Donner un visage et une voix aux femmes occupant des postes de direction

Pourquoi parle-t-on toujours de celles qui n'existent pas ? L'association Entreprises au féminin souhaite donner un visage et une voix aux 60 000 femmes occupant déjà des postes à responsabilité.

Donner un visage aux entrepreneuses et aux femmes occupant des postes à responsabilité : de gauche à droite, Melanie Haux (téléphone portable), Alina Russ, Frederike Asael et Karin Strub-Lienhard lors de la conférence annuelle 2018 au GDI. (Image : Photo : Ruxandra Balea)

Les thèmes féminins tels que l'égalité des genres, le Pay Gap et les quotas de femmes ont le vent en poupe en politique, dans l'économie privée et dans les médias. Partout, les femmes semblent manquer de représentantes. On cherche désespérément des oratrices pour des conférences ou des candidates adéquates pour les conseils d'administration. On cite volontiers les statistiques qui montrent que la Suisse est loin derrière en matière de quotas de femmes dans les instances dirigeantes. Mais il est rare que les quelque 60 000 femmes entrepreneurs indépendantes de Suisse, qu'il s'agisse d'entreprises individuelles ou de petites entreprises, figurent dans ces statistiques. Le nouveau comité de l'association Entreprises au féminin, élu le 10 avril, s'engage à donner une voix à ces femmes qui occupent des postes de direction.

Petit, mais d'une importance croissante

Sur les plus de 594 000 indépendants exerçant leur activité principale, plus de 10,3% sont des femmes (bfs, 2017). Elles dirigent des start-ups innovantes, des entreprises individuelles et des petites entreprises. Ces entreprises sont peut-être petites par rapport aux grands groupes internationaux. Mais leur importance est indiscutable lorsqu'il s'agit de modèles commerciaux innovants et agiles, de concilier vie professionnelle et vie familiale et d'offrir des possibilités attrayantes aux employés à temps partiel. Et la quatrième révolution industrielle va encore accroître l'importance économique des travailleurs indépendants dans les secteurs des services, de la technologie et de la santé.

Les statistiques publiées par l'Ofs en 2018 sur les créateurs d'entreprise en Suisse le prouvent également. Avec une tendance à la hausse, 35,3 % de toutes les nouvelles entreprises avaient déjà été créées par des femmes seules en 2017. Et cette tendance peut également être observée sur le long terme : Au deuxième trimestre 2018, les femmes entrepreneurs représentaient 37,3% de tous les entrepreneurs - alors qu'elles n'étaient que 28,2% en 1991.

Une solution de prévoyance propre pour les femmes entrepreneurs

Le fait que 60 000 femmes indépendantes et leurs entreprises ne soient pas prises en compte par la politique et les médias n'est qu'un des défis auxquels les femmes entrepreneurs sont confrontées : Tant qu'elles n'ont pas d'employés, elles sont souvent prises entre le marteau et l'enclume en ce qui concerne la prévoyance du 2e pilier, elles n'ont guère accès aux grandes associations économiques et aux réseaux commerciaux et elles ont du mal à obtenir un soutien public.

C'est pourquoi l'association Entreprises au féminin s'engage depuis 21 ans pour donner un visage et une voix aux femmes qui ont leur propre entreprise. En 2017, par exemple, la première solution de prévoyance intersectorielle pour les entrepreneurs individuels* a été mise en place en Suisse. Avec le nouveau comité élu en avril, il ne s'agira pas seulement de poursuivre les projets couronnés de succès dans les années à venir, mais aussi de lancer de nouvelles initiatives qui donneront plus de visibilité et de poids aux femmes entrepreneurs en Suisse. "Oui, dans de nombreux domaines, il manque des modèles féminins et des candidates. Mais là où nous en avons en Suisse, nous devons leur donner de la visibilité et créer des conditions-cadres qui leur permettent de grandir. C'est une contribution essentielle à la force d'innovation et à l'attractivité de la place économique suisse", déclare Chantal Schmelz, présidente nouvellement élue de l'Association des entreprises féminines.

Plus d'informations : Association des entreprises féminines 

Bonne ou mauvaise ? - Bien évaluer la qualité des données

La gestion de la qualité des données de base et des données de mouvement est devenue l'un des principaux sujets de préoccupation des PME. La raison en est la numérisation et l'industrie 4.0. Pour pouvoir évaluer suffisamment la qualité de ses propres données, le fabricant d'ERP proALPHA conseille de se référer à sept critères.

Que ce soit pour le big data ou l'industrie 4.0, la qualité des données devient de plus en plus un facteur déterminant pour la performance des systèmes dans les entreprises. (Image : Fotolia.com)

Par le passé, de nombreuses entreprises ont négligé la qualité de leurs données, pour diverses raisons. Elles n'étaient pas conscientes ou acceptaient que leurs systèmes ERP n'aient ainsi que des performances sous-optimales. Avec la numérisation des processus et l'essor fulgurant de l'intelligence artificielle (IA), cela devient un risque encore plus grand. Car il est scientifiquement prouvé à suffisance : Une mauvaise qualité des données influence l'efficacité et les résultats, même avec des systèmes d'IA comme les machines auto-apprenantes. Ceux qui ne sont pas encore passés à l'action devraient donc prendre des mesures.

Sept conseils pour améliorer la qualité des données

Le fabricant d'ERP proALPHA conseille de soumettre les données à un test de performance en sept étapes, qu'il s'agisse de ses propres données ou d'informations provenant d'autres sources, telles que les agences de renseignements commerciaux et autres fournisseurs tiers. Les paramètres de performance décisifs sont les suivants :

  1. ComplètementLe manque d'informations est plus qu'ennuyeux. Plus les processus sont numérisés, plus il est important de disposer de toutes les données nécessaires. Si, par exemple, les informations sur les composants d'un produit sont incomplètes, le processus de production peut être bloqué ou le produit final peut ne pas correspondre aux spécifications. Pour garantir la performance des processus commerciaux, il est recommandé de définir des champs obligatoires et d'effectuer des contrôles automatisés à certains points du processus. Les entreprises ne doivent toutefois pas tomber dans la "frénésie de collecte de données". En effet, depuis l'entrée en vigueur du règlement général sur la protection des données (RGPD), le principe d'économie s'applique aux données à caractère personnel : seules les informations réellement nécessaires peuvent être enregistrées. Les données qui ne sont plus nécessaires doivent être supprimées de manière durable. (Cela vaut d'ailleurs aussi pour les entreprises suisses qui disposent de données provenant de l'espace européen, ndlr).
  2. ActuelLes données d'adresses et de contacts non synchronisées sont un exemple parfait d'informations obsolètes. C'est justement parce que les commerciaux ne passent que sporadiquement au siège que, par le passé, la base de données clients n'était jamais à jour. Les solutions CRM mobiles permettent de remédier à cette situation. Elles tiennent également à jour les informations critiques pour la production, comme les données de stock. Toutefois, il n'est pas nécessaire de disposer de tous les statuts en temps réel. Les entreprises devraient plutôt examiner leurs processus afin de déterminer où une mise à disposition plus rapide des données permet d'augmenter la productivité et d'agir précisément à ce niveau.
  3. CohérentLes enregistrements de données dans différents systèmes ne doivent pas se contredire. Dans la pratique, une double gestion des données dans plusieurs silos de données et un transfert manuel entraînent "seulement" un surcroît de travail pour la saisie des données dans le meilleur des cas. Dans le pire des cas, des erreurs surviennent, par exemple lors du transfert des données de commande dans un logiciel d'assurance qualité. Grâce aux techniques d'intégration modernes, les incohérences qui en résultent sont aujourd'hui relativement faciles à maîtriser.
  4. Conforme : Les données doivent répondre aux exigences des systèmes et des processus, par exemple être disponibles dans le format approprié, si possible standardisé. Les formats de date et de devise sont des classiques. Pour les horodateurs, il faut également veiller à ce que le fuseau horaire soit saisi en plus des heures et des minutes. En effet, il y a douze heures de décalage entre 8 heures à Shanghai et 8 heures à São Paulo.
  5. Exactement : Les données doivent être précises. Plus précisément : elles doivent être suffisamment précises. En effet, tous les processus commerciaux ne nécessitent pas des données de haute précision à la énième décimale. Ici aussi, les entreprises devraient d'abord se demander : quelle doit être la précision des valeurs de mesure et autres données ? L'exactitude requise devrait ensuite être suivie côté système par des règles et des contrôles de données appropriés.
  6. UniqueLes doublons ne font pas que gonfler inutilement la base de données. Ils entraînent également des demandes de renseignements inutiles. S'ils ne sont pas détectés, des erreurs d'interprétation surviennent rapidement. Par exemple, lorsqu'un fournisseur a plusieurs numéros de fournisseur et que, de ce fait, des chiffres clés tels que le volume des contrats pour les négociations de rabais ne sont pas agrégés. Il est déjà possible de filtrer les données redondantes d'un stock avec les moyens de bord d'un programme de tableur. Cependant, les doublons s'insinuent toujours et le travail recommence. Un gestionnaire automatisé de la qualité des données offre un moyen plus durable d'obtenir des données propres.
  7. CorrectCe critère renvoie, outre l'actualité, à un autre aspect essentiel : l'exactitude, la fiabilité des données. Le débat actuel sur les fake news le souligne une fois de plus : une information "très actuelle" sur les difficultés économiques d'un fournisseur ne doit pas nécessairement être correcte. Les sources auprès desquelles les entreprises se procurent des informations importantes pour leur activité doivent donc être compréhensibles et crédibles.

Une gestion durable de la qualité est nécessaire

La relation des entreprises avec leurs données est souvent ambiguë : à certains endroits, par exemple dans le domaine de la vente ou de la finance, on se méfie parfois ouvertement de leur qualité ; à d'autres endroits, par exemple dans la production, la qualité est souvent surestimée. Une gestion durable de la qualité des données est utile à trois égards : elle évite les erreurs coûteuses, augmente la confiance dans ses propres données et permet de prendre de meilleures décisions. Mais surtout, des données correctement gérées aident à numériser les processus. Pour obtenir ce plus en matière d'efficacité axée sur les données, les entreprises peuvent s'inspirer des équipes sportives de haut niveau : Il faut une analyse profonde et honnête, une stratégie claire et un engagement individuel pour une amélioration continue, à tous les niveaux de l'équipe.

Source : proALPHA

Le taux élevé de rotation du personnel inquiète les entreprises suisses

La dernière étude sur le marché de l'emploi du prestataire de services en ressources humaines Robert Half atteste d'un taux de rotation élevé des collaborateurs dans les entreprises. Parmi les principales raisons de changement, l'étude cite le manque d'équilibre entre vie professionnelle et vie privée et un salaire trop bas.

Dans de nombreuses entreprises suisses, le taux de rotation du personnel est élevé. (Image : hudhummy / Pixabay.com)

La pénurie de main-d'œuvre qualifiée sur le marché du travail a entraîné la création d'un marché de candidats dans de nombreux secteurs. Ainsi, les possibilités de choix ont nettement augmenté pour de nombreux travailleurs. Toutefois, cela entraîne également une forte propension au changement chez les travailleurs suisses : Plus d'un tiers des entreprises (34 %) indiquent que la fluctuation volontaire des collaborateurs a augmenté au cours des trois dernières années. C'est ce que révèle la dernière étude sur le marché du travail du prestataire de services en ressources humaines Robert Half.

Rester attractif pour les collaborateurs

En conséquence, plus d'un tiers des personnes interrogées (34 %) estiment que le plus grand défi de la gestion des talents est de maintenir la motivation et l'engagement de l'équipe existante. "Attirer de nouveaux collaborateurs, raccourcir le processus de recrutement et améliorer la communication - tout cela reste en tête de l'agenda. Mais les mesures visant à fidéliser les collaborateurs deviennent de plus en plus importantes pour le succès de l'entreprise", commente le Dr. Zerrin Azeri, directrice associée chez Robert Half à Zurich. "Les entreprises doivent donc réagir rapidement si elles veulent rester attractives pour leurs employés actuels".

Aligner les changements sur les motifs de changement les plus fréquents

La fluctuation des collaborateurs est un problème commun à tous les secteurs d'activité. En revanche, les raisons pour lesquelles les employés démissionnent diffèrent selon la taille de l'entreprise. Alors que dans les grandes entreprises, c'est le salaire insuffisant (44 %) qui est le plus souvent cité comme cause, dans les petites entreprises, c'est le manque de liberté (38 %) qui incite les collaborateurs à chercher un nouvel employeur. Dans les moyennes entreprises, il y a trois raisons principales pour lesquelles les employés quittent l'entreprise : un mauvais équilibre entre vie professionnelle et vie familiale, un manque de développement de carrière et un manque de reconnaissance des performances (32 % chacun).

"Pour que les mesures soient efficaces, les entreprises devraient analyser précisément les raisons du départ des collaborateurs. Dans les grandes entreprises, il est recommandé de jeter un regard critique sur les packages salariaux. Si les budgets ne permettent pas de faire des bonds salariaux importants, des offres alternatives peuvent inciter les collaborateurs à partir", explique Azeri. "Les petites et moyennes entreprises devraient en revanche réfléchir à la manière d'accorder une plus grande liberté à leurs collaborateurs ou de développer des parcours de carrière".

Source : www.roberthalf.ch

Augmentation du chiffre d'affaires de plus de 25% chez Intersys

L'entreprise de développement de logiciels individuels Intersys a pu augmenter son chiffre d'affaires de 28% au cours du dernier exercice, passant de 5,4 à 6,9 millions de francs. Sur la même période, le bénéfice a augmenté de plus de 0,5 million de francs. Le nombre de collaborateurs est passé de 32 à 37 en 2018.

Adrian Hutzli d'Intersys AG peut annoncer une augmentation du chiffre d'affaires de plus de 25%. (Image : zVg / Intersys AG)

L'entreprise de développement de logiciels individuels Intersys a pu augmenter son chiffre d'affaires de 28% au cours du dernier exercice, passant de 5,4 à 6,9 millions de francs. Dans le même temps, le bénéfice a augmenté de plus de 0,5 million de francs. "Ce succès financier a également permis à l'entreprise de distribuer des bonus et des dividendes et d'augmenter ses effectifs au cours de sa vingtième année d'existence", déclare Adrian Hutzli, CEO d'Intersys. En 2018, le nombre de collaborateurs est passé de 32 à 37.

Projets de données complexes dans les grandes entreprises

L'année 2018 a été marquée par quelques adaptations au sein de l'organisation et par le développement de nouveaux services, qui ont eu un impact financier positif. Par exemple, la vente de services et de licences Cassandra a non seulement permis de gagner de nouveaux clients, mais aussi de générer des bénéfices supplémentaires du côté de l'Ebit. Il s'agit par exemple de nouveaux projets de données complexes pour de grandes entreprises suisses. Au total, les acquisitions de projets auprès de trois grands clients ont permis d'augmenter le nombre de collaborateurs et d'investir dans la nouvelle stratégie. Hutzli avait commencé à adapter l'orientation stratégique de l'entreprise pour les trois à cinq prochaines années au quatrième trimestre 2018. La mise en œuvre concrète doit être lancée au deuxième semestre 2019. Hutzli : "Dans ce contexte, il est important pour nous de conserver ce qui a fait ses preuves et d'intégrer des nouveautés. L'objectif est par exemple de développer des produits à succès à partir de services existants, avec lesquels l'entreprise pourra évoluer". Des approches de produits pour la gestion des appareils médicaux (MaMeDe, Management of Medical Devices) ou pour la localisation des appels d'urgence (Location Server) sont en cours de développement et suscitent déjà un grand intérêt sur le marché.

Premières expériences de nearshoring

Afin de compenser le manque de compétences et de pouvoir réagir de manière flexible en cas de manque de ressources, l'entreprise a réalisé ses premiers projets en nearshoring. Au cours de l'exercice actuel, Hutzli veut étendre cette collaboration, mais tous les contacts avec les clients continueront d'être gérés par Intersys depuis la Suisse. "Le développement nearshore s'est avéré être pour nous une alternative efficace pour la mise à disposition de capacités de développement. Nous voulons cependant continuer à promouvoir et à développer les capacités dans le domaine de la gestion de produit, du Product Owner, du Requirement Engineering, des spécifications GUI pour la collaboration directe avec nos clients au sein d'Intersys en Suisse", souligne Hutzli.

Nouveau pour les PME suisses : la technologie de portail BI d'ABRA

ABRA Software est l'un des principaux fournisseurs de solutions d'entreprise en République tchèque. Depuis fin 2017, l'entreprise est également domiciliée en Suisse, à Winterthur. L'un des principaux produits pour le marché DACH est la solution ABRA Business Intelligence, qui est désormais également disponible en tant que solution de portail pour les PME suisses.

La technologie de portail BI d'ABRA Software est désormais disponible pour les PME suisses. (Image : ABRA Software AG)

"Les exigences de qualité, d'efficacité et de productivité sont des bases idéales pour l'utilisation de systèmes numériques innovants. ABRA BI Portal Solution est la réponse aux efforts des PME pour rester compétitives à l'avenir, et ce à un coût raisonnable", estime Marzio Tomasetto.

Réseau diversifié de partenaires d'ABRA Software AG

Avec Marzio Tomasetto, c'est un connaisseur expérimenté de la scène informatique européenne qui est actif dans la région DACH. En tant que directeur, il est notamment responsable de la mise en place et du suivi du réseau de partenaires dans ces régions. Outre la collaboration avec des entreprises de conseil, la coopération avec les fournisseurs les plus divers est au centre de ses préoccupations. "Notre réseau doit être considérablement élargi au cours des prochaines années", explique-t-il. Outre la solution ABRA BI Portal Solution, les partenaires potentiels attendent un programme de partenariat intéressant à des conditions intéressantes.

La technologie du portail ABRA BI développée pour les PME

L'architecture du paysage BI marque l'utilisabilité. "Les données sont là, mais elles ne sont pas intégrées ou ne peuvent être comparées que manuellement avec MS Excel", se plaignent de nombreux entrepreneurs. Avec la solution ABRA BI Portal, celle-ci peut être utilisée comme point d'entrée central pour l'ensemble de la collecte d'informations, où les rapports sur les finances, les chaînes de processus et de livraison ou sur les produits, les clients et les fournisseurs sont traités de manière uniforme avec une terminologie, des évaluations et des données continues.

Le portail ABRA Business Intelligence basé sur le web traite et affiche des tableaux et des graphiques en fonction des besoins du client. Sur chaque appareil connecté à Internet, les données provenant des sources de données les plus diverses sont organisées et affichées de manière structurée. À partir de toutes les sources de données pertinentes de l'entreprise, qu'elles soient économiques ou techniques, il est possible d'établir les évaluations les plus diverses sous forme de graphiques, de diagrammes, d'analyses KPI et de les mettre à la disposition du management pour qu'il puisse prendre des décisions.

Plus d'informations : www.abrasoftware.ch

AWK Group récompensé par le Prix Balance d'encouragement

La société de conseil en informatique AWK Group est l'une des sept entreprises à avoir reçu le Prix Balance d'encouragement 2019, décerné par le Bureau de l'égalité du canton de Zurich, pour son engagement exceptionnel et innovant dans son secteur.

Le groupe AWK est l'une des sept entreprises à avoir reçu le Prix Balance d'encouragement cette année.

Le certificat de reconnaissance obtenu reconnaît des conditions progressistes favorisant la conciliation. Il s'agit notamment de bonnes pratiques telles que la diversité, des modèles de travail flexibles pour les hommes et les femmes et une culture de la conciliation qui donne des signes clairs d'un environnement de travail tourné vers l'avenir et d'un investissement durable dans les collaborateurs. Avec un indice de conciliation de 79%, AWK fait globalement 7% de mieux que la moyenne des entreprises participant au Prix BalanceZH et dépasse la moyenne des résultats de ses concurrents sur 15 des 17 points de l'étude.

Pour AWK, la reconnaissance en tant qu'employeur liée à la certification est une confirmation importante de la voie empruntée et en même temps une grande motivation pour continuer à exploiter de manière responsable le potentiel d'optimisation existant. La volonté d'offrir aux collaborateurs d'AWK une culture d'entreprise valorisante, de vivre activement l'égalité des chances et de promouvoir de manière ciblée l'équilibre entre les intérêts privés et les exigences professionnelles est toujours au premier plan.

"Nous sommes ravis. Cette distinction reflète l'estime que nous portons à nos collaborateurs et montre clairement que notre engagement permanent en faveur de conditions de travail optimales est bien perçu. En même temps, notre certification renforce la perception extérieure d'AWK en tant qu'employeur attractif", commente Sandra Crouse, responsable des ressources humaines du groupe AWK.

Le Prix BalanceZH est une certification pour les employeurs qui offrent des conditions exceptionnelles pour la conciliation de la vie professionnelle et de la vie privée. Depuis 2011, le Bureau de l'égalité récompense les employeurs du canton de Zurich en leur décernant le Prix BalanceZH. Cette fois-ci, Great Place to Work était présent en tant que partenaire indépendant et responsable de la méthodologie, de la réalisation et de l'évaluation du prix. Cette année, sept entreprises au total ont reçu le Prix Balance d'encouragement pour leur engagement courageux.

Source : www.awk.ch

Les voyageurs d'affaires suisses : Moins de compagnies aériennes à bas prix - Economy au lieu de Business Class

Les voyageurs d'affaires suisses ont réservé davantage de billets en classe économique sur les vols intercontinentaux en 2018. En revanche, la part des billets en classe affaires a diminué. C'est ce que montrent les chiffres publiés récemment par le prestataire de services de voyages d'affaires AirPlus.

En 2018, les voyageurs d'affaires suisses ont moins misé sur les compagnies low cost et ont voyagé davantage en classe économique. (Image : Rainer Sturm / pixelio.de)

Le volume mondial des voyages d'affaires dépend de différents facteurs - internes à l'entreprise d'une part, externes d'autre part. La conjoncture économique générale joue un rôle, tout comme les répercussions et les incertitudes dues aux attentats terroristes ou au Government Shutdown aux États-Unis au tournant de l'année 2018/19.

En Suisse, le Government Shutdown n'a toutefois pas eu d'impact direct sur les voyages d'affaires à destination des Etats-Unis, comme en témoignent les chiffres des vols effectués via AirPlus. L'Amérique - New York en tête - reste la destination d'outre-mer la plus fréquemment visitée par les Suisses pour leurs affaires. "En revanche, le shutdown a probablement eu un impact nettement plus important sur les activités de voyages d'affaires ex USA ou à l'intérieur des Etats-Unis, car les employés des administrations ont dû renoncer en grande partie à voyager", explique Andy Stehrenberger, directeur d'AirPlus en Suisse.

Le débat sur le climat atteint le secteur du voyage d'affaires

Dans le débat actuel sur la protection du climat et de l'environnement, l'aviation occupe une place importante. Cela n'est pas sans conséquences dans le domaine des voyages d'affaires. "La sensibilisation au thème de l'environnement a aussi nettement augmenté dans le domaine des voyages d'affaires. Nous enregistrons par exemple de plus en plus de demandes de rapports sur le climat ainsi que des conversions à l'e-billing et aux processus sans papier. Nous sommes toutefois loin d'un boycott des vols dans le domaine des voyages d'affaires", explique Stehrenberger en commentant une évaluation des données de vol des clients d'AirPlus. Les dépenses moyennes pour les voyages en train ont certes légèrement augmenté, mais cela ne correspond qu'à la croissance habituelle et ne constitue pas un résultat du débat sur le climat.

Les transporteurs low cost continuent de perdre du terrain

La part des compagnies aériennes à bas prix utilisées à des fins professionnelles continue de diminuer. Alors qu'en 2016, près de 10 % des voyageurs d'affaires se tournaient encore vers une compagnie low cost (9,9 %), ils n'étaient plus que 8,0 % en 2018. Cela ne signifie pas pour autant que les coûts des vols ont augmenté de manière excessive : En 2018, les entreprises ont payé en moyenne 435 CHF par vol européen (2017 : 433 CHF) et 2978 CHF par vol intercontinental (2017 : 2932 CHF). Alors que les classes de service sont restées pratiquement inchangées sur les vols européens (96,3 % en classe économique, 3,4 % en classe affaires), les voyageurs d'affaires suisses ont manifestement fait un peu plus attention à leur budget sur les vols intercontinentaux : 50,3 % des voyageurs ont voyagé en classe économique (+1,6 point de pourcentage par rapport à l'année précédente) et 48,6 % en classe affaires (-1,4 point de pourcentage par rapport à l'année précédente). La part de la première classe est restée inchangée à 0,4 % en 2018.

Londres et New York sont les destinations phares des voyageurs d'affaires suisses

Les vols des voyageurs d'affaires suisses sont à 74,6 pour cent à destination de l'Europe, 24,2 pour cent sont intercontinentaux et 1,2 pour cent des vols effectués par AirPlus ont lieu à l'intérieur de la Suisse. Les villes les plus souvent visitées pour des raisons professionnelles sont Londres, devant Düsseldorf, Vienne et Berlin ou, sur le long-courrier, New York, devant Shanghai, Singapour et Moscou. Les mois de septembre à novembre sont les plus appréciés : 30,3 % des vols d'affaires sont effectués au cours de ces trois mois. Les mois les moins fréquentés sont août (5,4 %) et décembre (5,7 %). Bien que le thème du bleisure - c'est-à-dire une combinaison du voyage d'affaires (business) avec un séjour de loisirs (leisure) - suscite de plus en plus d'intérêt, notamment auprès de la jeune génération, le lundi reste le jour de voyage le plus apprécié - 27 pour cent des billets d'avion facturés par AirPlus tombent en début de semaine.

La proportion de femmes ne cesse d'augmenter

La part des femmes qui entreprennent des voyages d'affaires augmente lentement mais sûrement. Aujourd'hui, leur part est de 20,8 % - en 2015, ce chiffre était encore inférieur à la barre des 20 %. En ce qui concerne la destination du vol (domestique, européen, intercontinental), on ne constate guère de différence entre les sexes, contrairement au choix des classes de service. Les femmes voyagent à 83,9 % en classe économique (82 % pour les hommes) et à 15,8 % en classe affaires (17,5 % pour les hommes). De manière générale, on constate que les vols sont réservés plus tôt en 2018 que l'année précédente (25,3 jours avant le départ en 2018 contre 24,5 jours en 2017). Les femmes réservent leurs vols en moyenne 27,6 jours avant le départ, les hommes seulement 24,5 jours - mais les valeurs se rapprochent. Il est également réjouissant de constater que la part des billets d'avion annulés est en baisse constante et s'élève cette année à 2,7 pour cent. Là encore, avec un taux d'annulation de 2,3 %, les femmes s'en sortent mieux que leurs collègues masculins (2,8 %).

Source : AirPlus

Le climat export des PME suisses s'affaiblit légèrement

Le climat export des PME suisses continue de s'affaiblir, mais reste globalement positif. Pour le 2e trimestre, 47% de toutes les PME s'attendent à une hausse des exportations, tandis que 38% prévoient une stagnation.

Le climat d'exportation s'affaiblit, mais retrouve ainsi la normalité. (Image : Switzerland Global Enterprise)

L'enquête actuelle de Switzerland Global Enterprise (S-GE) sur le climat d'exportation ainsi que le baromètre des exportations du Credit Suisse confirment la tendance à la baisse du climat d'exportation des mois précédents. La légère baisse des attentes des PME s'explique en premier lieu par les signes d'un recul persistant de la croissance industrielle en Europe et en particulier en Allemagne. Néanmoins, S-GE et Credit Suisse considèrent les résultats de l'enquête comme un retour à la normale.

On paie volontiers pour la qualité suisse

Les PME suisses citent la "suissitude" comme un facteur de succès central dans l'internationalisation. Une grande partie des PME interrogées indiquent que les clients étrangers apprécient leur qualité et que beaucoup sont prêts à payer plus pour cela. Du point de vue des PME, la stabilité économique et politique plaide en faveur de la Suisse comme lieu d'implantation des entreprises. Sascha Jucker, économiste au Credit Suisse, déclare : "Même si les prévisions d'exportation pour la Suisse s'affaiblissent légèrement, la demande étrangère pour les produits suisses reste intacte. La détérioration du climat industriel en Europe est en outre contrebalancée par un climat un peu plus stable aux Etats-Unis. Les perspectives pour l'économie d'exportation suisse restent donc bonnes".

"Pas de quoi s'inquiéter"

Alberto Silini, responsable du conseil chez Switzerland Global Enterprise (S-GE), constate : "L'affaiblissement du climat d'exportation n'est pas une source d'inquiétude. Il s'agit plutôt pour les exportateurs de se positionner à long terme sur les différents marchés. La qualité suisse est un atout qu'ils peuvent faire valoir à cet égard".

Selon le dernier baromètre des exportations, le marché d'exportation de loin le plus important est et reste l'Allemagne. C'est vers cette destination que 81% des PME interrogées souhaitent exporter des biens ou des services au cours des six prochains mois. Avec 63% des citations, la France arrive une nouvelle fois en deuxième position, suivie par les États-Unis avec 60% des citations. L'Autriche arrive en quatrième position avec 551 TP2T, suivie de l'Italie et de la Chine avec 501 TP2T chacune. La septième place est occupée par l'Espagne avec 47%, suivie de la Pologne avec 44%. En ce qui concerne les nouveaux marchés d'exportation, 16% des PME interrogées ont indiqué vouloir s'implanter en Chine au cours du prochain semestre. L'Inde suit avec 14%, 11% visent le Japon et les Émirats arabes unis, et 10% ont cité la Russie et l'Indonésie comme nouvelles destinations. 9% des PME souhaitent désormais exporter vers l'Amérique du Sud ou les pays du Golfe.

Source : Switzerland Global Enterprise

Le Digital Economy Award entre dans sa deuxième phase

Le délai de soumission pour le Digital Economy Award est ouvert. Un jury composé d'éminents experts en TIC recherche jusqu'au 21 juin les entreprises les plus matures sur le plan numérique en Suisse et leurs projets les plus innovants. Les meilleurs des meilleurs seront récompensés dans quatre catégories lors du gala du Digital Economy Award au Hallenstadion le 28 novembre.

Le Digital Economy Award sera décerné pour la deuxième fois le 28 novembre 2019 lors d'une "Award Night". Le délai de soumission est ouvert. (Image : Service de presse / zVg)

Le site Le prix de l'économie numérique a été décerné pour la première fois en 2018. est décerné chaque année. Il est organisé par l'association de la branche des TIC swissICT et la maison d'édition spécialisée Netzmedien AG et est né de la fusion du Swiss ICT Award et du Swiss Digital Transformation Award. La prochaine remise des prix aura lieu le 28 novembre 2019 au Hallenstadion de Zurich. Lors de cette Digital Economy Award Night, des prix seront décernés comme l'année précédente dans les catégories "Digital Innovation Of The Year", "The Next Global Hot Thing", "Digital Transformation Award" et "Highest Digital Quality". Au sein de la catégorie "Highest Digital Quality", des entreprises seront certifiées en 2019 dans les catégories "Lean, Agile & Scrum", "Sourcing & Cloud", "Industrie 4.0", "User Experience", "Security" et "Open Source".

Les prix sont décernés par des jurys d'experts de renom. Les cinq présidents suivants dirigent les jurys : Marcus Dauck (Ringier, CIO), Lukas Bär (Implement Consulting Group, partenaire), Pascal Kaufmann (Starmind, fondateur), Samy Liechti (Blacksocks, CEO & Founder) ainsi que Bramwell Kaltenrieder (Exploit Management Advisory, professeur de Digital Business et d'innovation).

De nouvelles têtes dans le jury

Peter Kummer, CIO des CFF, Robert Fritze de ti&m, Daniel Arber d'eOperations et Lucas Nicolussi de la ville d'Uster font désormais partie du comité. Du côté de Microsoft, Stefano Mallè remplace Marianne Janik au sein du jury.

Il y a également du nouveau chez les partenaires de scouting. Cette année, le Blockchain Hub Trust Square de Zurich signalera les start-up les plus prometteuses au jury de la catégorie "The Next Global Hot Thing". Un nouveau prix spécial promet également beaucoup de suspense : SIX, en collaboration avec le F10 FinTech Incubator & Accelerator, désignera un vainqueur dans le domaine "Fintech".

Qui succèdera à Auterion & Co ?

Auterion a été le grand gagnant de la première édition sous le nouveau format en tant que vainqueur du prix "The Next Global Hot Thing", devant plus de 500 invités le 21 novembre 2018 au Hallenstadion de Zurich. La start-up DroneTech construit des systèmes d'exploitation complets et travaille avec beaucoup de succès à les établir comme le standard mondial pour les drones d'entreprise. Les autres gagnants étaient Amnesty International Suisse, Modum.io, Ex Libris, les CFF et Sonova.

Avec plus de 100 candidatures, des projets et des entreprises de haut niveau étaient représentés dans toutes les catégories. Les candidats ont été analysés et évalués dans le cadre d'un nouveau processus de jury professionnel, avec de nouveaux membres du jury.

Comment soumettre ?

Il est possible de s'inscrire pour une soumission en cliquant sur le lien suivant : www.digitaleconomyaward.ch. Après un contrôle, les candidats reçoivent un autre lien par e-mail ; directement vers le formulaire de saisie. Celui-ci permet de déposer de la documentation, des liens et des fichiers média. À la fin du processus d'inscription, les inscrits reçoivent une confirmation par e-mail. Il n'est pas possible de déposer une candidature pour le prix "The Next Global Hot Thing". Seuls les candidats nominés par nos partenaires de scouting entrent en ligne de compte.

Digital Economic Forum DEF2019 avec les dernières technologies à portée de main

Le travail humain est-il rendu superflu par la numérisation et l'intelligence artificielle ? Les nouvelles technologies et l'automatisation nous permettent-elles de consacrer plus de temps à des activités apparemment plus significatives ou porteuses de sens ? Ces questions et leurs réponses seront au cœur du 5e Digital Economic Forum (DEF2019), qui se tiendra le 9 mai 2019.

Le DEF2019 pose la question : "Un monde sans travail ?" (Image : Digital Economic Forum)

Les robots travaillent à la chaîne plus longtemps et avec plus de précision que n'importe quel être humain - nous nous y sommes habitués. Entre-temps, des algorithmes capables d'apprendre prennent de plus en plus en charge des activités humaines complexes : Des bots conseillent les investisseurs, des assistants intelligents traduisent des textes, le big data est utilisé pour les diagnostics médicaux, l'intelligence artificielle (IA) soutient les prises de décision et il existe les premières constructions entièrement numériques, pour ne citer que quelques développements. Dans des inputs de haut niveau sur le thème "Un monde sans travail ?", le DEF2019 précise que l'être humain reste au centre des préoccupations. Pour utiliser de manière optimale les possibilités technologiques, il faut à la fois la force de travail, la force de réflexion et la créativité de l'homme. Néanmoins, les participants au DEF2019 devront se pencher sur des thèmes tels que les cyber-attaques, l'IA, la réalité virtuelle, les drones, le big data et bien d'autres encore. Les défis sociaux et politiques pour une numérisation réussie seront également mis en lumière.

Robotique de rééducation, super-cerveau et bots comme conseillers à la clientèle

Le 9 mai 2019, le DEF2019 fera à nouveau monter sur scène des experts reconnus et expérimentés dans différents domaines. Nouveauté au Palais X-Tra de la Limmatplatz à Zurich, l'un des chercheurs les plus connus en matière de cyborgs, le professeur de l'ETH Robert Riener, montrera à l'aide d'exemples impressionnants les possibilités offertes par l'interface entre l'homme et la robotique et la technologie cyborg la plus moderne. Le formateur de mémoire Markus Hofmann trouve un super-cerveau dans chaque tête et, selon le professeur Gian-Luca Bona, directeur de l'Empa, la recherche moderne sur les matériaux et le big data peuvent s'enrichir mutuellement. Le plus jeune conseiller aux États de Suisse, Damian Müller (PLR, LU), se penche sur les dimensions politiques de la numérisation.

Les Dr Lorenz Meier et Kevin Sartori, experts mondiaux en matière de drones et lauréats du Digital Economy Award, racontent des épisodes passionnants de leurs dix années d'expérience avec leurs robots volants. Marianne Wildi, banquière de renom, veut savoir si les robots peuvent être utilisés comme conseillers à la clientèle. Gianna, une interface client basée sur l'intelligence artificielle, présentée par Tino Hellmund (Head Client Service Management SIX), s'inscrit dans cette optique. Son collègue Valerio Roncone doute que les institutions traditionnelles survivent à la disruption numérique et Claudio Hintermann, le précurseur d'Abacus, connaît déjà les effets de l'ère post-impression. Enfin, le directeur de la clinique, le Dr Nicolas Krämer, fait état d'une attaque numérique venue de l'obscurité contre son hôpital. Les experts de la start-up SnowHaze de l'ETH montrent comment les gens sapent parfois par négligence la sécurité des données dans leurs activités quotidiennes. Comme toujours, le célèbre journaliste et présentateur de télévision Stephan Klapproth animera la journée avec humour.

Dans le cadre du Digital Economic Forum de cette année, il est également possible de faire des expériences avec des gants sensoriels dans un monde d'expériences. (Image : Digital Economic Forum)

Un monde d'expérience unique

Nouveauté du DEF19, un monde d'expériences unique en son genre fournit des exemples tangibles et permet de vivre des expériences pratiques avec les nouvelles technologies. Des développements et des produits issus de la numérisation sont prêts à être découverts : des robots, des gants sensoriels, communiquer avec des bots, expérimenter la force d'un exomuscle et bien plus encore. Pendant les pauses et après les exposés, il y aura suffisamment de place pour le réseautage avec les visiteurs et les intervenants ainsi que pour la visite du monde de l'expérience.

Plus d'informations : www.digitaleconomicforum.ch

La logistique de transport est révolutionnée : Acheté, livré, payé - le tout en 60 minutes

www.annanow.com : une startup fintech suisse révolutionne la logistique de transport. Chaque commande est livrée dans les 10 à 60 minutes suivant la passation de l'ordre. Plus de 5'000 boutiques ainsi que près de 100'000 taxis et coursiers à vélo en Suisse, en Allemagne et en Autriche misent sur les services d'Annanow. Des détaillants de renom en font partie et accélèrent la livraison sur le dernier kilomètre - le tout via la foule et des partenaires de livraison locaux.

Révolutionne la logistique de transport dans le commerce de détail : Daniel Gradenegger avec la plateforme www.annanow.com. (Image : zVg / Linda Pollari)

www.annanow.com est une plateforme en ligne inédite et sans doute unique en Suisse pour les services de messagerie express, les assurances et les systèmes de paiement. Le commerce de gros et le commerce local obtiennent sur une seule application le service de livraison le plus rapide et le moins cher de Suisse. "A l'avenir, celui qui ne pourra pas livrer dans les 60 minutes sera perdant", déclare Daniel Gradenegger, fondateur d'Annanow.

Logistique de transport selon le principe du partage

Voici comment cela fonctionne : Annanow détermine la disponibilité géographique des produits à chaque commande et permet, via la chaîne de livraison basée sur la foule, une livraison locale en activant les usagers de la route déjà disponibles sur place, tels que les taxis, les coursiers à vélo et les particuliers. Les distances deviennent si courtes que les livraisons peuvent même être effectuées à pied ou en tram. "Grâce au principe de partage d'Annanow, l'artisanat et le commerce de gros se retrouvent sur un pied d'égalité avec Amazon et Alibaba dans la lutte pour le client. Nous assurons ainsi l'avenir du commerce local et de ses emplois", souligne Gradenegger.

Raccourcir les trajets, désengorger les routes

Annanow redéfinit l'interaction entre le commerce de gros et le commerce local. La startup permet aussi bien aux commerçants qu'aux coursiers, composés d'usagers de la route régionaux, de livrer leurs commandes le plus rapidement possible via l'application. Les personnes qui commandent un paquet d'aliments pour chiens en ligne ou par téléphone chez Qualipet se font livrer localement via l'une des 90 filiales. Dans un délai de 10 à 60 minutes, le produit est livré par un taxi régional, des coursiers à vélo ou des particuliers. Avec le système actuel, chaque livraison passe par l'entrepôt central du commerçant pour arriver au bureau de poste le plus proche, puis à l'un des trois centres suisses de distribution de colis et plus tard au bureau de poste du lieu de livraison. Le lendemain de la commande, la livraison est effectuée. "Ce système est inefficace, provoque des trajets à vide, pollue le réseau routier suisse et l'environnement", explique Gradenegger.

Le système de liaison numérique entre le commerce de détail, les services de messagerie et les consommateurs finaux raccourcit massivement les distances de livraison, renforce le commerce local et garantit des emplois. "Aujourd'hui, les clients attendent une livraison immédiate, quelle que soit la destination", explique Gradenegger. "Dans la foulée, nous désengorgeons le réseau routier suisse et l'environnement en regroupant mieux le lieu de transport des marchandises lors de la logistique InterCity. L'optimisation de l'utilisation des surfaces de chargement permet de réduire le nombre de trajets de livraison. Pour les petites distances, l'étudiant qui se rend à l'université peut par exemple prendre le bouquet de fleurs de la gare à l'hôpital universitaire en même temps".

Socialement assuré et équitable

La logistique de transport est assurée par deux types de coursiers. Les coursiers d'Annanow sont d'une part des entreprises de livraison et de taxi. Ces partenaires reçoivent immédiatement les demandes de livraison et peuvent, par le biais d'Annanow, augmenter fortement leur taux de remplissage. D'autre part : Toute personne âgée de plus de 18 ans et disposant d'un permis de travail peut s'inscrire auprès d'Annanow en tant que "coursier de la foule". Tout particulier peut ainsi livrer un colis sur le chemin du travail ou du domicile. La collaboration est régie par un simple contrat de travail. "Nous garantissons ainsi que chaque coursier est assuré socialement et contre les accidents", explique Gradenegger. "Nous ne voulons pas d'une société à deux vitesses dans laquelle seule une partie de la population est prise en charge par un filet social".

Annanow - the next big thing ?

Le modèle commercial d'Annanow repose sur les mêmes principes que ceux d'Uber, Airbnb, Facebook ou Snap. Les start-ups citées utilisent leur technologie pour une mise en réseau interactive via des plateformes Internet en vue d'échanger des données, des biens et des services. Contrairement aux places de marché traditionnelles comme les centres commerciaux, les modèles commerciaux de plateformes n'ont pas d'actifs matériels. Annanow, Uber et Airbnb n'ont pas de véhicules, de bâtiments ou d'entrepôts et d'espaces de vente. Leur capital, ce sont les données, les informations et les transactions. Fondée en 2017, la fintech Annanow est une plateforme d'intermédiation en ligne pour le commerce sur le marché numérique et constitue ainsi le fer de lance de la transformation numérique dans les activités de livraison, d'assurance et de paiement.

Lire ici la grande interview avec le fondateur Daniel Gradenegger, paru dans ORGANISATOR 3/2019.

Succession du bus Tour 2019 : lancement bien fréquenté le 4 avril à Zurich

Après une première édition réussie l'année dernière, le Nachfolgergebus Tour 2019 a démarré avec son équipe d'experts le 4 avril 2019 à Zurich. Au cours d'une vingtaine d'entretiens individuels, les personnes intéressées ont reçu de précieuses informations pour le processus de succession.

Carla Kaufmann, initiatrice du bus de la relève, se réjouit du lancement réussi à Zurich de la tournée 2019 du bus de la relève. (Photo : Nachfolgebus.ch)

Sous le slogan "Nous présentons des histoires d'entreprises et discutons de réalités", l'initiative Bus de la relève se focalisera encore plus en 2019 sur la pratique de la succession. Comment se déroule une succession ? Que dois-je préparer ? Quelle est la valeur de mon entreprise ? Comment trouver un successeur pour mon entreprise ? Suis-je un bon successeur ? C'est à ces questions et à d'autres questions "brûlantes" qu'une équipe d'experts a répondu le 4 avril 2019 à Zurich aux propriétaires de PME. Une vingtaine d'entretiens ont été menés. Les participants ont ainsi obtenu des informations auxquelles on ne pense souvent pas dans le processus de succession, comme l'a confirmé un visiteur. "Il faut connaître ses objectifs lors d'un règlement de succession et les définir clairement", a déclaré Franziska Müller Tiberini, experte en succession. "Car lâcher prise est un défi". En complément des entretiens individuels, des aperçus des histoires de succession des entreprises suisses les plus diverses ont également été donnés au moyen d'interviews et de dialogues pratiques avec des entrepreneurs et des experts.

Dans un message vidéo, la directrice de l'économie publique zurichoise Carmen Walker Späh a salué l'initiative d'information sur la succession d'entreprise en ces termes : "Les PME sont essentielles à la réussite économique de notre site. Elles offrent des emplois à de nombreuses personnes et contribuent ainsi à l'emploi et à la prospérité. Pour qu'elles puissent agir durablement et à long terme sur le marché, les fondateurs et les chefs d'entreprise doivent se pencher à temps sur le règlement de leur succession. Le bus de la succession offre des conseils en ce sens".

Les autres étapes de la tournée du bus de la relève 2019 sont :

  • 9 mai : Lucerne
  • 6 juin : Weinfelden
  • 3 octobre : Winterthur
  • 7 novembre : Berne

www.nachfolgebus.ch

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