Première Gigafactory au monde pour les accumulateurs à l'état solide pur

Les accumulateurs à l'état solide sont considérés comme la technologie succédant aux accumulateurs lithium-ion traditionnels et présentent un bilan environnemental nettement meilleur. La Suisse est désormais le premier pays à passer à la production en série avec cette technologie.

Veulent produire des accumulateurs solides en grande série : Peter Koch (CFO), Roland Jung (CEO), Thomas Lützenrath (COO). (Image : SCB)

Le tournant vers les énergies renouvelables nécessite un stockage de l'électricité, surtout si l'on considère l'augmentation rapide de la consommation d'électricité et l'explosion des coûts énergétiques. Mais les technologies de batteries traditionnelles posent de graves problèmes en termes de ressources et de déchets. Les batteries lithium-ion ont certes révolutionné le monde des batteries. Mais à l'heure où leur production et leur utilisation atteignent des sommets astronomiques, le côté obscur de cette évolution se dessine : Il faut des matières premières dont la disponibilité durable n'est pas garantie et qui sont parfois extraites dans des conditions inhumaines. Il existe des risques pour la sécurité, car les batteries peuvent provoquer des incendies et des explosions difficiles à éteindre. Et surtout, une énorme montagne de déchets va s'accumuler dans un avenir proche. En effet, la durée de vie des batteries lithium-ion traditionnelles est très limitée. Ils atteignent leur fin de vie au plus tard après quelques milliers de cycles de charge. Il en va tout autrement des accumulateurs à l'état solide : ceux-ci sont censés avoir une durée de vie plus longue et présentent également d'autres avantages.

Accumulateurs solides : Mu moins 50 % de mieux en termes de bilan environnemental

La société Swiss Clean Battery AG, fondée en février 2022 à Frauenfeld, veut devancer la concurrence internationale avec son produit écologique, sûr et performant. Une nouvelle usine doit produire des batteries solides à grande échelle. Celles-ci ne contiennent pas de matières premières critiques comme le cobalt par exemple, résistent à une décharge profonde et peuvent être rechargées rapidement. Les accumulateurs à l'état solide sont considérés depuis des années comme une technologie prometteuse pour remplacer les accumulateurs lithium-ion traditionnels. Elles font donc l'objet de recherches dans de nombreux laboratoires à travers le monde. Jusqu'à présent, il n'a toutefois pas été possible de développer des batteries performantes à l'échelle du festif : L'un des principaux problèmes techniques consiste à établir une connexion stable entre le conducteur à ions fixes et les électrodes dans les cellules de la batterie. De nombreux projets de recherche se basent sur une "construction modulaire", dans laquelle les différentes pièces sont combinées à l'extérieur de la cellule et ensuite introduites dans le boîtier. Cette méthode pose des problèmes de transfert d'ions aux limites des matériaux entre les électrodes et les conducteurs de la cellule. Après plus de 30 ans de recherche fondamentale, il a été possible de résoudre ce problème : Dans cette nouvelle solution, le conducteur d'ions solides est créé dans la cellule de la batterie elle-même, comme une colle à plusieurs composants. Cela permet de surmonter les problèmes de transition par rapport à la construction modulaire.

Voilà à quoi doit ressembler la production de masse d'accumulateurs solides. Toutes les machines et les produits chimiques proviennent de Suisse et d'Allemagne. Des trajets courts, des coûts logistiques minimisés et la sécurité d'approvisionnement sont au centre des préoccupations. (Photo : SCB)

Des objectifs ambitieux - et une introduction en bourse prévue pour l'automne

Les ambitions de l'entreprise sont grandes : dans la première phase de production de 1,2 GWH, SCB AG prévoit un chiffre d'affaires de 318 millions de CHF. Pour cela, un volume d'investissement de 246 millions de CHF est prévu dans le parc de machines. Dans cette première phase, SCB AG emploie 181 personnes. Une surface de production de 20.000 m2 sera construite pour produire ensuite 7,2 millions de cellules de batteries par an. Dans cette première étape, la valeur de l'entreprise s'élève à 1,3 milliard de CHF, avec un multiple conservateur de 18. Outre un financement par capitaux empruntés du site de production, une introduction en bourse (IPO) est envisagée pour octobre 2022 à la Bourse de Zurich. Dans sa phase finale, SCB AG devrait produire 7,6 GWH, pour un investissement de 775 millions de CHF et un chiffre d'affaires de plus de 2 milliards de CHF. Pour cela, environ 100.000 m2 de surface de production seront construits. Dans cette phase d'extension, SCB AG produit avec 1061 collaborateurs près de 48 millions de cellules de batteries par an. La valeur de l'entreprise s'élève alors à 8,6 milliards de CHF. Les responsables de SCB AG sont le CEO Roland Jung, le CFO Peter Koch et le COO Thomas Lützenrath. Ce dernier est également le COO de High Performance Battery AG, la société technologique qui a accordé la licence.

Plus d'informations : https://www.highperformancebattery.ch/de/

Consolidation en entreprise - comment faire de vraies économies sur l'informatique

Pour consolider une entreprise, il faut toujours jeter un coup d'œil attentif à l'informatique. Dans ce domaine en particulier, il existe souvent un très grand potentiel d'économies, même avec de très petits moyens.

Pour la consolidation des entreprises, l'informatique offre un potentiel d'économie considérable. (Source : Unsplash.com)

La consolidation dans les entreprises : Comment cela fonctionne-t-il ? Où peut-on faire des économies - par exemple dans l'informatique ? Une partie du potentiel d'économie est offerte par exemple par les Ordinateur portable : bonnes affaires chez Mein DealIl existe des solutions pour rendre le nouvel équipement des collaborateurs moins cher. Mais il existe également d'autres mesures permettant de réaliser de véritables économies en matière d'informatique. Ces mesures permettent d'économiser rapidement des sommes relativement importantes au fil des ans.

L'optimisation de l'informatique

Il n'est pas rare que l'on ignore totalement que des processus informatiques inefficaces finissent par faire perdre beaucoup de temps. Un aspect important à cet égard est le travail inutile souvent effectué par de nombreux collaborateurs. Cela n'apporte évidemment aucune valeur ajoutée à l'entreprise. En même temps, le salaire doit être payé intégralement, que l'activité soit efficace ou inefficace. Cela vaut surtout pour les processus qui pourraient être automatisés. Touchés par cette problématique sont aussi bien des PME que la Confédération.

La première étape importante consiste donc à éliminer les sources d'erreur et les étapes de travail inutiles tout en minimisant le risque de panne informatique. De cette manière, tous les appareils de l'informatique fonctionnent sans problème. Cela ne ménage pas seulement les nerfs, mais permet surtout d'économiser du temps et donc de l'argent. C'est malheureusement un fait que si l'informatique reste inactive pendant plusieurs heures, les collaborateurs ne peuvent plus travailler efficacement et doivent être payés intégralement.

Mesures de consolidation de l'informatique

Malgré les lignes Internet rapides et coûteuses payées par de nombreuses entreprises, la vitesse ne peut souvent pas être atteinte en raison d'erreurs système. Une bonne configuration permet toutefois d'accélérer l'Internet lent.

L'une des principales causes d'une connexion Internet lente peut par exemple être un réseau mal configuré. Un pare-feu mal réglé peut également être à l'origine de la lenteur d'Internet. L'investissement dans un expert en informatique sera toujours rentable à long terme et permettra de réaliser d'énormes économies.

Les coûts d'impression sont souvent totalement sous-estimés

On constate régulièrement que de nombreuses entreprises utilisent plusieurs petites imprimantes de différents fabricants. Il n'est pas rare que ces imprimantes aient été achetées au fur et à mesure de l'augmentation des besoins. Cela semblait être la seule possibilité logique pour faire face à l'augmentation des besoins en impression.

Mais l'inconvénient est évident, car chaque imprimante nécessite des cartouches d'encre spécifiques. Cela implique souvent une maintenance très différente pour chaque imprimante. Cela coûte également de l'argent et tous les collaborateurs sont obligés de se familiariser avec les différents modèles.

Une mesure beaucoup plus efficace est l'achat d'une imprimante plus grande. Elle devrait alors couvrir l'ensemble des besoins d'impression de l'entreprise. Bien sûr, le coût d'achat d'un tel modèle est souvent plus élevé, mais l'impression est plus efficace et le potentiel d'économie est donc important.

Tout ce qui concerne les sauvegardes

La simplification et l'automatisation des sauvegardes permettent également de réaliser des économies à long terme. Entre-temps, les sauvegardes peuvent être automatisées par des services en nuage. Les sauvegardes s'effectuent alors automatiquement en arrière-plan. L'avantage est clair : plus personne ne doit être engagé pour s'occuper d'un remplacement de disque dur ou autre. Au lieu d'utiliser les Investir du temps dans des backupsLes collaborateurs peuvent ainsi se consacrer efficacement à leur travail. Un autre facteur est que les erreurs peuvent rapidement se produire, surtout dans les processus de sauvegarde compliqués.

Des processus compliqués généralement peu efficaces

Plus les processus sont compliqués, moins les procédures de travail sont efficaces. Ce sont justement les étapes de travail inutiles qui font perdre du temps, augmentent les coûts et recèlent en outre des sources d'erreurs potentielles. L'exemple suivant le démontre rapidement : Si six collaborateurs travaillent sur six ordinateurs dans l'entreprise, il est probablement prévu que chaque collaborateur puisse, en cas de besoin, travailler sur n'importe quel ordinateur de l'entreprise et disposer de l'accès nécessaire aux documents. Il est donc probable que six utilisateurs soient créés sur chaque ordinateur, ce qui donne un total de 36 utilisateurs.

Toutefois, en procédant de la sorte, on oublie souvent que si des modifications sont apportées ou si le logiciel doit être mis à jour, il faudra le faire 36 fois dans le cas présent. Il s'agit là d'une source d'erreur potentielle, car il est très probable que quelque chose soit oublié. La réponse logique dans un tel cas serait d'utiliser un cloud. Cela permettrait non seulement de réduire considérablement les sources d'erreur présumées, mais aussi et surtout de simplifier considérablement les processus.

Grâce à un tel cloud, tous les documents de tous les collaborateurs peuvent être stockés dans le cloud et être ensuite facilement accessibles depuis n'importe quel ordinateur. Il n'est donc pas nécessaire d'avoir un utilisateur spécifique. Cela signifie qu'il n'y a plus qu'un seul utilisateur sur chaque ordinateur lors de l'utilisation d'un stockage en nuage. Toutes les mises à jour ne doivent donc plus être effectuées qu'une seule fois par ordinateur. Cela permet de réduire considérablement les sources d'erreur et, bien entendu, d'économiser beaucoup de temps et donc d'argent.

Cet exemple illustre également l'efficacité des imprimantes et des sauvegardes. Moins les processus de travail sont compliqués et moins les collaborateurs doivent effectuer d'opérations, plus le taux d'erreur est faible. On gagne beaucoup de temps et les coûts sont minimisés.

Simplifier les processus informatiques permet de réduire les coûts

Les processus informatiques efficaces ont généralement un point commun : non seulement ils sont nettement moins compliqués, mais ils permettent surtout d'utiliser la force de travail des collaborateurs à bon escient et donc de manière rentable.

Une étape décisive pour devenir IT est de réduire la diversité des modèles dans l'environnement informatique. Il est en tout cas important ici de réduire fortement le nombre de fabricants différents et le nombre de modèles et de variations différents dans l'entreprise. Les ordinateurs portables, les écrans ou encore les tablettes doivent toujours être compatibles afin de créer un environnement informatique vraiment homogène. Si un poste de travail devait être occupé par un remplaçant, aucun collaborateur ne devrait être obligé de se familiariser avec différents matériels. Cela reviendrait en effet à gaspiller un temps de travail précieux et donc de l'argent.

Le spécialiste du FM ISS s'engage pour le zéro net

Moins de CO₂, moins d'eau, moins de déchets. L'entreprise de Facility Management ISS, active dans le monde entier, se fixe des objectifs climatiques ambitieux. D'ici 2040, l'entreprise, qui emploie environ 12'000 personnes en Suisse et compte ainsi parmi les dix plus grands employeurs privés, veut devenir complètement neutre en CO2. Dans huit ans déjà, l'objectif de zéro net dans les émissions directes et indirectes d'ISS doit être atteint.

L'entreprise ISS, spécialisée dans le Facility Management, veut devenir complètement neutre en CO2 d'ici 2040. (Image : zVg / ISS)

L'objectif zéro net ne s'applique pas seulement aux émissions que le spécialiste FM ISS génère avec ses propres prestations, mais à l'ensemble de la chaîne de création de valeur. Les émissions directes et indirectes (par ex. l'énergie utilisée) d'ISS seront climatiquement neutres d'ici 2030. D'ici 2040, l'objectif de neutralité climatique s'applique également à toutes les émissions provenant d'installations qui ne sont pas détenues ou contrôlées par ISS, mais qui ont un impact indirect sur la chaîne de création de valeur.

Spécialiste du FM : De la partie du problème à la partie de la solution

Pour ISS Suisse, l'initiative de durabilité signifie que d'ici 2026, la moitié de la flotte de véhicules, soit environ 1'700 voitures de tourisme et véhicules utilitaires, sera électrifiée. Au total, les véhicules d'ISS parcourent chaque année environ 30 millions de kilomètres. Au plus tard en 2030, ISS n'utilisera plus que du courant issu de sources renouvelables. D'ici fin 2022 déjà, seuls des produits de nettoyage certifiés écologiques seront utilisés et d'ici 2026, tous les locaux commerciaux d'ISS seront certifiés selon le programme propre à l'entreprise "ISS Green Office". Ainsi, la consommation d'énergie et d'eau ainsi que la quantité de déchets générés seront nettement réduites. "Pour moi, c'est aussi une préoccupation personnelle", déclare André Nauer, CEO d'ISS Suisse. "Nous devons être honnêtes avec nous-mêmes : Moi-même et ma génération avons joué un grand rôle dans la création des problèmes qui nous préoccupent aujourd'hui. Il est temps de changer cela et de ne plus faire partie du problème, mais de la solution".

Vers un Facility Management durable

Dans le monde entier, ISS emploie environ 400'000 collaborateurs et est le fournisseur leader de Workplace Experience et de Facility Services. En Suisse, ISS est le spécialiste FM leader. Le Group CEO Jacob Aarup-Andersen : "Avec l'héritage de 120 ans d'ISS en tant qu'entreprise qui vit par les gens, la durabilité sociale est depuis toujours ancrée dans notre ADN. La nécessité d'un changement décisif vers un monde plus durable est claire et urgente. ISS est prêt à s'engager pour ce changement".

Source et informations complémentaires : ISS Suisse SA

Somnitec AG reprend tecITec

Avec l'acquisition de tecITec AG en février 2022 - dont le siège est à Winkel ZH - Somnitec AG se renforce dans le secteur d'activité en pleine croissance Modern Workplace.

La société Somnitec AG de Gerlafingen reprend le spécialiste du Modern Workplace tecITec AG de Winkel ZH.

En 2020, Somnitec AG, dont le siège se trouve à Gerlafingen dans le canton de Soleure, s'est réorientée et a mis l'accent sur trois domaines d'activité à forte croissance : Cloud Platform, Application & Business Process Management et Modern Workplace. Avec l'acquisition de tecITec AG, Somnitec se renforce dans la mise à disposition de solutions modernes pour les utilisateurs finaux et emploie désormais environ 72 collaborateurs. En tant que Microsoft Gold Partner et Cloud Solution Provider, l'accent est mis sur les solutions Cloud hybrides pour les moyennes et grandes PME, également actives à l'international. Somnitec propose des solutions informatiques professionnelles complètes, du conseil à l'exploitation, avec sa propre plate-forme de cloud privé et une organisation de support professionnelle. Les services gérés autour de Microsoft, le partenariat avec SAP et la longue expérience dans l'exploitation d'environnements SAP/SAP HANA font également partie du portefeuille de l'entreprise.

Quant à teclTec AG, elle est spécialisée dans la mise à disposition et la gestion automatisées d'environnements Modern Workplace de haute qualité. L'activité centrée sur les PME est parfaitement complétée à l'aide du portefeuille Microsoft 365. L'équilibre entre les exigences de sécurité et l'utilisabilité, combiné à un haut degré de standardisation, offre aux clients une expérience utilisateur exceptionnelle, est-il précisé.

"Je suis très heureuse de continuer à développer le business PME existant avec un partenaire fort et renommé comme Somnitec AG et de faire partie de la famille Somnitec", explique la directrice de teclTec AG, Leontina Hoti. "Grâce au rachat de teclTec AG et de son portefeuille de solutions, nous serons à l'avenir en mesure de répondre encore mieux et de manière plus standardisée aux besoins de notre clientèle de PME. Avec Leontina Hoti, nous gagnons en outre une autre forte personnalité qui développera les affaires avec nous et qui s'intègre parfaitement dans la famille Somnitec !" ajoute Vanja Rohr, CEO de Somnitec AG.

Plus d'informations

Nouvelle série de showcases de Best Retail Cases Switzerland

Après le succès des Best Retail Cases Swiss Awards du 4 février, voici la première série de showcases Best Retail Cases Switzerland 2022. Des connaissances actuelles pour le commerce de détail sont transmises dans des ateliers de 90 minutes.

Les Best Retail Cases Switzerland démarrent le 12 avril avec une série de showcases. (Image : Best Retail Cases)

La première série de showcases de Best Retail Cases Switzerland (BRCS) débutera le 12 avril. L'état de l'art en matière de commerce de détail et de commerce électronique vous sera présenté lors de cinq événements compacts. Les sessions commencent tous les mardis à 8h30 et durent environ 90 minutes.

  • 12 avr. 2022 - Retail ERP "La base de données centrale".
  • 3 mai 2022 - Webshop Solutions "Le canal de vente incontournable
  • 10 mai 2022 - Retail Marketing "Aller chercher les clients dans le parcours client".
  • 17 mai 2022 - Retail Logistics "Le facteur critique de réussite pour les boutiques en ligne
  • 24 mai 2022 - Retail Payment "Le check-out numérique

Focalisation sur la transmission des connaissances et la mise en réseau

Avec la série Showcase, Best Retail Cases Switzerland passe à la vitesse supérieure. Après le succès de l'Award en février, des insights approfondis sont maintenant au programme. Des experts, des fournisseurs, mais aussi des utilisateurs présenteront les dernières tendances, les meilleures pratiques, les solutions actuelles et des exemples concrets d'application dans le commerce de détail. Des formats modernes, tels que des interviews de clients et de fournisseurs ainsi que les nouveaux panels en direct "Swiss Retail Voices" font de chaque événement une expérience en direct passionnante. Les commerçants de détail, les places de marché et les boutiques en ligne ainsi que les fabricants dans le secteur B2C ont ainsi la possibilité d'apprendre des meilleurs et d'obtenir de précieuses impulsions pour leur propre activité commerciale. "La série Showcase a pour objectif de transmettre des connaissances aux utilisateurs et de les mettre en relation avec des fournisseurs innovants", explique Ewa Ming, initiatrice de Best Retail Cases Switzerland.

La série Showcase débute le 12 avril 2002 avec Retail ERP Solutions

En raison de la croissance croissante du commerce en ligne, de plus en plus de PME misent désormais sur l'intégration ERP de boutiques en ligne et de fonctions e-commerce. C'est précisément de la manière dont cela peut être mis en œuvre qu'il sera question lors du premier Showcase-Event du 12 avril 2022. Animé par l'expert ERP et rédacteur en chef de topsoft Christian Bühlmann, des spécialistes et des fournisseurs de logiciels présenteront différentes possibilités d'utiliser efficacement les données et les processus et d'"aller chercher" les clients aux principaux Touchpoints avec des applications mobiles intégrées à l'ERP.

En s'appuyant sur les systèmes ERP les plus récents comme base de données centrale, la série de thèmes sera complétée par les Webshop Solutions, Retail Marketing, Retail Logistics et Retail Payment tout au long de la Retail Value Chain.

Vous pouvez vous inscrire dès maintenant à l'adresse suivante : www.innovationworld.ch/brcs-showcase-serie

Barbara Aeschlimann est la nouvelle présidente de Perikom

L'assemblée générale de l'association Perikom, association spécialisée dans la gestion des ressources humaines et la communication interne, a élu le 30 mars 2022 Barbara Aeschlimann comme nouvelle présidente. Elle succède à Cyril Meier, qui présidait l'association depuis 2019.

Barbara Aeschlimann a été élue présidente de Perikom le 30 mars. (Image : zVg / Perikom)

L'assemblée générale de Perikom. Association professionnelle pour la gestion du personnel et la communication interne a élu à l'unanimité Barbara Aeschlimann comme nouvelle présidente. Elle remplace Cyril Meier, qui quitte le comité directeur. Thore Lingel, Farner Consulting AG, a également été élu au comité. En remerciement des grands services rendus par Cyril Meier à Perikom - depuis sa création en 2011 - le comité a nommé Cyril Meier membre d'honneur par acclamation.

La nouvelle présidente est membre du comité depuis 2014 et directrice de la Zürcher Gesellschaft für Personal-Management depuis 2018. Barbara Aeschlimann est membre du comité directeur de Perikom depuis trois ans. Pendant plus de 25 ans, elle a occupé des fonctions de direction RH dans différents secteurs, notamment en tant que directrice des ressources humaines d'EY Suisse pendant plus de 10 ans. Barbara Aeschlimann est titulaire d'un doctorat en linguistique.

Barbara Aeschlimann a déclaré à propos de sa nouvelle mission : "Un bon travail RH, qui permet d'atteindre les objectifs, repose sur une communication tout aussi bonne, qui s'adresse de manière ciblée au public cible. Dans ce contexte, j'apprécie que Perikom se penche sur cette interface centrale de l'entreprise et aiguise ainsi la compréhension mutuelle des RH et de la communication interne".

Les activités de Perikom comprennent essentiellement des manifestations régulières pour les experts en communication et en ressources humaines, le développement d'offres de formation continue, le lancement et le suivi de travaux de recherche et d'études sur le thème de la communication interne ainsi qu'un congrès suisse annuel RH/communication interne. La prochaine aura lieu le 19 mai 2022 et aura pour thème "Oser un monde du travail plus humain".

Source et informations complémentaires : Péricom

UMB Solutions s'appelle désormais mesoneer

L'entreprise de développement de logiciels UMB Solutions s'appelle désormais mesoneer. Ce changement de nom fait suite à la reprise d'UMB par l'entreprise d'énergie et d'infrastructure BKW, annoncée en décembre 2021. La division logicielle UMB Solutions n'a pas été touchée par la vente et continuera donc à fonctionner comme une entreprise gérée par ses propriétaires.

Patrick Brazzale, CEO de mesoneer, le nom actuel de l'ancienne UMB Solutions. (Image : zVg / mesoneer)

Le fabricant de logiciels UMB Solutions devient autonome après le rachat de la maison mère UMB par le groupe FMB et se dote d'un nouveau nom, mesoneer. La division logicielle UMB Solutions n'a pas été touchée par la vente et continue désormais d'exister en tant qu'entreprise gérée par ses propriétaires - et continue de se développer. "Rien ne change, ni dans nos services, ni dans nos interlocuteurs", explique le CEO de mesoneer, Patrick Brazzale. "Seul le nom change. La continuité en matière de qualité et de suivi des clients est donc garantie". Il en va de même pour les rapports de propriété : Avec le CEO Brazzale, Matthias Keller en tant qu'actionnaire majoritaire et président du conseil d'administration et d'autres partenaires, tous les associés restent fidèles à l'entreprise.

Croissance à environ 100 collaborateurs sur trois sites

La structure actuelle de mesoneer est née à l'été 2021, lorsque la filiale logicielle d'UMB, UMB Solutions, a fusionné avec la start-up ubitec, fondée en 2018. Avant la fusion, les deux entreprises comptaient déjà des entreprises de renom parmi leurs clients. Entre-temps, mesoneer a ouvert un nouveau site à Da Nang, au centre du Vietnam, en plus de ses succursales à Wallisellen près de Zurich et à Ho Chi Min City, au Vietnam, et emploie au total une centaine de personnes. Outre des solutions individuelles pour l'automatisation des processus, l'entreprise développe des applications pour l'identification numérique, la signature électronique, le commerce conversationnel (Secure Messenger et Chatbot) et l'Open Banking. Les produits sont utilisés partout où il s'agit de garantir la sécurité et la confiance, donc par exemple pour le respect de la loi sur le blanchiment d'argent ou des directives sur la protection des données. En outre, mesoneer propose aux départements informatiques des entreprises des services de conseil avec une expertise spécifique. Il s'agit entre autres d'applications telles que le système de gestion des flux de travail Camunda BPM, la solution d'automatisation Microsoft Power Platform ou la plateforme de streaming de données Apache Kafka.

Des chemins séparés, un partenariat durable

"Même en tant qu'entreprise indépendante, nous resterons étroitement liés à l'UMB par des liens d'amitié et de partenariat", déclare Brazzale. Ainsi, les deux entreprises continueront à travailler ensemble sur les marchés et à proposer des services. Pour les clients existants, la continuité du suivi est ainsi garantie.

Plus d'informations

150 000 CHF pour le développement d'alternatives végétales à la viande

La start-up Luya de Zollikofen utilise de l'okara bio - un sous-produit de la production de tofu et de lait de soja - pour fabriquer des morceaux et des galettes prêts à cuire. En combinant des méthodes de fermentation traditionnelles et une technologie moderne, Luya renonce aux additifs et aux ingrédients fortement transformés pour proposer une alternative biologique à la viande. La startup utilisera les CHF 150'000 pour faire évoluer sa production et développer sa technologie de fermentation à l'état solide.

Les cofondateurs de Luya (de gauche à droite) : Flavio Hagenbuch, Michael Whyte, Christoph Denkel, et Tobias Kistler. (Image : zVg / Luya)

La demande des consommateurs en produits végétaux ne cesse de croître, mais les alternatives à la viande existantes contiennent souvent de nombreux ingrédients artificiels et nécessitent des isolats de protéines coûteux et très raffinés. Parallèlement, rien qu'en Suisse, plus de 950 000 tonnes d'aliments précieux et facilement disponibles restent inutilisés.

Un grand potentiel de marché pour les alternatives à la viande

Les produits Luya répondent à la demande croissante de sources de protéines sans viande, riches en nutriments, tout en réduisant le gaspillage alimentaire. Le marché mondial des protéines alternatives devrait atteindre 140 milliards de dollars d'ici 2029 ; plus de 14 millions de tonnes d'okara (pulpe de soja), l'ingrédient principal de Luya, finissent à la poubelle chaque année dans le monde. Grâce à son processus de fabrication intelligent, la startup de la foodtech propose une solution respectueuse de l'environnement : Par rapport à la production de la même quantité de viande rouge, Luya peut éviter jusqu'à 95 % d'émissions de gaz à effet de serre.

Le nouveau processus de production de Luya, protégé par un brevet, utilise un procédé de fermentation similaire au tempeh et seulement deux ingrédients de base - l'okara et les pois chiches - pour fabriquer des produits structurés, juteux et savoureux, qui subissent un minimum de transformation et contiennent une quantité saine de protéines, de fibres et de micronutriments. Les alternatives à la viande fabriquées en Suisse sont en outre certifiées bio. Les consommateurs peuvent préparer ces produits polyvalents de manière similaire à la viande ou aux substituts de viande.

L'installation pilote sera bientôt en service

Luya a été fondée par le Dr Christoph Denkel, Flavio Hagenbuch, Tobias Kistler et Michael Whyte. Dans les mois à venir, la start-up ouvrira son usine pilote afin de répondre à la demande croissante et d'amener ses produits dans d'autres restaurants et détaillants en Suisse. L'équipe de Luya utilisera les fonds Venture Kick pour accélérer l'expansion de la production et continuer à développer sa technologie de fermentation à l'état solide. Le développement de produits et de saveurs supplémentaires contribuera également à satisfaire l'intérêt croissant pour Luya. "Le programme Venture Kick, qui se concentre clairement sur l'exécution, nous a aidés à établir un plan ambitieux avec des étapes claires pour chaque phase du programme Venture Kick. Nous avons pris ce plan et avons fait de notre mieux pour le réaliser", a déclaré Flavio Hagenbuch, cofondateur de Luya.

Plus d'informations

S'engager durablement pour des collaborateurs en bonne santé grâce à la GSE

PUBLIERPORTAGE L'action durable occupe depuis longtemps une place centrale dans les entreprises. Dans ce contexte, la santé des collaborateurs joue un rôle de plus en plus important. En effet, un personnel en bonne santé et pleinement opérationnel est un facteur essentiel pour le succès à long terme d'une entreprise. C'est pourquoi de plus en plus d'entreprises encouragent de manière ciblée la santé de leurs collaborateurs dès leur entrée dans la vie professionnelle en mettant en place une gestion systématique de la santé en entreprise (GSE). Menu and More AG à Zurich, qui emploie 58 personnes, fait partie de ces entreprises.

Depuis 2019, Menu and more SA est titulaire du label "Friendly Work Space" de Promotion Santé Suisse. Le comité de pilotage GSE interne à l'entreprise présente fièrement le certificat de certification. L'équipe interdisciplinaire coordonne et conçoit les mesures de GSE chez menuandmore. De gauche à droite : Benjamin Hold, responsable de la gestion de la qualité et du développement durable, Fabian Faraoni, responsable des achats,
Siri Solenthaler, développement commercial et service clientèle, Stefan Grgur, chauffeur, Viktoria Krstic, chef d'équipe préparation des commandes, Stefanie Schweizer, responsable marketing, communication et événements, Helene Teuscher, responsable des ressources humaines, Michael Kunze, chef d'équipe production (absent sur la photo). (Photo : Menu and More)

En 2018, le fournisseur de repas pour enfants et adolescents a introduit sa GSE systématique et l'a intégrée dans les processus opérationnels RH et de direction. Intégrée dans une culture de direction responsable et respectueuse, l'entreprise zurichoise encourage aussi bien la conscience des valeurs que la responsabilité personnelle des collaborateurs pour leur propre santé physique et psychique.

Donner l'exemple de la GSE

Un an plus tard, en 2019, menuandmore était prêt pour la certification avec le label "Espace de travail convivial" de Promotion Santé Suisse et est depuis fièrement titulaire du label de qualité BGM. Markus Daniel, directeur général : "La durabilité est au cœur de nos préoccupations. Outre ses facettes écologiques, économiques et sociales, la santé durable en fait également partie. C'est pourquoi, après toutes les certifications déjà obtenues pour la gestion de la qualité et de l'environnement, l'introduction et la certification d'une GSE systématique constituaient pour nous la prochaine étape logique".

Qu'il soit physique ou mental, tout sujet peut être "mis sur la table".

Entre-temps, la GSE est devenue une valeur sûre pour le prestataire de restauration pour enfants et adolescents. Les mesures correspondantes sont coordonnées et conçues par un comité de pilotage GSE interdisciplinaire, sous la direction de la directrice des ressources humaines Helene Teuscher. Ensemble, ils travaillent par exemple à l'amélioration des conditions de travail dans les domaines physiquement éprouvants comme la cuisine et le transport.

Parallèlement, menuandmore contribue surtout à la préservation de la santé psychique en développant constamment sa culture de gestion. Ainsi, les situations de stress psychique des collaborateurs sont traitées individuellement.

L'apprentie de commerce profite également de cet accompagnement personnel sur son lieu de formation chez menuandmore. Les charges psychiques des apprentis avaient déjà nettement augmenté avant la pandémie, c'est pourquoi la sensibilisation aux questions de santé grâce à la GSE est un avantage certain.

Faire face à des exigences accrues de manière souveraine grâce à la GSE

Proportion de personnes actives ayant plus de contraintes que de ressources
Sources : Monitorage du Job Stress Index 2014, 2016, 2018, 2020

Selon le Indice de stress au travail 2020 de Promotion Santé Suisse (voir graphique), 42% des jeunes actifs âgés de 16 à 24 ans ont trop peu de ressources pour faire face aux exigences du travail, 30% sont épuisés émotionnellement et leur risque d'accident professionnel est deux fois plus élevé. La conséquence économique est une perte de productivité due à la santé dans ce groupe d'âge de bien 21% 1) .

Le besoin d'une promotion spécifique de la santé psychique des apprentis est évident. Parallèlement, les exigences envers les responsables de la formation professionnelle augmentent et des offres de soutien ciblées sont nécessaires. Les associations sectorielles, l'association des formateurs professionnels ou l'offre "Formation professionnelle" constituent par exemple de bons points de contact.ApprentiLe projet "Promotion Santé Suisse" pour une gestion saine des jeunes actifs.

Le spectre d'"Apprentice" comprend une "Boîte à outils" avec des exemples de cas, des informations fondées sur des situations difficiles ainsi que sur la santé mentale des apprenants en général. Les autres modules sont Rencontre ERFA pour l'échange intersectoriel de formateurs professionnels, une "Experts App" comme source d'information rapide et actuelle, ainsi que des Formations continues.

"Apprentice' est une offre convaincante qui propose des solutions fondées à diverses situations de départ. Heureusement, nous n'avons actuellement pas de situations conflictuelles, mais je trouve chez 'Apprentice' une multitude de suggestions et de conseils sur la manière dont nous pouvons, en tant que formateurs professionnels, soutenir nos apprentis, par exemple dans le développement de la réflexion et de la responsabilité personnelles. C'est pourquoi j'utilise volontiers les outils et supports proposés", résume Simon Kindt, responsable administratif, assistant du personnel et formateur chez Menu and More AG.

1) Source : Promotion Santé Suisse - Job-Stress-Index-Monitoring 2018 selon Galliker et al. 2018b

Auteur : Dorit Schmidt-Purrmann, Experte en communication et conseillère en GSE

Levée des mesures en cas de pandémie : Qu'en est-il maintenant au travail ?

Depuis le 1er avril 2022, la situation normale est de retour, toutes les mesures de pandémie sont levées. Mais cela ne signifie pas que les règles de santé ne s'appliquent plus sur le lieu de travail. Un aperçu des éventuelles questions en suspens.

Fini l'obligation de porter un masque : les mesures de lutte contre la pandémie ont été levées au 1er avril 2022. Néanmoins, la protection de la santé ne doit pas être négligée. (Image : Depositphotos.com)

Plus d'obligation de porter un masque dans les transports publics, l'obligation d'isoler les personnes infectées est également levée. Cela signifie également des changements pour le travail quotidien, pour autant qu'ils ne se soient pas déjà introduits "insidieusement". Même si les mesures de pandémie sont désormais levées : Les employeurs et les collaborateurs n'ont pas carte blanche lorsqu'il s'agit de santé. Selon la loi sur le travail, les employeurs sont tenus de prendre les mesures nécessaires pour protéger leurs collaborateurs. Les réglementations cantonales visant à protéger la population restent également réservées si la situation pandémique devait à nouveau s'aggraver.

Les questions suivantes pourraient toutefois se poser ces jours-ci :

Peut-on aller travailler si l'on souffre de légers symptômes de Corona ?
Oui, l'obligation d'isolement est levée. Ceux qui sont aptes à travailler à 100 % se rendent donc normalement au travail. Ceux qui ne travaillent pas de toute façon à domicile devraient toutefois porter un masque sur leur lieu de travail et veiller à l'hygiène. En cas de fièvre ou de sensation de maladie grave, il vaut mieux toutefois rester à la maison et se faire porter malade.

Un employeur peut-il exiger un certificat médical ?
Oui, car désormais, seule la différence entre "apte au travail" et "inapte au travail" est à nouveau valable, une incapacité de travail doit donc être attestée par un médecin, comme c'était le cas avant l'entrée en vigueur des mesures de pandémie. Si l'on souffre d'un léger rhume ou d'un mal de gorge, on est en général pleinement apte à travailler et on doit se présenter sur son lieu de travail. Les employeurs devraient toutefois faire preuve de discernement. Ainsi, dans le canton de Berne, les partenaires sociaux recommandent, en cas de test PCR positif, de n'exiger un certificat médical qu'à partir du cinquième jour d'absence pour cause de maladie.

Quand on est infecté : peut-on exiger un bureau à domicile ou un bureau individuel ?
Un tel droit n'existe pas. En règle générale, c'est l'employeur qui décide de l'attribution des postes de travail. Des exceptions peuvent être faites, par exemple pour les personnes vulnérables (dans le sens du devoir d'assistance de l'employeur).

Un employeur peut-il envoyer ses employés passer des tests ?
Dans certains cas, cela peut être autorisé. Comme l'explique Nicole Vögeli Galli, avocate et chargée de cours en droit du travail à la ZHAW a expliqué à la télévision suissePour un employeur, il peut être important de savoir si une infection est présente lorsque des contacts avec des personnes vulnérables ont lieu dans l'environnement de travail. Cela ne vaut pas seulement pour Corona, mais aussi pour toutes les infections qui pourraient mettre en danger des tiers, selon Vögeli Galli.

Un résultat de test positif doit-il être signalé à l'employeur ?
Non. Selon Nicole Vögeli Galli, tout au plus si l'on a affaire à des personnes vulnérables dans le cadre de son travail.

Un employeur peut-il exiger un certificat Covid ou imposer l'utilisation d'un masque ?
Cela est possible dans le cadre de la protection de la santé dans des environnements présentant un degré de risque élevé, par exemple dans les hôpitaux, les maisons de soins ou même les écoles. Il faut toutefois obtenir l'accord du personnel. Comme la responsabilité principale des mesures de protection de la population incombe à nouveau aux cantons, il est possible que le certificat et l'obligation de porter un masque soient réglementés différemment selon les cantons.

Les citoyens doivent toujours être au centre de l'attention

PUBLIREPORTAGE Avec les annonces numériques, les communes exploitent leur grand potentiel. Pour ce faire, il est important de se mettre à la place des gens. Comment les citoyens souhaitent-ils être divertis et informés ? Que voudraient-ils ?

Avec le kiosque FORIS® Outdoor d'Inputech, une administration communale est présente auprès de ses habitants 24 heures sur 24. (Image : Inputech)

De nombreux domaines dans et autour de notre vie sont transformés par la numérisation. Les pouvoirs publics, tels que l'État fédéral, les villes et les communes, en font également partie. Il n'est donc pas surprenant de voir apparaître de plus en plus de projets de villes intelligentes avec des solutions uniques. Quelques exemples : des lampadaires qui analysent la situation actuelle du trafic, des applications qui indiquent les places de parking disponibles et des kiosques numériques en plein air qui fournissent des informations sur la ville en temps réel.

Mais ce qui doit TOUJOURS être au cœur de ces projets, ce sont les personnes. Le but ultime d'une ville intelligente est d'améliorer la vie des citoyens.

Pour ce faire, il est important de se mettre à la place des gens. Comment les citoyens veulent-ils être divertis, informés et protégés ? Comment VOUS voulez être divertis, informés et protégés ?

Avec notre kiosque FORIS® Outdoor, une administration communale est présente auprès de ses habitants 24 heures sur 24.

Les citoyens et citoyennes sont informés quotidiennement des informations importantes telles que les reports de dates, par exemple pour les collectes de vieux papiers, les manifestations, l'éducation, les développements urbains, le logement et les loisirs.

Exemple : école de musique de Zoug. (Image : Inputech)

Vous pensez probablement que de telles informations peuvent être trouvées sur le site web de la commune ; mais soyons honnêtes - les informations importantes doivent parvenir rapidement et facilement aux citoyens.

Si votre commune utilise des annonces numériques extérieures, elle peut atteindre un large public. Grâce à l'utilisation d'affichages numériques, les municipalités et les villes peuvent informer leurs habitants en temps réel avec des notifications efficaces.

En outre, des informations importantes telles que les heures d'ouverture, la marche à suivre, les règles d'hygiène, etc. peuvent être mises en évidence. Et ce dans toutes les langues possibles. Cela permet de toucher un plus grand nombre de personnes.

Connaissez-vous une commune qui utilise l'affichage dynamique pour communiquer avec ses habitants ?

Découvrez dans notre blog pourquoi les panneaux d'information numériques de plein air sont utiles aux communes.

Exemple : Schaffhouse. (Image : Inputech)

En tant que leader du marché suisse, nous avons réalisé avec succès d'innombrables projets numériques au cours des 30 dernières années. Inputech SA accompagne ses clients sur la voie de l'exploitation des opportunités offertes par la numérisation au profit de la population, des entreprises et de l'administration municipale.

Pour commander d'autres références et informations ou pour convenir d'un entretien de présentation sans engagement, appelez le : +41 44 879 20 24 ou info@inputech.ch.

La vague record de créations d'entreprises s'essouffle

Au cours des trois premiers mois de 2022, un total de 12 695 nouvelles entreprises ont été créées en Suisse. Cela correspond à un léger recul de -3,6% par rapport au même trimestre de l'année précédente, la vague record de créations d'entreprises s'essouffle donc.

Le nombre de nouvelles entreprises n'augmente plus que dans certaines régions de Suisse. Mais dans l'ensemble, la vague record de créations d'entreprises semble être terminée. (graphique : Feuille officielle suisse du commerce FOSC ; analyse et graphique : IFJ Institut für Jungunternehmen AG)

La vague record de créations d'entreprises semble s'essouffler quelque peu : Après que les deux dernières années de pandémie aient été marquées par un véritable boom de la création d'entreprises, les chiffres actuels de la création d'entreprises se stabilisent à nouveau et suivent une évolution positive, comme à l'époque d'avant COVID-19. Seules les grandes régions de Suisse du Sud-Ouest +1.2% et de Suisse orientale +0.2% se réjouissent d'une augmentation du nombre de créateurs d'entreprises au premier trimestre 2022. Les régions Suisse centrale -0,5%, Zurich -2,4%, Suisse du Nord-Ouest -7,0%, Tessin -7,8% et Espace Mittelland -12,2% enregistrent un recul léger à moyen du nombre de créations d'entreprises par rapport au trimestre précédent.

Comparaison sur 5 ans et créations d'entreprises par secteur d'activité

En moyenne, 11'984 nouvelles entreprises ont été enregistrées par premier trimestre au cours des 5 dernières années. Malgré un recul de -3,6% par rapport à la même période de l'année précédente, le premier trimestre 2022, avec 12'695 nouvelles entreprises, se situe nettement au-dessus de la moyenne des 5 années et poursuit la tendance stable et positive de la période prépandémique. Sur les 5 dernières années, 131 nouvelles entreprises ont été créées en moyenne chaque jour au cours des trois premiers mois.

Créations d'entreprises en comparaison trimestrielle/annuelle. (Graphique : Institut pour les jeunes entreprises)

En ce qui concerne les créations d'entreprises par branche, on constate que le secteur de la haute technologie enregistre une croissance énorme avec +54.4%. Parmi les autres secteurs à forte croissance, on trouve l'imprimerie et l'édition avec +13.2%, la formation avec +11.8% et le transport et la logistique avec +11.5%. L'agriculture et la sylviculture (-23.1%), le commerce de détail (-11.6%) et la culture et l'utilité publique (-11.5%) enregistrent les plus fortes baisses en pourcentage.

Perspectives et estimations

Au cours de la dernière décennie, le nombre de créations d'entreprises en Suisse est passé de moins de 40'000 à plus de 50'000. Alors que les créations d'entreprises ont évolué positivement en 2021 dans presque tous les cantons, le premier trimestre 2022 enregistre un léger recul par rapport à l'année précédente. L'évolution des 5 dernières années montre toutefois que le nombre de nouvelles entreprises s'est à nouveau stabilisé au cours de la nouvelle année et que la tendance positive se poursuit, comme avant la période de pandémie. L'importance économique des entreprises nouvellement créées se manifeste de manière impressionnante si l'on considère le nombre d'emplois créés durablement en Suisse. Environ 400 000 travailleurs sont employés dans des entreprises de moins de 10 ans. Pour une économie nationale qui fonctionne bien comme la Suisse, il est essentiel que de nouvelles entreprises soient créées chaque jour. Ce n'est pas pour rien que la Suisse occupe depuis des années les premières places mondiales en matière d'innovation, d'efficacité et de nombre de brevets déposés et qu'elle est considérée comme la place économique la plus compétitive.

source : IFJ Institut pour jeunes entreprises SA

get_footer() ;