Prévisions : ces tendances marqueront l'informatique en 2018

Michael Rudrich, vice-président régional DACH de Riverbed, explique les tendances qui marqueront l'informatique en 2018.

Que nous réserve 2018 pour l'informatique ? Il semble difficile de faire des prévisions, mais un coup d'œil dans la boule de cristal révèle quelques tendances claires. (Image : BirgitH / pixelio.de)

L'année 2018 est encore jeune - il est donc toujours temps de regarder dans la "boule de cristal" pour faire des prévisions. Michael Rudnich de Riverbed a également réfléchi et présente les tendances et prédictions informatiques suivantes pour 2018 :

L'Internet des objets (IoT) et l'hyperconnectivité vont modifier fondamentalement les mesures de sécurité traditionnelles

Auparavant, il n'existait que peu de possibilités d'accès à un système. Aujourd'hui, le nombre d'appareils et de points d'accès, et donc le nombre d'accès, augmente rapidement. Les mesures de sécurité traditionnelles ne suffisent donc plus. L'idée selon laquelle le réseau est protégé par l'utilisation d'un pare-feu qui sépare le trafic fiable du trafic non fiable est archaïque. Au lieu de cela, les entreprises peuvent assurer la sécurité de leur réseau en l'envisageant de manière globale et en misant sur des solutions qui surveillent le comportement des utilisateurs et enregistrent ces écarts.

Prévision : les fournisseurs de services seront déterminants pour le succès de l'IoT

L'Internet des objets (IoT) s'impose rapidement : D'ici 2020, on peut s'attendre à ce que 30 milliards d'appareils IoT soient installés dans le monde. Tous ces appareils doivent être connectés à Internet, gérés et sécurisés, tout en fournissant une qualité de service élevée aux utilisateurs finaux. Les fournisseurs de services proposent l'ensemble le plus complet de systèmes de communication. Les entreprises, quant à elles, dépendent des services de mobilité, de la bande passante ou de l'infrastructure réseau pour fournir la connectivité nécessaire. La gestion de la connectivité des appareils IoT représente un énorme défi pour les entreprises.

Pour les fournisseurs de services, l'expérience utilisateur devient un avantage concurrentiel

Aujourd'hui, la haute disponibilité, la sécurité et la performance déterminent la valeur des services fournis par les prestataires de services aux clients. En revanche, l'expérience de l'utilisateur concernant ces services est peu prise en compte, car elle est difficile à mesurer. Les fournisseurs de services commenceront donc en 2018 à déterminer l'humeur subjective des utilisateurs à l'aide de la technologie de traitement du langage naturel, selon les prévisions. Cette technologie peut interpréter les canaux de communication humains (par exemple Twitter, Facebook, les tableaux de messages, etc.) et mesurer ainsi la satisfaction des utilisateurs. Ces résultats peuvent ensuite être utilisés pour identifier les problèmes liés aux applications ou au réseau en se basant sur l'humeur des utilisateurs. Ils complètent donc les technologies de surveillance traditionnelles. Les fournisseurs d'accès disposent ainsi d'une source supplémentaire pour déterminer comment et où ils doivent aborder les problèmes. Cela leur donne un avantage concurrentiel, car ils peuvent faire valoir la grande satisfaction de leurs clients.

Une expérience utilisateur positive n'est possible qu'avec des réseaux de nouvelle génération

Une entreprise est fondamentalement un réseau distribué, composé de petits groupes de travail reliés entre eux par le réseau. L'expérience utilisateur concernant les principales applications et services peut varier d'un bureau à l'autre et pour différentes raisons. Toutefois, les différentes expériences que les collaborateurs ont avec les applications peuvent avoir une influence négative sur la manière dont ces applications et services sont évalués et sur la fréquence de leur utilisation. Si les applications et les services ne sont pas utilisés en raison d'une mauvaise expérience utilisateur, les fonctionnalités espérées ne seront pas disponibles, même si un budget a été investi à cet effet. Le réseau traditionnel est dépendant du matériel et fonctionne avec des technologies fragmentées, voire inefficaces, qui entraînent des performances fluctuantes. La gestion des performances des applications et des services est difficile pour l'IT de l'entreprise dans de tels réseaux : il n'y a pas de vision globale des activités et des exigences du réseau, pourquoi les mesures nécessaires ne peuvent pas être prises.

Les réseaux de la prochaine génération, en revanche, seront en grande partie définis par logiciel. Cela permettra au service informatique d'utiliser les chemins réseau optimaux, de définir correctement les priorités dans le trafic réseau et d'assurer le bon fonctionnement du réseau partout. Ces réseaux offrent également une visibilité intégrée et de bout en bout de l'expérience utilisateur, du centre de données aux terminaux en périphérie du réseau. Il est ainsi possible d'identifier et de corriger tous les facteurs susceptibles d'influencer les performances, et ce avant que les utilisateurs n'en soient affectés.

Source : Riverbed

Nouveau Country Manager de Sage Suisse SA

Tobias Ackermann succède à Marc Ziegler en tant que nouveau Country Manager de Sage Suisse SA. Marc Ziegler quitte l'entreprise de son propre chef.

Tobias Ackermann, le nouveau Country Manager Sage Suisse SA. (Image : PD)

Tobias Ackermann reprend avec effet immédiat la direction de Sage Suisse SA. Âgé de 37 ans, il succède à Marc Ziegler, qui quitte l'entreprise à sa demande. Dans son nouveau poste, Tobias Ackermann continuera à faire progresser les affaires avec les systèmes de comptabilité, de paie et de paiement basés sur le cloud en Suisse. Il rapportera à Rainer Downar, Executive Vice President Central Europe.

Tobias Ackermann a débuté sa carrière chez Sage en juin 2015 en tant que Vice President Revenue Marketing Business Development à Dublin (Irlande), où il était responsable de la mise en place et de la réorientation stratégique du marketing. Il a ensuite été responsable des activités européennes liées aux nouveaux clients en tant que vice-président New Customer Marketing. Enfin, il a occupé le poste d'Executive Vice President Performance Marketing. Avant de rejoindre Sage, ce Suisse d'origine a occupé différents postes dans le domaine du marketing et des ventes, notamment chez Adobe Systems et ERNI Group Holding.

Tobias Ackermann a terminé ses études de management international (économiste d'entreprise) à la Fachhochschule Nordwestschweiz (FHNW) à Olten.

Source : Sage Suisse

 

Fonctionnalités incontournables pour les dossiers personnels numériques

La numérisation croissante de tous les domaines de la vie touche également le monde du travail et donc le département des ressources humaines : des modèles de travail flexibles comme le travail à domicile aux processus de recrutement sur des portails en ligne, en passant par la promotion des compétences numériques des collaborateurs. Si les responsables des ressources humaines veulent répondre à ces exigences croissantes, ils doivent rationaliser leurs processus administratifs - par exemple grâce aux dossiers personnels électroniques.

Les services du personnel deviennent eux aussi de plus en plus numériques : les dossiers personnels électroniques doivent comprendre différentes fonctionnalités. (Graphique : forcont business bechnology GmbH)

Les dossiers du personnel contiennent toutes les données relatives à un collaborateur qui sont importantes pour les responsables RH : contrats d'embauche, comptes rendus d'entretiens, données salariales et bien plus encore. Le stockage approprié de ces nombreux documents sensibles représente un défi majeur pour de nombreuses entreprises. Mais si l'entreprise utilise une solution de dossier personnel numérique, toutes les données sont mises à disposition sous forme électronique : de manière centralisée, indépendamment du temps et du lieu et facilement consultables. La société forcont business technology gmbh (www.forcont.de), une entreprise de logiciels spécialisée dans l'Enterprise Content Management (ECM), explique quelles fonctions une solution de dossier personnel numérique doit apporter pour optimiser durablement les processus de GRH. Les sept fonctions suivantes sont donc essentielles pour un dossier personnel numérique :

  • Création de contrats : Les contrats de travail standardisés sont mieux gérés via un outil de création de contrats, avec des champs prédéfinis et des éléments de texte dynamiques.
  • Création de documents : Grâce à une création de documents intégrée, les collaborateurs peuvent non seulement créer des contrats, mais aussi, par exemple, des lettres en série ou des circulaires destinées aux collaborateurs - directement dans les dossiers du personnel, où elles sont ensuite classées. Le responsable du personnel peut ensuite envoyer ses documents par e-mail directement depuis le système.
  • Ressoumission : L'avantage d'une fonction de rappel est que les collaborateurs RH ne perdent pas de vue les échéances importantes. Dans l'idéal, cette fonction est accompagnée d'une fonction d'alerte par e-mail qui rappelle à temps les échéances à venir. Pour les contrats à durée déterminée, il est par exemple judicieux de mettre en place dans le système un rappel ou une re-soumission automatique.
  • les processus de validation : De nombreuses procédures RH impliquent des processus internes de coordination et de validation. Le dossier du personnel doit soutenir ces processus de manière complète. Non seulement en demandant automatiquement ou semi-automatiquement les validations, mais aussi en enregistrant les documents signés - idéalement électroniquement - dans le système.
  • Gestion des tâches : Les responsables RH devraient pouvoir gérer et suivre facilement les mêmes processus - par exemple le retour d'un collaborateur après un congé parental, un changement de catégorie fiscale ou la préparation et la réalisation d'entretiens personnels - dans le dossier personnel électronique à l'aide de modèles. Le responsable peut alors également attribuer directement de telles tâches au collaborateur compétent.
  • Recherche plein texte : Numériser des documents est une chose, les rendre aisément consultables grâce à la reconnaissance de texte OCR en est une autre. Si cette opération est automatisée, tous les documents peuvent être rapidement recherchés à l'aide des mots-clés souhaités.
  • la suppression des données : C'est précisément dans le contexte des nouvelles réglementations (comme le règlement général de l'UE sur la protection des données RGPD) que les services RH doivent impérativement traiter les dossiers de contrats ou de personnel conformément à la loi. Un dossier personnel électronique aide à la mise en conformité en rappelant dans les délais la suppression nécessaire - qu'il s'agisse d'anciennes candidatures, de contrats d'anciens collaborateurs ou d'avertissements.

Pour plus d'informations sur la création de dossiers personnels numériques, consultez un Livre blanc de forcont business technology gmbh.

De nombreuses PME suisses sont encore des dinosaures numériques

L'étude "Digital Switzerland" menée par la HWZ Hochschule für Wirtschaft Zürich et localsearch (Swisscom Directories AG) montre que les PME suisses ont un retard à rattraper en matière de numérique : 87% des personnes interrogées sont à classer parmi les dinosaures du numérique. Le manque de moyens financiers, d'équipement technique et de connaissances spécialisées constituent les plus grands défis pour les micro-entreprises.

Le degré de maturité numérique des entreprises suisses correspond à 87% au statut de "dinosaure numérique". (Source : www.hwzdigital.ch)

L'étude "Digital Switzerland", menée pour la troisième fois auprès des PME, examine les objectifs et les défis de la transformation numérique pour les entreprises suisses et arrive à la conclusion qu'une majorité de 87% des personnes interrogées doivent être considérées comme des dinosaures numériques. Les dinosaures numériques sont représentés de manière disproportionnée dans les micro-entreprises (1 à 9 collaborateurs). "L'étude montre qu'un grand potentiel reste inexploité, mais qu'il existe en même temps un problème de ressources pour faire avancer la transformation numérique", explique Manuel Nappo, directeur de l'Institute for Digital Business de la HWZ, qui est responsable de l'étude. Stefano Santinelli, CEO de localsearch, n'est pas surpris par les résultats de l'étude : "Avec 40 ans d'expérience, localsearch connaît parfaitement les PME en Suisse. Ce sont justement les micro-entreprises qui n'ont souvent ni le temps ni le savoir-faire pour s'occuper de la numérisation. Et pourtant, beaucoup risquent de perdre le contact, car : Celui qui n'est pas présent en ligne aujourd'hui n'est tout simplement plus remarqué et la concurrence n'est qu'à un clic".

Le manque de ressources est un défi majeur

Les défis généraux dans le cadre de la transformation numérique sont le manque de moyens financiers, l'équipement technologique insuffisant et le manque de connaissances spécialisées. Pour les entreprises de plus de 100 collaborateurs, les plus grands défis sont, outre le manque de connaissances spécialisées, une culture du changement inexistante et des responsabilités peu claires.

Objectif : fidélisation de la clientèle et réduction des coûts

Les principaux objectifs de la transformation numérique sont la fidélisation de la clientèle, la réduction des coûts et l'augmentation de la portée pour l'acquisition de nouveaux clients. Pour les entreprises de plus de 100 collaborateurs, l'amélioration de l'expérience client joue en outre un rôle central. Toutefois, 54 % des entreprises interrogées ne disposent pas d'une stratégie de transformation numérique et 71 % ne prévoient même pas d'introduire une telle stratégie dans les deux prochaines années. Pour ces entreprises, le statut de "dinosaure numérique" ne devrait donc guère changer.

Un potentiel sous-exploité

Pour le développement futur des entreprises, la sécurité numérique est jugée la plus importante par les personnes interrogées, suivie par les médias sociaux et le marketing numérique. Interrogés sur leurs connaissances, les participants à l'enquête indiquent qu'ils connaissent surtout les médias sociaux, les wearables et l'e-commerce.

Dans la vie quotidienne des entreprises, les possibilités numériques ne sont toutefois guère exploitées : ainsi, pour 77% des entreprises interrogées, il n'est pas possible aujourd'hui de réserver un rendez-vous en ligne pour des prestations à date fixe - comme les coiffeurs ou les physiothérapeutes. 60% ne disposent donc pas non plus d'une solution logicielle pour gérer les rendez-vous. Les micro-entreprises ont justement du mal avec le marketing en ligne : seul un tiers environ des personnes interrogées contacte les clients en ligne avec des offres personnalisées et à peine 11% utilisent un système de fidélité numérique. Dans le domaine des médias sociaux et des évaluations, il y a également encore des déficits. 74% des participants à l'enquête ne disposent d'aucun mécanisme ou processus les informant des évaluations en ligne et seuls 34% réagissent activement aux évaluations et aux témoignages sur Internet. 78% renoncent donc également à inviter activement les clients à évaluer l'entreprise, les produits ou les services en ligne.

Organisé pour la troisième fois

L'étude Digital Switzerland a été réalisée par l'Institute for Digital Business de la HWZ Hochschule für Wirtschaft de Zurich et localsearch. L'étude traite de la transformation numérique, de son importance actuelle ainsi que des opportunités et des menaces pour les entreprises suisses. 1'294 entreprises ont participé à l'enquête en ligne. L'enquête s'est déroulée d'octobre à novembre 2017.

L'Institute for Digital Business à la HWZ est le point de contact pour le savoir numérique orienté vers l'application. Il gère des projets de recherche, propose des cursus d'études, soutient les PME avec des prestations de conseil et de projet et met gratuitement à disposition des connaissances sur des thèmes numériques. L'institut est dirigé par Manuel P. Nappo, "Digital Vordenker" 2015. localsearch, quant à lui, est, selon ses propres dires, le partenaire de marketing et de vente leader des PME suisses et commercialise avec local.ch et search.ch les services d'information et d'annuaire les plus étendus de Suisse pour trouver facilement des adresses, des numéros de téléphone et des informations détaillées sur les entreprises - sur le web, sur l'application mobile et dans l'annuaire téléphonique imprimé (Local Guide).

Sources : www.fh-hwz.ch et www.localsearch.ch

 

Sécurité en ligne : ce qu'il faut absolument éviter en 2018

Quelques conseils d'experts en sécurité en ligne pour que vous et vos appareils mobiles passiez le cap de la nouvelle année en toute sécurité.

Thomas Uhlemann d'ESET donne des conseils pour améliorer la sécurité en ligne.

Le changement d'année approche et avec lui le temps des bonnes résolutions. La plupart d'entre eux pensent à faire plus de sport, à manger plus sainement ou à passer plus de temps avec leur famille - mais qui pense à sa sécurité en ligne ? C'est une erreur, car il y a certaines choses auxquelles les utilisateurs devraient absolument renoncer en 2018 s'ils veulent passer l'année prochaine dans de bonnes conditions, eux et leurs appareils mobiles ! L'éditeur européen de solutions de sécurité ESET a dressé une liste des trois choses les plus importantes auxquelles il vaut mieux renoncer pour passer une nouvelle année en toute sécurité.

1. (ré)utiliser des mots de passe faibles

Des mots de passe tels que "mot de passe", "secret", "FIFA18" ou "lassmichrein" vous sont-ils familiers ? Alors vous n'êtes pas seul. "Beaucoup trop d'attaques réussissent uniquement parce que les utilisateurs utilisent des mots de passe trop faciles. Les criminels utilisent désormais des outils entièrement automatisés qui essaient des mots simples ou testent différentes variantes par des attaques dites de dictionnaire", explique Thomas Uhlemann, spécialiste de la sécurité chez ESET (voir photo).

Si vous utilisez le même mot de passe sur plusieurs sites web, les cybercriminels auront la tâche particulièrement facile. - peu importe si c'est facile ou difficile. "Il arrive malheureusement régulièrement que des fournisseurs d'accès à Internet soient piratés et que les données de connexion des utilisateurs soient volées à cette occasion", explique Uhlemann. Ceux qui veulent faire plus pour leur propre sécurité en ligne en cette nouvelle année devraient donc prendre en compte ces deux conseils :

  • Au lieu de mots et d'abréviations, préférez des phrases faciles à retenir mais plus complexes, comme "Ici, sur Facebook, j'aime me connecter ! - y compris les majuscules et les minuscules ainsi que tous les espaces et signes de ponctuation. Cela facilite la mémorisation des mots de passe et complique la tâche des attaquants.
  • Une protection supplémentaire est offerte par la connexion dite à deux facteurs, comme le proposent Facebook, Twitter ou Amazon. En plus du nom d'utilisateur et du mot de passe, un code à usage unique est demandé, généré par exemple par SMS ou par une application. Cela rend le vol des données de connexion inutile pour les pirates.

 

2. les systèmes et programmes obsolètes constituent une menace pour la sécurité en ligne

Plus un ordinateur, un smartphone ou une tablette est en service depuis longtemps, plus il y a de chances que toutes sortes de programmes se trouvent sur l'appareil, dont certains n'ont pas été utilisés depuis des années. D'une part, cela peut ralentir le système, d'autre part, chaque logiciel offre une surface d'attaque aux cyber-gangsters. - en particulier lorsque les outils et programmes oubliés ne sont plus maintenus à jour avec les mises à jour logicielles. Par conséquent, les failles de sécurité connues ne sont plus comblées. Cela vaut également pour les systèmes d'exploitation obsolètes comme Windows XP ou Vista. Pour ces deux systèmes d'exploitation, Microsoft a récemment cessé le support avec des mises à jour de programme et de sécurité. "Prenez le temps de vérifier que vos appareils ne contiennent pas d'anciens logiciels rarement ou jamais utilisés et de vous demander si l'heure de la déconnexion n'a pas sonné. - c'est-à-dire la désinstallation - conseille Uhlemann, expert en sécurité.

3. ne pas rappeler de numéros inconnus

Les "ping calls" sont actuellement sur toutes les lèvres. Les criminels font sonner le téléphone une fois et espèrent que l'abonné naïf rappellera par curiosité. "Les numéros appelants ressemblent à s'y méprendre à ceux d'Allemagne, par exemple. Ainsi, dans l'enthousiasme de l'appel manqué, on ne pense d'abord à rien. - mais ces rappels sont immensément coûteux", prévient Thomas Uhlemann. Si l'on ne connaît pas le numéro d'un appelant que l'on a manqué, il faut rester du côté de la sécurité, vérifier le numéro sur Internet au préalable et ne pas rappeler en cas de doute. Si c'est important, l'appelant réessaiera. Mais au-delà des ping-calls, il est également possible de tomber dans le filet de capture des cybercriminels. "Une autre astuce des cybergangsters consiste à passer de faux appels de sondage qui posent des questions ciblées, qui avec 'oui' et '.Volontierse' - donc clairement d'accord - et qui visent en outre à confirmer ou à donner leur propre nom", explique l'expert d'ESET. "Par la suite, les personnes appelées reçoivent des contrats de téléphonie mobile onéreux ou ont effectué d'autres achats par téléphone, leurs réponses étant coupées dans un tout autre contexte dans un entretien de vente".

Le conseil de l'expert : "Si l'on vous appelle et que vous acceptez la conversation, commencez par un 'Bonjour' - la plupart du temps, on vous demandera 'C'est Monsieur/Madame XY'. Ne répondez pas ici, mais demandez de quoi il s'agit. Pendant ce court laps de temps et en fonction des réponses, vous pouvez rapidement déterminer la nature de l'appel. S'il s'agit d'un sondage ou d'une proposition d'optimisation de votre tarif de téléphone portable, il vaut mieux mettre fin à la conversation par un 'Non, au revoir ! Évitez de dire 'merci' comme dans 'Non, merci', car cela peut déjà être habilement découpé en conséquence".

D'autres conseils pour une meilleure sécurité en ligne sont disponibles sur le blog allemand d'ESET WeLiveSecurity

Résolutions : 2018 sera différent - vraiment ?

En début d'année, beaucoup de gens prennent de bonnes résolutions. Par exemple : en 2018, je consacrerai plus de temps à ma famille. En 2018, je ferai régulièrement du jogging. Mais peu de temps après, ces résolutions sont à nouveau oubliées. Car elles ne sont pas ancrées dans une vision de vie.

Quelles sont les résolutions que vous avez prises pour 2018 ? Ancrez-les dans une vision de vie, sinon elles seront vite oubliées. (Image : Thaut Images - Fotolia.com)

Est-ce que je déménage à Zurich parce que je veux faire carrière ou est-ce que mes amis sont plus importants pour moi ? Est-ce que j'économise 200 francs par mois pour mes vieux jours ou est-ce que je pars aux Maldives ? Est-ce que je veux avoir des enfants avec mon partenaire ou mon indépendance est-elle plus importante ? Nous sommes de plus en plus souvent confrontés dans notre vie à de telles questions qui nous obligent à faire des choix. Car il est illusoire de penser que tout est possible en même temps.

Les résolutions sont vite oubliées

Prendre une décision est difficile pour beaucoup de gens. En effet, lorsque nous nous décidons pour quelque chose, nous devons rejeter d'autres possibilités. Nous ne pouvons le faire que si nous savons ce qui est important pour nous. Sinon, nous prenons certes de nombreuses résolutions, mais quelques jours plus tard, elles sont oubliées. Car nos résolutions ne sont pas ancrées dans une vision de la vie.

De plus, ce qui est vraiment important dans notre vie n'est jamais urgent. Il n'est par exemple jamais urgent de faire du jogging. Mais ce serait bon pour notre santé. Et il n'est jamais urgent de prendre le temps de discuter avec son partenaire. Pourtant, ce serait important pour la relation.

Comme les choses vraiment importantes ne sont jamais urgentes, nous les remettons souvent à plus tard. Ou alors nous nourrissons l'illusion que si je fais tout plus vite, j'aurai aussi le temps de le faire. La seule conséquence : nous menons une vie à grande vitesse. Et un jour ou l'autre, nous constatons avec résignation que si ma vie est (encore) plus remplie, elle n'est pas pour autant plus épanouie.

Défi : préserver l'équilibre de vie

Un tel déséquilibre n'est pas une fatalité isolée. De plus en plus de personnes ont le sentiment que leur vie n'est pas en ordre. L'une des raisons est que la plupart des gens ont des perspectives claires en ce qui concerne leur carrière professionnelle. Il en va autrement dans les domaines "sens/culture", "corps/santé" et "famille/relation". Dans ces domaines, nous manquons souvent d'objectifs clairs.

Modèle d'équilibre de vie selon Nossrath Peseschkian (source : seminar consult Prohaska)

Dans la frénésie du quotidien, nous oublions souvent que les quatre domaines de la vie sont interdépendants. C'est pourquoi, si l'on accorde trop d'importance au domaine "travail/profession", on perd à la longue non seulement sa joie de vivre, mais aussi sa capacité de performance. Car :

  • Une personne malade ne peut ni profiter pleinement de la vie, ni être pleinement performante.
  • Celui qui est seul n'est pas "couineur" et ne peut pas consacrer toute son énergie à son travail.
  • Celui qui est en crise de sens n'est ni heureux de vivre, ni très performant. Car derrière toute action se pose la question suivante : à quoi cela sert-il ?

Pour mener une vie épanouie, nous devons donc veiller à un juste équilibre entre les quatre domaines de la vie. Pour cela, nous avons besoin d'une vision de notre vie future. Nous en avons également besoin parce qu'aujourd'hui, nous sommes soumis à de nombreuses exigences qui ne peuvent être conciliées que de manière limitée. Presque toutes les mères qui travaillent le confirmeront immédiatement. Dans la plupart des emplois hautement qualifiés, il est normal d'avoir des horaires de travail irréguliers. Pour les mères actives, cela signifie : Elles ne peuvent plus quitter le bureau tous les jours à 16 heures précises par exemple. Que doivent-elles donc faire lorsque la crèche ferme à 16 heures ? Un autre exemple : de nombreux commerciaux d'entreprise ont de plus en plus de mal à se rendre à des rendez-vous privés réguliers. En effet, il arrive régulièrement qu'un rendez-vous avec un client dure plus longtemps que prévu. Les conflits (d'intérêts) sont donc inévitables.

Défi : gérer sa propre vie

Il en résulte un autre défi : nous devons devenir, pour ainsi dire, les gestionnaires de notre propre vie, c'est-à-dire des personnes qui, par leurs actions d'aujourd'hui, font en sorte de continuer à mener une vie heureuse et épanouie à l'avenir. La première étape consiste à développer une vision de notre vie future. Par exemple, le matin du Nouvel An, asseyez-vous et demandez-vous, en vous référant aux quatre domaines de votre vie, ce que vous voulez faire de votre vie :

  • Qu'est-ce qui est vraiment important pour moi ?
  • En quoi consiste pour moi une vie épanouie ? Et
  • Que devrais-je faire aujourd'hui pour continuer à mener une vie heureuse à l'avenir ?

Demandez-vous également (régulièrement) : y a-t-il des signes dans mon environnement qui indiquent que l'équilibre de ma vie pourrait être menacé à l'avenir ? De tels signaux d'alarme peuvent être

  • Le silence s'installe de plus en plus entre vous et votre partenaire. Même les amis importants ne donnent plus de nouvelles.
  • Dans votre entreprise, la maxime suprême est soudain "économiser".
  • Vous vous demandez de plus en plus souvent : à quoi cela sert-il ?
  • Vous ressentez de temps en temps des élancements dans la région du cœur.

Une fois que vous avez répondu à ces questions, vous pouvez prendre des résolutions concrètes et élaborer un plan d'action pour les mettre en œuvre. Et ce, sans risquer d'oublier vos résolutions à peine les fusées de la Saint-Sylvestre consumées. Car vos résolutions sont désormais ancrées dans une vision de votre vie future.

A propos de l'auteur : La psychologue économique Sabine Prohaska est propriétaire de l'entreprise de formation et de conseil seminar consult prohaska, Vienne (Internet : www.seminarconsult.at). Elle est notamment l'auteur du livre "Lösungsorientiertes Selbstcoaching : Ihr Ziele näherkommen - Schritt für Schritt" (Auto-coaching orienté vers les solutions : se rapprocher de ses objectifs - étape par étape).

Nombre record de créations d'entreprises en Suisse

En 2017, le nombre de nouvelles entreprises créées n'a jamais été aussi élevé. Avec 43 453 nouvelles inscriptions au registre du commerce suisse, cela représente une augmentation de cinq pour cent par rapport à l'année précédente.

Au total, la Suisse a enregistré cinq pour cent de créations d'entreprises en plus par rapport à l'année précédente. (Source : Feuille officielle suisse du commerce FOSC)

Jamais autant de nouvelles entreprises n'ont été créées en Suisse qu'en 2017, soit cinq pour cent de plus que l'année précédente. C'est une nouvelle réjouissante pour l'ensemble de l'économie, comme l'annonce l'IFJ Institut für Jungunternehmen dans un communiqué diffusé le 3 janvier.

Dans les grandes régions de Suisse alémanique et de Suisse romande, les créations d'entreprises ont augmenté de manière significative. En Suisse orientale, les nouvelles inscriptions ont augmenté de 2 %, à Zurich de 5 %, dans l'Espace Mittelland de 6 %, dans le Nord-Ouest de la Suisse ainsi qu'en Suisse centrale, l'augmentation a été de 8 % dans chaque région. En Suisse romande, le nombre de nouvelles entreprises a augmenté de sept pour cent. La croissance la plus forte a été enregistrée dans les cantons de Zoug (+20%), Schaffhouse (+14%), Bâle-Campagne (+13%), Uri (+12%), Valais (+11%) et Fribourg (+10%). En chiffres absolus, ce sont les cantons de Zurich (7'775), Vaud (4'393), Genève (3'717) et Berne (3'536) qui ont créé le plus d'entreprises.

L'analyse de l'IFJ Institut für Jungunternehmen montre que la société à responsabilité limitée (Sàrl) reste la forme juridique la plus populaire avec une part de 38%, suivie de l'entreprise individuelle (32%), de la société anonyme (SA) avec 21% et de la société en nom collectif (3%). La révision du droit de la Sàrl en 2008, dans le cadre d'une révision de la loi sur le Code des obligations, a brusquement augmenté sa diffusion. Auparavant, cette forme juridique qui existe depuis 1936 était quelque peu dédaignée en tant que "société à horizon limité". Les changements les plus fondamentaux ont été l'autorisation de la Sàrl en tant que société unipersonnelle, la suppression de la limite de capital de 2 millions de CHF et la suppression de la responsabilité solidaire subsidiaire des associés à hauteur du capital social. La Sàrl présente en général deux avantages déterminants : Par rapport à l'entreprise individuelle et à la société en nom collectif, l'entrepreneur ou l'entrepreneuse n'est responsable que sur sa fortune commerciale. Le patrimoine privé est donc épargné. De plus, avec une mise de fonds plus faible de CHF 20'000 par rapport à CHF 100'000, la Sàrl se distingue également de la SA.

La plupart des nouvelles entreprises sont créées dans les secteurs du conseil aux entreprises, de l'artisanat, du commerce de détail, des services aux entreprises et de l'hôtellerie-restauration.

Plus d'informations : IFJ Institut pour jeunes entreprises SA. Image : Fotolia.com

 

Les PME suisses misent sur le cloud de Microsoft

Le traitement des données dans le cloud est sans doute la tendance informatique la plus puissante du moment. Ce ne sont pas les grandes entreprises qui en profitent en premier lieu, mais surtout les PME suisses. Avec la campagne "Cloud Hero", Microsoft Suisse montre comment les petites entreprises utilisent le cloud pour développer de nouveaux modèles commerciaux.

De plus en plus de PME misent sur le cloud computing. Des clients de référence du cloud de Microsoft montrent désormais dans une campagne les avantages du "nuage". (Image : Uschi Dreiucker / pixelio.de)

L'importance du cloud computing augmente rapidement. Selon Microsoft, 45 pour cent des entreprises suisses appliquent désormais une stratégie "cloud first" et les investissements mondiaux dans le cloud devraient franchir la barre des 40 milliards de dollars en 2017. Alors qu'au début, ce sont surtout les grandes entreprises qui s'intéressaient à cette technologie en raison des économies d'échelle, ce sont aujourd'hui les petites et moyennes entreprises qui ont découvert le cloud.

Clients de référence du cloud Microsoft

C'est dans ce contexte que Microsoft a lancé la campagne "Cloud Hero". Elle doit illustrer comment des PME innovantes optimisent leurs processus et développent de nouveaux modèles commerciaux à l'aide du cloud. L'objectif de la campagne est de servir d'inspiration aux PME locales. Les clients de référence du Cloud de Microsoft suivants se sont laissés guider dans les coulisses :

  • Data Sport AG, Gerlafingen
  • Doppelleu Brauwerkstatt, Winterthur
  • Ei AG, Sursee
  • Konzeptwerk GmbH, Wetzikon
  • NoTime AG, Zurich
  • Swiss-Soft Solutions GmbH, Saint-Gall
  • YourAnswer.ch AG, Berne

Démarrer rapidement grâce à la flexibilité

Les "Cloud Heros" montrent que ce sont justement les PME qui profitent des avantages du cloud. Ainsi, l'un des grands défis des PME est de faire face à des coûts d'investissement élevés dans l'informatique. Les solutions cloud permettent justement de réduire massivement ces coûts. Marco Russo, directeur de Soft Solutions, déclare à ce sujet : "Grâce à la solution cloud, nous n'avons pas de coûts d'investissement élevés, car nous ne devons pratiquement pas acheter de matériel". De plus, les charges de pointe peuvent être absorbées de manière flexible sans devoir acquérir un matériel surdimensionné. Philipp Antoni du service de livraison innovant NoTime : "Nous avons besoin d'une grande flexibilité, car nous avons besoin d'une puissance de calcul différente selon le volume des commandes. C'est exactement ce qu'offre le cloud Azure". Pour les jeunes entreprises qui connaissent une croissance rapide et une grande volatilité, c'est un avantage décisif, constate Microsoft.

Un environnement professionnel garantit la sécurité

Philip Bucher, directeur de la Brauwerkstatt Doppelleu, est convaincu par un autre avantage que l'indépendance du lieu et la flexibilité : "C'est une question de sécurité. Je peux mieux dormir si nos données sont stockées dans un environnement professionnel et non pas dans notre cave".

Microsoft Suisse s'attend donc à ce que les PME suisses misent de plus en plus sur les solutions Cloud à l'avenir. "Dans les entretiens avec les clients, nous remarquons que le Cloud de Microsoft est désormais largement accepté et demandé. Nous partons du principe qu'à l'avenir, la majorité des PME suisses miseront sur une stratégie Cloud First", déclare David Kurth, Cloud + Enterprise Business Group Lead Microsoft Suisse.

Plus d'informations : www.microsoft.com/azure

Les finalistes du Prix SVC Ostschweiz 2018 sont nominés

Le jeudi 8 mars 2018, le Prix SVC Ostschweiz sera décerné devant un millier d'invités issus des milieux économiques, politiques, scientifiques et culturels. Les six finalistes, toutes des PME prospères de Suisse orientale, sont désormais connus : en finale, Büchi Labortechnik AG (Flawil), Corvaglia Holding AG (Eschlikon), HB-Therm AG (Saint-Gall), Namics AG (Saint-Gall), MS Direct Group AG (Saint-Gall) et Uffer AG (Savognin) peuvent espérer recevoir le Prix SVC Ostschweiz.

Qui remportera le Prix SVC Ostschweiz 2018 ? (Image : Thomas Berner)

Le Prix SVC Ostschweiz est décerné par le Swiss Venture Club (SVC) à des petites et moyennes entreprises (PME) de la région qui réussissent et qui convainquent par leur culture d'entreprise, la qualité de leurs collaborateurs et de leur management, leurs produits et leurs innovations ainsi que par leurs résultats durables. Depuis 2004, le Prix SVC Ostschweiz est décerné tous les deux ans, donc en 2018 pour la huitième fois déjà. Le Swiss Venture Club (SVC) est une association indépendante, à but non lucratif, créée par des entrepreneurs pour des entrepreneurs. Il soutient et encourage les PME en tant que force motrice de l'économie suisse et contribue ainsi à la création et au maintien d'emplois en Suisse. Dans sept régions économiques, le SVC crée des possibilités de contact et de réseau pour ses plus de 3000 membres et génère des impulsions entrepreneuriales pour la place économique suisse.

Des entreprises de toute la Suisse orientale

Le jury d'experts, composé de 13 membres, a désigné les six lauréats au cours d'une procédure en plusieurs étapes - sous la direction du professeur Dr Thomas Zellweger de l'Institut PME de la HSG - à partir d'une liste d'environ 150 entreprises. Le choix s'est porté sur des entreprises des deux Appenzell, de Glaris, des Grisons, de Saint-Gall et de Thurgovie. Les finalistes du Prix SVC Ostschweiz 2018 sont (par ordre alphabétique) :

  • Büchi Labortechnik AG : Le leader mondial des solutions technologiques de laboratoire pour la recherche et le développement, l'assurance qualité et la production propose des solutions pour l'évaporation industrielle et parallèle, le séchage par atomisation et l'encapsulation, ainsi que pour la lyophilisation et le laboratoire. Depuis 75 ans, Büchi Labortechnik AG développe des techniques de laboratoire convaincantes pour des secteurs tels que la pharmacie, la chimie, l'alimentation, l'alimentation animale, l'analyse environnementale et les universités. Elle emploie plus de 700 personnes à son siège social de Flawil, dans le canton de St-Gall, et dans ses 18 filiales (Asie, Europe, Amérique) réparties dans le monde entier.
  • Corvaglia Holding AG : Avec trois sites, des partenaires dans 15 pays et des clients dans le monde entier, Corvaglia Holding AG, basée à Eschlikon en Thurgovie, fournit avec beaucoup d'esprit pionnier des solutions de bouchage pour les bouteilles en PET à de grands groupes multinationaux de renom. En tant que fournisseur innovant et couronné de succès de l'industrie des boissons, Corvaglia Holding AG a posé des jalons dans le monde entier pour les bouchons en plastique. Ses 275 collaborateurs travaillent sur l'ensemble de la chaîne de processus entièrement intégrée, de la conception et du développement des bouchons à l'application et au support technique, en passant par la fabrication des moules et la production des bouchons.
  • HB-Therm AG : Des secteurs tels que l'automobile, la technique médicale, les biens de consommation, l'optique et l'industrie sont équipés d'appareils de thermostatisation innovants de HB-Therm AG, qui garantit ainsi la qualité et la rentabilité élevée des pièces moulées par injection plastique. Les 130 collaborateurs assistent leurs clients depuis la conception de l'appareil jusqu'au service après-vente. La production à Saint-Gall distribue les régulateurs de température à ses propres sociétés de distribution en Allemagne et en France ainsi que dans plus de 50 autres pays via un réseau de distribution.
  • Namics AG : Namics est l'une des principales agences numériques offrant un service complet en matière de commerce électronique, de sites web et de portails ainsi que de communication numérique. En tant que partenaire stratégique dans le changement numérique, le spécialiste de l'e-business, qui compte environ 500 collaborateurs, propose un conseil stratégique, une conception créative et une mise en œuvre technique d'un seul tenant. L'entreprise dirigée par ses propriétaires a été fondée en 1995 - à l'origine comme spin-off de la HSG. Outre son site fondateur à Saint-Gall, Namics AG est représentée sur cinq autres sites en Allemagne et en Serbie.
  • MS Direct Group AG : Le leader du marché suisse de la gestion de la relation client propose des services dans les domaines du CRM, des centres d'appel, du lettershop, des solutions informatiques pour le commerce électronique et de la logistique des retours. Sa filiale Quickmail livre chaque semaine en Suisse 3 millions de ménages avec des mailings et des catalogues adressés. MS Direct Group AG, dont le siège principal est à Saint-Gall, emploie environ 1200 personnes sur huit sites répartis dans toute la Suisse.
  • Uffer AG : Construction en bois, construction par éléments et construction modulaire, construction à sec, bâtiment et génie civil ainsi que garantie de l'électromobilité dans la région d'implantation - Uffer SA a une large palette d'activités. Forte d'une tradition artisanale et d'une vision d'avenir, elle fait partie de l'"ela energiewelt", héberge le centre de compétences "Construction et énergie" et a posé un jalon dans la construction modulaire avec le système "QUADRIN". En tant qu'un des plus grands employeurs de la région, Uffer SA emploie environ 80 personnes sur son site de Savognin.

Remise des prix le 8 mars 2018 à Saint-Gall

Le Prix SVC Ostschweiz a été décerné pour la première fois en 2004 à Saint-Gall, alors qu'il s'appelait encore "Prix de l'Entreprise SVC Ostschweiz". Outre le trophée de la victoire, tous les finalistes recevront cette fois encore des prix attrayants qui leur permettront de poursuivre le développement de leur entreprise avec succès.

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Cash is King, partie 3 : cinq avantages du recouvrement sous mandat

Il se produit le cas qu'aucune entreprise ne souhaite : un client ne paie toujours pas sa facture après un ou deux rappels. Que doit alors faire l'entreprise ?

En confiant leurs créances à une société de recouvrement, les entreprises peuvent se concentrer sur leurs compétences clés. C'est l'un des avantages du recouvrement sur mandat. (Image : zVg)

Une PME fournit sa prestation, établit la facture - et attend. Elle émet un rappel au bout de 30 jours - et attend. Il ne se passe rien. Que font au mieux les entreprises dans de telles situations ? "Celles qui envoient des rappels sans succès peuvent faire traiter leurs créances de manière professionnelle par une entreprise de recouvrement", explique Jason Glanzmann, directeur des portefeuilles de services chez Intrum Justitia.

Le chemin du créancier à l'entreprise de recouvrement

Et voici comment fonctionne le recouvrement lorsque les créances sont confiées à une entreprise de recouvrement : La PME concernée - le créancier - peut faire traiter par un tiers la créance existant contre une autre entreprise - le débiteur. "Grâce au transfert à un expert, l'entreprise peut à nouveau se concentrer sur son cœur de métier", explique Jason Glanzmann. Intrum Justitia propose deux produits pour de tels cas : AGB75 et AGB90. Si l'on opte pour ce dernier, on remet les créances à l'entreprise de recouvrement après deux rappels et dans un délai de 75 ou 90 jours après la facturation.

Cinq avantages du recouvrement sous mandat

  1. Frais convenus contractuellement : Les clients sont informés des frais encourus en cas de non-paiement dans les délais. Il est recommandé d'indiquer de manière transparente les conséquences financières dans le deuxième rappel.
  2. Recouvrement sans frais : en cas de remise des créances avant le 75e ou le 90e jour suivant la date de facturation.
  3. Pas ou peu de frais de poursuite et de recherche d'adresse.
  4. Un taux de retour plus élevé grâce à une escalade cohérente et des clients plus satisfaits grâce à une communication transparente.
  5. Comme c'est le consommateur qui en est à l'origine qui paie les frais, vous pouvez optimiser vos coûts. Par exemple, les frais de personnel.

Pourquoi les entreprises devraient-elles se faire aider par une société de recouvrement ?

 Parce que :

  • Une escalade conséquente en deux étapes avant la poursuite n'est pas possible en son propre nom.
  • Un spécialiste de la gestion des créances sait quelles sont les prochaines étapes à franchir. Les entreprises sont ainsi soulagées sur le plan administratif.
  • Elles peuvent se concentrer sur leurs compétences clés et se consacrer à leurs véritables tâches. Sinon, les entreprises consacrent beaucoup de temps et d'énergie à la gestion des créances - et souvent, elles ne parviennent pas à recouvrer l'argent seules.
"Celui qui fait des rappels sans succès peut faire traiter ses créances de manière professionnelle par une entreprise de recouvrement". Jason Glanzmann, directeur des portefeuilles de services chez Intrum Justitia. (Image : zVg / Intrum Justitia)

Comment trouver un accord à l'amiable

De quoi faut-il tenir compte lorsque les deux parties s'entendent à l'amiable ? Quels sont les délais de paiement individuels et les délais de remboursement à convenir ? Intrum Justitia aborde ce sujet dans la quatrième partie de la suite de l'histoire à.

 

Contact pour plus d'informations :

Intrum Justitia AG, sales.ch@intrum.ch, +41 44 806 85 57

 

Cliquez ici pour accéder à la partie 1

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Contrôle de sécurité informatique pour 2018 : fuites de données, logiciels malveillants et nouveau RGPD de l'UE

Des fuites de données à grande échelle, des logiciels malveillants et la politique qui exige des portes dérobées dans les services en ligne. En 2017, il s'est passé beaucoup de choses dans le domaine de la sécurité numérique et de la vie privée. Pour les entreprises en particulier, un grand défi se profile à l'horizon avec le prochain RGPD de l'UE. Alan Duric, CTO et COO de Wire, jette dans cet article invité un regard sur l'année 2017 écoulée et montre ce qui sera important en 2018 en matière de sécurité informatique.

L'année 2017 a été marquée par des fuites de données, des attaques avec des logiciels malveillants et plus encore. Faut-il davantage de portes dérobées dans les services en ligne ? (Image : unsplash.com / Matthew Henry)

À l'heure où la communication privée et professionnelle s'effectue en grande partie en ligne, la sécurité informatique prend de plus en plus d'importance. Pour protéger les données sensibles, les entreprises s'intéressent de plus en plus aux messageries professionnelles qui misent sur le cryptage de bout en bout. De plus en plus de services de messagerie ne mettent donc pas seulement l'accent sur la sécurité dans le cadre d'une utilisation privée, mais se focalisent également sur l'utilisation professionnelle. Ce type de réorientation a eu lieu en 2017 pour certaines messageries. Atlassian a par exemple présenté le messager Stride pour la communication d'entreprise et fait concurrence au chat d'équipe Slack en raison de coûts moindres. Mais Slack a rapidement suivi en levant un total de 250 millions de dollars US auprès d'investisseurs et en prévoyant de s'étendre. En outre, Microsoft a également connu des changements en ce qui concerne la messagerie professionnelle : Microsoft Teams a remplacé Skype for Business et concurrence désormais Atlassian, Slack & Co. De plus, le service Keybase Chat s'adresse désormais également aux entreprises et nous avons également apporté notre pierre à l'édifice avec l'introduction de la messagerie instantanée. Fil de fer une version professionnelle sécurisée sur le marché.

Les fuites de données et les attaques de logiciels malveillants font parler d'elles

Un Étude de Bitkom Research, quatre entreprises sur dix ont été victimes d'une cyberattaque l'année dernière. L'une de ces entreprises touchées est le prestataire de services financiers américain Equifax, où des cybercriminels se sont emparés des données sensibles de 44 % des Américains. En conséquence, l'action a perdu 14 pour cent et le chef de l'entreprise a démissionné. Et le cabinet de conseil Deloitte a également été victime de pirates informatiques qui ont eu accès aux bases de données et donc aux informations personnelles de clients de premier plan. Un autre vol de données a en outre eu lieu chez le prestataire de services de transport américain Uber et a concerné les données de 57 millions d'utilisateurs et de chauffeurs Uber. Si l'incident s'est produit il y a plus d'un an, il n'a été révélé qu'en 2017. Les attaques de pirates informatiques, mais aussi les attaques de logiciels malveillants, peuvent continuer à causer des dommages importants aux entreprises et à entraîner une forte augmentation des coûts.

Du Royaume-Uni aux États-Unis : comment les gouvernements secouent le secteur informatique

Les gouvernements ne sont pas vraiment convaincus de la sécurité offerte par le cryptage des données et veulent obliger les fournisseurs d'accès à installer des portes dérobées. La raison en est notamment que le cryptage ne permet pas aux criminels d'accéder aux messages et que ceux-ci profiteraient donc de la cryptographie. Les gouvernements sont particulièrement contrariés par le fait que les entreprises informatiques ne respectent même pas les ordonnances des tribunaux et que les délits criminels ne peuvent donc plus être prouvés. C'est pourquoi les politiciens s'opposent au cryptage de bout en bout ou insistent sur les portes dérobées pour l'accès par le gouvernement.

Le RGPD de l'UE approche et fait évoluer les mentalités

Le règlement général sur la protection des données de l'UE se rapproche de plus en plus et c'est au plus tard maintenant que les entreprises devraient se pencher activement sur la question de savoir comment elles peuvent se conformer au règlement. L'objectif principal - simplifier, uniformiser et actualiser la protection des données à caractère personnel - fait évoluer les mentalités. Les personnes obtiennent davantage de droits en matière de traitement des données, ce qui nécessite des mesures techniques et organisationnelles ainsi qu'un registre de traitement des données. Étant donné que les entreprises s'exposent à de lourdes amendes en cas de non-respect, le RGPD deviendra un sujet important au plus tard en mai 2018.

Fournisseurs non sécurisés : pourquoi le cryptage est un "must-have

Le cryptage devient important lorsqu'il est possible que des tiers aient accès aux données sensibles. Par exemple, les fournisseurs de services ou les prestataires peuvent ne pas être sûrs, car des personnes non autorisées peuvent y avoir accès. Cela concerne surtout le stockage en nuage, les outils de communication et de collaboration qui, par exemple, stockent leurs données via des serveurs situés en dehors de l'UE. En outre, les attaques de pirates informatiques sur les fournisseurs de messagerie électronique sont également dangereuses, mais la situation devient toujours explosive lorsque les données des clients sont en jeu, en particulier les données de paiement, comme les informations sur les cartes de crédit, ou les informations sur les commandes passées. Cela concerne aussi bien les particuliers, qui deviennent ainsi des personnes transparentes, que les entreprises, qui doivent dans ce cas garantir la sécurité des paiements. D'autres points qui rendent le cryptage indispensable sont, d'une part, pour exclure l'espionnage industriel et empêcher que des secrets commerciaux ne soient divulgués au public. Pour toutes ces raisons, le cryptage doit être la solution. Qu'il s'agisse d'e-mails cryptés ou du cryptage de contenus (comme les fiches de paie, les contrats de coopération, les calculs) ou, plus généralement, de données échangées dans le cadre de la communication quotidienne. Pour garantir la sécurité informatique en interne et en externe, les fournisseurs ne doivent pas avoir la possibilité de consulter des informations sensibles, ce qui n'est possible qu'à l'aide d'un cryptage sécurisé des données.

Conclusion : les entreprises doivent agir

Les fuites de données et les attaques de logiciels malveillants étant particulièrement préjudiciables aux entreprises, il est urgent de mettre en place des mesures de sécurité protectrices. En raison du règlement général sur la protection des données de l'UE, les entreprises doivent agir dès maintenant et adapter leurs normes de sécurité en conséquence. Avec l'aide de différents fournisseurs qui misent sur un cryptage de bout en bout, la mise en œuvre est toutefois relativement simple. En cas d'attaque contre le fournisseur de cloud après la mise en œuvre, les informations personnelles sont protégées et ne peuvent pas être décryptées par des personnes non autorisées. En outre, le règlement de l'UE considère que la méthode de cryptage constitue également une preuve de conformité. Les entreprises n'ont donc pas à supporter de coûts supplémentaires et les clients peuvent avoir la certitude que les données sensibles sont suffisamment protégées.

 

A propos de l'auteur : Alan Duric est un expert en technologie et un entrepreneur expérimenté qui travaille depuis plus de 15 ans dans le secteur de la communication en temps réel. En tant que pionnier de la technologie VoIP, il a ouvert la voie à l'introduction de la communication en temps réel sur le web (WebRTC). Ce standard open source comprend plusieurs protocoles de communication et interfaces de programmation que l'on retrouve aujourd'hui dans une multitude d'applications. Outre la création de Telio Holding ASA et de Sonorit, il a lancé Wire, une messagerie entièrement cryptée de bout en bout, un outil de communication sécurisé à usage professionnel et privé qui protège la vie privée numérique tout en respectant les directives européennes en matière de protection des données. La décision d'Alan de placer Wire sous licence open source était stratégique en ce sens que l'entreprise pouvait ainsi prouver que le produit était effectivement crypté de bout en bout. Par rapport à d'autres messageries qui le prétendaient également, mais ne pouvaient pas le prouver. Aujourd'hui, il est CTO/COO de l'entreprise, membre du conseil d'administration et responsable de la destinée d'une équipe internationale ambitieuse de plus de 50 collaborateurs à Berlin. En outre, il agit en tant que conseiller pour un certain nombre de start-ups technologiques, apportant ainsi ses années d'expérience dans les domaines de l'open source, de la VoIP, de la sécurité informatique et de l'architecture logicielle.

Transformation numérique : une nouvelle association comme "sparring partner" pour les PME

Le département Informatique de la Haute école de Lucerne a fondé l'association Chief Digital Community. Celle-ci aide les PME suisses à maîtriser la transformation numérique de l'économie par le biais de manifestations, de réseaux et de formations continues.

L'association Chief Digital Community se considère comme un sparring partner des PME. (Image : capture d'écran www.chiefdigital.ch)

Pour la place économique suisse, il est essentiel que les PME maîtrisent avec succès la transformation numérique. "Les PME constituent l'épine dorsale de l'économie, mais elles sous-estiment souvent le défi de cette nouvelle révolution industrielle", explique Sita Mazumder de la Haute école de Lucerne. Avec l'association Chief Digital Community (CDC), la haute école a créé une structure permettant aux PME de mieux maîtriser la transformation.

Partenaire d'entraînement pour les PME

"Nous nous considérons comme des sparring-partners des PME", explique Mazumder, qui préside l'association. "Avec la Chief Digital Community, nous les soutenons de manière aussi pratique que possible". La nouvelle association propose aux décideurs des PME des conseils sur des questions concrètes liées à la numérisation, l'accès à un vaste réseau, des formations continues ainsi que des manifestations proches du quotidien des entreprises.

Ateliers avec "Challenge

L'un des éléments clés de l'offre CDC est le "défi PME". Dans cet atelier, une entreprise présente ses efforts de numérisation aux représentants d'autres PME présents. L'objectif est que les entreprises apprennent les unes des autres et se soutiennent mutuellement dans leur numérisation. La première entreprise à se présenter le 12 avril 2018 est le prestataire de services Internet et de commerce électronique lucernois Arcmedia AG.

Résultats de la recherche adaptés aux PME

Les approches de la CDC se basent sur les résultats actuels de la recherche sur la transformation numérique de l'économie. La plupart des analyses existantes se concentrent toutefois sur les grandes entreprises de l'espace anglophone, comme le dit Sita Mazumder. Pour les PME suisses, elles n'ont qu'une utilité directe limitée. "C'est pourquoi nous sélectionnons les études pertinentes pour les PME et les rendons accessibles à nos membres. De plus, nous réalisons nos propres études en collaboration avec des hautes écoles, des universités et d'autres institutions".

Pour plus d'informations, consultez le site web de l'association : www.chiefdigital.ch

 

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