Pax DuoStar rend possible les garanties à option dans la prévoyance professionnelle

REPORTAGE PUBLIC En matière de prévoyance, Pax mise sur le concept des garanties à option. Les assurés peuvent ainsi combiner sécurité et opportunités de rendement.

Montez à bord avec votre entreprise : avec Pax DuoStar, mettez le cap sur l'avenir en matière de prévoyance professionnelle. (Image : zVg / Pax)

Après le grand succès rencontré dans la prévoyance privée, Pax met également en œuvre le concept innovant des garanties à option avec Pax DuoStar pour les entreprises dans la prévoyance professionnelle.

Sécurité et rendement

Pax DuoStar combine les avantages d'une assurance complète avec ceux d'une solution semi-autonome. Dans la partie entièrement assurée, les clients bénéficient d'une sécurité à 100 % et ne supportent pas le risque d'une éventuelle sous-couverture - exactement comme dans l'assurance complète. Dans la partie "opportunités" orientée sur le rendement, l'avoir de vieillesse est placé de manière à ce que les clients puissent participer à l'évolution des marchés financiers - comme c'est le cas dans une solution semi-autonome. Par rapport à l'assurance complète, les cotisations sont réduites tout en offrant la perspective d'un rendement plus élevé. Et par rapport à la solution semi-autonome, la partie garantie assurée intégralement offre une protection à 100 %.

"Pax DuoStar combine les avantages d'une assurance complète avec ceux d'une solution semi-autonome".

La troisième dimension

Avec Pax DuoStar, les PME trouvent, en plus de l'assurance complète et des offres semi-autonomes, une troisième dimension pionnière dans l'évaluation de leur solution de prévoyance professionnelle et profitent du concept des garanties à option. Dans la prévoyance professionnelle, cela permet de sortir de l'ancien champ de tension "soit l'un, soit l'autre" pour aller vers l'option "soit l'un, soit l'autre". Les entreprises peuvent ainsi couvrir de manière optimale leurs exigences individuelles dans leurs différentes phases de planification.

Une prévoyance moderne pour des PME modernes

Grâce à Pax DuoStar, les entreprises peuvent pondérer plus systématiquement leur besoin de sécurité et leur profil de risque et les équilibrer sur la base de leurs défis futurs et de leur situation en matière de risque. Elles ancrent ainsi leurs réflexions stratégiques d'entreprise dans la prévoyance professionnelle, tout en les faisant coïncider avec les exigences des collaborateurs. En effet, les entreprises ont besoin de solutions de prévoyance intéressantes pour trouver des collaborateurs qualifiés et les garder à long terme. Une prévoyance professionnelle généreuse et moderne, adaptée aux circonstances et aux besoins, fait de plus en plus partie intégrante d'un employeur moderne et de conditions d'embauche attrayantes. Elle peut en effet devenir de plus en plus un facteur décisif dans le choix d'un emploi et la conservation de celui-ci. C'est précisément dans les périodes difficiles qu'une sécurité de prévoyance en perspective avec des garanties à option prend toute son importance.

Tout sur Pax DuoStar : www.pax.ch/duostar

Auteurs :
Yvonne Häring
est membre de la direction, Pax, Compagnie Suisse d'Assurances sur la Vie SA.
Lien Nguyen
est directrice de Pax, Fondation collective Balance

Plus d'informations :
Service clientèle prévoyance professionnelle
kundenservice-bvg@pax.ch
+41 61 277 66 80
www.pax.ch/berufliche-vorsorge

Pour la flexibilité de la prévoyance professionnelle

REPORTAGE PUBLIC Tellco pk a intégré la flexibilité, car chez la caisse de pension schwyzoise, les solutions individuelles qui répondent aux conditions actuelles de ses entreprises affiliées sont la norme.

Vous pensez immédiatement à la flexibilité lorsqu'il s'agit de la prévoyance professionnelle ? Non ? Alors vous n'êtes probablement pas le seul. La caisse de pension est une prévoyance à long terme pour l'après-retraite et est donc en premier lieu associée à la sécurité et à la continuité. Tellco pk est toutefois convaincue que la flexibilité doit également être un attribut important d'une caisse de pension. En effet, tout comme les entreprises évoluent, leur prévoyance doit pouvoir s'adapter.

Un extra : La flexibilité de Tellco pk se manifeste également dans les échéances des primes d'épargne. La plus grande partie des primes n'est due qu'en fin d'année, ce qui laisse plus de temps aux entreprises. D'ailleurs, celles qui paient avant l'échéance bénéficient d'un intérêt de 1 % sur le montant.

Choix individuels

Ce qui est remarquable chez Tellco pk, c'est son approche individualisée : "Nous sommes d'avis que la prévoyance professionnelle ne peut pas être pensée de manière statique : Elle doit évoluer avec l'entreprise". C'est pourquoi les entreprises affiliées à la Tellco pk ont la possibilité de faire le choix qui leur convient parmi différentes offres, et peuvent même les adapter gratuitement chaque année.

Il existe trois compartiments au choix : PRO, PULSE et INDIVIDUA. Ils se distinguent par leur stratégie de placement - de la sécurité au rendement - et par la possibilité de définir soi-même certaines composantes de la solution de caisse de pension.

Chez PRO, avec une part d'actions de 25 %, la stabilité est au premier plan : les fluctuations de cours restent faibles et le patrimoine croît modérément, mais régulièrement.

Chez PULSE Une part d'actions plus élevée (40 %) offre davantage d'opportunités, mais peut aussi entraîner des fluctuations de cours plus importantes.

Chez INDIVIDUA enfin, l'entreprise assurée a son mot à dire : que ce soit un gestionnaire de fortune ou un dépositaire, des placements directs ou des fonds, c'est la commission de prévoyance qui décide.

Alors que les compartiments PRO et PULSE conviennent à toutes les entreprises, l'option INDIVIDUA est une solution spéciale pour les entreprises à partir de 10 collaborateurs assurés et d'un capital de placement d'au moins 20 millions de francs.

Leader des caisses de pension suisses

La Tellco pk compte parmi les caisses de pension les plus importantes sur le marché suisse. Avec une croissance continue, elle compte actuellement environ 10'000 entreprises affiliées et 88'000 assurés. Elle gère ainsi un total de bilan d'environ CHF 4,3 milliards (à la fin 2021).

tellco.ch/kmu

La Fiduciaire Suisse met en place une plate-forme d'information sur la cybersécurité

80 % des entreprises suisses s'attendent à un cyberincident au cours des douze prochains mois. Elles craignent particulièrement les ransomwares et les attaques ciblées. Une nouvelle plate-forme d'information sur le site Internet de la Fiduciaire Suisse veut désormais remédier à cette situation en proposant des informations et d'autres services.

Une nouvelle plate-forme d'information chez Treuhand Suisse rassemble les points importants sur le thème de la cybersécurité. (Image : Pixabay.com)

Depuis le 6 juin 2022, elle est en ligne sur le site de la Fiduciaire Suisse, la nouvelle plateforme d'information sur la cybersécurité. On y trouve des informations importantes sur la cybersécurité. On y trouve également les mesures à prendre après une attaque et le soutien que peut apporter l'Union professionnelle des fiduciaires suisses. Différents guides, des prestations de services d'entreprises partenaires en matière de cybersécurité ainsi que des offres de formation continue sélectionnées complètent l'offre.

Plus précisément, la nouvelle plate-forme contient des informations sur des thèmes importants dans le domaine de la cybersécurité et une compilation des principaux sites d'information sur le web, y compris un répertoire de spécialistes et de fournisseurs qui aident les utilisateurs à répondre à des questions et des préoccupations spécifiques. On y trouve ainsi des explications sur les principaux termes techniques tels que CEO Fraud, Phishing, Malware, etc. Une liste de contrôle énumère les principales mesures à prendre après une attaque de pirates et fournit des liens vers des entreprises partenaires qui peuvent offrir un soutien supplémentaire en cas d'urgence. Des guides et des listes de contrôle sont également disponibles pour la prévention et peuvent être téléchargés par les non-membres. Une vidéo de formation sur la protection des données est également disponible.

Afin que la plate-forme d'information soit toujours à jour, Treuhand Suisse publiera régulièrement des actualités. Actuellement, on y trouve par exemple une information sur le nouveau droit de la protection des données, qui entrera probablement en vigueur le 1er septembre 2023.

Plus d'informations : https://www.treuhandsuisse.ch/hilfe-services/cybersecurity

Le Prix suisse de l'éthique récompense quatre projets

Un système d'irrigation économe en eau, une banque éthique, une association qui accompagne des personnes en souffrance et des plantes pour des produits industriels : Ce sont quatre projets qui seront récompensés par le Prix suisse de l'éthique. Parmi eux, le "Coup de cœur" des étudiants de la Haute école spécialisée de Suisse occidentale HEIG-VD.

L'entreprise Wepot de Villeneuve remporte le Prix suisse de l'éthique avec deux autres organisations. Un quatrième projet reçoit le "Coup de cœur" des étudiants de la HEIG-VD. (Image : HEIG-VD / Prix Ethique)
Créé en 2005 par la Haute École d'Ingénierie et de Gestion du canton de Vaud (HEIG-VD), le Prix suisse de l'éthique est un prix indépendant qui encourage l'intégration de l'éthique des affaires et du développement durable dans la stratégie des entreprises et des organisations publiques et privées. Il récompense chaque année des projets susceptibles d'être repris ou imités par d'autres, dans le but de populariser ces approches stratégiques et d'établir des bonnes pratiques concrètes.

Le Prix suisse de l'éthique décerné pour la 17e fois

Les deux jurys du Prix suisse de l'éthique - le jury composé de représentants des milieux professionnels, économiques et associatifs et le jury d'étudiants - ont désormais rendu leur verdict. Les lauréats de la 17e édition du concours sont l'entreprise Wepot, la Banque Alternative Suisse, l'association Mes mains t'accompagnent et l'entreprise Bloom Biorenewables. Ils ont été récompensés pour leur engagement dans les domaines de l'éthique d'entreprise et du développement durable.

Une technologie ancienne révolutionnée

Wepot s'est fixé pour objectif de révolutionner l'arrosage des plantes à l'aide d'une technologie millénaire. En 2018, l'entreprise a contribué au retour de l'olla, l'arrosage à l'aide de cruches. Cette technique consiste à remplir des pots en argile d'eau et à les enterrer à côté des plantes. L'argile poreuse permet à l'eau de s'infiltrer lentement dans la terre à travers les parois, de sorte que la plante peut aller chercher l'eau dont elle a besoin au fur et à mesure de ses besoins. Ce système offre une autonomie de dix jours et permet d'économiser jusqu'à 70 % d'eau tout en évitant le stress hydrique, car la plante s'autorégule. L'entreprise repose sur une économie circulaire, locale et sociale.

Une banque qui met en avant les valeurs éthiques

La Banque Alternative Suisse SA (BAS) a été fondée en 1990. Elle se distingue des autres établissements bancaires en mettant l'accent sur les valeurs éthiques et en renonçant à la maximisation des bénéfices. Elle investit l'argent de sa clientèle dans des entreprises et des projets sociaux et écologiques qui doivent avoir un impact positif sur la société et l'environnement. Afin de montrer à quoi est utilisé l'argent qu'elle reçoit, la BAS publie une liste de tous les crédits octroyés.

Accompagnement des mourants et des personnes en deuil

L'association Mes mains t'accompagnent soutient par la parole et le toucher les personnes âgées, en fin de vie, en deuil, malades ou handicapées ainsi que leurs proches aidants. L'organisation rend visite à ces personnes dans des maisons de soins, des institutions, des hôpitaux ou à domicile. Les thérapeutes sont formés à l'accompagnement des personnes en fin de vie et sont agréés par les assurances complémentaires.

Alternative au pétrole : le "coup de cœur" des étudiants

Bloom Biorenewables SA est une start-up issue de l'EPFL. Elle a pour objectif de faire de la biomasse une véritable alternative au pétrole grâce à des technologies durables et efficaces permettant de fabriquer des produits performants et compétitifs à partir de sous-produits végétaux. L'entreprise répond ainsi aux besoins de l'industrie qui souhaite réduire sa dépendance aux ressources fossiles sur des marchés tels que ceux des parfums, des emballages et des matériaux de construction. Plus d'informations : www.prixethique.ch Le post Le Prix suisse de l'éthique récompense quatre projets appeared first on Organisateur.

Swiss Sustainable Funds Awards 2022 : les gagnants

Le jury, présidé par le professeur René Sieber, a récompensé les sept meilleurs fonds de placement durables ainsi que le meilleur gestionnaire de fortune lors de la cérémonie virtuelle du 1er juin.

Le 1er juin 2022, les Swiss Sustainable Funds Awards ont été décernés pour la quatrième fois. (Image : Voxia / SSFA)

Les Swiss Sustainable Funds Awards 2022 (SSFA) ont récompensé les gestionnaires de fortune les plus performants ainsi que les fondsLe prix récompense les entreprises les plus engagées dans l'investissement socialement responsable (ISR). La cérémonie virtuelle de remise des prix a eu lieu le 1er juin 2022. Le prix a été décerné pour la quatrième fois. "C'est avec un grand plaisir que le jury a récompensé sept fonds distribués en Suisse ainsi que le gestionnaire de fortune qui a le mieux réussi à allier performance et durabilité. Les SSFA ont une nouvelle fois réussi à relever le défi de promouvoir le développement de l'ISR et d'accroître la visibilité des acteurs qui s'y engagent. Ces prix répondent à un réel besoin de reconnaissance des bonnes pratiques et des savoir-faire", a commenté le professeur René Sieber, président du jury.

Valorisation de l'investissement socialement responsable

Pour leur évaluation, les SSFA s'appuient sur un processus qui intègre notamment l'analyse ESG propriétaire du Conser - un auditeur et sélectionneur indépendant de fonds de développement durable - ainsi que l'analyse des données quantitatives de performance et de risque par la société de conseil Anglo-Swiss Advisors. Ces distinctions sont avant tout une réponse à l'évolution du paysage financier suisse, dans lequel l'investissement socialement responsable est devenu incontournable. Les SSFA sont soutenus par les principales organisations faîtières que sont la Swiss Financial Analysts Association (SFAA), le Swiss Training Centre for Investment Professionals (CFPI), l'Association suisse des institutions de prévoyance (ASIP), l'Asset Management Association Switzerland (AMA) ainsi que par Swiss Sustainable Finance (SSF). Ils sont organisés par le Geneva Forum for Sustainable Investment et le Zurich Forum for Sustainable Investment, sous la direction de Voxia communication.

Les gagnants des Swiss Sustainable Funds Awards 2022

Meilleure société de gestion d'actifs

  • Banque cantonale de Zurich

Catégorie "Actions" :

  • Actions internationales : Aegon Global Sustainable Equity C Acc GBP (Aegon Asset Management)
  • Actions Europe : NN (L) European Sustainable Equity I Cap EUR (NN Investment Partners)
  • Actions Marchés émergents : Candriam Sustainable Equity Emerging Mkt V EUR C (Candriam Investors Group)
  • Actions Suisse : GAM Swiss Sustainable Companies D (GAM Investment Management (CH) SA)
  • Actions Thématique : green benefit - Global Impact Fund - P (Green Benefit AG)

Catégorie "Obligations" :

  • Obligations Global (2 gagnants) : Franklin European Total Return I (acc) EUR (Franklin Templeton International) et JSS Sustainable Bond - Euro Broad C EUR acc (Banque J. Safra Sarasin SA)

Source et informations complémentaires

Les travailleurs exigent de pouvoir travailler n'importe où

Les entreprises doivent plus que jamais répondre aux besoins des travailleurs. L'exigence d'une plus grande flexibilité est centrale dans ce débat. Le travail indépendant du lieu de travail est de plus en plus au centre de l'attention. Sous le slogan "Ni maison, ni bureau", la plateforme suisse Workspace2go offre aux entreprises, à leurs collaborateurs et aux indépendants une flexibilité liée au lieu.

Nicolas Kämpfen, Manuele Fumagalli et Mira Ebinger de Workspace2go ont mis en place une plate-forme qui offre des possibilités de travail indépendant du lieu. (Image : zVg / Workplace2go)

Le New Work est arrivé en Suisse et le modèle Nine-to-Five avec présence au bureau a fait son temps. L'aspiration des travailleurs à plus de flexibilité et au "work-life blending" ne cesse d'augmenter et place les entreprises face à de nouveaux défis tels que les bureaux vides et la perte d'efficacité et de créativité due à des équipes décentralisées et cloisonnées. Jusqu'à présent, la question "Travailler dans un bureau ou dans un home office ? Une offre flexible de réservation d'espaces de réunion externes pour raccourcir les trajets et stimuler la créativité est rarement prise en considération. C'est précisément là que Workspace2go intervient et veut simplifier le travail indépendant du lieu grâce à une nouvelle offre de services.

Des postes de travail flexibles, variés et faciles à réserver

La start-up suisse Workspace2go offre aux entreprises une possibilité simple et transparente de louer leurs locaux inutilisés à l'heure ou à la journée à des indépendants ou à des collaborateurs d'autres entreprises à la recherche d'une salle de réunion ou de postes de travail externes - même s'ils ont en fait leurs propres bureaux. Les collaborateurs du service externe peuvent ainsi réserver spontanément une salle de réunion à la gare centrale de Zurich pour un appel à venir avant de prendre le prochain train, ou combiner un atelier créatif avec des collègues avec une réunion avec un client dans un beau bureau ancien à Lucerne. Quant aux indépendants, ils ont la possibilité de louer à l'endroit de leur choix en fonction de leurs besoins et de manière flexible.

Ainsi, l'entreprise fondée en 2016 par Manuele Fumagalli devient le "Airbnb des espaces de bureau". La plateforme pour le travail indépendant du lieu est, selon ses propres indications, le premier point de contact en Suisse pour la location et la mise à disposition rapide et simple d'espaces professionnels dans toute la Suisse, à l'heure ou à la journée. Les entreprises peuvent désormais souscrire à un Corporate Account afin que leurs collaborateurs puissent louer des locaux externes en cas de besoin et les facturer confortablement via leur entreprise.

Transformer les bureaux vides en capital

"Le besoin de locaux loués à l'extérieur augmente actuellement, ce que nous constatons sur notre plate-forme. D'une part, notre portefeuille ne cesse de croître : plus de 500 entreprises proposent désormais leurs locaux vacants à la location. D'autre part, la demande est forte : chaque mois, des centaines d'entreprises utilisent l'offre de nos clients", raconte Manuele Fumagalli. L'une des raisons en est le désir de créativité et de motivation qu'apporte un changement de décor, ainsi que la possibilité de planifier son quotidien de manière plus efficace et en fonction de l'endroit où l'on se trouve. Et pour les entreprises aussi, les bureaux, salles de réunion et postes de travail vides et inutilisés redeviennent soudain lucratifs. "Les entreprises peuvent capitaliser sur les locaux vacants tout en répondant aux exigences de notre monde du travail moderne", explique Manuele Fumagalli.

Source et informations complémentaires : www.workspace2go.com

Salon professionnel topsoft 2022 : une impatience palpable

Le coup d'envoi du plus grand et du plus ancien salon professionnel suisse de l'informatique sera donné dans à peine trois semaines. De nombreux exposants de Suisse et de l'étranger présenteront les 22 et 23 juin 2022 à l'Umwelt Arena Schweiz à Spreitenbach un programme complet sur la numérisation et le business numérique, avec une exposition spécialisée complète, des exposés passionnants et divers ateliers.

De nombreux exposants suisses et étrangers présenteront un programme complet les 22 et 23 juin 2022 à l'Umwelt Arena Schweiz à Spreitenbach. (Photo : topsoft / Andrea Jerger)

Enfin de nouveau un événement en direct, enfin de vraies discussions, enfin du réseautage personnel. L'impatience est palpable chez les exposants et les organisateurs, mais aussi chez le public du salon professionnel topsoft 2022. La numérisation n'est pas seulement de la technologie, mais aussi du people-business, selon le directeur du salon Cyrill Schmid : "Pour les utilisateurs de PME, la rencontre personnelle avec les fournisseurs est un critère de décision important lors de l'évaluation de projets informatiques. C'est pourquoi nous avons reçu de nombreuses demandes de la part d'anciens exposants pour savoir quand le prochain salon aurait lieu. Le moment est enfin venu de le faire à nouveau".

Des exemples pratiques seront mis en avant lors du salon professionnel topsoft 2022

Beaucoup de nouveautés attendent les visiteurs sur le salon. Dans le domaine des systèmes ERP, on a par exemple beaucoup investi dans le commerce électronique et l'automatisation des processus. De même, les applications cloud continuent de gagner du terrain ; rares sont les fournisseurs qui peuvent se soustraire à cette tendance. L'accent particulier du salon est toutefois mis sur les nombreux showcases, des exemples pratiques concrets. Des portails web aux concepts d'introduction en passant par les solutions IoT, le salon professionnel topsoft présente une large vitrine de la numérisation. Pour les utilisateurs de PME, c'est une occasion idéale de s'informer sur les possibilités et de recueillir des suggestions, explique Cyrill Schmid.

Exposés, ateliers et beaucoup de pratique

Le programme d'accompagnement du salon est lui aussi très riche. 16 conférences spécialisées et sept ateliers promettent un transfert de connaissances intensif. Le lien avec la pratique n'est pas négligé. Les intervenants se tiendront en outre volontiers à disposition pour des entretiens personnels. En outre, l'Unconference de CrowdDialog est le premier barcamp sur le thème du commerce numérique, où le public choisit qui peut s'exprimer sur quel sujet. Les événements gratuits peuvent être réservés en même temps que le billet d'entrée au salon, également gratuit.

Plus d'informations

La conseillère fédérale Karin Keller-Sutter au Wifo : "Parfois, il faut choisir entre deux maux".

Le mode de crise tient en haleine l'économie, la société et la politique. Le 27e Forum économique de la vallée du Rhin du 2 juin 2022, consacré au thème du risque, n'aurait pas pu être plus actuel. Les exposés ont esquissé des pistes pour entrer et sortir de la crise. A cette occasion, la conseillère fédérale Karin Keller-Sutter a également permis de jeter un coup d'œil dans les coulisses du fonctionnement du gouvernement.

La conseillère fédérale Karin Keller-Sutter lors du 27e Forum économique du Rheintal, ici en discussion avec l'animatrice Sonja Hasler (à gauche). (Photo : Thomas Berner)

Toutes les bonnes choses vont par trois : le 27e Forum économique du Rheintal aurait dû avoir lieu l'année dernière. Et début 2022, il a encore dû être reporté. Maintenant, le 2 juin 2022, il a enfin pu avoir lieu - et avec un programme complet, car tous les intervenants ont pu se produire comme prévu à la date reportée. La conseillère fédérale Karin Keller-Sutter a également accepté de participer malgré la session en cours au Palais fédéral.

Une salle comble et des conférenciers de haut niveau

Tout était donc prêt pour accueillir les plus de 700 visiteurs. Et le thème "Risque, responsabilité, leadership - comment rester pérenne pendant et après les crises" avait même gagné en actualité. Lors du dernier forum économique de la vallée du Rhin, en janvier 2020, l'accent était encore mis sur la crise climatique, puis sur la pandémie Corona, suivie en février 2022 par l'attaque de la Russie contre l'Ukraine. La situation géopolitique et économique de ces derniers mois et années a donc fourni un riche matériel d'illustration et a dominé la teneur des exposés. Outre la conseillère fédérale Karin Keller-Sutter, le CEO de Nestlé Mark Schneider, le chercheur en risques Gerd Gigerenzer, Ursula Nold, présidente de la Fédération des coopératives Migros, et l'invité surprise Matthias Hüppi, le panel du Forum économique était à nouveau composé de personnalités de haut niveau.

Karin Keller-Sutter : "Le Conseil fédéral n'est pas infaillible".

"Nous devons vivre avec le fait que nous ne vivons pas dans un système parfait", a déclaré la cheffe du DFJP Karin Keller-Sutter. Il y a parfois des tensions, et toutes les contradictions réelles ou supposées ne peuvent pas toujours être résolues. "Seules les idéologies peuvent réussir ce tour de force". Pendant la crise de Corona notamment, le Conseil fédéral a dû à plusieurs reprises "choisir entre deux maux". Karin Keller-Sutter a reconnu que le Conseil fédéral n'était certainement pas infaillible, mais qu'il s'agissait néanmoins d'une bonne institution qu'il fallait défendre. Lors de l'entretien avec l'animatrice Sonja Hasler, Karin Keller-Sutter a également montré de temps à autre son côté personnel. Interrogée sur l'ambiance qui règne parfois au Conseil fédéral, elle a reconnu qu'il était parfois "pénible" de devoir se battre avec de nombreux détails d'ordonnances. Elle a également regretté que de nombreuses autres choses importantes, comme la réforme des assurances sociales, aient été reléguées au second plan pendant la crise de Corona. Et la guerre en Ukraine constitue pour elle une toute autre catégorie de crise : la brutalité avec laquelle cette guerre est menée et les violations des droits de l'homme qui en découlent la touchent émotionnellement.

Mais comment prendre les bonnes décisions en situation de crise ? Gerd Gigerenzer, chercheur berlinois en matière de risques, a donné quelques éléments de réponse. Il faut prendre des décisions basées sur des données et intuitives. Mais il manque à de nombreux comités des compétences de base pour traiter des données statistiques. Mais la sympathie de Gigerenzer va finalement à la "décision basée sur l'instinct". Il a souligné que dans les entreprises, environ 50 pour cent des décisions sont prises à l'instinct. Il constate que "nous nous éloignons de plus en plus d'une culture de la performance pour aller vers une culture de la sécurité". Une "culture positive de l'erreur au lieu d'une protection défensive" est cependant nécessaire.

De nombreux risques qui demeurent

Ursula Nold, présidente de l'administration de la Fédération des coopératives Migros, a expliqué comment Migros se comporte durablement en temps de crise. Il n'y a ni recette secrète ni recette miracle pour réussir, mais il faut toujours se relever après un échec. C'est tout à fait dans l'esprit du fondateur de Migros, Gottlieb Duttweiler, qui était lui-même un "maître de l'échec". Lorsque les recettes du succès ne fonctionnent plus, il faut faire preuve de flexibilité. Pour ce faire, Ursula Nold considère qu'il s'agit là d'un élément essentiel de la culture Migros, à savoir une prise de conscience correspondante et un plaisir constant à innover.

Matthias Hüppi peut lui aussi chanter une chanson sur le thème de l'échec. En tant qu'invité surprise, l'ancien présentateur sportif et actuel président du FC Saint-Gall a donné un aperçu du quotidien d'un club de football, où le risque et l'incertitude sont des compagnons permanents.

Nestlé, le plus grand groupe agroalimentaire du monde, doit lui aussi régulièrement envisager des scénarios de crise, comme l'a expliqué son CEO Mark Schneider. Le regard de Schneider sur les prochaines années était pessimiste : "Les années 2020 ressembleront de manière fantomatique aux années 1970". Et ce, sous une autre forme, avec de l'inflation, de la stagflation, des restrictions dans les chaînes d'approvisionnement et le secteur de l'énergie. "Ce n'est qu'en s'y préparant", poursuit Schneider, "que l'on pourra aussi y faire face". Car les crises n'ont pas de fin définie et la situation d'avant ne se reproduira plus jamais. "La nostalgie ne sert à rien", a déclaré Schneider. Il a appelé les entrepreneurs présents dans la salle à ne pas oublier leur responsabilité sociale, surtout en situation de crise. Il faut également éviter de se montrer comme un profiteur de la crise. "Le monde n'aime pas les gagnants de la crise".

Le prochain Forum économique de la vallée du Rhin aura à nouveau lieu à Widnau le 20 janvier 2023. L'inscription est dès à présent possible sous www.wifo.ch possible.

Gustav Spiess AG reçoit le prix de l'économie de la vallée du Rhin

L'entreprise familiale Gustav Spiess de Berneck a été honorée par le "Prix de l'économie du Rheintal 2022" lors du forum économique. Jürg Spiess, de la troisième génération Spiess, a reçu des mains de la présidente du jury Brigitte Lüchinger la sculpture "Kreislauf" de l'artiste Karin Thür, originaire de la vallée du Rhin. Le jury a rendu hommage au lauréat pour la qualité élevée de ses produits et sa croissance organique, ainsi que pour sa construction durable et son engagement en faveur du site de Berneck. La société Gustav Spiess AG existe depuis 61 ans et produit des saucisses et des produits carnés ainsi que des produits à base de jambon et de lard. Elle emploie environ 160 personnes. Le "Prix de l'économie de la vallée du Rhin" a été décerné jeudi pour la 28e fois.

www.spiessberneck.ch

L'enseignement à partir du cloud : une école dans les nuages

Les écoles d'économie, d'informatique et d'immobilier WISS innovent dans l'enseignement de l'informatique avec leur propre solution de cloud computing. Le cloud computing doit désormais faire partie intégrante de l'enseignement des apprentis informaticiens et pour cela, WISS a développé un environnement de développement et d'apprentissage propre à l'école.

Les écoles d'économie, d'informatique et d'immobilier WISS sont les premières à mettre à disposition de leurs apprentis IT leur propre nuage d'apprentissage. (Image : WISS)

La nouvelle ordonnance sur la formation "BIVO21" stipule que l'enseignement des apprentis informaticiens CFC doit intégrer le cloud computing. Les directives théoriques sont données par le Secrétariat d'État à la formation, à la recherche et à l'innovation (SEFRI). La mise en œuvre pratique est laissée à l'appréciation de chaque école. WISS Schulen für Wirtschaft Informatik Immobilien AG, un institut de formation qui dispose d'une expérience de plus de 85 ans, emprunte de nouvelles voies pour transmettre les connaissances sur le cloud computing. Les deux enseignants et développeurs de WISS, Sascha Carroccio et Fatlum Amza, ainsi que le chef de produit Benca Banjac, se sont associés pour développer leur propre nuage pour l'enseignement du cloud computing. L'enseignement à partir du cloud - cela signifie une innovation dans le domaine de l'enseignement de la formation professionnelle initiale. Jusqu'à présent, aucune autre école n'a développé un tel cloud, qui sert uniquement à la formation des futurs spécialistes en informatique dans le cadre de l'enseignement.

Enseigner le cloud computing de manière pratique

En raison de la nouvelle ordonnance sur la formation, les filières de formation pour informaticiens/informaticiennes CFC comprennent trois modules qui traitent spécifiquement du thème du cloud et exigent des enseignants des connaissances approfondies en matière de cloud dans les domaines suivants : "Utiliser le cloud public pour des applications", "Exploiter et surveiller des services dans le cloud public" et "Concevoir et réaliser des solutions cloud". Dans de nombreux endroits, le développement et la gestion d'un cloud sont généralement enseignés sur une base théorique, car les fournisseurs de solutions cloud commerciales n'autorisent souvent pas la modélisation et la reprogrammation de ces dernières. Il fallait donc trouver une solution pratique. L'équipe du projet WISS a donc conçu un cloud qui permet aux apprenants de mettre en pratique leurs connaissances théoriques.

L'enseignement en ligne sera prêt à l'automne 2022

"Enfin, le cloud "WaaS" doit aussi servir directement à WISS et minimiser la dépendance vis-à-vis de fournisseurs tiers. La solution open stack développée doit également permettre de réduire les coûts grâce à son évolutivité à volonté", explique Benza Banjac, chef de produit Formation de base à WISS. WaaS est géré par les écoles d'économie, d'informatique et d'immobilier WISS et le support est entièrement assuré en interne.

"WaaS" sera prêt pour le début du semestre de la formation d'informaticien/ne CFC à l'automne 2022. Actuellement, il possède une architecture à deux niveaux basée sur une configuration à deux serveurs fonctionnant dans un cluster. WISS prévoit d'étendre et d'agrandir l'environnement à l'avenir afin de garantir une disponibilité encore meilleure.

Source et informations complémentaires : www.wiss.ch

Flottes d'entreprise en Suisse : une confiance prudente dans un environnement complexe

Les entreprises en Suisse sont confiantes quant à l'évolution de leur flotte. 95 % des entreprises interrogées s'attendent à ce que leur flotte d'entreprise reste au moins aussi grande ou augmente au cours des trois prochaines années. Plus d'une PME sur cinq prévoit d'introduire ou de développer le full service leasing dans sa flotte au cours des trois prochaines années.

Les entreprises en Suisse sont confiantes quant à l'évolution de leurs flottes d'entreprise. L'environnement devient toutefois de plus en plus complexe. (Image : Pixabay.com)

Le Baromètre de la flotte et de la mobilité 2022 est une étude annuelle menée par Arval Mobility Observatory. L'enquête a été menée dans 26 pays, avec un focus sur l'Europe, et montre l'état d'esprit qui règne parmi les gestionnaires de flotte. Pour les trois prochaines années, on s'attend à une stabilité ou à une croissance des flottes d'entreprise en raison de la bonne marche des affaires et des besoins en personnel. L'environnement incertain dû à l'inflation, à la pénurie de semi-conducteurs et aux problèmes de la chaîne d'approvisionnement incite toutefois les entreprises suisses à conserver leurs véhicules plus longtemps qu'auparavant - un phénomène que l'on observe également dans le reste de l'Europe. La tendance au home-office n'influence toutefois que timidement la stratégie de mobilité des entreprises : 17 % des entreprises suisses (Europe : 13 %) envisagent d'adapter leur politique de mobilité à cet égard. 22 % des PME suisses prévoient en outre d'introduire ou de développer le full service leasing dans leur flotte au cours des trois prochaines années.

Les technologies alternatives continuent de gagner du terrain

En ce qui concerne l'introduction de technologies de propulsion alternatives, la Suisse se situe dans la moyenne européenne : 4 entreprises sur 10 ont déjà des modèles hybrides, hybrides plug-in ou BEV (véhicules purement électriques avec batterie) dans leur flotte de voitures de tourisme. Au total, deux tiers des entreprises interrogées utilisent ou envisagent d'utiliser des technologies alternatives dans les trois années à venir.

L'hybride et le VEB sont utilisés par une entreprise sur cinq ; l'hybride rechargeable est légèrement en dessous avec 16 %. Au total, chacune de ces trois technologies est utilisée ou envisagée par un tiers des entreprises. La Suisse se situe ici au niveau de l'Europe. Les entreprises ayant des véhicules utilitaires dans leur flotte ont également déjà commencé à électrifier leur parc avec des BEV : 25 % les utilisent déjà ou envisagent de le faire dans les trois prochaines années. C'est plus souvent le cas pour les grandes entreprises que pour les petites. En ce qui concerne les autres technologies, le GNC (gaz naturel comprimé) est déjà utilisé par 7 % des entreprises, alors que l'hydrogène n'est utilisé que dans 2 % des flottes de voitures particulières.

Des points de recharge à domicile peu financés

La principale motivation pour le passage aux technologies de propulsion alternatives est la responsabilité sociale de l'entreprise. Dans ce domaine, la Suisse occupe la première place avec 83 % pour les flottes de voitures particulières, suivie de près par l'objectif de réduire les coûts de carburant (76 %), de diminuer l'impact écologique (69 %) et d'améliorer l'image de l'entreprise (68 %).

Avec la forte diffusion des véhicules électriques, le besoin en stations de recharge augmente. L'accès aux bornes de recharge en route, à la maison et sur le lieu de travail n'est donc pas encore jugé optimal. Près de la moitié des entreprises en Suisse ont désormais installé des bornes de recharge sur leur site ou sont en train de les planifier. En ce qui concerne le soutien financier des collaborateurs pour l'installation et le financement de bornes de recharge à domicile, la Suisse a un grand retard à rattraper par rapport au reste de l'Europe : 52 % des entreprises suisses (Europe : 21 %) n'accordent pas encore de soutien financier à leurs collaborateurs dans ce domaine.

(Graphique : Arval)

En revanche, les solutions de mobilité alternatives, telles que la combinaison de la voiture, des transports publics et du vélo, sont déjà largement répandues : Deux entreprises sur trois en Suisse proposent déjà de tels modèles à leurs collaborateurs et trois entreprises sur quatre le font déjà ou envisagent de le faire dans les trois années à venir. Cela s'accompagne également de budgets de mobilité pour les collaborateurs, qui doivent contribuer à la réduction des coûts de mobilité et à des solutions de mobilité flexibles. Dans ce contexte, un tiers des entreprises interrogées indiquent vouloir introduire ou encore développer le home office.

les flottes d'entreprise des PME : Le full service leasing prend de l'ampleur

L'Observatoire de la mobilité d'Arval examine également les méthodes de financement des flottes d'entreprise. Le full service leasing est actuellement la principale méthode de financement utilisée par 13 % des entreprises en Suisse, ce qui représente un doublement par rapport à l'année 2020 (2020 : 6 %). Parmi les petites entreprises en particulier, 22 % supplémentaires prévoient de l'introduire ou de le développer au cours des trois prochaines années.

(Graphique : Arval)

En ce qui concerne l'utilisation de systèmes télématiques, les flottes d'entreprises suisses se situent au niveau européen avec 30 % (Europe : 33 %), les grandes entreprises étant les premières à progresser et à utiliser davantage la technologie pour les véhicules de tourisme que pour les véhicules utilitaires. Les principales raisons de l'utilisation de la télématique en Suisse sont les mêmes que dans le reste de l'Europe : comportement des conducteurs, sécurité et localisation du véhicule et efficacité opérationnelle.

Source : Arval

Randstad Award 2022 : les employeurs les plus attractifs

Le 31 mai 2022, le Randstad Award 2022 a été décerné aux employeurs les plus attractifs du pays. Cette année, le classement des entreprises évaluées a connu de nombreux changements. Les résultats sont basés sur l'étude de marque employeur la plus représentative et la plus complète au monde.

Le Randstad Award 2022 a une fois de plus récompensé l'employeur le plus attractif de Suisse. Cette année, il s'agit de l'horloger Rolex. (Image : Randstad.ch)

Le 31 mai dernier a eu lieu la remise du prix de l'employeur le plus attractif de Suisse, le Randstad Award 2022. La 9ème édition de ce prix, organisé par le prestataire de services en ressources humaines Randstad, a eu lieu pour la première fois cette année dans le cadre du HR Festival à Zurich. Outre la remise du prix, des développements inattendus de l'étude Randstad Employer Brand ont été présentés et les tendances actuelles en matière de talents ont été discutées lors d'une table ronde passionnante.

Google : Perte de l'aura d'un employeur de premier plan ?

Lors de l'élection de l'employeur le plus attractif de Suisse, les cartes ont été pour ainsi dire redistribuées cette année : après trois ans de Hall of Fame, dans lequel elle était entrée grâce à trois nominations à la première place en 2016, 2017 et 2018, Google a de nouveau pu être évaluée et n'a cette fois pas réussi à se hisser sur le podium avec une quatrième place. Le géant de l'Internet est devancé par des entreprises suisses traditionnelles : La première place et donc l'employeur le plus attractif de Suisse en 2022 est Rolex. Elle est suivie d'une autre manufacture horlogère, Patek Phillippe Geneve, et du chocolatier Lindt & Sprüngli à la troisième place. L'aéroport de Zurich AG occupe la cinquième place. En outre, dix nouvelles entreprises ont fait leur entrée dans le top 20.

"Je m'attendais à ce que la crise Covid-19 modifie les besoins des travailleurs. Bien que cela semble évident à première vue, j'ai été surpris de voir à quel point le thème de la flexibilité est à l'ordre du jour des travailleurs. Mon expérience montre que non seulement la flexibilité spatiale, mais aussi la flexibilité temporelle et la flexibilité contractuelle sont devenues très importantes", explique Bernhard Hänggi, CFO de Randstad Suisse. Mais même en temps de crise : Les principaux facteurs qui influencent les employés dans le choix de leur employeur sont restés stables au cours des neuf dernières années. Ainsi, des salaires et des avantages attrayants, un environnement de travail agréable, la sécurité de l'emploi et l'équilibre entre vie professionnelle et vie privée sont restés les facteurs les plus importants.

La réputation d'un employeur prend de l'importance

En revanche, il y a eu des changements sur d'autres points. Le facteur "réputation" est le gagnant secret du Randstad Award 2022 ; c'est celui qui a le plus gagné en importance au fil des ans. "La réputation est donc plus importante que jamais dans le choix d'un employeur. En raison du marché actuel des travailleurs, il se pourrait que les talents se permettent d'être plus sélectifs", explique Susanne Beer, HR Director Randstad Suisse, à propos de cette évolution. "Mot-clé Employer Branding : une plus grande notoriété est plus que jamais un facteur essentiel pour ouvrir des portes". En revanche, deux points ont perdu le plus de pertinence : La santé financière d'une entreprise et l'utilisation des nouvelles technologies. "Si la santé financière d'une entreprise n'est plus considérée comme aussi importante, c'est peut-être parce que les talents sont devenus plus sûrs d'eux en ce qui concerne la possibilité de retrouver plus rapidement un nouvel emploi", estime Susanne Beer. En ce qui concerne le thème des technologies les plus récentes, les participants à la table ronde étaient également d'accord : "Ce n'est plus un facteur décisif, car il est tout simplement devenu indispensable pour les entreprises d'utiliser la technologie, d'avoir une bonne infrastructure TIC", estime Bruno Zanella, Head of Human Resources chez Flughafen Zürich AG, à propos du changement.

Randstad Award 2022 : le top 20

Le classement est établi par Randstad Employer Brand Research, une étude indépendante dans le domaine de la marque employeur. Les entreprises ne peuvent pas se porter candidates, elles sont sélectionnées pour l'étude en fonction de leur nombre de collaborateurs. Outre le classement des entreprises, les résultats de l'étude fournissent des informations sur les besoins des employés et les tendances actuelles du marché.

  1. Rolex
  2. Patek Phillippe Geneve
  3. Lindt & Sprüngli
  4. Google*
  5. Aéroport de Zurich SA
  6. Swatch Group
  7. SWISS
  8. Pilatus Flugzeugwerke AG* (usine d'avions Pilatus)
  9. CFF CFF FFS
  10. Raiffeisen*
  11. Chocolate Frey AG
  12. Stadler Rail
  13. Migros
  14. HP*
  15. SR Technics*
  16. Roche*
  17. Swisscom*
  18. KPMG*
  19. Siemens*
  20. Richemont*

*nouveau dans le top 20

Source : Randstad

Les erreurs de casting dans les entreprises sont plus fréquentes qu'on ne le pense

Selon une étude sur le marché du travail, la moitié des entreprises ont procédé à des erreurs de casting pour des postes en 2021. Cela montre qu'une plus grande diligence et des processus optimisés pourraient améliorer la sélection du personnel.

Embaucher la mauvaise personne ou la mauvaise femme : Selon une étude internationale sur le marché du travail, la moitié des entreprises font régulièrement des erreurs de casting. (Image : Depositphotos.com)

Les erreurs de recrutement dans les entreprises sont fréquentes : 50 pour cent des cadres interrogés dans le cadre d'une étude sur le marché du travail réalisée par le prestataire de services en ressources humaines Robert Half ont recruté du personnel au cours des douze derniers mois qui s'est avéré être une erreur de recrutement par la suite. 72 pour cent des personnes interrogées considèrent ces erreurs de recrutement de manière encore plus critique qu'il y a un an, car les conséquences sont aujourd'hui beaucoup plus graves dans le contexte de la pénurie accrue de personnel dans certains secteurs. L'étude a été réalisée en février 2022 à la demande de Robert Half. L'enquête a été menée auprès de 1500 managers ayant des responsabilités en matière de ressources humaines (directeurs généraux, CIO, CFO) en Belgique, au Brésil, en France, en Allemagne et au Royaume-Uni. Cela signifie que les résultats pour la Suisse ne sont pas forcément représentatifs.

Mais les erreurs de recrutement existent aussi dans notre pays. En principe, toute mauvaise décision lors de la sélection du personnel entraîne des coûts élevés, une insécurité potentielle parmi les collaborateurs et un immense travail d'organisation. C'est pourquoi il vaut la peine d'en rechercher les causes.

Les causes des erreurs de casting : Vitesse versus diligence

Les personnes interrogées considèrent que la principale raison des erreurs de recrutement est d'avoir mené le processus de recrutement trop rapidement (17 %). 15 % des managers indiquent qu'ils se sont contentés de candidats dont les compétences ne correspondaient pas aux exigences du poste. Ils sont tout aussi nombreux à dire qu'ils se sont trop focalisés sur les compétences techniques des candidats au détriment des soft skills. Mais ce qui va trop vite pour certains cadres est trop lent pour d'autres : 12 pour cent considèrent qu'un long processus de recrutement est à l'origine d'erreurs d'embauche parce que des candidats ont abandonné en cours de route.

"Les entreprises devraient faire preuve de prudence lorsqu'elles décident de recruter. Les erreurs de recrutement ont un impact négatif sur l'équipe existante et entraînent des coûts élevés", explique Eva Mahoney, directrice associée chez Robert Half. "Ni les processus de recrutement trop rapides, ni les processus trop lents ne sont utiles. Il est également important de clarifier au préalable quelles sont les compétences techniques indispensables et quelles sont les soft skills attendues par l'entreprise. Il est facile de vérifier si les relations humaines conviennent en intégrant des collaborateurs sélectionnés dans les entretiens d'embauche". En effet, les personnes interrogées considèrent également que l'exclusion de groupes d'intérêt importants du processus de recrutement - comme les cadres moyens ou les personnes occupant des fonctions d'interface - est l'une des causes des erreurs de recrutement (10 %). D'autres problèmes sont la vérification insuffisante des références (10 %), le fait de trop se concentrer sur l'adéquation des candidats avec la culture de l'entreprise et le manque d'un package de rémunération attractif (11 % chacun).

Contrecarrer la tendance grâce à des processus de candidature optimisés

En réaction au taux élevé d'erreurs de recrutement, un quart des personnes interrogées examinent les candidats avec plus d'attention qu'auparavant. 18 pour cent déterminent à l'avance les domaines et les compétences essentiels et indispensables ; 16 pour cent ont mis en place un processus de candidature optimisé. En outre, 15 pour cent recrutent davantage d'intérimaires qui peuvent être embauchés ultérieurement. En outre, 13 pour cent font appel à une agence de recrutement pour le suivi du processus afin de réduire les erreurs de recrutement.

"Les nouvelles offres d'emploi doivent être rédigées avec soin. Elles doivent présenter les exigences actuelles, décrire précisément les compétences personnelles et professionnelles attendues et exposer ce qui attend les candidats dans l'entreprise. Il est efficace d'impliquer le service spécialisé et de comparer sa propre offre d'emploi avec celle de la concurrence. Cela permet de voir rapidement si l'offre est compétitive et attractive. Plus l'offre est détaillée, plus les chances d'attirer les bons candidats sont élevées", explique Mahoney.

Source : Robert Half

get_footer() ;