Tecnomec SA remporte le Prix SVC Svizzera Italiana 2022

Le 18 mai 2022, le Prix SVC Svizzera Italiana 2022 a été décerné à Lugano. Le trophée a été remporté par l'entreprise Tecnomec SA de Stabio, devant Jetpharma SA et R. Audemars SA.

Iarno Mapelli (à gauche) de Tecnomec SA, lauréat du Prix SVC Svizzera Italiana 2022. (Image : Swiss Venture Club SVC)

Iarno Mapelli, directeur de Tecnomec SA, a reçu le trophée tant convoité le 18 mai 2022 dans le cadre du Prix SVC Svizzera italiana 2022. Fondée en 1981, l'entreprise est active dans le domaine de la mécanique de précision et dispose d'un parc de machines ultramoderne. L'entreprise, dont le siège est à Stabio, emploie 70 personnes. La deuxième place a été attribuée à l'entreprise Jetpharma SA et à son membre du conseil d'administration Stefano Martinoli, tandis que la troisième place a été remportée par R. Audemars SA et son CEO Mirko Audemars. Les rangs des diplômes ont été attribués à Agriloro SA et à son directeur général Jacques Perler, à Campofelice SA et à son directeur général Simone Patelli, ainsi qu'à Fontana Print SA et à son directeur général Ruben Fontana.

Tecnomec SA : Enracinée dans la région

Marzio Grassi, président du jury du Prix SVC Suisse italienne, a justifié le choix du lauréat comme suit dans son éloge : "Chacun des six finalistes méritait de gagner. Au final, le jury a choisi Tecnomec, un excellent exemple d'entreprise familiale qui se caractérise par un fort esprit d'entreprise et une orientation vers l'innovation et l'excellence. Elle est enracinée dans la région et investit constamment dans la croissance de l'entreprise et de ses employés. Outre le trophée du vainqueur, le directeur Iarno Mapelli a pu emporter comme prix un voyage pour entrepreneurs du Credit Suisse et un bon exclusif de la SUPSI d'une valeur de 12 500 francs pour suivre un ou plusieurs cours de formation continue de la SUPSI.

Deuxième place pour Jetpharma SA et troisième place pour R. Audemars SA

Fondée en 1986, Jetpharma SA, dont le siège se trouve à Balerna, a remporté le 2e prix de l'innovation. L'entreprise propose les services suivants de micronisation pour des tiers. L'entreprise est aujourd'hui l'un des rares acteurs mondiaux et dispose d'une technologie unique. Le prix, décerné à Stefano Martinoli, membre du conseil d'administration, est offert par Ernst & Young et consiste en une participation à un voyage d'étude et au congrès "Entrepreneur of the Year".

Le troisième prix a été décerné à R. Audemars SA de Lamone-Cadempino. Grâce au savoir-faire acquis en plus de 120 ans dans l'industrie horlogère suisse, cette entreprise familiale fondée en 1898 s'est développée sur d'autres marchés et collabore avec des fabricants d'appareils médicaux actifs dans le monde entier, qui constituent aujourd'hui son principal marché. Mirko Audemars, CEO, a reçu le prix offert par Swisscom sous la forme d'un bon pour participer à l'un des événements exclusifs promus et soutenus par Swisscom.

Plus d'informations : Club suisse des entrepreneurs

Première plateforme numérique pour la gestion des déchets en Suisse

SRS Global Services change de nom pour devenir Metawaste et lance une plateforme numérique de gestion des déchets appelée Genius. L'entreprise répond ainsi à une demande croissante de moyens permettant de gérer au mieux les déchets, d'optimiser la collecte, de suivre le recyclage et l'élimination et, enfin, de mesurer les émissions de CO2 via un outil numérique.

Mieux gérer l'élimination des déchets : Metawaste lance une plateforme numérique pour la gestion des déchets. (Image : Pixabay.com)

Metawaste est un réseau de fournisseurs et de partenaires dans toute la Suisse, qui mise sur une approche collaborative qu'il qualifie d'unique. Le réseau s'est fixé pour objectif de réunir les acteurs de la gestion des déchets en Suisse afin de proposer à leurs clients des solutions de collecte et de traitement optimales. Vincent Chapel, président et fondateur de l'entreprise, énonce ses objectifs : "En associant les entreprises nationales de gestion des déchets et les recycleurs, Metawaste contribue de deux manières à l'économie circulaire : D'une part, nous encourageons nos partenaires à rejoindre la plateforme afin d'offrir un réseau efficace de collecte des déchets dans tout le pays et, d'autre part, nous permettons à nos clients de réduire leur empreinte carbone grâce à des outils numériques".

Des outils numériques pour une économie durable

Les émissions de CO2-est devenu un indicateur important pour les entreprises : Il leur permet de déterminer les mesures à mettre en œuvre en priorité pour réduire leur empreinte écologique. Genius, la nouvelle plateforme numérique de gestion des déchets, contribuerait, selon Metawaste, à cette dynamique en proposant plusieurs fonctionnalités qui permettraient d'analyser les données liées aux flux de déchets, notamment

  • Gestion centralisée des déchets et suivi en temps réel de l'itinéraire de collecte et du nombre d'interventions effectuées
  • Bilan en temps réel des opérations de tri, de recyclage et de valorisation
  • Suivi budgétaire en temps réel avec détails des dépenses moyennes par collecte et coûts par type de déchets
  • Surveillance en direct des émissions de CO2-Performance (rejetée vs. évitée)
  • Et, le cas échéant, la gestion en temps réel des non-conformités

Grâce à une interface utilisateur claire et facile à utiliser, les utilisateurs peuvent accéder rapidement à différentes informations et gérer tous les processus en ligne.

Partenaire en matière de gestion des déchets

La plateforme numérique a été développée avec l'aide de l'expertise des équipes de SRS Global Services, une entreprise avec une expérience unique dans la gestion des déchets des grandes entreprises suisses. SRS Global Services traite les déchets de 800 sites clients en Suisse et s'occupe de 65 000 tonnes de déchets par an. Cette expérience a été décisive pour mettre en œuvre une solution adaptée au marché et répondant aux exigences des clients. Metawaste gère actuellement les déchets industriels et de détail ; une offre pour les déchets de construction devrait être développée d'ici fin 2022.

Source et informations complémentaires : www.metawaste.com

Transparence des salaires : seule une entreprise sur trois veut rendre les salaires publics

La majorité des entreprises en Suisse ne souhaitent pas rendre publics les salaires de leurs collaborateurs et la moitié des employeurs considèrent l'Employer Branding comme un instrument important pour le recrutement de personnel. Pourtant, une entreprise sur trois se prononce en faveur de la transparence des salaires.

Une grande partie des entreprises suisses ne veut toujours pas rendre les salaires transparents. (Image : Unsplash.com)

Même si la transparence des salaires est de plus en plus encouragée en Suisse et souhaitée par les demandeurs d'emploi, l'étude JobCloud réalisée en collaboration avec l'institut LINK a révélé que 61% des entreprises interrogées ne sont actuellement pas prêtes à rendre publics les salaires de leurs collaborateurs. Au total, seul un tiers des entreprises serait prêt à faire ce pas. Les grandes entreprises et les micro-entreprises se montrent plus disposées à aller dans ce sens. "Pour les grandes entreprises, c'est sans doute plus facile parce qu'elles ont des processus salariaux structurés, par exemple sous la forme de fourchettes de salaires définies", explique Davide Villa, CEO de JobCloud.

Se différencier grâce à la transparence des salaires

Si les entreprises se prononcent contre la transparence des salaires, c'est, selon l'enquête, parce que 60% ne garantissent pas encore la transparence des salaires au sein de l'entreprise. Près de 30% s'y opposent parce que les salaires des collaborateurs sont très différents. "Les entreprises qui communiquent leurs salaires de manière transparente peuvent se démarquer des autres employeurs lors du processus de recrutement et recevoir ainsi davantage de candidatures adéquates. L'un des avantages de la transparence des salaires dans les annonces d'emploi est que seuls les candidats qui sont d'accord avec le salaire indiqué postulent", poursuit Villa.

La culture du tutoiement dans de plus en plus d'entreprises

L'un des domaines de l'étude est consacré à la culture d'entreprise et à la manière dont les collaborateurs se comportent entre eux. Dans ce domaine, une culture informelle du tutoiement semble s'imposer de plus en plus. Dans l'ensemble, les trois quarts ont indiqué qu'une culture du tutoiement est entretenue dans l'entreprise, mais une nette différence culturelle apparaît entre la Suisse alémanique et la Suisse romande : Si en Suisse alémanique, 81% se tutoient, ils ne sont "que" 62% de l'autre côté du Röstigraben. En Suisse romande, la distinction se fait davantage en fonction du niveau hiérarchique - ainsi, 27% affirment que cela dépend du niveau hiérarchique, alors que cela ne joue un rôle que pour 11% en Suisse alémanique. La culture du tutoiement est la moins répandue dans les grandes entreprises (70%), alors qu'elle est la plus répandue dans les petites entreprises (81% dans les micro-entreprises et 84% dans les petites entreprises).

La marque employeur est aussi un sujet de préoccupation pour les petites entreprises

L'étude montre en outre que l'Employer Branding est certes fortement utilisé par les entreprises, mais que tout son potentiel n'est pas encore exploité. Près de la moitié des responsables du personnel interrogés indiquent que l'employer branding est important ou très important pour le recrutement. Cette valeur augmente avec la taille de l'entreprise. En revanche, 19% des personnes interrogées n'accordent pas ou peu d'importance à leur propre marque employeur. Alors que dans les grandes et moyennes entreprises, l'Employer Branding est surtout géré par le département RH, dans les petites entreprises, c'est un sujet de management. "Surtout en période de pénurie de main-d'œuvre qualifiée, les petites entreprises devraient également essayer de se positionner en tant qu'employeurs attractifs par le biais d'une stratégie de marque employeur", recommande Villa en guise de conclusion.

Source : www.jobcloud.ch

Le crowdfunding poursuit sa croissance rapide

Une étude de la Haute école de Lucerne le montre : Les financements et les dons via Internet ont enregistré une croissance de 31 % en 2021. Au total, 792 millions de francs ont été investis dans des projets de crowdfunding. Le financement de l'immobilier a particulièrement gagné en importance.

Financer des projets avec de l'argent provenant de différentes sources : Le crowdfunding a continué à s'établir comme forme de financement. (Image : Unsplash.com)

En 2021, le marché du crowdfunding en Suisse a nettement augmenté, passant de 606,6 millions de francs l'année précédente à 791,8 millions de francs. Cela correspond à une croissance de 31 pour cent et représente une nouvelle fois une valeur record, comme le montre le Crowdfunding-Monitor de la Haute école de Lucerne. Depuis la création de la première plateforme de crowdfunding il y a 14 ans, près de trois milliards de francs ont été négociés par la voie numérique en Suisse.

Croissance significative du crowdlending et du crowdinvesting

Le placement en ligne de fonds pour des crédits aux PME et aux particuliers ainsi que le placement d'investissements dans des entreprises et des biens immobiliers ont connu une croissance significative. Le marché du crowdlending représente désormais 607 millions de francs (+35 pour cent), le marché du crowdinvesting a augmenté à 147 millions de francs. Ce sont en particulier les investissements dans des crédits aux entreprises immobilières ainsi que les placements directs dans l'immobilier qui ont entraîné cette croissance. Les volumes dans les domaines du crowdsupporting/crowddonating ont légèrement reculé par rapport à 2020, à 38 millions de francs (-16 pour cent), après que des valeurs records aient été enregistrées dans ce domaine l'année précédente en raison de la crise de Corona et de plusieurs plateformes de crowdfunding actives seulement temporairement.

En 2021, le volume sur le marché du crowdfunding a une nouvelle fois atteint un niveau record. Ainsi, des projets d'un montant total de 791,8 millions de francs ont été financés via des plateformes de crowdfunding suisses. (Graphique : Haute école de Lucerne)

Le soutien aux campagnes politiques gagne en importance

On constate une nette croissance du financement des campagnes politiques par le biais du crowdsupporting. Ainsi, en 2021, plus de 800'000 francs ont été investis dans des campagnes politiques de crowdfunding. Un an auparavant, ce chiffre était encore d'environ 90'000 francs. Le crowdfunding en tant que "financement par le bas", qui permet de générer de nombreux petits dons, est très tendance. Grâce à cette forme de financement, il est possible d'une part de numériser les processus de financement, y compris dans le domaine du financement politique. D'autre part, il peut augmenter la légitimité d'une cause politique si de nombreuses personnes participent à une campagne.

Le crowdfunding franchira probablement la barre du milliard en 2022

Les auteurs de l'étude de la HSLU prévoient que le volume total du crowdfunding en Suisse dépassera le milliard de francs cette année. "Même avec ce volume, le crowdfunding restera un financement de niche en Suisse", explique Andreas Dietrich, co-auteur du moniteur de crowdfunding et professeur de banque à la Haute école de Lucerne. Mais la pertinence croissante pourrait conduire à une croissance accélérée à long terme. D'une part, Covid-19 a accéléré l'utilisation des processus financiers numériques, tant pour les entreprises que pour les particuliers. D'autre part, les grands bailleurs de fonds tels que les fondations ou les investisseurs institutionnels alloueront probablement de plus en plus de fonds via cette forme de financement alternative.

Formes de crowdfunding

  • Crowdsupporting : le plus souvent, projets et campagnes créatifs et culturels dans le domaine du sport. L'investisseur reçoit un produit, une œuvre artistique ou un service en échange de la contribution investie. Celui qui finance un livre, par exemple, reçoit un exemplaire gratuit.
  • Crowddonating : majoritairement des dons pour des projets sociaux, caritatifs et culturels, qui ne sont liés à aucune contrepartie.
  • Crowdinvesting : investissements de fonds propres ou de fonds étrangers dans des entreprises (start-ups) ou des biens immobiliers. En contrepartie, les investisseurs reçoivent une participation aux bénéfices.
  • Crowdlending : mise à disposition de crédits à des entreprises ou à des particuliers. En contrepartie, les donateurs reçoivent des paiements d'intérêts dont le montant dépend du risque de l'emprunteur.

Source et informations complémentaires : Haute école de Lucerne

Impulsion de réussite : soyez moins tolérant !

Vous vous étonnez peut-être de ce titre. Ne devrions-nous pas être tolérants envers les autres ? Notre nouvelle impulsion pour le succès résume les limites que l'on peut fixer en tant que leader en matière de tolérance.

Où êtes-vous trop tolérant et où ne l'êtes-vous pas ? La marge entre trop et pas assez de tolérance est relativement étroite... (Image : Pixabay.com)

Ne devrions-nous pas être tolérants envers les autres ? Oui, bien sûr. Mais dans le leadership et les relations personnelles, il y a aussi un autre côté de la médaille : "Vous obtenez dans la vie ce que vous tolérez".

C'est une sagesse ancienne et vraie. Si vous tolérez certains comportements négatifs chez les autres, vous en aurez davantage dans votre vie. Prenons un exemple : Si vous tolérez que quelqu'un soit toujours en retard, cette personne continuera à ne pas être à l'heure. Et vous serez de plus en plus entouré de personnes qui se comportent de la même manière. Il ne s'agit pas ici de la manière dont vous "éduquez" les autres, mais de ce que vous devriez laisser entrer dans votre vie en tant que leader. Car si vous tolérez trop de choses négatives, vous n'aurez plus de place pour les choses importantes qui vous font avancer.

"D'où viennent donc les différences de seuil de tolérance entre les personnes ? Eh bien, comme beaucoup de choses, cela vient en grande partie de l'empreinte de notre enfance. Et comme toutes ces empreintes, vous pouvez les modifier vous-même de manière ciblée. Voici trois questions qui vous permettront d'influencer concrètement votre seuil de tolérance :

  1. "Où est-ce que je suis toujours trop tolérant ?"
    Il existe des schémas très différents quant aux endroits où l'on est trop tolérant. Il peut s'agir de certains comportements chez vous. Ou bien vous faites preuve d'une trop grande tolérance dans des situations bien précises avec les autres. Ou bien vous êtes très tolérant envers certaines personnes, quoi qu'elles fassent.
    Dans un premier temps, il est important de reconnaître à quels endroits apparaissent vos différents points de tolérance.
  2. "Quelles sont les conséquences négatives de cette tolérance ?"
    Il s'agit ici de comprendre à quoi mène votre grande tolérance dans certaines situations (voir point 1). Une bonne question d'aide est la suivante : "Que se passerait-il si je n'étais plus aussi tolérant à ce moment-là ?"
    Peut-être auriez-vous plus de temps, seriez plus productif, auriez moins de distractions, réaliseriez plus de choses, auriez plus de temps à consacrer à d'autres personnes qui vous sont chères, et ainsi de suite.
    Souvent, nous sous-estimons dramatiquement les conséquences négatives d'une trop grande tolérance.
  3. "Où sont mes lignes rouges ?"
    Dans la troisième étape, il est crucial que vous preniez la décision de savoir à quels endroits et avec quelles personnes vous ne ferez plus preuve de tolérance.
    Il est important de savoir qu'une trop grande tolérance ne nuit pas seulement à vous-même, mais aussi à ceux envers qui vous êtes trop tolérant.
    Par exemple, si vous répondez toujours à toutes les questions, vous éduquez les gens à ne plus réfléchir par eux-mêmes. Cela n'aide personne.

Voici donc trois questions utiles qui vous aideront à en faire plus tout en aidant les autres à se développer. Et n'oubliez pas : la marge entre trop et pas assez de tolérance est relativement étroite.

Auteur :
Volkmar Völzke est un maximisateur de succès, auteur de livres, conseiller, coach, speaker.www.volkmarvoelzke.ch

Vous êtes un bourreau de travail ?

Selon une enquête scientifique menée en Allemagne, un travailleur sur dix est un bourreau de travail. Les chercheurs ont constaté que les cadres étaient particulièrement exposés à ce risque.

Aller au bureau tôt le matin et en sortir tard le soir, consulter encore une fois ses e-mails à la maison, ne pas pouvoir lâcher prise, tout simplement : Le travail addictif n'est pas un phénomène marginal. En Allemagne, être un bourreau de travail concerne près d'un travailleur sur dix. (Image : Pixabay.com)

Environ un dixième de la population active en Allemagne, principalement des cadres, montre des signes d'addiction au travail, selon une étude menée par la Fondation Hans Böckler une étude soutenue par l'OCDE et basée sur des données représentatives de 8 000 personnes actives en 2017 et 2018. Les personnes concernées par un travail addictif ne travailleraient pas seulement très longtemps, rapidement et en parallèle sur différentes tâches, elles ne pourraient également prendre un jour de congé qu'en ayant mauvaise conscience. Elles se sentiraient en outre souvent incapables de se déconnecter et de se détendre en fin de journée de travail.

33 pour cent travaillent de manière excessive

Selon l'étude, 9,8 pour cent des personnes actives présentent des signes de dépendance au travail. 33 % travaillent de manière excessive - mais pas de manière compulsive. En revanche, 54,9 pour cent des personnes actives travaillent "sereinement". Et un petit groupe ne travaille pas beaucoup, mais de manière compulsive.

Avec environ dix pour cent d'accros au travail, l'Allemagne atteint un chiffre proche des résultats d'études similaires menées dans d'autres pays. Aux Etats-Unis, ce chiffre est également de 10 pour cent et en Norvège de 8 pour cent. La Corée du Sud sort du lot, puisqu'une étude y a révélé un taux de près de 40 pour cent, avec toutefois une définition un peu plus large de l'addiction au travail.

Diplôme scolaire sans importance

Selon les chercheurs, le niveau scolaire et le statut familial n'ont pas de lien avec la tendance à l'addiction au travail. Il existe une différence significative, bien que quantitativement faible, entre les femmes et les hommes, qui sont respectivement 10,8 et 9 % à être concernés. Des différences plus nettes existent entre les groupes d'âge : Chez les 15-24 ans, le taux s'élève à 12,6 pour cent, chez les 55-64 ans à 7,9 pour cent.

Les personnes qui ont une longue durée de travail hebdomadaire contractuelle ont une tendance légèrement supérieure à la moyenne à devenir dépendantes du travail. De fortes différences apparaissent en ce qui concerne l'indépendance et les responsabilités de direction. Parmi les indépendants, le taux de workaholic est de 13,9%. Cela pourrait également être l'une des raisons du taux élevé dans les professions agricoles, car dans cette branche, de nombreux actifs sont indépendants.

Qui est le plus susceptible d'être un bourreau de travail ?

Les cadres sont 12,4 % à être accros au travail, les autres actifs seulement 8,7 %. Le niveau supérieur atteint un taux de 16,6 pour cent. Dans de nombreuses cultures d'entreprise, les cadres sont probablement soumis à des exigences qui "incitent à un comportement accro au travail", supposent les chercheurs. Par exemple, lorsqu'on attend d'eux qu'ils soient les premiers à arriver et les derniers à partir.

La taille de l'entreprise et la participation aux décisions sont également fortement liées au travail addictif. Selon l'étude, l'addiction au travail est moins répandue dans les grandes entreprises que dans les petites. Dans les entreprises de moins de dix employés, "12,3 pour cent entrent dans la catégorie des travailleurs dépendants", dans celles de plus de 250 employés, 8,3 pour cent. Cela pourrait être dû à une réglementation plus stricte. En effet, les salariés des grandes entreprises peuvent avoir plus rapidement des difficultés avec le service du personnel lorsque leur compte d'heures déborde.

Comment savoir si l'on est un bourreau de travail ou si l'on risque de le devenir ? un articleNous avons publié un article sur ce sujet il y a un peu plus d'un an.

Claudine Blaser devient la nouvelle directrice de Medgate Suisse

Avec Claudine Blaser, c'est une dirigeante expérimentée disposant d'un grand réseau dans le domaine de la santé publique suisse qui présidera aux destinées de Medgate en Suisse à partir du 1er juillet 2022.

Claudine Blaser prendra ses fonctions de Managing Director chez Medgate Suisse à partir du 1er juillet 2022. (Image : zVg / Medgate)

Medgate a été fondée en 1999 et emploie aujourd'hui environ 300 collaborateurs en Suisse, dont plus de 100 médecins, et plus de 500 collaborateurs dans le monde. Depuis l'an 2000, Medgate exploite ce qu'elle considère comme le plus grand centre de télémédecine médicale d'Europe. Pour les consultations sur place, les patients ont à leur disposition les Medgate Mini Clinics ainsi que les médecins et cliniques du Medgate Partner Network.

Il y a maintenant un changement de direction : Claudine Blaser devient la nouvelle Managing Director de Medgate Suisse. Andy Fischer, qui a dirigé les activités suisses de Medgate depuis sa création, se concentre depuis 2021 déjà sur la direction du groupe international Medgate en tant que Group CEO. Andy Fischer : "Je suis reconnaissant que nous ayons pu recruter pour Medgate Suisse, en la personne de Claudine Blaser, une dirigeante expérimentée disposant d'un vaste réseau dans le secteur suisse de la santé".

Claudine Blaser : "Repenser sans cesse la médecine".

Claudine Blaser a plus de 20 ans d'expérience dans des postes de direction exigeants et dans différentes branches en rapport avec la santé et la médecine. Âgée de 51 ans, elle a étudié les sciences naturelles à l'ETH Zurich, a obtenu un doctorat dans le domaine de l'immunologie et un master ETH en gestion d'entreprise. Après avoir occupé différentes fonctions au sein de la start-up Cytos Biotechnology AG, elle a été directrice de l'ETH Phenomics Center, avant de passer à la direction d'Argomed Ärzte AG, une entreprise de services pour les soins intégrés. En 2020, Claudine Blaser a pris la direction du domaine d'activité Santé chez Helsana.

Le 1er juillet 2022, Claudine Blaser commencera son activité de Managing Director chez Medgate Suisse. "Je me réjouis de ce nouveau défi et de l'opportunité qui m'est donnée de travailler avec l'équipe engagée de Medgate et ses partenaires commerciaux dans le domaine de la médecine.
de penser toujours différemment et d'agir dans l'intérêt des clients", dit-elle à ce sujet.

Poursuite de la croissance internationale

Le groupe Medgate, actif au niveau international, poursuit l'objectif d'être un leader mondial de la santé numérique et vise dans ce contexte une croissance géographique. Avec la prise de participation majoritaire annoncée en mars de cette année, le groupe international
groupe de commerce et de services Otto Group, dont le siège est à Hambourg, et la reprise de BetterDoc GmbH, le leader européen de la recherche et de la mise en relation avec des médecins hautement spécialisés, Medgate a créé les conditions nécessaires à la mise en œuvre de la stratégie de croissance correspondante.

Source : Medgate

Solutions d'automatisation pour le secteur de l'énergie

Cette année, au salon E-world energy & water qui se tiendra du 21 au 23 juin à Essen, Axon Ivy AG montrera comment les entreprises du secteur de l'énergie et des services publics peuvent y répondre grâce à des solutions d'automatisation des processus.

Légende de la photo : Axon Ivy La société Axon Ivy AG, dont le siège est à Lucerne et qui possède des filiales à Munich, Vienne, San Francisco et Singapour, présente des solutions d'automatisation pour le secteur de l'énergie. (Source de l'image : Axon Ivy AG)
La situation actuelle du marché oblige les entreprises d'approvisionnement à offrir un meilleur service et une plus grande transparence, tant aux clients qu'aux régulateurs et aux autorités. Grâce à une numérisation, une automatisation et une orchestration cohérentes des processus, il est possible de fournir des services ciblés et satisfaisants. Les entreprises acquièrent ainsi un avantage concurrentiel et se préparent à l'avenir.

Solutions d'automatisation pour les fournisseurs de services énergétiques

Lors du salon E-world energy & water à Essen, l'entreprise Axon Ivy AG présente maintenant sur le stand des partenaires d'epilot (hall 3, stand 3-103) différents cas d'application et possibilités d'utilisation de sa plateforme et informe sur l'intégration de systèmes tiers. Un grand groupe énergétique, par exemple, profite des avantages de telles solutions sur mesure et de services adaptés individuellement. La numérisation du processus de raccordement domestique a permis de mettre en œuvre différents types de raccordement et de fonctions clés dans les secteurs de l'électricité et du gaz. Cela simplifie le processus de commande des clients, tant pour les produits réglementés que pour les produits complémentaires, et augmente la satisfaction des clients de 70% grâce à des processus sans faille, selon les informations fournies. De plus, l'interaction avec les installateurs s'en trouve optimisée.

Gestion des documents numériques

La plate-forme Axon Ivy est également le pivot de la numérisation de l'ensemble du processus d'élimination des déchets d'une grande entreprise de services dans le domaine de la gestion des déchets. De la production à l'élimination en passant par plusieurs services de transport, un processus continu assure le déroulement prescrit par la loi. Une application unique numérise en outre le processus de gestion des déchets, de la commande à la facturation automatique, en intégrant l'IoT. En outre, Axon Ivy met actuellement en œuvre le processus "Mobile Quality Check" auprès d'un certain nombre de fournisseurs. L'utilisation de la plate-forme d'automatisation permet de numériser et d'optimiser entièrement les travaux de maintenance, d'inspection et de service chez les clients sur place et dans le back-office. Les feuilles Excel compliquées, la correspondance électronique inutile et les chaos de papier appartiennent ainsi au passé. Grâce à la gestion numérique des documents, toutes les données sont également enregistrées de manière à garantir la sécurité de l'audit. Source : Axon Ivy Le post Solutions d'automatisation pour le secteur de l'énergie appeared first on Organisateur.

Les perspectives d'exportation se rapprochent de la tendance à long terme

Les perspectives d'exportation supérieures à la moyenne devraient être terminées : Après un grand optimisme dû à la "réouverture" de l'économie mondiale l'année dernière, l'invasion russe de l'Ukraine ébranle la confiance des entreprises et des consommateurs. L'économie suisse profite toutefois encore de la tendance positive de la gestion de la pandémie.

L'économie suisse profite certes encore de la tendance positive de la gestion de la pandémie, mais les perspectives d'exportation s'assombrissent également dans notre pays. (Image : Pixabay.com)

L'Allianz Trade Export Forecast se situe à 0,33 point en mai 2022. En février, il était encore à 0,69 point. L'indicateur se rapproche ainsi lentement de la tendance de croissance à long terme. Certes, les signaux indiquent encore une croissance des exportations supérieure à la moyenne, comme le montre l'analyse. Mais si une détente des foyers de crise se fait attendre plus longtemps, les perspectives d'exportation risquent de s'inverser plus fortement au cours de l'année. Les prévisions de croissance pour le commerce mondial ont déjà été revues à la baisse.

Les perspectives d'exportation : L'optimisme fait place au réalisme

Après la "réouverture" de l'économie mondiale l'année dernière, qui a suscité beaucoup d'optimisme parmi les exportateurs, l'évolution du commerce mondial en 2022 devrait être nettement plus modérée que prévu. L'invasion russe de l'Ukraine a ébranlé la confiance des entreprises et des consommateurs, fait grimper les prix des matières premières et renforcé le stress de la chaîne d'approvisionnement lié à la Corona - alimenté récemment surtout par la stratégie zéro Covid de la Chine. "Nous avons par conséquent revu à la baisse nos prévisions pour le commerce mondial en 2022, qui passent de 6 % à 4 %", explique Katharina Utermöhl, économiste Europe chez Allianz Trade. Pour la Suisse, Allianz Trade prévoit pour 2022 une croissance du PIB de 2,2 % (2023 : +1,3 %) et une augmentation des exportations de 4 % (2023 : +3 %).

Commerce extérieur suisse : croissance au premier trimestre

Le commerce extérieur suisse a continué de croître au premier trimestre de l'année 2022 et a atteint un nouveau record. Alors que les importations ont continué à prendre de la vitesse, les exportations ont légèrement perdu de leur élan. L'excédent de la balance commerciale a nettement diminué, de 2,8 milliards de francs. Par rapport au 4e trimestre 2021, les exportations ont augmenté de 1,2 % en termes nominaux. En termes réels - c'est-à-dire corrigés de l'inflation - elles ont augmenté de 2,4 %. La plus grande contribution à la hausse trimestrielle a été apportée par les exportations de montres, qui ont augmenté de 5,3 %. Suivent les métaux avec 6,3 % et les machines et l'électronique avec 2,4 %. Les exportations d'instruments de précision ont augmenté de 4,2 %. En revanche, les exportations de produits chimiques et pharmaceutiques ont légèrement diminué (-0,7 %). Malgré la hausse des produits immunologiques (+7,1 %), le recul des exportations de principes actifs pharmaceutiques (-10 %) a fait basculer le résultat du groupe dans le négatif. Il faut ici tenir compte des niveaux de départ élevés ou des effets de base.

Forte augmentation des coûts des sources d'énergie

Au premier trimestre, les importations de biens ont augmenté de 6,7 % par rapport au trimestre précédent (en termes réels, l'augmentation était de 2,7 %). A l'exception de la bijouterie et de la joaillerie (-15,1 %), des textiles, de l'habillement et des chaussures (-3,7 %) et des instruments de précision (-0,5 %), les autres groupes de marchandises ont enregistré une hausse des importations. La contribution la plus importante, avec +1,8 milliard de francs, a été apportée par les produits énergétiques (+46 %). Cette hausse n'est toutefois pas due à une augmentation des volumes, mais uniquement à une hausse des prix (+0,8 % en termes réels). Les importations de produits chimiques et pharmaceutiques ont également fortement augmenté, de 11,8 %. Les importations de métaux ont également augmenté (+4,2 %), poursuivant ainsi la tendance à la croissance observée depuis sept trimestres.

Les exportateurs suisses s'en sortent mieux que leurs homologues de l'UE

Les exportateurs suisses ressentiront également le ralentissement de la demande mondiale. En particulier, le net ralentissement de la conjoncture dans des pays partenaires commerciaux importants comme l'Allemagne, la Grande-Bretagne et la France, qui absorbent ensemble 30 % des exportations suisses. Toutefois, les exportateurs suisses s'en sortiront probablement mieux que leurs homologues de l'UE. D'une part, l'économie suisse est moins dépendante des produits intermédiaires d'outre-mer, de sorte que l'industrie ne devrait pas être aussi fortement touchée par les pénuries de livraison. D'autre part, les exportations moins sensibles à la conjoncture des secteurs de la chimie et de la pharmacie - qui représentent ensemble environ 40 % du total des exportations suisses - devraient à nouveau constituer un soutien fiable. Les analystes observent toutefois avec attention les effets de la conjonction de la hausse des prix et de la baisse de la conjoncture. Cette constellation comporte le risque d'une "Perfect Storm" qui perturberait durablement la normalisation.

Source : Allianz Trade

Passage de témoin chez TCA Thermoclima AG

Rolf Fankhauser, CEO et propriétaire principal de TCA Thermoclima AG, a transmis la direction de l'entreprise à Heinrich Esseiva le 1er avril 2022, après 12 ans de développement réussi. Fankhauser continuera à s'engager pour le bien de TCA en tant que président du conseil d'administration, directeur financier et membre de la direction.

La direction de TCA Thermoclima AG : de gauche à droite : Swen Schönenberger (directeur technique et froid commercial), Rolf Fankhauser (propriétaire principal et directeur financier), Heinrich Esseiva (CEO et directeur des ventes), Jürgen Sturn (copropriétaire et directeur de l'évaporation directe & administration). (Photo : zVg / TCA Thermoclima)

TCA Thermoclima AG est un distributeur leader dans toute la Suisse de systèmes de climatisation et de pompes à chaleur japonais et européens tels que Daikin, Panasonic, Aermec et Heliotherm. Depuis plus de 40 ans, environ 70 collaborateurs travaillent au succès de l'entreprise. C'est avec beaucoup d'engagement et un vaste savoir-faire que l'entreprise travaille avec ses clients à la recherche de solutions optimales.

Heinrich Esseiva succède désormais au CEO Rolf Fankhauser à la direction de l'entreprise. Esseiva a grandi en étant bilingue dans la ville de Fribourg et connaît les différents aspects des marchés de toute la Suisse. Avec Jürgen Sturn, copropriétaire et directeur de l'évaporation directe et de l'administration, et Swen Schönenberger, directeur de la technique et du froid commercial, TCA sera dirigée à l'avenir par un quatuor fort et bien ancré sur le marché.

En collaboration avec les collaborateurs, l'équipe de direction travaille en permanence au développement de la TCA afin d'adapter l'entreprise aux nouvelles conditions du marché. Il s'agit notamment de thèmes tels que la numérisation, mais aussi et surtout de la formation et de la formation continue. Sur les marchés en forte croissance, de nouveaux collaborateurs sont en outre recrutés en permanence et la présence sur le marché est renforcée.

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L'UMB intègre des entreprises informatiques et renforce ses compétences en matière de transformation numérique

Le prestataire de services informatiques UMB poursuit l'intégration des entreprises informatiques de BKW Building Solutions sous la marque UMB et est ainsi sur la bonne voie. L'intégration d'alphaTrust.ch et de ngworx dans UMB sera achevée fin juin 2022. L'intégration de swisspro Solutions suivra dans une prochaine étape. Au 1er janvier 2023, UMB emploiera alors environ 800 collaborateurs en tant que marque unique.

Poursuit comme prévu l'intégration des entreprises informatiques rachetées par FMB : le CEO d'UMB Martin Gartmann. (Image : UMB)

"L'intégration des entreprises informatiques sous la marque UMB se déroule comme prévu. De plus, nous recherchons en permanence d'autres spécialistes", tel est le bilan intermédiaire dressé par Martin Gartmann, CEO de l'UMB, lors d'une conférence de presse le 23 mai 2022. Pour l'année en cours, Gartmann table sur un chiffre d'affaires d'environ 250 millions de francs. D'ici 2025, le chiffre d'affaires devrait croître de manière purement organique pour atteindre environ 325 millions de francs.

Extension du portefeuille et présence dans toute la Suisse

L'entreprise profite donc déjà des effets de synergie quelques mois après le rachat. Ainsi, les secteurs Réseau, Communication & Collaboration ont été renforcés et des services stratégiques ont pu être établis. En outre, l'entreprise profite d'une présence renforcée sur le marché en Suisse romande. Gartmann s'attend à d'autres effets positifs grâce à l'appartenance au groupe FMB : "Le savoir-faire d'UMB en matière de solutions innovantes pour la numérisation et la protection contre les cyberattaques est précieux pour les activités liées aux bâtiments et aux infrastructures de FMB et d'autres sociétés du groupe. Cela offre à UMB un grand potentiel de croissance". Les services pour le Smart Building mais aussi le Smart Energy dans l'activité principale du groupe énergétique sont des domaines dans lesquels UMB peut gérer les marchés en collaboration avec BKW.

UMB encore plus attractif pour les clients existants

L'évolution dynamique des besoins des entreprises et des autorités en matière de cybersécurité et de protection des données peut être prise en compte de manière optimale, car l'UMB suit en permanence les exigences réglementaires en matière de souveraineté numérique et de sécurité des données, poursuit le communiqué. Avec le renforcement des équipes existantes et l'extension des compétences, l'UMB devient un partenaire encore plus fort pour ses clients existants sur le chemin de la transformation numérique. "Grâce à un écosystème plus complet et à l'élargissement de son réseau de partenaires, UMB restera une entreprise indépendante dans la nouvelle constellation, tout en étant un partenaire de confiance encore plus fort pour toutes les questions relatives à l'informatique et à la transformation numérique", affirme Gartmann avec conviction.

Promotion de la relève et de la culture du travail

Le bien le plus précieux des entreprises informatiques comme UMB, ce sont les collègues. Afin de mieux soutenir une partie de la croissance avec des forces internes, UMB développe massivement sa capacité de formation. Avant même le rachat par FMB, il a été décidé de porter à 40 le nombre de postes d'apprentis et de stagiaires, ce qui représente un doublement. Dans la nouvelle constellation, le nombre de postes augmentera en conséquence. D'une manière générale, l'UMB s'engage fortement pour maintenir son attractivité en tant qu'employeur et pour lutter contre la pénurie de personnel qualifié. L'entreprise a récemment été récompensée pour ses efforts Pour la cinquième fois consécutive, l'Institut Great Place to Work l'a désigné meilleur employeur. dans la catégorie des entreprises de plus de 500 collaborateurs.

Un grand engagement social

"Creating Time" est la promesse de la marque UMB. Sur cette base, l'entreprise s'engage dans des thèmes sociaux. UMB soutient entre autres des apprentis informaticiens autistes chez Rafisa, le prestataire de services informatiques de la fondation Informatik für Autisten. En outre, UMB s'engage avec ses services pour que les médecins de l'hôpital pour enfants de Zurich puissent passer plus de temps avec les jeunes patients. Quant à la fondation Lebensfreude, UMB lui permet d'organiser plus de temps avec les patients de manière plus judicieuse. En outre, le prestataire de services informatiques accompagne des projets via la plateforme there-for-you.com. des projets pour l'Ukraine. La durabilité est également un thème important pour UMB, qui mise par exemple sur l'électricité durable pour ses centres de données. L'énergie produite par point de vue scientifique visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre d'ici 2030 ont été atteints par leurs fournisseurs de centres de données il y a plusieurs années déjà. Ils s'approvisionnent à 100 % en électricité durable.

Source et informations complémentaires : UMB

Les entrepreneurs augmentent les salaires même sans convention collective

Les bonnes prestations individuelles doivent être récompensées par un salaire plus élevé. La Société Suisse des Entrepreneurs (SSE) a défendu ce point de vue lors des négociations salariales 2021 avec les syndicats. Les données de l'enquête salariale 2022 de la SSE le montrent maintenant : les salaires du personnel de chantier ont augmenté de 1,5% par rapport à l'année précédente, et ce même sans augmentation générale des salaires.

En 2022, les ouvriers du secteur principal de la construction toucheront en moyenne 6 204 francs par mois, respectivement 80 652 francs par an. Les salaires du personnel de chantier ont augmenté de 1,5% par rapport à 2021. (Graphique : obs/SBV Société Suisse des Entrepreneurs)

La Société Suisse des Entrepreneurs (SSE) a publié l'enquête sur les salaires 2022. Celle-ci montre qu'en 2022, les ouvriers du secteur principal de la construction toucheront en moyenne 6'204 francs par mois, respectivement 80'652 francs par an. Les salaires du personnel de chantier ont donc augmenté de 1,5% par rapport à 2021. Selon la SSE, cela résulte de la bonne performance individuelle de chaque travailleur et non pas des accords salariaux collectifs. En 2021, l'inflation était de 0,6%. L'augmentation des salaires est donc supérieure au renchérissement et le pouvoir d'achat a augmenté. Les années précédentes, les salaires réels avaient déjà augmenté.

L'enquête sur les salaires 2022 a été réalisée à la date de référence de fin février, celle de l'année précédente à la fin juillet. Le secteur principal de la construction est une branche saisonnière, de sorte que moins de personnes travaillent en hiver qu'en été. En raison de ces différentes dates d'enquête, la croissance des salaires est légèrement augmentée d'un point de vue statistique, à savoir de 0,2 à 0,3 point de pourcentage. Cela ne concerne toutefois pas le personnel qualifié, car il existe une forte pénurie de main-d'œuvre qualifiée dans ces professions.

Différents profils professionnels dans la construction

Dans le secteur principal de la construction, il existe plusieurs professions qui varient en termes de responsabilité, mais aussi de performance et de salaire, explique encore la SSE. Les ouvriers auxiliaires de la classe de salaire C touchent 4'959 francs par mois, les maçons avec un CFC dans la classe de salaire Q 6'148 francs et les contremaîtres 7'908 francs. Dans toute la Suisse, le salaire moyen du personnel de chantier est de 6'204 francs. Comme le coût de la vie diffère d'un endroit à l'autre, les salaires moyens varient également entre les cantons, allant de 5'677 francs à 6'434 francs.

La formation continue, un facteur salarial central

L'USP poursuit en expliquant qu'outre la performance personnelle, la formation continue est le facteur central d'une augmentation de salaire. La formation continue reste le principal moyen de développer son propre salaire, mais aussi ses compétences et ses responsabilités. Une formation continue permet d'accéder à une classe de salaire supérieure, un tel saut est rentabilisé à hauteur d'environ 600 francs par mois en moyenne.

Les entrepreneurs en appellent aux syndicats

Les augmentations de salaire sur une base individuelle répondent aux besoins des travailleurs et des employeurs. Les salaires doivent récompenser la performance personnelle et motiver la formation continue. Aux yeux des entrepreneurs, c'est la bonne manière de recruter la relève et de conserver le personnel qualifié. La SSE appelle donc les syndicats à prendre acte de cette augmentation de salaire en 2022 et à la communiquer aux travailleurs de manière transparente et fondée sur des faits. Les entrepreneurs doivent continuer à décider eux-mêmes de la manière dont ils récompensent les prestations de travail et dans quelle mesure ils compensent l'inflation.

Source et informations complémentaires : Société suisse des entrepreneurs SSE

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