
  • Shiptec AG, Lucerne : Avec son chantier naval et un bureau d'ingénierie, l'entreprise fournit des prestations techniques dans les domaines de la conception et de l'ingénierie navales, de la construction navale, des révisions de navires, des transformations et de l'entretien de navires pour la navigation professionnelle et privée.

Le gagnant du Prix SVC Zentralschweiz 2020

C'est finalement l'entreprise de construction en bois innovante Renggli AG, dont le siège est à Sursee, qui a reçu le prix de l'entrepreneur, décerné pour la huitième fois. Max Renggli a remercié avec des mots pleins d'émotion pour l'honneur qui lui a été fait de manière inattendue, à lui et à son personnel rassemblé dans un atelier à Schötz. Le président du jury, Urban Camenzind, directeur de l'économie publique du canton d'Uri, a rendu hommage au vainqueur dans son éloge : "Renggli AG est connue pour ses constructions en bois efficaces sur le plan énergétique et fait partie des pionniers de MINERGIE en Suisse et au-delà. L'entreprise familiale a déjà vécu la durabilité et l'a mise en pratique alors que ce mot n'était encore souvent que de la théorie. Renggli AG se caractérise par l'innovation et l'esprit de pionnier. Cela permet à l'entreprise de réussir également sur le plan commercial et d'être parée pour l'avenir". Renggli AG emploie plus de 230 personnes sur ses sites de Sursee, Schötz, Granges-Paccot, Ascona et Winterthur. L'entreprise familiale est dirigée par la quatrième génération de Max Renggli, CEO et président du conseil d'administration.

Elbatech AG et Shiptec AG en deuxième et troisième position

La deuxième place revient à Elbatech AG. Ce fabricant de systèmes radio modernes pour tunnels se distingue par ses propres développements innovants et ses solutions globales. Elbatech a été fondée en 2007 et est dirigée par Florian Reichmuth et Stefan Franzen.
et emploie 45 personnes.

Shiptec AG, l'entreprise suisse leader dans le secteur de la construction navale, décroche le bronze. L'entreprise a été fondée en 2013 en tant que filiale de la Société de navigation du lac des Quatre-Cantons (SGV) SA, mais son expérience remonte à 1931. Shiptec AG emploie aujourd'hui plus de 70 personnes et est dirigée par Ruedi Stadelmann.

Trois autres PME de Suisse centrale, allvisual ag, Gübelin et la fromagerie Seiler, qui se sont distinguées par leurs performances économiques particulières, figurent sur la liste des diplômes.

Prix SVC Zentralschweiz : visibilité pour les PME

Le Prix SVC, qui est l'activité la plus visible du SVC, est devenu un événement connu dans toute la Suisse, qui se déroule désormais tous les deux ans dans huit régions économiques. Ainsi, en 2021, le Prix SVC Espace Mittelland sera décerné en Suisse alémanique le 19 août.

Le Prix SVC Zentralschweiz a été décerné pour la huitième fois. Les entreprises suivantes ont également reçu ce prix
Meyer AG en 2018, Thermoplan AG en 2016, Confiseur Bachmann AG en 2014, LK International AG en 2012, Geistlich Pharma AG en 2010, Max Felchlin AG en 2008 et maxon Motor AG en 2006.

www.svc.swiss

Un courtier en assurances de Suisse centrale reprend deux entreprises à Thalwil

Le courtier en assurances indépendant Neutrass, dont le siège est à Rotkreuz ZG, poursuit son expansion : il reprend les deux entreprises Kuster Consulting AG et INSUREit AG, domiciliées à Thalwil.

Les courtiers en assurances font désormais route commune : Willi Staub (Kuster Consulting), Ernst Uhlmann (INSUREit AG), Eliane Müller (responsable du marketing et des RP) et Pascal Walthert (CEO Neutrass AG). (Image : zVg)

Comme l'ensemble de l'industrie financière, les activités des courtiers en assurance et en prévoyance en Suisse sont en pleine mutation. Face aux exigences réglementaires de plus en plus complexes, à la numérisation rapide et à la pression toujours plus forte sur les marges, de plus en plus de courtiers s'associent pour former de plus grandes unités. Neutrass, fondée en 1988 et comptant plus de 60 collaborateurs, suit cette tendance et fait partie des plus grands courtiers en assurances de Suisse gérés par leurs propriétaires. L'entreprise étend désormais sa région centrale de Suisse à la région du lac de Zurich et reprend les deux courtiers en assurances Kuster Consulting AG et INSUREit AG, également gérés par leurs propriétaires et basés à Thalwil. Ces deux entreprises ont connu une forte croissance de leur clientèle au cours des dernières années. Leurs propriétaires, Willi Staub et Ernst Uhlmann, se réjouissent de collaborer avec un courtier axé sur les services et les clients, qui mise sur une longue expérience et une équipe solide, comme l'indique un communiqué de presse adressé aux médias.

Fierté d'être une entreprise suisse

Neutrass couvre de larges compétences professionnelles, qui sont renforcées en permanence et de manière ciblée. Plus de dix sites répartis dans toute la Suisse soulignent des valeurs telles que la proximité du client et la présence régionale. Les cultures d'entreprise s'accordent parfaitement, poursuit l'entreprise. Neutrass précise qu'elle reste dirigée par ses propriétaires et qu'elle accorde une grande importance aux valeurs suisses : qualité, fiabilité et compétence. L'entreprise promet de s'engager également dans la région du lac de Zurich en faveur d'un conseil neutre et professionnel en matière d'assurance et de prévoyance pour les petites, moyennes et grandes entreprises ainsi que les institutions publiques.

L'activité de courtier en assurances a changé

Il y a encore 25 ans, à peine 20 pour cent des entreprises et des indépendants étaient suivis par un courtier. Aujourd'hui, ce chiffre est d'environ 70 pour cent. L'accent n'est plus mis uniquement sur les économies de primes. Aujourd'hui, l'activité de courtage est beaucoup plus complexe : les clients attendent des couvertures et des prestations irréprochables ainsi qu'un allègement de l'administration des assurances et de la prévoyance du personnel. Ils souhaitent en outre de nombreuses prestations supplémentaires telles que la gestion des absences et des cas, le soutien en cas de sinistre, les orientations du personnel, la planification de la prévoyance et des finances. Ces services et valeurs ajoutées font donc également partie de l'offre de Neutrass.

Statut de courtier A pour les assurances

Neutrass, basée à Rotkreuz, travaille sur une base de courtage avec plus de 50 compagnies d'assurance renommées et d'autres sociétés de services financiers. En raison de sa taille, de sa longévité et de sa qualité, Neutrass jouit, selon ses propres dires, d'une très bonne réputation auprès des fournisseurs de produits et de solutions et du statut de courtier A. Cela permet à l'entreprise de négocier des produits, des solutions et des conditions plus avantageuses pour ses clients PME et industriels de tous les secteurs économiques ainsi que pour les institutions publiques.

Source et informations complémentaires : www.neutrass.ch

Les métiers de rêve des travailleurs suisses

En raison de Corona et du home office, la vie professionnelle s'est souvent déplacée vers le monde numérique. Et pourtant, les Suissesses et les Suisses considèrent toujours que les métiers de rêve sont ceux qui impliquent un contact personnel. S'ils avaient le choix, les femmes préféreraient être médecins et les hommes guides touristiques.

Guide touristique ou médecin : tels seraient les métiers de rêve des Suisses s'ils pouvaient recommencer leur carrière. (Images : Unsplash.com)

Sur mandat de XING Suisse, l'entreprise d'études de marché et d'opinion Marketagent.com a interrogé 500 personnes actives âgées de 18 à 65 ans en Suisse alémanique sur le thème des métiers de rêve. L'échantillon est représentatif de la population active en
représentatif de la Suisse alémanique. Une liste de 47 métiers concrets était proposée pour saisir le job de ses rêves. Le principal résultat de l'enquête : Deux personnes actives sur trois choisiraient aujourd'hui une autre carrière.

Les nouveaux métiers de rêve suscitent le désir de changer de carrière

63 % des personnes interrogées choisiraient aujourd'hui une autre carrière professionnelle que celle qu'elles ont actuellement. La raison principale en est le grand nombre de nouveaux emplois qui n'existaient pas auparavant. L'évolution des intérêts personnels et le désir de suivre sa propre vocation sont d'autres facteurs importants. La possibilité de gagner plus d'argent dans un autre métier n'arrive qu'en quatrième position. C'est surtout dans le groupe d'âge moyen des 30-39 ans que beaucoup choisiraient aujourd'hui une autre voie professionnelle (74 %).

L'équilibre entre vie professionnelle et vie privée est le facteur le plus important pour trouver le job de ses rêves

Un équilibre entre vie professionnelle et vie privée, un bon salaire et la possibilité de développer son potentiel : Pour les personnes interrogées, ce sont les facteurs les plus importants qui définissent un job de rêve. Le développement du potentiel est particulièrement important pour les hommes. Chez les femmes, la conciliation du travail et de la famille est en outre un facteur important.

Le job de rêve n'attend pas dans le cyberespace

Les professions liées à la numérisation et aux tendances sociales, telles que développeur de logiciels*, chercheur en climatologie*, pilote de drones* ou expert en sports électroniques*, n'ont pas encore atteint le sommet de la liste des emplois de rêve. En revanche, les métiers où le contact humain et l'environnement physique jouent un rôle important sont particulièrement nombreux en tête de liste. Dix pour cent des participants indiquent en outre que le job de leurs rêves reste encore à inventer.

Les emplois de rêve des femmes :
1er médecin
2. photographe
3. vétérinaire
4. gardien d'animaux
5. guide touristique
6. comptable

Les emplois de rêve des hommes :
1. guide de voyage
2. photographe
3. avocat
4. médecin
5. architecte
6. sportif professionnel

Les métiers de rêve impliquent des contacts avec les gens

Robert Bertschinger, directeur de XING Suisse, commente l'étude : "Malgré la pandémie de Corona, la liste des emplois de rêve est menée par des professions qui se laissent plutôt mal transposer dans le monde virtuel. Pour beaucoup, le métier de rêve implique un contact direct avec d'autres personnes ou, comme pour les guides de voyage* et les photographes*, la possibilité de se déplacer librement. Bien que des études passées aient montré que les personnes actives apprécient les possibilités de travail à domicile et de travail flexible, peu d'entre elles considèrent que le métier de leurs rêves est une
activité qui pourrait se dérouler entièrement en ligne".

Malgré la numérisation et l'automatisation, rares sont ceux qui pensent que leur emploi actuel sera bientôt obsolète. Les trois quarts (77 %) sont convaincus que leur métier actuel existera encore dans 15 ans.

Sources : XING et Nouveau travail

Évaluation des risques : ce que les entreprises craignent le plus

Les cyber-risques continuent d'occuper la première place dans l'évaluation des risques des entreprises. C'est ce que montre le Global Risk Consensus 2021 de Funk. Les maladies non professionnelles constituent la deuxième plus grande menace pour l'économie. Ce risque a fait son entrée parmi les principaux risques mondiaux à partir de rien et témoigne d'une sensibilisation croissante au thème de la santé suite à la crise de la Corona.

Dans leur évaluation des risques, les entreprises continuent de craindre le plus les cyberattaques. (Graphique : Groupe Funk)

Malgré l'impact massif de la crise Corona sur les chaînes d'approvisionnement mondiales et les investissements colossaux dans la gestion de crise, les cyber-risques sont toujours perçus comme la plus grande menace par l'économie mondiale. Ce résultat est le fruit de l'analyse et de l'évaluation objective de différentes études et enquêtes mondiales sur les risques réalisées chaque année par le Funk RiskLab à Zurich. Pour le Funk Global Risk Consensus, le RiskLab évalue des études et des rapports de risque de premier plan sur les risques globaux des entreprises et consolide leurs résultats dans un classement, le Global Risk Consensus. Le classement des cinq principaux risques mondiaux pour les entreprises se présente comme suit :

1. les cyber-risques

Comme les années précédentes, les entreprises se sentent les plus menacées par les cyber-risques pendant la crise de Corona. Le professionnalisme des attaquants (division ciblée du travail des attaquants ainsi que processus d'attaque plus efficaces et plus efficients) se développe de manière dynamique et place toutes les entreprises devant des défis croissants. La crise de la Corona a accentué cette évolution, puisqu'au printemps 2021, des millions de postes de travail ont dû être transférés vers des bureaux à domicile, pratiquement du jour au lendemain et sans préparation. Cela a facilité l'accès des cybercriminels aux réseaux d'entreprise. L'ampleur des dommages potentiels ne peut pas encore être évaluée.

2. maladies non professionnelles (pandémie)

Pour la première fois depuis la parution régulière du Funk Global Risk Consensus, les maladies dites "non professionnelles" ont réussi à se hisser pratiquement de nulle part dans le top 5 des risques d'entreprise. Au cours des années précédentes, aucune des études sous-jacentes ne considérait une pandémie comme un risque majeur. Le risque de pandémie a disparu assez rapidement de l'évaluation des risques des entreprises après un événement d'importance internationale (p. ex. grippe porcine, grippe aviaire, SRAS, Ebola), car la probabilité d'occurrence a été jugée très faible. Cela montre que même les spécialistes des risques et le management oublient vite et concentrent leur attention sur les risques évidents, négligeant ainsi les risques latents. Il est évident que le risque de pandémie, avec ses énormes conséquences et sa probabilité sous-estimée, a nettement gagné en pertinence avec la crise de Corona. Reste à savoir combien de temps le risque de pandémie restera dans la conscience des directions d'entreprise.

3. les changements de réglementation

La même pondération que les deux années précédentes, mais rétrogradée d'un rang, a été attribuée au risque de changements rapides concernant les réglementations nationales et internationales. En ces temps de grands changements (numérisation, changement climatique, transition énergétique, déplacement du pouvoir politique mondial), ce risque reste sur le moniteur des gestionnaires de risques.

4. évolution défavorable du marché

Les spécialistes du risque et le management continuent de classer les évolutions défavorables du marché parmi les cinq principaux risques pour les entreprises. Compte tenu des incertitudes mondiales actuelles et des conséquences importantes liées aux risques des rangs un à trois ainsi qu'aux impondérables conjoncturels qui en découlent, cette évaluation est tout à fait compréhensible.

5) Événements climatiques extrêmes

Le changement climatique global laisse également des traces dans l'évaluation des risques. La tendance à des inondations plus nombreuses et plus importantes, à de longues périodes de sécheresse et à de grands fronts de tempête se manifeste de manière très claire dans les rapports sur les risques des principales organisations. Le changement climatique n'affecte pas seulement des régions industrielles ou touristiques entières, mais aussi les chaînes d'approvisionnement mondiales des entreprises. En 2020, l'impact économique des phénomènes météorologiques extrêmes a été particulièrement important dans les régions Asie-Pacifique et Amérique du Nord.

La pénurie de main-d'œuvre qualifiée ne fait actuellement pas partie de l'évaluation des risques

En comparaison directe avec l'année précédente, on peut constater que le risque "pénurie de main-d'œuvre qualifiée", qui occupait la quatrième place en 2020, a quitté le top 10 des risques des entreprises. Il s'agit peut-être d'un phénomène à court terme, lié à la couronne, selon l'évaluation de Funk.

Source et informations complémentaires : Groupe radio

Roger Harlacher entre au conseil d'administration de la Banque Valiant

Lors de l'assemblée générale de Valiant Holding SA du 19 mai 2021, les actionnaires ont clairement approuvé toutes les propositions. Le dividende reste fixé à 5 francs par action. Roger Harlacher a été élu nouveau membre du conseil d'administration.

Lors de la 24e assemblée générale de Valiant Holding SA, Roger Harlacher a été élu au conseil d'administration. (Photo : Archives / Linda Pollari)

Lors de l'assemblée générale de Valiant Holding SA, les actionnaires se sont prononcés en faveur d'un dividende stable. Il reste inchangé à 5 francs par action. Le taux de distribution s'élève à 65% et se situe dans la fourchette de 50 à 70% fixée par le conseil d'administration. Au total, 78,9 millions de francs seront versés aux actionnaires. Valiant dispose d'une solide base de capital. Elle dépasse nettement les exigences de la FINMA en matière de fonds propres.

Changement au conseil d'administration : Roger Harlacher nouveau membre

Franziska von Weissenfluh, membre du conseil d'administration depuis 2011, a renoncé à une réélection lors de l'assemblée générale. Le conseil d'administration la remercie pour les précieux services qu'elle a rendus à l'entreprise pendant de nombreuses années. Franziska von Weissenfluh a apporté une grande contribution au développement réussi de Valiant.

L'assemblée générale a élu Roger Harlacher comme nouveau membre du conseil d'administration. Il dispose d'une grande expérience dans la gestion d'entreprise. Cet économiste d'entreprise de 55 ans travaille depuis 25 ans pour Zweifel Pomy-Chips AG, de 2015 à juin 2020 en tant que CEO, et depuis lors en tant que membre du conseil d'administration. Roger Harlacher s'engage en outre dans différents comités de l'industrie de la communication et de la publicité, par exemple en tant que président de l'Association suisse des annonceurs, ainsi que dans des conseils d'administration de PME.

L'attachement à Valiant

En raison de la pandémie de Corona, la 24e assemblée générale ordinaire a été retransmise sur Internet et s'est déroulée sans la participation physique des actionnaires. 51,8 % des voix ont été exercées par la représentante indépendante. Ce pourcentage élevé illustre l'attachement des actionnaires à Valiant, comme l'indique le communiqué de presse adressé aux médias.

Source et informations complémentaires : Banque Valiant

Santé mentale : entretiens de premiers secours pour les dirigeants

La moitié des collaborateurs présentent des signes de maladie mentale traitable au cours de leur vie professionnelle. Un nouveau cours de Pro Mente Sana permet aux cadres de les reconnaître à temps et de créer un environnement de travail sain.

La pandémie de grippe A (Corona) affecte les collaborateurs : mais comment mener des entretiens de premiers secours en tant que cadre ? Dans un nouveau cours, les participants acquièrent les outils nécessaires. (Image : Pro Mente Sana / Daniel Drognitz)

Les mesures prises autour de la pandémie ont eu un impact sur la santé mentale de nombreuses personnes. La prévention et le dépistage précoce sont donc devenus encore plus importants pour les entreprises au cours des derniers mois. En effet, les dépressions, les troubles anxieux, les psychoses ou les addictions ne sont pas aussi visibles que les blessures physiques aiguës. Pourtant, les premiers secours sont nécessaires, comme en cas d'accident. Les cours de premiers secours de l'ensa pour la santé psychique permettent d'apprendre un comportement adéquat en cas de problèmes psychiques d'autrui.

Entretiens de premiers secours pour les cadres

Pro Mente Sana a enregistré deux fois plus d'inscriptions aux cours de premiers secours ensa pour la santé mentale, comme l'indique un communiqué de presse. Jusqu'à présent, ces cours s'adressaient à tous les profanes intéressés. La fondation a désormais lancé une offre adaptée aux personnes ayant des responsabilités de direction. La première édition du cours "Entretiens de premiers secours pour les cadres" a eu lieu le 17 mai sous forme de webinaire. D'autres sont disponibles sur le Site web de l'ensa en appel d'offres.

Identifier les changements de comportement

Les cadres contribuent de manière déterminante à un environnement de travail ouvert, dans lequel les atteintes psychiques sont ouvertement thématisées et prises en charge. Le cours de Pro Mente Sana leur montre comment gérer au mieux leur rôle particulier. Cela signifie ne pas être trop hésitant dans leur approche des collaborateurs, tout en respectant à tout moment la protection de leur personnalité.

Dans ce cours de 4 heures, les personnes ayant des responsabilités de direction à tous les niveaux hiérarchiques apprennent à prendre soin de la santé de leurs collaborateurs en identifiant les changements à temps et en agissant avant qu'ils n'entraînent une baisse des performances, des arrêts de travail ou des licenciements. L'accent est mis sur la partie pratique, au cours de laquelle les entretiens de premiers secours sont exercés dans des jeux de rôle.

Cours ensa comme base

Le contenu des "Entretiens de premiers secours pour cadres" est basé sur l'expérience acquise par Pro Mente Sana dans la réalisation de cours ensa ainsi que sur les besoins des organisations et des entreprises.

ensa est un programme de la fondation Pro Mente Sana, co-initié et soutenu par la fondation Beisheim. Grâce à cet engagement commun, la première pierre des cours ensa en Suisse a pu être posée en 2019. Depuis, ces cours ont été développés en permanence et sont déjà proposés dans plusieurs langues et formats.

Dates et horaires des cours actuels

L'architecture technologique, un facteur décisif pour le succès de l'entreprise

La bonne architecture technologique s'est avérée indispensable dans la gestion de la pandémie COVID-19 : la technologie aide à relever les défis actuels de nos systèmes de santé et à garantir notre sécurité. En même temps, elle permet de modifier les méthodes de travail et d'affaires, de créer de nouveaux types d'interactions et d'expériences.

Pour une nouvelle architecture tech : 82 % des dirigeants en Suisse s'accordent à dire que leur entreprise doit poursuivre sa transformation numérique avec le cloud au cœur pour être agile et résiliente. (Image : Accenture)

Aujourd'hui déjà, la réalité de notre économie est durablement influencée par la technologie à tous les niveaux et les cadres sont ainsi en mesure de participer activement au changement et à l'avenir de leur secteur. Telles sont les conclusions de l'étude "Technology Vision 2021" de l'entreprise de conseil Accenture. Dans le cadre de cette étude, plus de 6.200 cadres supérieurs du secteur économique et technologique ont été interrogés dans le monde entier.

Construire un nouveau noyau numérique

Selon l'étude intitulée "On cherche des précurseurs : Comment les maîtres du changement profitent du moment présent", les entreprises leaders ont commencé à accélérer leurs plans de transformation qui s'étendent sur des décennies et à les réduire à deux ou trois ans. La condition préalable est la mise en place d'un Nouveau Cœur Numérique. Celui-ci permet non seulement aux entreprises de s'adapter aux nouveaux développements et d'innover à une vitesse record. Il permet également aux entreprises de relever des défis tels que la pandémie COVID-19. Les leaders technologiques enregistrent aujourd'hui un chiffre d'affaires cinq fois plus rapide que les retardataires. Entre 2015 et 2018, leur croissance n'était que deux fois plus rapide. Par conséquent, de nombreuses entreprises rivalisent pour se réinventer et façonner leur situation actuelle grâce à l'innovation technologique.

La bonne architecture technologique favorise le changement

"Les stratégies commerciales et technologiques sont indissociables. 77% des décideurs suisses savent que l'architecture tech est de plus en plus importante pour le succès de l'entreprise. Tech Vision 2021 examine quels choix technologiques favorisent la transformation et préservent la compétitivité" déclare Marc Zollinger, Co-Lead Technology, Accenture Suisse. 92% des personnes interrogées ont déclaré que l'innovation était la première priorité de leur entreprise cette année. En outre, 91 pour cent des dirigeants mondiaux estiment que leur entreprise doit contribuer à façonner le marché de demain si elle veut le conquérir. Pour cela, les entreprises doivent devenir des "maîtres du changement" et tenir compte de trois points :

  1. Le leadership et la technologie vont de pair. Dans une période de changement permanent, ceux qui placent l'utilisation de la technologie au cœur de leur stratégie commerciale réussissent.
  2. Les dirigeants ne peuvent plus attendre que les choses changent. Ils doivent les créer eux-mêmes en changeant radicalement leur façon de faire et de penser.
  3. Les dirigeants doivent prendre conscience de leurs responsabilités. Il s'agit de concevoir et d'utiliser les technologies de manière à ce qu'elles aient un impact positif sur un monde plus durable et plus inclusif.

Cinq tendances clés

L'étude identifie cinq tendances clés pour les trois prochaines années :

  • Un nouveau noyau numérique pour un avenir meilleur - Les entreprises sont de plus en plus en concurrence pour leurs architectures technologiques. Construire l'infrastructure la plus compétitive nécessite un nouveau point de vue. En effet, les stratégies commerciales et technologiques sont inextricablement liées - et même indiscernables. 89% des cadres (73% en Suisse) estiment que la capacité de leur entreprise à générer de la valeur commerciale dépend de plus en plus des limites et des possibilités de l'architecture tech mise en place.
  • Un monde en miroir - Les entreprises leaders créent des jumeaux numériques intelligents pour reproduire des modèles quasi vivants d'usines, de chaînes d'approvisionnement et de cycles de vie de produits. La fusion des données et de l'intelligence ouvre de nouvelles possibilités pour les opérations, la collaboration et l'innovation. 65 % des cadres interrogés dans le monde (mais seulement 55 % en Suisse) s'attendent à ce que les investissements de leur entreprise dans des jumeaux numériques intelligents augmentent au cours des trois prochaines années.
  • Moi, le technologue - Tous les collaborateurs peuvent innover, optimiser leur travail et résoudre des problèmes. Ce faisant, les collaborateurs veillent eux-mêmes à ce que leur entreprise puisse suivre le rythme des exigences nouvelles et changeantes. 88 % des cadres estiment que la démocratisation de la technologie est essentielle pour stimuler l'innovation dans leur entreprise.
  • Toujours et partout - Le "Bring Your Own Environment" (en français : "Apportez votre propre environnement (de travail)") a conduit à une flexibilité sans précédent dans de nombreuses entreprises. Les collaborateurs ont la liberté de travailler sans interruption depuis n'importe où, que ce soit à la maison, au bureau ou à l'aéroport. Dans le cadre de ce modèle, les dirigeants peuvent repenser la finalité du travail à chaque endroit et saisir l'opportunité de façonner leur entreprise dans ce nouveau présent. 81% des décideurs (et même 87% en Suisse) s'accordent à dire que les entreprises leaders de leur secteur passeront à l'avenir d'une approche "Bring Your Own Device" à une approche "Bring Your Own Environment".
  • Du "moi" au "nous" - Le besoin de traçabilité des contacts, la fluidité des paiements et les nouvelles manières d'instaurer la confiance ont mis en évidence ce qui fait défaut dans les écosystèmes d'entreprise existants. Les systèmes multipartites permettent aux entreprises de gagner en résistance et en adaptabilité, d'accéder à de nouveaux marchés et de poser des jalons pour l'avenir de leur secteur. 90 % des dirigeants interrogés ont déclaré que les systèmes multipartites rendraient leurs écosystèmes plus résilients et adaptables à l'avenir et aideraient les partenaires à créer de nouvelles valeurs.

Comment une architecture tech adaptée peut sauver la gastronomie

Les résultats de l'étude montrent clairement que la priorité accordée aux innovations technologiques n'a jamais été aussi importante qu'en ces temps de disruption. Prenons l'exemple du secteur de la restauration : 60 % des restaurants répertoriés comme "temporairement fermés" en juillet 2020 ont dû cesser définitivement leurs activités dès le mois de septembre. En revanche, Starbucks a pu se distinguer comme leader du secteur grâce à l'utilisation de la technologie. Jusqu'en août, l'application Starbucks a enregistré trois millions de nouveaux utilisateurs. 90 pour cent du chiffre d'affaires s'est déplacé vers les commandes mobiles et le retrait au drive-in. En raison de la demande croissante, l'entreprise a introduit un système intégré de gestion des tickets. Celui-ci combine les commandes de l'application Uber Eats avec celles des clients du drive-thru en un seul flux de travail pour les baristas. En outre, Starbucks a introduit une nouvelle machine à expresso équipée de capteurs afin de suivre la quantité de café servie par les collaborateurs. Cela a permis de prédire les travaux de maintenance nécessaires. Cet exemple montre comment la technologie est au cœur de la réaction agile, résiliente et réussie d'une entreprise face au changement.

Source : www.accenture.ch

Note de la rédaction : la présente étude peut être lue comme un complément à une autre étude qui une autre entreprise technologique publie en été 2020 a.

Nouveau réseau numérique d'experts pour les conseils d'administration

Le manque de compétences numériques met en péril la survie des entreprises. Boardminds, un nouveau réseau d'experts pour les conseils d'administration, se considère comme un sparring partner dans la promotion d'une autre façon de penser.

L'équipe de Boardminds, le nouveau réseau d'experts pour les conseils d'administration. (Image : zVg)

Boardminds est un nouveau réseau d'experts pour les conseils d'administration. Il a été fondé par Spiros Doukas et Manuel Evangelista et se concentre de manière ciblée sur les besoins des conseils d'administration dans la tâche exigeante de la transformation numérique.

"Nous sommes convaincus que le manque de compétences numériques menace gravement la survie des entreprises et que la transformation numérique doit être soutenue, voire encouragée, par le conseil d'administration. Notre objectif est de servir de sparring-partner aux membres du conseil d'administration dans la jungle numérique. Nous clarifions, conseillons et accompagnons, expliquons les chances et les risques, développons ensemble des orientations et voulons aussi inspirer", explique Doukas. Le nouveau réseau d'experts pour les conseils d'administration comprend, outre les fondateurs, six board advisors d'origines diverses. Il s'agit d'experts* du numérique et d'entrepreneurs* issus du marketing, de la communication, de l'éducation, du commerce électronique, des FinTech et du recrutement.

"Ce qui nous unit tous, c'est l'expérience et la passion de la transformation numérique. Pour mener à bien un tel changement, il faut une vision globale de l'entreprise et non une pensée en silo. C'est cette façon de penser que nous voulons promouvoir auprès de nos clients", explique Doukas.

L'offre de Boardminds comprend un contrôle numérique, des coachings individuels pour certains membres du CA ainsi que des ateliers pour l'ensemble du comité.

Plus d'informations : www.boardminds.com

L'Association des entreprises féminines (VFU) nomme un nouveau conseil d'administration

Un nouveau comité a été élu lors de l'assemblée générale de l'association Entreprises au féminin de cette année. Riccarda Mecklenburg est la nouvelle présidente de la plus grande association de femmes entrepreneurs de Suisse.

L'association Entreprises au féminin et son nouveau comité (dans le sens des aiguilles d'une montre) : Riccarda Mecklenburg (présidente), Sandra Flückiger, Annemarie Sulzer, Sandra Gill, Judith Niederberger. (Photos : VFU)

L'association Entreprises au féminin s'est reconstituée. Lors de l'assemblée générale ordinaire du 12 mai 2021, Riccarda Mecklenburg a été élue présidente. Elle est membre du comité depuis 2017 et s'occupait jusqu'à présent du domaine de la communication et des relations publiques. Les femmes entrepreneurs ont également confirmé Sandra Flückiger au poste de directrice financière et ont élu Annemarie Sulzer au comité directeur, sponsoring et coopération. Judith Niederberger et Sandra Gill ont également été élues au comité directeur. Elles se partagent le vaste dossier du marketing et de la communication.

L'association Entreprises au féminin sur la voie de la croissance

"Notre association Entreprises au féminin est en pleine croissance, car de plus en plus de femmes reconnaissent les avantages de se mettre à leur compte et de suivre leur propre voie. Même si la pandémie a parfois durement touché nos entrepreneuses, rares sont celles qui abandonnent. Cela montre à quel point il est gratifiant d'avoir sa propre entreprise", explique Riccarda Mecklenburg. "Nous voulons renforcer cet esprit et soutenir nos membres dans toutes les phases de leurs activités entrepreneuriales par l'échange de connaissances, la formation continue et un réseau solide".

Les nouveaux et anciens membres du comité directeur

Le comité nouvellement élu a remercié la présidente sortante Chantal Schmelz ainsi qu'Irene Widmer et Sandra Grimmer pour leur engagement au sein du comité et leur a souhaité à toutes beaucoup de succès en tant que femmes entrepreneurs.

Riccarda Mecklenburg est propriétaire de l'agence de crowdfunding CrowdConsul et fondatrice de What the Hack, qui organise des hackathons dirigés par des femmes. Elle est membre du conseil de fondation du Zürcher Journalistenpreis, est membre de BoardFinder, écrit régulièrement des chroniques pour la Handelszeitung et est depuis quelques semaines co-animatrice enthousiaste sur Clubhouse du "1-Satz-Literaturclub".

Annemarie Sulzer est propriétaire de PharmaSelect AG et travaille depuis de nombreuses années avec succès en tant qu'entrepreneuse. Elle s'est fait un nom dans le secteur pharmaceutique et de la santé en Suisse et recrute des professionnels de la vente, du marketing et du secteur médical pour des entreprises nationales et internationales. Parallèlement, elle travaille bénévolement comme mentor pour les demandeurs d'emploi qualifiés de 50 ans et plus pour l'ORP de Zoug.

Sandra Flückiger est propriétaire de FF Finanzberatung Flückiger. Elle élabore des plans financiers et de prévoyance et conseille les clients en matière de prévoyance et de placement. Ce qui est particulier, c'est qu'elle vit ce qui est demandé depuis longtemps : Un conseil doit être honoré et ne pas être payé par des kickbacks cachés, ainsi le client obtient toujours la meilleure solution.

Judith Niederberger apporte une longue expérience de direction et de gestion de projets dans divers secteurs : banque/assurance, informatique, industrie textile, gestion culturelle. Elle est aujourd'hui propriétaire de l'agence de communication Lakritza à Aarau ainsi qu'initiatrice et animatrice du "1-Satz-Literaturclub".

Sandra Gill est entre autres indépendante en tant que photographe de personal branding, où elle fixe des histoires visuelles pour des indépendants et des PME. Dans le domaine créatif, elle aime la belle écriture et propose différents ateliers dans le domaine du handlettering. Elle met à profit sa longue expérience en matière de direction, de gestion de projets et de marketing au sein du VFU.

Promouvoir l'entrepreneuriat féminin

L'association Entreprises au féminin s'engage depuis 1998 pour le succès des femmes entrepreneurs et renforce leur importance toujours croissante pour l'économie suisse. Elle soutient activement ses membres par des conseils et des actions et fait partie des principales associations d'entreprises féminines de Suisse. Avec la fondation collective Impavida, l'association dispose entre autres d'une solution attractive et intersectorielle pour la prévoyance professionnelle des femmes entrepreneurs individuelles.

Pour plus d'informations : Association des entreprises féminines (VFU)

Planification de carrière : pourquoi la formation continue vaut-elle la peine ?

Dans le cadre de l'étude sur les salaires et les compétences menée cette année par FH Suisse, l'association faîtière des diplômé-e-s des hautes écoles spécialisées, plus de 15'000 personnes ont donné des informations sur leur salaire actuel et les compétences actuelles et futures qu'elles recherchent. Il en ressort que la formation continue, en tant que partie intégrante du plan de carrière, est rentable - y compris pour le porte-monnaie.

Pas à pas vers le haut : La formation continue s'avère être une partie gratifiante de la planification de carrière. (Image : Pixabay.com)

La formation continue vaut la peine pour son propre plan de carrière - également en ce qui concerne le salaire : le salaire médian des 13'000 diplômé-e-s des hautes écoles spécialisées qui ont participé à l'étude salariale 2021 de FH Suisse est de 99'450 francs par an. 97 pour cent des personnes interrogées ont au moins pu maintenir leur niveau de salaire, 48 pour cent l'ont même augmenté. Dans presque toutes les branches, les économistes gagnent plus que les diplômé-e-s HES d'autres domaines. Les secteurs les plus lucratifs sont la pharmacie, la chimie ainsi que la finance et les assurances. Le lieu de travail influence également le salaire : Zurich est en tête avec un salaire médian de 108'000 francs par an, suivi des autres cantons alémaniques et de l'étranger avec un salaire médian d'environ 100'000 francs par an.

La majorité des diplômés HES interrogés sont des cadres

Bien que plus de 70% des participants à l'étude aient moins de 40 ans, près de 60% de toutes les personnes interrogées occupent une fonction de cadre. Ils gagnent entre 101'000 et 133'000 francs par an. "Cette étude confirme une fois de plus que les diplômé-e-s des hautes écoles spécialisées jouent un rôle porteur dans la société et l'économie", déclare Toni Schmid, directeur de FH Suisse. Plus ils sont âgés, plus les diplômés des HES ont tendance à occuper un poste de cadre supérieur. En conséquence, le salaire médian augmente continuellement avec l'âge.

Structure d'âge des participants Salaires par âge (médiane/année en francs)
jusqu'à 30 ans35.2% jusqu'à 30 ans81'900
31 à 40 ans36.9% 31 à 40 ans101'500
41 à 50 ans16.4% 41 à 50 ans130'000
51 à 60 ans9.9% 51 à 60 ans135'200
plus de 60 ans1.6% plus de 60 ans138'125

La formation continue est donc un atout pour la planification de carrière

Les participants à l'étude ayant suivi une formation continue de type master (MAS) occupent plus souvent (plus de 80%) une fonction de cadre que ceux ayant obtenu un autre diplôme, plus de 25% occupant même une fonction de cadre supérieur. Parallèlement, ce sont les titulaires d'un MAS qui gagnent nettement le plus : Leur salaire médian s'élève à 133'000 francs par an. De très nombreuses personnes prévoient une formation continue dans un avenir proche. Le plus souvent, il s'agit d'un CAS (35 %), mais les MAS, MBA et EMBA, qui demandent beaucoup plus de temps, sont également appréciés (près de 20 %). La demande de formation continue reste donc élevée.

Formation continue prévue
CAS, DAS35.3%
Cours spécialisés/de gestion17.1%
Diplôme fédéral supérieur2.2%
MAS, MBA, EMBA18.1%
MSc, MA2.9%
Développement personnel12.3%
Langue/séjour à l'étranger14.8%
Pas de30.5%

 

L'employabilité reste élevée

L'estimation des participants à l'étude selon laquelle ils trouveraient un emploi ou un emploi équivalent dans les six mois diminue légèrement par rapport à l'estimation des participants à l'étude de 2019. Néanmoins, la majorité pense toujours qu'ils trouveraient un emploi équivalent. Chez les personnes de plus de 50 ans, l'évaluation de leur propre capacité à intégrer le marché du travail diminue nettement.

Compétences demandées actuellement et à l'avenir

Cette année, en collaboration avec la ZGP, Zürcher Gesellschaft für Personal-Management, des questions sur les compétences actuelles et futures demandées ont été intégrées en plus des salaires. 10 000 personnes issues de différents milieux de formation ont fait part de leurs estimations. Les compétences que les travailleurs considèrent aujourd'hui comme importantes le resteront dans cinq ans. Néanmoins, la tendance suivante se dégage : les connaissances spécialisées sont jugées très importantes aujourd'hui. Les personnes interrogées pensent toutefois que l'importance des connaissances techniques diminuera au cours des cinq prochaines années. En revanche, ils s'attendent à ce que les compétences méthodologiques et sociales gagnent en importance. Ils sont 80% à se sentir responsables de l'acquisition des compétences. Pour ce qui est des compétences de direction, les personnes interrogées estiment que l'employeur est le plus souvent responsable. Le coaching, le mentoring et la formation continue sont mis en avant comme méthodes appropriées pour l'acquisition des compétences.

Des informations variées complètent le plan de carrière

D'autres résultats de l'étude salariale FH sont disponibles sur www.fhlohn.ch peut être consulté moyennant paiement. Le site donne accès à un nombre illimité de salaires de référence. Un masque de saisie permet d'affiner les profils salariaux selon des critères tels que l'âge, le type de diplôme, le secteur, la filière, la région et d'autres paramètres. "Ces salaires de référence sont parfaitement à jour et, grâce aux nombreuses données, très pertinents. C'est unique", déclare Susanne Baldinger, responsable de projet de l'étude salariale FH.

Source : FH Suisse

People Management : cinq mesures pour fidéliser les collaborateurs

En ces temps de pénurie de main-d'œuvre qualifiée, les entreprises ont besoin de talents qualifiés pour leurs propres services. Mais si l'on veut se positionner à l'extérieur comme un employeur attrayant, la première étape consiste surtout à agir à l'intérieur et à conserver à long terme les collaborateurs existants. Mais comment fonctionne la gestion des ressources humaines nécessaire à cet effet ?

Attirer le personnel qualifié, mais aussi le garder : Les employeurs attractifs doivent travailler sur leurs "valeurs intérieures" pour leur gestion des ressources humaines. (Image : Pixabay.com)

Une entreprise qui souhaite se développer à l'ère de la numérisation doit adopter une stratégie axée sur les collaborateurs. L'accent est mis sur des processus de recrutement efficaces et actifs - mais aussi sur un regard interne. Car il s'agit bien entendu non seulement d'attirer les meilleurs cerveaux, mais aussi de les garder à long terme et de les fidéliser à l'entreprise. C'est ce que l'on appelle le people management. Pourtant, selon une étude menée en Allemagne par le fabricant de logiciels Sage, seuls 18 % des cadres RH ont le sentiment d'avoir déjà effectué la transition de HR à People. 86 % d'entre eux estiment même que la transformation vers une gestion purement people peut prendre jusqu'à dix ans.

Les attentes des collaborateurs en mutation

Dans ce contexte, les attentes des collaborateurs vis-à-vis des équipes RH sont également en train de changer. Selon l'étude Sage susmentionnée, 69% des cadres RH partent du principe que les attentes des collaborateurs vis-à-vis des RH vont complètement changer dans les trois prochaines années. D'où la question essentielle : comment chaque collaborateur se sent-il concerné ? Comme il s'agit d'individus avec des attitudes et des souhaits personnels, il ne peut pas y avoir de feuille de route unique. Quelles sont donc les conditions d'un lien étroit avec les collaborateurs et comment les développer de manière stratégique au sein de l'entreprise ? Les cinq points suivants font partie d'une planification stratégique globale pour la fidélisation des collaborateurs, telle qu'elle pourrait se présenter à l'ère du numérique.

1. People Analytics

Les décisions judicieuses s'appuient sur des données tangibles. C'est pourquoi toute planification de mesures commence par une collecte régulière et complète de données. People Analytics se divise en trois domaines principaux. Les systèmes RH classiques donnent une première vue d'ensemble importante. Sur différents tableaux de bord, les décideurs en matière de personnel obtiennent des informations sur la répartition des sexes et des âges ou sur le taux de fluctuation dans l'entreprise. Dans un deuxième temps, il s'agit d'associer à ces simples chiffres des déclarations, des souhaits et des attitudes - à l'aide d'enquêtes régulières et comparables auprès des collaborateurs. Les employés peuvent ainsi donner un feedback concret et faire part de leur (in)satisfaction dans différents domaines.

Pour pouvoir prendre des mesures concrètes à partir de ces enquêtes et les mettre en œuvre, un data scientist du service RH doit ensuite évaluer les données en détail et les traiter de manière transparente. Les enquêtes se succèdent ensuite à intervalles réguliers - avec des questions récurrentes, afin que les résultats restent comparables. Le troisième domaine, les entretiens personnels, donnent enfin la possibilité d'obtenir également des réponses individuelles. Il est ainsi possible de prendre en compte la situation spécifique de chaque collaborateur et son rôle dans l'entreprise.

2. le nouveau rôle du "people scientist

Quel que soit le type de collecte de données, ce n'est qu'après une analyse complète qu'il est possible de tirer des conclusions et de planifier des mesures RH de manière stratégique. Comme les exigences envers le domaine des RH augmentent et que les outils et les systèmes se transforment rapidement, un nouveau rôle est nécessaire : celui de people scientist. Il s'agit d'un data scientist qui se concentre sur la collecte et l'analyse systématiques des données des collaborateurs. Le people scientist est également responsable de la publication transparente des données nécessaires à la prise de décisions réellement orientées vers les collaborateurs.

3) Expériences positives des employés

L'objectif est évident : des collaborateurs satisfaits. En effet, ces derniers ont de bonnes raisons de rester dans l'entreprise et il est prouvé qu'ils sont plus productifs. Les expériences positives des collaborateurs, par exemple sous la forme de processus sans faille ou d'avantages concrets de l'employeur, tracent la voie pour y parvenir. La crise Corona a justement donné un nouveau poids à la santé et au bien-être général (mental et physique) des employés. Un équipement de bureau technique moderne en fait partie à l'heure de la numérisation. En outre, les entreprises marquent des points avec une bonne restauration grâce à la cantine d'entreprise, des possibilités internes de garde d'enfants, des offres de santé et de sport, des espaces de détente ou des options de travail mobile et décentralisé - pour ne citer que quelques exemples possibles. Mais les mesures prises par l'entreprise doivent toujours être basées sur les données et les besoins concrets des collaborateurs. En outre, il ne s'agit pas de rendre le travail "supportable" pour les collaborateurs par des facteurs extérieurs, mais de le rendre durablement positif et efficace afin d'exploiter tout son potentiel.

4. offres de formation continue et possibilités de promotion

La possibilité de se développer et de s'épanouir constitue pour de nombreux professionnels une incitation à rester à long terme dans l'entreprise. Les offres concrètes de formation continue et la perspective d'une promotion au sein de l'entreprise jouent un rôle particulièrement important pour la jeune génération dans le choix d'un employeur approprié.

Le thème de la formation continue a pris de l'importance en Suisse, notamment pendant la crise de Corona. Selon une Enquête de la Fédération suisse pour la formation continue une grande partie des entreprises accordent une grande importance à la formation continue pour faire face aux effets de la pandémie. Mais de nombreuses PME économisent malgré tout sur la formation continue : Près d'un tiers des PME ayant un besoin accru de formation continue n'ont pas modifié leur activité de formation continue ou l'ont même réduite.

5. culture d'entreprise

Enfin, la fidélisation des collaborateurs est toujours une question de culture d'entreprise. Il s'agit d'instaurer la confiance nécessaire chez les employés pour qu'ils puissent et veuillent faire valoir leurs opinions et idées individuelles. La voie est ainsi ouverte aux innovations qui garantissent le succès et la compétitivité de l'entreprise à long terme. Ici aussi, les entreprises doivent agir de l'intérieur, construire la culture et le modèle de l'intérieur. Celles qui connaissent parfaitement leurs propres valeurs et qui sont également en mesure de les transmettre peuvent créer une atmosphère dans laquelle les collaborateurs se sentent intégrés. Dans l'idéal, ils sont alors motivés non seulement de manière extrinsèque, mais aussi de manière intrinsèque, parce que les objectifs et les valeurs de l'entreprise correspondent aux leurs ou y contribuent.

People Management : "Garder ses collaborateurs ne s'improvise pas".

Simone Seidel, Director People Central Europe chez Sage, tire la conclusion suivante : "Aucune entreprise ne peut se reposer sur le fait d'attirer du personnel qualifié et partir du principe qu'il restera - les collaborateurs doivent aussi vouloir rester et être motivés. Les services RH modernes ont donc une image aussi claire de leurs collaborateurs que le service marketing de ses clients. Car ces deux groupes assurent le succès de l'entreprise. Dans ce domaine de responsabilité passionnant, il vaut la peine de réorganiser le département RH - car celui-ci peut créer activement et de manière ciblée les conditions d'une People Company".

Source : www.sage.com

Trans Swiss Triathlon 2021 : Exclusif pour 30 Leaders & Innovators

Expérience riche, unique, légendaire - voilà ce qu'est le Trans Swiss Triathlon. Cette année, il se déroulera sous la forme d'un événement de réseautage sportif exclusif pour un nombre limité de participants. Les Leaders & Innovators ambitieux peuvent s'inscrire jusqu'au 6 juin.

Cette année, le Trans Swiss Triathlon est une occasion exclusive de faire du sport et de réseauter - les participants ambitieux peuvent s'inscrire jusqu'au 6 juin 2021.

Depuis 1987, la Trans Swiss Triathlon réunit des triathlètes, des leaders et des innovateurs autour de trois disciplines puissantes, combinées à une passion et un enthousiasme communs pour le style de vie du triathlon.

En 2021, le Trans Swiss Triathlon sera organisé pour la première fois avec un réseautage exclusif d'égal à égal et des invités spéciaux pour 30 participants* exclusifs. Des rives du lac Majeur aux chutes du Rhin, en passant par le Saint-Gothard, le parcours se déroulera en 3 étapes, 274 kilomètres de chemin, 2400 mètres de dénivelé.

Après la performance sportive de haut niveau, un réseautage informel avec des invités spéciaux attend les participants. (Image : zVg)

En tant que sportifs d'endurance* issus de la société et de l'économie, un package de 3 jours de compétition et d'échange d'expériences attend les participants. Le sport permet de rencontrer des personnes partageant les mêmes idées. Les invités spéciaux Eva Hürlimann, triathlète accomplie et détentrice du record du monde des 10 Ironman, ainsi que le multiple champion suisse, champion du monde de duathlon et multiple vainqueur d'Ironman, Olivier Bernhard, apporteront des impulsions fraîches et de nouvelles incitations lors du réseautage informel entre les participants le soir.

Informations & inscription https://www.transswiss.ch/

Frais de participation, package inclus : CHF 2500 net / par personne

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