Le professeur Bruckner, nouveau CEO de la ZfU International Business School
Le professeur Jörg Bruckner, économiste suisse de renom, quitte son poste de membre du comité directeur et de directeur de la formation à la HWZ (Hochschule für Wirtschaft, Zurich) pour devenir CEO de la ZfU International Business School à Thalwil.
Bruckner a étudié et obtenu son doctorat à l'Université de Saint-Gall (HSG), puis a travaillé pendant de nombreuses années à différents postes de direction pour la grande banque suisse UBS SA à Zurich, avant de rejoindre en 2009 la ZHAW (Zürcher Hochschule für Angewandte Wissenschaften) en tant que responsable de la filière économie d'entreprise, puis la HWZ (Hochschule für Wirtschaft Zürich) en 2013, où il a été nommé professeur la même année. Parmi les domaines de travail et de recherche de Bruckner, on trouve notamment le commerce numérique, le marketing et le management stratégique.
ZfU International Business School
Depuis 2011, la ZfU International Business School à Thalwil est une partie indépendante du groupe allemand WEKA, qui comprend également en Suisse la WEKA Business Media AG (Zurich) et la Lernwerkstatt Olten GmbH (Olten). Werner Pehland, délégué du conseil d'administration du ZfU : "Je me réjouis qu'en la personne du professeur Bruckner, nous ayons pu nous assurer les services d'un spécialiste chevronné pour la direction et le développement stratégique du ZfU. Je suis convaincu qu'avec le professeur Bruckner, nous allons poursuivre le développement du ZfU, notamment en ce qui concerne la numérisation et le développement de programmes individuels de formation et de formation continue, et ainsi consolider et développer la position du ZfU comme l'une des principales business schools internationales dans l'espace germanophone".
En coopération avec la ZHAW Winterthur, la SAWI offre aux étudiants titulaires du diplôme SAWI "Marketingmanager HF" la possibilité d'accéder à la filière de master "MAS Marketing Management" de la ZHAW Winterthur.
Rédaction - 5 octobre 2016
SAWI et ZHAW, une coopération qui ouvre des portes (photo : SAWI)
Les personnes qui suivront la "Höhere Fachschule Marketing" à la SAWI à partir de février ou d'août 2017 auront la possibilité de faire valider ce diplôme comme prestation préalable au "Master Marketing Management" de la ZHAW Winterthur.
Manager marketing ES (possible en deux ans) La formation de trois ans en marketing manager ES débutera en février 2017. Pendant la première année, il est possible d'obtenir un diplôme de spécialiste en marketing ou en vente. Les personnes déjà titulaires d'un brevet fédéral en marketing ou en vente peuvent suivre la formation en deux ans à partir d'août 2017 à la SAWI.
Modèle d'avenir professionnel : savoir pratique de la SAWI et formation continue académique à la ZHAW Aujourd'hui, il est important pour les entreprises d'avoir sous la main des spécialistes qui ont le bon flair pour le marché et qui sont capables de comprendre les relations économiques et sociales. Un pont entre les études orientées vers la pratique à la SAWI et la formation continue académique à la ZHAW comble cette lacune et permet aux étudiants ambitieux de s'engager dans cette voie riche en potentiel.
Pour en savoir plus sur la coopération entre la ZHAW et la SAWI Dübendorf, voir www.sawi.com
Adoption de la stratégie énergétique 2050
La Stratégie énergétique 2050 a passé le cap du vote final au Parlement.
Rédaction - 30 septembre 2016
Le tournant énergétique arrive : c'est ce que veut le Parlement
Le Conseil national a adopté le premier paquet de mesures de la Stratégie énergétique 2050 lors du vote final par 120 voix contre 72 et 6 abstentions, le Conseil des Etats par 35 voix contre 6 et 3 abstentions. La majeure partie du groupe UDC ainsi que quelques représentants du PLR ont voté contre.
Les entreprises et associations du secteur de l'énergie se sont montrées soulagées. L'Association des entreprises électriques suisses (AES) salue le fait que l'adoption de la Stratégie énergétique 2050 (ES2050) par le Parlement ait à nouveau créé des conditions-cadres claires, comme elle l'a indiqué dans un communiqué de presse. Il estime notamment que le soutien à la grande hydraulique existante est une étape importante pour le système énergétique suisse. L'association salue également la limitation de la durée de vie des centrales nucléaires et la décision d'accorder la même importance à la protection du paysage et aux énergies renouvelables.
Swisspower demande une mise en œuvre rapide des mesures. Le groupe d'entreprises, dont font partie 22 services industriels suisses et entreprises régionales du secteur de l'approvisionnement, attend en outre, dans le cadre du deuxième paquet de mesures, l'amélioration des conditions-cadres pour la production nationale d'énergie renouvelable et des systèmes d'incitation efficaces pour orienter la consommation d'énergie.
Menace de référendum
Diverses formations, dont l'UDC, ont menacé de lancer un référendum. L'UDC veut en décider dans les prochains jours. S'il devait aboutir, c'est la population qui aurait le dernier mot.
Les déplacements domicile-travail pèsent sur les salariés
Selon une nouvelle étude menée par Regus, le fournisseur de solutions d'espace de travail flexible, les employés du monde entier considèrent leur trajet quotidien pour se rendre au bureau et rentrer chez eux comme une entrave à leur productivité. Pour un grand nombre de personnes interrogées, le trajet domicile-travail n'est ni un temps de travail efficace ni un temps de loisir agréable, mais plutôt un obstacle pour se consacrer à des activités plus utiles ou plus divertissantes.
Rédaction - 29 septembre 2016
Au moins 37% des personnes interrogées dans le cadre d'une nouvelle étude affirment que les déplacements domicile-travail font vaciller leur productivité. (Image : depositphotos)
"Aujourd'hui, partout dans le monde, on attend des employés qu'ils soient toujours joignables et connectés. Mais en réalité, il y a quelque chose qui nuit assez fortement et subtilement à leur productivité", estime Garry Gürtler, Country Manager, Regus Suisse.
Sur les quelque 40 000 participants à l'enquête, 37 pour cent indiquent qu'ils considèrent les trajets pendulaires comme inutiles et superflus. 27 % ont même une profonde aversion et considèrent les trajets domicile-travail comme une perte de leur précieux temps. Ainsi, pour plus de la moitié des personnes interrogées dans le monde, un trajet plus long pourrait être remplacé par un temps de travail plus productif ou un peu plus de sommeil le matin.
Principaux résultats de l'étude
Seule une minorité (17%) des personnes interrogées dans le monde considèrent les trajets domicile-travail comme du temps de travail utile, alors que la majorité d'entre elles les considèrent comme une contrainte sur le temps de travail ou de loisirs.
Les entreprises devraient donc décourager les déplacements inutiles et aider leurs employés à consacrer le temps économisé à quelque chose de plus productif ou de plus relaxant.
Une petite minorité (19 %) considère le trajet domicile-travail comme un temps personnel pendant lequel ils peuvent lire ou s'informer des dernières nouvelles sur leur smartphone.
Garry Gürtler, Country Manager pour la Suisse de Regus : "Les trajets domicile-travail prennent de plus en plus de temps. Il est d'autant plus bouleversant de constater que, pour la grande majorité d'entre eux, le trajet quotidien pour se rendre au bureau et pour rentrer chez eux constitue une entrave massive à leur productivité et qu'ils ne peuvent pas utiliser le temps nécessaire à cet effet pour leurs affaires personnelles ou pour leurs loisirs".
"Aujourd'hui, partout dans le monde, on attend des travailleurs qu'ils soient toujours joignables et connectés. Mais en réalité, il y a quelque chose qui nuit fortement et subtilement à leur productivité - c'est leur trajet quotidien. Les entreprises prospères qui souhaitent encourager la productivité de leurs employés et leur accorder plus de temps libre ou un peu plus de sommeil feraient bien de les laisser travailler plus près de chez eux, au moins de temps en temps".
Les consommateurs suisses veulent du poisson durable
Aucun autre pays au monde n'accorde autant d'importance à la durabilité qu'en Suisse lors de l'achat de poisson - et ce bien avant le facteur prix. C'est ce que révèle une enquête mondiale auprès des consommateurs sur la consommation de poisson.
Rédaction - 28 septembre 2016
Les consommateurs suisses accordent plus d'importance à la durabilité qu'au prix - du moins pour le poisson.
La plus grande enquête indépendante menée à l'échelle mondiale auprès des consommateurs sur le thème de la consommation de poisson a révélé qu'en Suisse, le thème de la durabilité joue un rôle de plus en plus important lors de l'achat de poisson. Ainsi, pour les 653 consommateurs et consommatrices de poisson interrogés en Suisse, la durabilité d'un produit de la mer est un facteur décisif d'achat, juste après la fraîcheur et l'aspect santé, et bien avant des facteurs comme le prix ou la marque. Avec ce résultat, les Suisses sont les consommateurs de poisson les plus "sensibles à la durabilité" au monde.
"L'enquête auprès des consommateurs montre également à quel point le secteur de la pêche est différent des autres secteurs. La durabilité a manifestement une réelle pertinence ici et les consommateurs lui accordent une priorité plus élevée que nous ne le pensions dans le choix de leurs produits"., ainsi Caroline Holme, directrice de GlobeScan, l'institut d'études de marché qui a réalisé l'étude.
Deux consommateurs de poisson sur trois interrogés en Suisse (67%) se sont dits prêts à mettre la main au porte-monnaie pour des produits de la mer durables plutôt que non durables. Même une augmentation de prix de 11% serait encore acceptable pour la moitié des personnes interrogées.
Les consommateurs font confiance aux ONG - et à leur propre pouvoir de consommateur
La forte propension des Suisses à acheter du poisson pêché de manière durable (81%) par rapport au reste du monde est également liée au fait qu'il existe dans notre pays - notamment grâce au travail d'information mené depuis des années par des organisations comme le WWF - une conscience particulièrement forte de la menace qui pèse sur nos océans et du problème de la surpêche.
Lorsqu'on leur demande qui peut le plus contribuer à la protection des mers, les consommateurs citent le plus souvent les organisations non gouvernementales (52%) et les institutions scientifiques (34%). Viennent ensuite les consommateurs eux-mêmes : Une personne sur quatre pense qu'elle peut influencer la protection des mers par son comportement d'achat. Les gouvernements, en revanche, sont considérés comme ayant peu d'influence.
"Les mangeurs de poisson en Suisse sont conscients de l'importance de la pêche durable - et ils sont prêts à changer leur comportement d'achat pour protéger les mers. Ils se sentent autorisés à voter pour la durabilité avec leur porte-monnaie"., déclare Andrea Harmsen, Porte-parole du MSC pour la Suisse, l'Autriche et l'Allemagne.
La confiance élevée des consommateurs dans l'influence positive des organisations non gouvernementales et de la science correspond également à la perception qu'ont les consommateurs du MSC : 73% des consommateurs qui connaissent l'écolabel MSC le trouvent digne de confiance et voient l'influence de l'organisation de manière positive. Les trois quarts des consommateurs de poisson en Suisse (76%) continuent de penser que les marques et les supermarchés devraient faire vérifier les déclarations sur la durabilité de leurs produits par un organisme indépendant.
Une offre élargie peut faciliter le choix durable
Les Suisses sont très conscients de la durabilité, tout comme ils sont prêts à acheter du poisson pêché de manière durable, et les labels comme celui du MSC permettent aux consommateurs de reconnaître facilement les produits durables au premier coup d'œil. 69% des personnes interrogées - tendance à la hausse - indiquent acheter dès aujourd'hui, dans la mesure du possible, du poisson et des fruits de mer portant un label de durabilité. Cependant, l'offre de poissons issus d'une pêche durable est encore limitée. Ainsi, seuls 10% de tous les poissons et fruits de mer dans le monde proviennent de pêcheries durables certifiées MSC.
"La collaboration du MSC avec les scientifiques, d'autres organisations non gouvernementales, l'industrie de la pêche et les distributeurs a déjà permis de nombreux changements positifs dans nos océans. Mais nous devons continuer à travailler avec nos partenaires et les consommateurs pour augmenter la part de la pêche durable dans la pêche sauvage mondiale, et ainsi jeter les bases de choix durables pour les consommateurs"., souligne Rupert Howes, directeur général du MSC.
Matthias Mölleney (photo : zVg)
Les chiffres de l'étude sous forme d'infographies (source : MSC)
Vers l'étude
L'enquête actuelle menée auprès des consommateurs du monde entier est la plus importante de ce type sur le thème de la consommation de poisson. Elle a été réalisée cette année par l'institut de recherche indépendant GlobeScan réalisée pour le compte du MSC. L'enquête a été menée selon les normes scientifiques les plus récentes et en collaboration avec des panels de consommateurs en ligne renommés et spécifiques à chaque pays. Elle a eu lieu en Afrique du Sud, en Allemagne, en Australie, en Autriche, en Belgique, au Canada, en Chine, au Danemark, en Espagne, aux États-Unis, en Finlande, en France, en Italie, au Japon, en Norvège, aux Pays-Bas, en Pologne, en Suède, en Suisse, à Singapour et au Royaume-Uni.
L'échantillon principal comprenait 16 876 consommateurs qui avaient déclaré qu'eux-mêmes ou quelqu'un de leur ménage avait acheté du poisson ou des fruits de mer au cours des deux derniers mois. En Suisse, 811 consommateurs ont participé à l'enquête. L'échantillon a été pondéré en fonction du sexe, de l'âge, de la région et de l'éducation.
Source : MSC
La production de fruits doit être plus respectueuse de l'environnement
Un projet transfrontalier avec la participation d'Agroscope veut développer des stratégies innovantes de culture et de protection des plantes. L'objectif : développer la protection phytosanitaire intégrée, qui permet une production fruitière respectueuse de l'environnement.
Rédaction - 27 septembre 2016
La production fruitière devrait à l'avenir utiliser moins de produits phytosanitaires.
Le commerce de détail et les consommateurs exigent des aliments de haute qualité, sains, pauvres en résidus et bon marché. Ils doivent en outre être produits de manière durable et respectueuse de l'environnement. Les conditions générales d'utilisation des produits phytosanitaires ont déjà fortement évolué ces dernières années. La production agricole s'en trouve gravement affectée : suppression de groupes entiers de substances actives, restrictions dans les dispositions d'application, exigences accrues en matière de résidus et de distances et réduction des quantités utilisées.
Rôle précurseur du secteur fruitier sur le lac de Constance
Pour pouvoir continuer à produire des fruits dans ces conditions, il faut trouver des solutions innovantes et porteuses d'avenir. Dans le cadre d'un projet de recherche intitulé "Installations modèles pour la protection phytosanitaire intégrée", de telles solutions sont actuellement étudiées dans la région du lac de Constance, au-delà des frontières. L'objectif est de montrer à la production et à la vulgarisation comment produire des fruits de haute qualité qui présentent moins de résidus de produits phytosanitaires que les formes de culture actuelles. Il s'agit de combiner des stratégies de culture et de protection des plantes existantes et nouvelles et de réduire les produits phytosanitaires critiques pour l'environnement.
Installations modèles pour la recherche, le conseil et la production
Outre de nouvelles activités de recherche dans des installations de production existantes, de nouveaux vergers de pommiers et un nouveau verger de cerisiers seront créés au cours de la période du projet. Les effets du choix des variétés, de la conduite des cultures, de la protection contre les intempéries, les maladies et les insectes, ainsi que l'utilisation et la promotion des insectes utiles y seront étudiés. Les installations pilotes doivent être utilisées à la fois comme champ d'expérimentation et comme plate-forme d'innovation, où la recherche, le conseil et la production se rencontrent. On s'assure ainsi que la pratique adopte rapidement des stratégies de culture et de protection des plantes prometteuses.
Combiner les stratégies, utiliser les effets de synergie
Des travaux de sélection ont permis de mettre au point des variétés moins sensibles à des agents pathogènes importants sur le plan économique, tels que la tavelure et le feu bactérien. En combinaison avec le choix du système de culture et de la conduite de la culture, le choix de la variété a donc une influence décisive sur l'utilisation de produits phytosanitaires. Une combinaison appropriée de la variété et du système de culture avec différents systèmes de couverture pour la protection contre les intempéries, les maladies et les insectes nuisibles permet de réduire partiellement ou d'économiser l'utilisation de produits phytosanitaires spécifiques. Parallèlement, il faut assurer la pollinisation par les insectes et l'effet positif des insectes utiles. Une combinaison appropriée de mesures doit permettre des effets de synergie.
Exemple de régulation des mauvaises herbes
Des connaissances sur l'utilisation de procédés mécaniques et thermiques pour la régulation des mauvaises herbes sont déjà disponibles dans d'autres projets. De même, différents mélanges d'ensemencement pour l'enherbement des allées ou des bandes d'arbres sont déjà étudiés. Ces approches doivent être adaptées et testées dans les installations modèles. L'objectif est de réaliser une régulation des mauvaises herbes tout en ménageant au maximum le sol, en renonçant largement aux substances chimiques de synthèse et en offrant, dans le meilleur des cas, des avantages ou des avantages supplémentaires aux pollinisateurs ou aux antagonistes naturels dans le verger.
L'évaluation économique, clé de la réussite
La praticabilité des stratégies élaborées dépend également de leur rentabilité. C'est pourquoi les installations modèles doivent également être évaluées à l'aide d'une analyse coûts-avantages et de rentabilité. Les exploitations IP et bio existantes serviront de référence. En complément, l'utilisation qualitative et quantitative de produits phytosanitaires doit être enregistrée, des mesures de résidus doivent être effectuées et comparées entre elles. En outre, un contrôle de la réussite et de la qualité de la récolte et de l'entreposage doit être effectué sur la base des attaques de maladies et de ravageurs, et la présence d'organismes utiles doit être enregistrée.
Installations modèles pour la lutte intégrée contre les ravageurs
Le projet "Installations pilotes pour la protection intégrée des cultures" est soutenu par le programme Interreg Rhin alpin-Lac de Constance-Haut-Rhin avec des fonds de l'Union européenne et de la Confédération suisse. Les partenaires du projet sont Agroscope, le centre de formation et de conseil BBZ Arenenberg, le centre agricole LZSG Flawil, AGRIDEA, divers partenaires d'Allemagne ainsi que la chambre d'agriculture du Vorarlberg à Bregenz (A). La direction générale du projet est assurée par le centre de compétence pour l'arboriculture fruitière du lac de Constance KOB à Bavendorf (D).
Le développement de la protection intégrée des cultures joue un rôle clé dans ce contexte et est au cœur du projet. Il intègre également des préoccupations telles que celles demandées dans le plan d'action national pour la réduction des risques et l'utilisation durable des produits phytosanitaires.
Source : Agroscope
La diversité est un facteur de réussite stratégique
Les nouvelles propriétaires et directrices de GetDiversity GmbH sont, depuis le 1er octobre 2016, les entrepreneuses expérimentées et membres du conseil d'administration Esther-Mirjam de Boer et Carla Jane Kaufmann.
Rédaction - 26 septembre 2016
Carla Jane KaufmannEsther Mirjam deBoer
Nouvelle équipe de direction et extension des prestations chez GetDiversity, l'agence de placement suisse pour les comités stratégiques mixtes.
Les deux fondatrices, Dr Barbara Rigassi et Dr Michèle Etienne, passent le relais à deux successeurs aussi compétents qu'engagés à partir du 1er octobre. La nouvelle équipe de direction Kaufmann/de Boer met en œuvre les prochaines étapes de développement de GetDiversity. En élargissant ses prestations actuelles, l'agence de placement veut aider de plus en plus les organisations suisses à introduire une diversité efficace dans leurs organes stratégiques.
La nouvelle offre de conseil "Diversity by Design" se concentre sur la conception systématique de processus de recherche et de sélection qui augmentent les résultats en faveur de la diversité et de la qualité.
Les équipes mixtes ont plus de succès
GetDiversity renouvelle maintenant elle-même sa direction. Les futures propriétaires et directrices sont les entrepreneuses expérimentées et membres du conseil d'administration Esther-Mirjam de Boer (47 ans) et Carla Jane Kaufmann (36 ans). "Nous voulons élargir judicieusement le concept de diversité et utiliser pleinement les nouveaux médias. En même temps, nous voulons poursuivre la vision des deux fondatrices : Les comités stratégiques façonnent l'avenir. La diversité garantit que cela se fasse de manière globale et durable. GetDiversity introduit systématiquement la diversité dans les organes stratégiques, car elle est un facteur de réussite stratégique pour l'innovation et l'évolution. En bref, les équipes mixtes apportent plus de succès".
Contrairement aux sociétés de recherche de cadres, GetDiversity entretient un réseau personnel et actif de plus de 100 femmes membres de conseils d'administration qui se connaissent et échangent leurs expériences entre elles. Ce réseau comprend des femmes expérimentées en matière de conseil d'administration et capables d'adopter une stratégie, issues de tous les secteurs et groupes professionnels. On y trouve notamment des décideuses de grandes entreprises ainsi que des entrepreneuses, des femmes cadres de l'administration, des responsables d'associations et de groupes d'intérêts ainsi que des scientifiques.
Cette ampleur est unique en Suisse et convainc. Outre les conseils d'administration d'entreprises familiales, nous comptons parmi nos clients satisfaits des conseils d'administration de PME et de grandes entreprises, des conseils de fondation, des conseils consultatifs, des commissions spécialisées, des comités et des groupes d'experts.
Barbara Rigassi reste à la disposition de la nouvelle équipe pour le développement stratégique, tout comme le conseil consultatif actuel composé de Valentin Vogt (président de l'Union patronale suisse, président de Burckhardt Compression AG et autres mandats de CA), Monika Ribar (présidente du conseil d'administration des CFF et autres mandats de CA) et Dr. h. c. Eva Jaisli (propriétaire et CEO de PB Swiss Tools, membre du conseil d'administration de la Banque cantonale de Berne et autres mandats de CA).
Placement de personnalités
Jusqu'à présent, l'offre de services de GetDiversity comprend la mise en relation de femmes et d'hommes capables de mener une stratégie - "Diversity Search" - ainsi que l'ajout ciblé de candidatures féminines appropriées dans les recrutements internes à l'entreprise - "Diversity in the Second Loop".
Le nouveau troisième point fort est une offre de conseil intitulée "Diversity by Design" et se concentre sur la conception de processus de recherche et de sélection qui augmentent systématiquement la diversité des équipes comme résultat des processus de recrutement et réduisent les distorsions dans les décisions. La recherche sur le comportement montre par exemple que les décisions en matière de personnel sont favorables à une plus grande diversité lorsque les CV sont évalués sans distinction de sexe.
Pour l'ensemble de l'offre de GetDiversity, la nouvelle direction puise dans un large éventail de compétences et d'expériences.
Le secteur du nettoyage industriel paie des salaires plus élevés
La branche du nettoyage en Suisse alémanique augmente les salaires minimaux de ses collaborateurs de 2 pour cent en moyenne pour l'année 2017. La branche tient ainsi sa promesse d'augmenter continuellement l'attractivité des métiers du nettoyage grâce à l'amélioration des conditions salariales et de travail.
Rédaction - 26 septembre 2016
Personnel de nettoyage spécialisé : il effectue souvent des travaux lorsque les autres ont terminé leur journée de travail.
"Grâce au renouvellement de la CCT l'année dernière, les conditions sociales générales pour les employeurs et les employés de la branche du nettoyage restent assurées en 2017", déclare Jürg Brechbühl, président de la commission paritaire de la branche du nettoyage en Suisse alémanique et président de l'association des entreprises suisses de nettoyage Allpura.
"Grâce au renouvellement de la CCT l'année dernière, les conditions sociales générales pour les employeurs et les employés de la branche du nettoyage restent assurées, même dans ce contexte exigeant", déclare Jürg Brechbühl, président de la commission paritaire de la branche du nettoyage en Suisse alémanique et président de l'association des entreprises suisses de nettoyage Allpura.
Depuis 2004, la CCT pour le secteur du nettoyage en Suisse alémanique garantit des conditions cadres appropriées et une professionnalisation continue. Depuis cette date, le salaire réel des nettoyeurs d'entretien a augmenté d'environ 27% et celui des nettoyeurs spécialisés de 10 à 16%. En 2017, les nettoyeurs d'entretien reçoivent jusqu'à l'âge de 3 ans révolus un salaire de base de CHF 1'000.
Les collaborateurs ayant entre trois et six ans d'expérience professionnelle reçoivent CHF 3'726.45 et ceux ayant plus de six ans d'expérience CHF 3'785.60. Les collaborateurs du nettoyage spécial gagnent au moins CHF 4'120.80 (collaborateurs non qualifiés ayant jusqu'à 4 ans d'expérience professionnelle), respectivement CHF 4'594.- (collaborateurs ayant plus de 4 ans d'expérience professionnelle) et CHF 5'284.05 (24 ans révolus et disposant du brevet fédéral ou de 2 ans d'expérience professionnelle après l'obtention du certificat fédéral de capacité). Ces données salariales incluent le 13e mois de salaire au prorata.
Évolution politique
Le secteur du nettoyage industriel est lui aussi touché par les incertitudes actuelles qui pèsent sur l'économie suisse en raison de l'évolution politique difficile et de la situation monétaire en Europe. Cela notamment parce que la délocalisation de sites de production entraîne la suppression de surfaces pour le nettoyage et l'entretien et que l'application non clarifiée de l'initiative contre l'immigration de masse provoque des troubles supplémentaires.
Vous trouverez de plus amples informations sur les mesures de pansement et la formation du personnel de nettoyage spécialisé sous www.fair-clean.ch
La pollution par l'ozone est trop élevée en Suisse
Les résultats actuels des mesures du réseau national d'observation des polluants atmosphériques NABEL montrent qu'en 2015, les immissions d'ozone, de particules fines et d'azote ont été en partie dépassées. Dans l'ensemble, la pollution de l'air a toutefois nettement diminué au cours des 25 dernières années.
Rédaction - 26 septembre 2016
La qualité de l'air en Suisse s'est considérablement améliorée au cours des 25 dernières années - mais l'objectif n'est pas encore atteint.
Le rapport du programme de mesure des polluants atmosphériques NABEL documente l'état de l'air en Suisse et montre l'évolution de la pollution atmosphérique depuis le début des années 1980.
Le site rapport actuellement publié pour l'année 2015 reflète les conditions météorologiques particulières de l'année dernière, avec un hiver instable avec des conditions venteuses et beaucoup de précipitations et un été plus ensoleillé et chaud que la moyenne.
En conséquence, la pollution par l'ozone a été plus élevée qu'au cours des cinq dernières années. C'est notamment dans le canton du Tessin et à moyenne altitude au nord des Alpes que les dépassements des valeurs limites ont été les plus fréquents.
La valeur limite d'immission du dioxyde d'azote n'a été dépassée en moyenne annuelle que le long des grands axes routiers très fréquentés. Dans les zones urbaines et suburbaines, la pollution était proche ou inférieure à la valeur limite, tandis que dans les zones rurales, à l'écart des routes, elle était nettement inférieure.
Aucun dépassement des valeurs limites n'a été observé en 2015 pour le dioxyde de soufre, le monoxyde de carbone, les retombées de poussières et les métaux lourds. L'exposition à ces polluants est majoritairement bien inférieure aux valeurs limites.
La pollution de l'air a nettement diminué
Si l'on considère les 25 dernières années, la pollution de l'air par la plupart des polluants a nettement diminué : Ainsi, la pollution par les poussières fines et le dioxyde d'azote est nettement inférieure à ce qu'elle était en 1990. La pollution par le dioxyde de soufre est aujourd'hui inférieure à un dixième des valeurs mesurées au début des années 1980 ; le monoxyde de carbone, les composés organiques volatils, les métaux lourds contenus dans les poussières fines et également le benzène cancérigène sont également en recul.
Seule l'ozone n'a pas connu de baisse significative.
Objectif pas encore atteint
Bien que des progrès importants aient été réalisés ces dernières années dans le domaine du maintien de la pureté de l'air, l'objectif légal d'un air pur est encore loin d'être atteint. Il faut notamment penser aux risques pour la santé d'une trop forte pollution par les particules fines, l'ozone, le dioxyde d'azote et les polluants atmosphériques cancérigènes, mais aussi aux apports trop importants d'azote dans les écosystèmes sensibles.
Source : NABEL /BAFU
Des millions d'euros d'économies
En juillet 2014, le spécialiste des devises QCAM a lancé, en collaboration avec la Banque cantonale de Zurich, une offre de gestion des devises indépendante unique en son genre, dont les petits et moyens acteurs du marché sont les premiers à profiter de manière significative.
Rédaction - 23 septembre 2016
Pour les transactions importantes en devises étrangères, même de petites différences dans les conditions tarifaires ont des répercussions importantes sur les coûts et donc sur les revenus. Dans ce contexte, il est presque impossible, surtout pour les petits acteurs du marché, d'avoir une vue d'ensemble complète des offres disponibles sur le marché.
En réponse, QCAM Currency Asset Management a lancé il y a deux ans, en collaboration avec la Banque cantonale de Zurich (notation AAA), FXBE/FX Best Execution, une offre unique de gestion des devises et une solution indépendante pour une exécution transparente des opérations de change. L'offre s'adresse avant tout aux caisses de pension de petite et moyenne taille, aux family offices et aux PME.
"Best Execution" garanti
Avec FXBE, la meilleure exécution est garantie. "Avec cette solution, QCAM offre à ses clients une solution attrayante d'un seul tenant - nos clients ont accès à un certain nombre de banques en tant que partenaires de trading, le risque de contrepartie qui en résulte est pris en charge par la Banque Cantonale de Zurich, qui est la seule contrepartie pour le client", explique Cengiz Temel, Head FX Services chez QCAM, à propos de cette offre innovante. "Nous aidons nos clients à mettre en place une configuration multibancaire optimale et exécutons leurs transactions FX de manière transparente, indépendante et dans leur meilleur intérêt".
Avec FXBE, les clients agissent également dans le meilleur intérêt de leurs clients finaux, remplissent ainsi également leurs obligations réglementaires et bénéficient des avantages suivants :
exécution indépendante et transparente des opérations de change
Exécution de la transaction via plusieurs banques
Éviter les coûts de transaction inutiles - Augmenter les revenus
Accès au service de courtage FX Prime avec la Banque Cantonale de Zurich
Simplification des processus (straight through processing) via FXBE
En tant que client FX Prime Brokerage de la Banque Cantonale de Zurich, il n'y a pas besoin de
Lignes commerciales avec les banques commerciales
Les risques de contrepartie sont assumés par la Banque Cantonale de Zurich
La caisse de pension Abendrot récompensée par le prix VPS 2016
Le prix VPS 2016 pour les institutions de prévoyance qui ont contribué au développement du 2e pilier dans le cadre du partenariat social par des initiatives ou des prestations durables a été décerné à la fondation Abendrot de Bâle. Le prix VPS a été remis le 21 septembre à Lucerne.
Rédaction - 23 septembre 2016
La durabilité dans le 2e pilier : un facteur central pour la Fondation Abendrot de Bâle. (Image : Depositphotos.com)
La Fondation Abendrot a été proposée pour cette élection en raison de ses efforts pour atteindre des objectifs économiques en accord avec un comportement social. Cela se reflète clairement dans différents projets immobiliers de premier plan que la fondation a poursuivis ces dernières années. Le projet de Winterthur sur l'ancien site de Sulzer est connu dans toute la Suisse. A Lucerne, ce fut le projet du "TeiggiÜberbauung", une ancienne fabrique de pâtes alimentaires à Kriens. Ce projet consiste en la réalisation d'un nouveau lotissement dense, dans lequel une partie des bâtiments historiques de l'usine est rénovée et réaffectée à l'habitat et au travail. Il en résulte un mélange vivant de différents logements locatifs, d'appartements en propriété (en droit de superficie), d'ateliers, d'ateliers d'habitation, de magasins et d'infrastructures de quartier.
Autres récompenses
Des caisses de pension et des fondations ont été récompensées pour les initiatives spéciales suivantes :
Artes&Comoedia : solutions de prévoyance spéciales pour les acteurs culturels qui ont souvent plusieurs employeurs et travaillent également en tant qu'indépendants.
ASGA Pensionskasse : nouvelle plateforme en ligne pour une meilleure implication des délégués. L'ASGA est une coopérative dont l'organe de direction suprême est composé de 50 représentants des employeurs et de 50 représentants des employés.
Fondation FAR : elle est pionnière dans l'aménagement d'une retraite flexible dans le cadre d'une convention collective de travail.
Caisse de pension de Firmenich SA : pionnière des solutions de sortie progressive de la vie professionnelle, afin que les collaborateurs expérimentés puissent transmettre leur savoir à leurs jeunes collègues.
Caisse de pension des associations techniques : à la demande des assurés, elle a trouvé une nouvelle solution innovante à l'éternelle question "Rente ou capital ?
Caisse de pension de Zoug : des mesures globales de réinsertion des assurés ont permis de réduire durablement le nombre de cas d'invalidité.
Le partenariat social est le principe de base du 2e pilier en Suisse
Le public accorde souvent peu d'attention à la gestion des caisses de pension dans le cadre du partenariat social. Le prix VPS veut y remédier. L'un des principes fondamentaux de la prévoyance professionnelle est la gestion paritaire des institutions de prévoyance dans le cadre du partenariat social, avec une liberté et une responsabilité d'organisation. Le prix est décerné à des organes, des personnes, des organisations ou des employeurs qui, par des initiatives ou des prestations durables, ont contribué au développement du 2e pilier sous la responsabilité des partenaires sociaux. Le prix doit leur donner l'attention nécessaire et l'estime méritée et transmettre des inputs et des idées à d'autres institutions de prévoyance.
Le processus électoral
Les fondations ou organisations pouvaient poser leur candidature pour le prix VPS. Parmi les candidatures reçues, un jury a sélectionné sept nominés qui ont reçu une distinction. Il a ensuite été possible de voter pour le grand gagnant sur la plateforme de la revue spécialisée "Schweizer Personalvorsorge".
La majorité des PME se concentre sur la numérisation des processus internes. Toutefois, cette transformation est encore largement le fait d'individus. Les "champions" numériques font de la transformation une affaire de chef. Ils adaptent l'ensemble de leur stratégie commerciale à l'ère numérique - souligne une étude de PwC Suisse, Google Switzerland GmbH et digitalswitzerland.
Rédaction - 23 septembre 2016
Concentration sur les processus internes : Mais la numérisation pourrait offrir bien plus aux PME. (Image : Fotolia.com)
Le degré de numérisation des PME suisses varie. Plus l'entreprise est grande et plus la direction est jeune, plus l'entreprise est en forme dans le domaine numérique. Le secteur d'activité joue également un rôle : Les entreprises issues de domaines d'activité tels que les télécommunications et les médias sont - sans surprise - à la pointe de la numérisation. 80% des personnes interrogées s'attendent à ce que la numérisation modifie fondamentalement le marché au cours des cinq prochaines années. C'est ce qui ressort d'une enquête menée auprès de 300 PME suisses.
Numérique, mais pas partout
Les entreprises interrogées se concentrent sur la numérisation des processus internes ainsi que sur les sites web ou les solutions de commerce électronique. Le client et son expérience sont encore rarement au centre des préoccupations : seuls 42% intègrent les clients dans leurs processus commerciaux. Les entreprises qui ont opté pour la transition numérique estiment aujourd'hui que leur engagement financier en valait la peine.
Faire de la numérisation l'affaire du chef
"Les histoires de réussite des entreprises nationales montrent que la numérisation transforme fondamentalement une entreprise. C'est pourquoi ce thème devrait être à l'ordre du jour des directeurs, CEO et membres du conseil d'administration", souligne Patrick Warnking, Country Director de Google Suisse. "Le personnel fait partie des principaux facteurs de réussite de la numérisation. Il faut des personnes qui traduisent ce qui est planifié dans leur quotidien", ajoute Holger Greif, responsable de la transformation numérique chez PwC Suisse.
Feuille de route pour les champions
Norbert Kühnis, responsable des entreprises familiales et des PME chez PwC Suisse, recommande de faire preuve de courage et d'observer attentivement son propre marché : "Il faut souvent prendre une décision courageuse pour réussir à faire un grand pas. Je conseille donc aux PME suisses d'observer le marché et de considérer les possibilités numériques comme des opportunités. Un champion utilise la numérisation pour élargir sa relation avec les clients et répondre courageusement à leurs besoins".