L'OFCOM a un nouveau chef pour sa division Services de télécommunication et poste
Le conseiller fédéral Albert Rösti a nommé Matthias Hürlimann au poste de vice-directeur et chef de la division Services de télécommunication et poste de l'Office fédéral de la communication (OFCOM). Âgé de 51 ans, il prendra ses nouvelles fonctions en novembre 2024.
Rédaction
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26 septembre 2024
(Image : zVg.)
Après des études de droit à l'Université de Berne, Matthias Hürlimann a suivi la formation d'avocat bernois. A partir de 2002, il a travaillé comme assistant à l'Institut de droit public de l'Université de Berne et a été parallèlement secrétaire juridique de la commission de recours universitaire et d'une commission cantonale d'estimation des expropriations. En 2008, il a rejoint l'OFCOM en tant que juriste responsable de la procédure, avant de se voir confier la direction de la section Droit des télécommunications en 2013.
Hürlimann, qui réside à Berne, prendra ses nouvelles fonctions le 1er novembre 2024. Il succède à René Dönni Kuoni, qui occupera une autre fonction au sein de l'office en tant que directeur suppléant et chef de la division Concessions et gestion des fréquences. (pd)
Le ZFF et Publicis Groupe renforcent leur collaboration
Pour le 20e anniversaire du festival, le Zurich Film Festival et Publicis Groupe Suisse intensifient leur partenariat par des mesures supplémentaires.
Rédaction
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26 septembre 2024
(Image : ZFF/Kevin Mürner)
La 20e édition du ZFF débutera dans quelques jours. Pendant onze jours, des cinéphiles et des professionnels du cinéma ainsi que des stars hollywoodiennes comme Alicia Vikander, Richard Gere ou Kate Winslet se réuniront au cœur de Zurich. Pour son anniversaire, le Zurich Film Festival se présente avec de nombreuses nouveautés, un accent renforcé sur la qualité ainsi qu'un centre de festival nouvellement conçu qui doit poser de nouveaux jalons en tant que lieu de rencontre pour tous les fans de cinéma.
Parallèlement, le ZFF se développe aussi en coulisses : après le Coup d'envoi avec Bagels of Berkeley comme agence de médias sociaux pour le ZFF en 2023 le festival profite de l'occasion pour définir son identité de manière encore plus conséquente et intensifie sa collaboration avec l'ensemble de Publicis Groupe Suisse sur la place de Zurich. L'accent est mis sur le positionnement et le profilage de la marque ZFF vis-à-vis des différents groupes cibles, jusqu'à la mise en œuvre de mesures de communication pour le ZFF durant l'année de son anniversaire par le partenaire de production Prodigious.
Kreisvier réalise un rapport de durabilité pour le groupe Thommen
Pour une entreprise de recyclage, la durabilité n'est pas une promesse supplémentaire, mais fait partie de son activité principale. Avec son rapport de durabilité 2023, Kreisvier a présenté de manière claire et concise l'engagement de l'entreprise suisse de recyclage Thommen Group.
Rédaction
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26 septembre 2024
La stratégie de durabilité du groupe Thommen comprend 13 objectifs dans des domaines tels que la protection du climat et de l'environnement, mais aussi la sécurité au travail, l'égalité, la transparence dans les chaînes d'approvisionnement et les mesures de lutte contre la corruption. Le rapport annuel est donc très complet. Rapport de durabilité enLa conception et la mise en œuvre de ce projet ont été confiées à Kreisvier.
L'agence a ensuite élaboré le concept visuel global, défini le choix des images et réalisé la mise en page avec des infographies, des diagrammes et des tableaux. Les nombreuses icônes et graphiques créés spécialement pour l'occasion permettent d'alléger les données statistiques et de structurer la multitude d'informations de manière tangible et visuellement élevée.
Kreisvier était responsable du rapport, du briefing à la publication imprimée et numérique en trois langues.
Responsable chez Thommen Group : Daniela Hees (Marketing & Communication). Responsable de Kreisvier : Désirée Fuchs, Melsa Dogan (conseil), Sven Kahler (création), Svenia Fielding (PAO), Sturm AG (traitement des images).
Swiss Tennis fusionne les départements Communication et Marketing
Dans le cadre de diverses adaptations structurelles au sein du secrétariat, Swiss Tennis fusionne les départements Communication et Marketing. L'actuelle responsable de la communication, Sandra Pérez, reprend la direction du département. Le sponsoring et la commercialisation seront détachés du marketing et directement subordonnés au directeur.
Rédaction
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26 septembre 2024
Ce regroupement organisationnel doit permettre de mieux exploiter les synergies entre la communication et le marketing, peut-on lire dans un communiqué. Les principaux axes du département Marketing seront la poursuite des projets de numérisation, l'introduction du marketing automation ainsi qu'une extension des activités de marketing numérique.
Sandra Pérez, 50 ans, membre de la direction de Swiss Tennis depuis 2022, est responsable de la direction technique et personnelle du département. Le directeur adjoint du marketing sera Roman Kohler et Florian Künzi restera directeur adjoint de la communication.
Le domaine du sponsoring, dont Giuseppe Napoletano est le responsable, est désormais rattaché au directeur Stefan Flückiger en tant que service d'état-major. Pour la commercialisation, il a été fait appel à un soutien externe : l'agence H+H Management de Lucerne, qui sera l'agence d'acquisition exclusive de Swiss Tennis, et David Jäger de StrategyOne, qui fonctionnera comme conseiller dans les domaines du sponsoring et de la commercialisation. Tous deux siègent également à l'Advisory Board nouvellement créé, qui se tient à la disposition de Swiss Tennis pour le conseiller en matière de marketing.
Christopher Wöhr, nouveau membre de la direction de l'AGFS
Depuis juillet, Christopher Wöhr est le nouveau membre de la direction de l'Association suisse pour la publicité télévisée (AGFS). Il remplace Dennis Lawrence, qui a quitté son poste suite à un changement professionnel.
Rédaction
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26 septembre 2024
(Image : zVg.)
Tout comme son prédécesseur Lawrence, Wöhr fait office de représentant IGEM au sein de la direction de l'AGFS. Il apporte avec lui plus de deux décennies d'expérience dans le secteur des médias et de précieuses perspectives du point de vue des agences. Ainsi, à 44 ans, il a occupé ces 24 dernières années différents postes de direction dans de grandes agences en réseau, où il a notamment dirigé les départements TV. Il a en outre acquis une solide expérience du côté du marketing chez Goldbach Media.
"La télévision est ma passion et je me réjouis d'apporter mes connaissances et mon expérience à l'AGFS", déclare Wöhr à propos de ses nouvelles fonctions. "Au cours de ma carrière, j'ai accompagné de nombreux outils et leur introduction sur le marché suisse et j'ai contribué à leur développement. Il est important pour moi de faire progresser l'optimisation continue en collaboration avec les agences, les diffuseurs et les marketeurs".
Havas Media continue de s'occuper de Perfetti van Melle
L'agence média Havas a remporté le pitch pour le budget média de Perfetti van Melle et a ainsi pu défendre avec succès le budget dont elle s'occupe depuis 2022.
Rédaction
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25 septembre 2024
L'agence considère ce nouveau gain de budget comme une confirmation de son approche innovante en matière de planification vidéo totale : "Notre outil propre à l'agence, le Meaningful-Reach-Calculator, qui permet une stratégie vidéo globale et ciblée, a convaincu le client. Nous sommes fiers de continuer à collaborer avec Perfetti van Melle et de renforcer leur image de marque dans le paysage médiatique numérique et classique", a déclaré Samia Montaque, directrice générale de Havas Media, citée dans un communiqué.
Les concepts de Havas Play, spécialement développés pour activer les fans, auraient largement contribué à ce que Perfetti van Melle choisisse à nouveau de collaborer avec l'agence. "Nous impliquons toujours le client dans nos réflexions et intégrons tous les aspects pertinents dans notre planification stratégique. Nous sommes heureux d'avoir pu convaincre Perfetti van Melle avec nos réflexions qui dépassent le simple cadre des médias et nous nous réjouissons de poursuivre une collaboration fructueuse", déclare Yvonne Hefti, Client Service Director chez Havas.
Aroma élargit son expertise dans différents domaines
L'agence Aroma compte désormais un responsable du business development afin d'exploiter de manière ciblée les possibilités de développement stratégique. Parallèlement, le département Aroma Creative continue à développer son expertise en matière de stratégie de marque, de photographie et de production vidéo.
Rédaction
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25 septembre 2024
Aroma Creative accueille Marion Marxer, Senior Brand Consultant, dans son équipe afin de renforcer l'approche holistique de l'agence. Elle apporte une vaste expérience dans le domaine de la stratégie de marque et de la gestion de la marque ainsi que des connaissances approfondies dans l'analyse des groupes cibles, la recherche de tendances et l'architecture des points de contact.
Ondrej Kolacek, responsable de l'équipe de photographie et d'images animées, dispose d'une longue expérience dans les domaines de la photographie, de la production vidéo et du motion design. Il a acquis de vastes connaissances et une précieuse expérience pratique, en particulier dans le domaine de la photographie d'événements et de sport.
Christian Egger, Senior Photographer & Video Producer, complète l'équipe avec son expertise en photographie de studio, de portraits, de produits et d'architecture.
Et Alex Ryser, Head of Business Development, vient renforcer l'équipe de direction d'Aroma. Il apporte plus de 20 ans d'expérience dans les domaines de la direction de projet, de l'expérience client, de la vente, du développement commercial et du marketing. Son dernier poste était celui de Head of Sales & Markets auprès de l'entreprise de live marketing MCH Foire Suisse à Bâle et Zurich. Grâce à sa vaste expertise et à son réseau étendu, Ryser devra ouvrir de nouveaux champs d'activité et renforcer durablement le suivi des clients.
SIMF 2023 : "Nous sommes entrés dans un nouvel esprit marketing"
Dans cette interview, Dominique Hufschmid et Fabian Plüss parlent du nouvel esprit du marketing, dans lequel l'authenticité et l'influence numérique sont centrales. Ils donnent un aperçu de l'évolution du marketing d'influence et se penchent sur le Swiss Influence Marketing Forum (SIMF) ainsi que sur le Smile Swiss Influence Award qui aura lieu le 25 octobre 2024.
Rédaction
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25 septembre 2024
Dominique Hufschmid et Fabian Plüss
Dans cette interview avec Dominique Hufschmid (Kingfluencers) et Fabian Plüss (Swiss Creator Academy), l'importance actuelle du marketing d'influence et du marketing numérique d'influence est mise en lumière. Les deux experts donneront un aperçu de la dynamique et des défis de ce marché en croissance constante en Suisse, qui atteint aujourd'hui un chiffre d'affaires de 100 millions de francs. L'accent sera mis sur le Swiss Influence Marketing Forum (SIMF) 2023, qui aura lieu le 25 octobre 2024 en combinaison avec le Smile Swiss Influence Award. Ces événements favorisent l'échange et le développement de la branche, soutenus par la plateforme swissinfluence.ch qui met en réseau les influenceurs, les marques et les créateurs. L'interview est disponible par écrit et sous forme de vidéo-cast.
m&k : Comment avez-vous trouvé votre voie dans le marketing d'influence ?
Fabian Plüss : Je viens du secteur médical. Le marketing des leaders d'opinion y est profondément enraciné. Nous avons alors développé un programme de référencement avec des dentistes, des pharmaciens et des droguistes et intégré des produits dentaires. La recommandation par des leaders d'opinion, comme les dentistes, a fait que le prix ne jouait pratiquement plus aucun rôle - la confiance était essentielle. En l'espace de six ans, nous avons pu nous développer dans plus de 100 pays.
Dominique Hufschmid : J'ai travaillé en tant que designer et créatrice, j'ai travaillé dans de nombreuses agences et j'ai créé des marques. C'est surtout dans le cadre de mon travail pour Energy et le FC Bâle que j'ai été en contact intensif avec des influenceurs et des créateurs. C'est passionnant de voir comment on peut atteindre une communauté et placer des messages de marque forts par leur intermédiaire.
m&k : Alors, ça valait le coup de venir ?
Fabian Plüss : Absolument, oui. Le marketing d'influence a connu une croissance énorme au cours des dix dernières années. En Suisse, nous enregistrons des taux de croissance annuels d'environ 40 à 45 %. Au total, le chiffre d'affaires dans ce domaine se situe entre 50 et 100 millions de francs par an, selon la manière dont on considère le marché - que ce soit via des agences comme Kingfluencers ou des marques qui pratiquent le marketing d'influence en interne.
Pourquoi les marques transfèrent-elles de plus en plus leurs budgets vers le marketing d'influence ?
Dominique Hufschmid : Le marketing d'influence est dynamique, authentique et surtout divertissant. Les gens racontent les histoires de la marque à leur manière et les intègrent dans leur vie. Le groupe cible se sent plus naturel lorsque la marque est racontée par quelqu'un en qui il a confiance que lorsqu'il voit une publicité classique.
Quelles sont les plates-formes les plus fortes actuellement en Suisse ?
Dominique Hufschmid : Instagram et TikTok dominent en Suisse. Instagram offre des résultats très mesurables pour les marques et est plus facile à contrôler. TikTok, en revanche, est plus imprévisible, car les contenus peuvent rapidement devenir viraux, mais il est difficile de prédire ce qui fonctionnera. C'est pourquoi de nombreuses marques hésitent encore à s'engager pleinement sur TikTok, car elles doivent céder le contrôle.
Lors de la présentation du Digimonitor d'IGM, il est apparu clairement que LinkedIn se classe désormais au troisième rang des plates-formes de médias sociaux en Suisse et qu'il continue de croître. Comment évaluez-vous le rôle de LinkedIn dans le domaine B2B ?
Fabian Plüss : LinkedIn a définitivement le vent en poupe, surtout dans le secteur B2B. La plateforme s'est fortement développée et rappelle de plus en plus les flux classiques des médias sociaux. Il est passionnant de voir comment les créateurs de contenu professionnel prennent de plus en plus d'importance et quelles sont les possibilités offertes par le marketing d'influence B2B.
Quels sont les formats les plus performants sur les médias sociaux ?
Dominique Hufschmid : Les vidéos courtes, divertissantes et humoristiques, fonctionnent très bien. Parallèlement, les contenus qui transmettent des connaissances approfondies ont beaucoup de succès. Ce qui est décisif, ce n'est pas le format en soi, mais l'authenticité, la créativité et l'originalité du contenu qui interpelle le groupe cible.
m&k On Tour - avec Dominique Hufschmid et Fabian Plüss
Où vous informez-vous sur les dernières tendances du marketing d'influence ?
Fabian Plüss : Nous nous orientons fortement vers des marchés comme l'Allemagne, les États-Unis et le Royaume-Uni. Ces marchés ont souvent deux à trois ans d'avance. L'Asie est également très passionnante, mais elle n'est pas toujours transposable un à un en raison des différences culturelles.
Dominique Hufschmid : Je me plonge moi-même profondément dans la culture numérique sur TikTok et j'observe ce qui s'y passe. Il faut être au plus près pour identifier les tendances et les formats pertinents et comprendre comment ils s'intègrent dans une stratégie marketing.
Un exemple de campagne d'influence réussie en Suisse ?
Dominique Hufschmid : La collaboration de On avec l'influenceur Aditotoro en est un excellent exemple. ON est confrontée au défi suivant : sur le marché suisse, sa marque et ses produits sont surtout appréciés par des groupes cibles plus âgés, mais n'ont pas encore un accès fort aux jeunes générations, notamment à la génération Z. Pour atteindre ce groupe cible, ON a décidé d'impliquer des créateurs et des ambassadeurs. Aditotoro a documenté sur Instagram comment il est passé du statut de personne peu sportive à celui de marathonien. La marque On a été subtilement intégrée dans son histoire, et le storytelling a ainsi été utilisé pour s'adresser à la communauté des runners. Une campagne authentique et pleine d'humour qui a été particulièrement bien accueillie par les jeunes.
Qu'en est-il des campagnes qui s'adressent plutôt à des groupes cibles plus âgés ?
Fabian Plüss : Un nouveau format qui s'adresse fortement aux groupes cibles plus âgés est le programme Digital Influence sur LinkedIn. Ici, les cadres de niveau C deviennent des ambassadeurs de la marque et partagent leur expertise sur LinkedIn, renforçant ainsi la marque employeur. Ces programmes sont profonds et comprennent une multitude d'objectifs.
Qu'est-ce qui est important dans une campagne d'influence idéale ?
Dominique Hufschmid : Il est important que les marques comprennent parfaitement leur identité et leurs groupes cibles avant de choisir des influenceurs. Les créateurs doivent correspondre à la marque et les marques doivent laisser aux créateurs un espace créatif pour développer des contenus authentiques et passionnants. Lâcher le contrôle est ici essentiel.
Un terme qui fait de plus en plus partie du quotidien des marketeurs et des publicitaires : "Digital Influence". Que signifie ce terme et comment le situer dans l'ensemble du spectre du marketing ?
Dominique Hufschmid : Avec l'essor des médias sociaux et l'influence croissante des plateformes numériques, l'environnement des marques est devenu plus complexe. Auparavant, les marques pouvaient déterminer elles-mêmes les messages qu'elles souhaitaient envoyer, et les entreprises de médias jouaient le rôle de gatekeeper. Aujourd'hui, les communautés décident elles-mêmes de ce qu'elles consomment et de qui. C'est un changement massif. Nous sommes entrés dans un nouvel esprit marketing. Les marques ne doivent plus se contenter d'informer, mais participer activement à la conception de la communication.
Cela signifie qu'il ne s'agit plus seulement de faire de la publicité pure et simple, mais de créer un véritable lien avec les communautés. Le terme "Digital Influence" décrit exactement cette évolution : les marques doivent participer aux conversations, reconnaître la pertinence des thèmes qui préoccupent les gens et s'impliquer de manière authentique. Il s'agit d'un concept aux multiples facettes, qui va du travail avec des influenceurs à la communication interne, par exemple par le biais d'influenceurs d'entreprise.
Fabian Plüss : Le marketing d'influence n'est qu'une partie de l'ensemble. L'influence numérique englobe bien plus. Les marques doivent comprendre qu'aujourd'hui, il ne s'agit pas seulement de travailler avec des influenceurs externes, mais aussi de faire de leurs propres collaborateurs des ambassadeurs de la marque. Le leadership thématique ne doit pas dépendre uniquement de certaines personnes, mais la marque elle-même doit exprimer sa passion et son expertise sur les canaux sociaux. Les stratégies globales d'influence numérique permettent d'obtenir d'énormes résultats, que ce soit en termes de construction de la confiance des clients ou directement en termes de vente.
Anticipez-vous cette évolution, notamment l'importance croissante du marketing d'influence, avec la plateforme que vous avez mise en place ?
Fabian Plüss : Nous avons créé la plate-forme "Influence suisse" afin de refléter l'évolution du marketing d'influence en Suisse. Cette plateforme est une plaque tournante pour tout ce qui touche à l'influence numérique. Elle se compose du Smile Swiss Influence Award, du Swiss Influence Marketing Forum et de la Swiss Creator Academy. Ces trois domaines couvrent tout le spectre de l'Influence Marketing, de la récompense des meilleurs influenceurs à la formation de la prochaine génération de créateurs, en passant par le réseautage et l'échange de connaissances.
Que propose exactement la Swiss Creator Academy ?
Fabian Plüss : La Swiss Creator Academy est un programme de formation continue qui s'adresse aux créateurs de contenu. En collaboration avec la HWZ (Hochschule für Wirtschaft Zürich) et différents professeurs, experts ainsi que les créateurs eux-mêmes, nous proposons des cours et des formations. L'objectif est de développer les compétences des créateurs et de leur montrer comment concevoir leurs contenus de manière professionnelle et durable. Il s'agit de thèmes tels que le storytelling, la gestion des communautés et le développement d'une identité de marque claire. La Creator Academy est un investissement dans l'avenir de l'économie des créateurs en Suisse.
Le prochain Swiss Influence Marekting Forum aura lieu le 25 octobre dans "The Hall" à Dübendorf. Qu'est-ce qui nous y attend ?
Dominique Hufschmid : Lors du Swiss Influence Marketing Forum, nous décrypterons les facettes de la Brand Influence et proposerons des aperçus sur la manière de la cultiver et de l'utiliser avec succès. Des keynotes, des panels de discussion et des ateliers seront présentés au public spécialisé. L'événement présentera des insights, des tendances et des projets dans les domaines des médias sociaux, du marketing d'influence, de la culture numérique, de la création de contenu, de l'IA, du community building et de l'influence de marque.
Quelle est l'importance du Smile Swiss Influencer Award ?
Fabian Plüss : Le Smile Swiss Influence Award a une signification particulière, car il honore les meilleurs leaders d'opinion numériques de Suisse. Nous mettons ainsi sous les feux de la rampe des influenceurs et des créateurs qui, par leur travail, ont une réelle influence sur leurs communautés. Parallèlement, l'Award permet de sensibiliser à l'importance croissante du marketing d'influence en Suisse.
Nous sommes particulièrement fiers d'avoir élargi le prix cette année. Nous sommes passés de 10 à 18 catégories afin de mieux représenter le marché au sens large. Outre les catégories classiques d'influenceurs, nous avons également intégré des thèmes tels que "Brands of Influence" et "B2B Influenceurs". Nous voulons ainsi montrer que le marketing d'influence est bien plus qu'un simple travail avec des visages connus. Il s'agit de savoir comment les marques peuvent placer avec succès leurs messages et exercer une influence dans un environnement numérisé.
Qu'est-ce qui a changé par rapport aux années précédentes dans l'attribution des prix ?
Fabian Plüss : L'aspect le plus important est que nous considérons le marketing d'influence de manière beaucoup plus globale. Il ne s'agit plus seulement de l'influenceur classique tel qu'on le connaît, mais aussi des "Brands of Influence" et des "Media of Influence". Nous voulons représenter l'ensemble du spectre de l'influence numérique. Comprendre comment utiliser cette force d'influence sur les médias sociaux permet d'établir la confiance des clients et, en fin de compte, d'influencer positivement les ventes.
m&k On Tour - avec Dominique Hufschmid et Fabian Plüss
Sandro Hagen rejoint la direction de Vitamin 2
Sandro Hagen devient directeur du numérique et membre de la direction de Vitamin 2. À ce poste, il devra contribuer de manière déterminante à façonner l'avenir numérique de l'agence avec des idées fraîches et une vision stratégique.
Rédaction
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24 septembre 2024
(Image : zVg.)
Avant de rejoindre Vitamin 2, Hagen a marqué le développement de plateformes web innovantes et de solutions numériques en tant que consultant et responsable de l'unité numérique de Dachcom.Digital. Durant cette période, il a dirigé avec succès une équipe qui a créé des solutions sur mesure pour les clients - des plateformes web complexes et des systèmes de commerce électronique avec des intégrations CRM, ERP et PIM jusqu'à des parcours clients et des designs UX bien pensés. Sa capacité à communiquer de manière compréhensible au niveau C des concepts technologiques même exigeants, ainsi que son flair pour les tendances numériques, font de lui un véritable atout pour Vitamin 2, écrit l'agence dans un communiqué.
"Avec Sandro, nous avons à bord quelqu'un qui ne pense pas seulement en termes de stratégie, mais qui façonne aussi activement le paysage numérique", déclare la direction de Vitamin 2. "Sa vision et son engagement nous aideront à faire passer les projets numériques au niveau supérieur".
Le neuromarketing repensé : Standing Ovation allie insights et impact créatif
L'agence zurichoise Standing Ovation a développé un processus innovant qui combine les stratégies de marque avec les connaissances neuroscientifiques. En combinant les insights clients, le neurobranding et les technologies du grand langage, les expériences de marque sont optimisées de manière ciblée.
Rédaction
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23 septembre 2024
Etienne Ruppen, CEO et propriétaire, et Michael Dancsecs, Business Development et copropriétaire
De l'insight à l'impact : une nouvelle approche de la stratégie de marque
Les entreprises sont aujourd'hui confrontées au défi non seulement d'être visibles, mais aussi d'inspirer confiance et d'entretenir des relations durables avec leurs clients. Souvent, l'image qu'une marque a d'elle-même et la perception du groupe cible divergent. L'agence zurichoise Standing Ovation a développé un processus innovant qui résout ce problème. "De l'insight à l'impact" combine les insights clients et le neurobranding avec les technologies Large Language afin d'optimiser les expériences de marque. "Nous relions directement les analyses approfondies des groupes cibles et les motifs de décision subconscients à nos processus créatifs", explique Etienne Ruppen, CEO de l'agence.
Neurobranding : comprendre les décisions au niveau inconscient
Environ 90 pour cent de toutes les décisions d'achat sont prises inconsciemment. C'est là qu'intervient le neuromarketing de Standing Ovation. "Nous utilisons ces connaissances et les combinons avec des interviews en profondeur, des analyses de contenu et des outils de social listening", explique Laura Eberspächer, Head of Creation. Cette analyse complète constitue la base de toutes les réalisations créatives et garantit que les messages de la marque sont placés de manière émotionnellement attrayante et efficace. Cette approche permet de comprendre plus en profondeur les groupes cibles et de développer des campagnes créatives parfaitement adaptées.
Thomas Volprecht, responsable de la stratégie, et Laura Eberspächer, responsable de la création
La technologie rencontre la créativité : la boussole du motif comme clé
L'un des éléments centraux du nouveau processus est la boussole des motifs, développée en interne. Cette solution logicielle sur mesure intègre des styles de vie, des profils de motivation et des personas afin de rendre visibles les besoins et associations subconscients. Grâce aux technologies Large Language, les expériences de marque peuvent désormais être testées et optimisées en temps réel. "Nos clients ont la possibilité de tester des actifs de marque et d'interagir avec des personas afin d'améliorer l'efficacité de leur communication de marque", souligne Thomas Volprecht, Head of Strategy.
Des résultats mesurables : Plus d'impact grâce à des décisions basées sur les données
Le processus "de l'insight à l'impact" offre non seulement des connaissances plus approfondies sur les besoins du groupe cible, mais aussi des résultats mesurables. Les premiers projets montrent des améliorations significatives du retour sur investissement et de l'attachement à la marque. "Nous créons des expériences qui ont un impact à long terme et qui apportent une valeur mesurable à la marque", explique Michael Dancsecs, responsable du développement commercial chez Standing Ovation. Claudia Gambini, COO, ajoute : "Notre nouvelle approche marque pour nous un tournant dans le développement d'expériences de marque et a considérablement augmenté le potentiel créatif de notre travail".
Rebranding et nouvelle présence en ligne
Le processus innovant a également conduit à un rebranding et à un nouveau site web pour Standing Ovation. Celui-ci reflète la nouvelle approche et se présente dans un design frais qui reflète les valeurs de l'agence. Thomas Volprecht et Laura Eberspächer ont joué un rôle déterminant dans la mise en œuvre du processus, qui a été implémenté avec succès en juillet 2024, après 18 mois de développement.
NMQ Switzerland : où l'excellence numérique et le pain au levain se rencontrent
L'agence numérique NMQ Switzerland allie une expertise numérique internationale à un fort accent local - et surprend avec une boulangerie au bureau. m&k s'est entretenu avec les principaux dirigeants de l'agence sur l'expansion stratégique, les innovations technologiques et le secret du succès de leur culture d'entreprise particulière.
Rédaction
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23 septembre 2024
m&k : Quelles ont été les principales raisons de la fusion de Digital go avec NMQ Digital ?
Marco Kohler, responsable national de Nmq Suisse : Cette fusion était stratégiquement cruciale pour accélérer notre croissance et nous placer dans une position dont nous pourrions profiter à la fois localement et globalement. Grâce à l'accès à une agence globale gérée par son propriétaire comme NMQ, nous avons désormais la possibilité de recourir à tout moment à des solutions éprouvées au niveau international. Une autre raison était que nous ne voulions pas seulement agir au niveau mondial, mais que nous devions en même temps renforcer la proximité locale avec nos clients dans la région DACH. Nos clients attendent des solutions sur mesure qui soient à la fois fondées au niveau international et pertinentes au niveau local.
Quel sera l'impact de l'appartenance à un réseau international sur la manière de travailler de NMQ Switzerland ?
Marco Kohler : Grâce à l'intégration dans le réseau NMQ, nous pouvons gérer nos projets de manière transparente sur différents fuseaux horaires. Cela nous apporte d'énormes gains d'efficacité. En même temps, cela nous ouvre des possibilités de profiter des innovations technologiques telles que l'intelligence artificielle ou les plateformes d'analyse de données qui sont développées au niveau mondial. Nous pouvons adapter ces technologies très tôt et les proposer sur mesure à nos clients en Suisse.
Quelle est la stratégie de croissance de NMQ Switzerland, notamment en ce qui concerne son expansion mondiale ?
Pascal Käser, responsable de la croissance de Nmq Suisse : Nous considérons que notre croissance est double. D'une part, nous renforçons notre position sur le marché suisse afin de continuer à être perçus comme un interlocuteur local. Les pays DACH et les États-Unis, où nous avons déjà fait nos premiers pas, sont particulièrement intéressants à cet égard. Notre stratégie consiste à nous développer avec des partenaires et des clients existants et à utiliser notre savoir-faire international de manière ciblée pour soutenir les entreprises locales dans leur expansion mondiale.
Quelles sont les nouvelles synergies qui résultent de l'intégration dans le réseau mondial ?
Pascal Käser : L'une des plus grandes synergies est le soutien technologique dont nous bénéficions désormais. Qu'il s'agisse de plateformes de marketing numérique ou de solutions basées sur le cloud, nous avons un accès immédiat à des technologies de pointe et à des spécialistes qui nous aident à les intégrer dans les projets des clients. Une deuxième synergie réside dans l'évolutivité. Grâce à notre présence internationale, nous pouvons gérer les projets beaucoup plus rapidement et efficacement et adapter les résultats aux besoins locaux.
Comment vous assurez-vous que les tendances et les besoins locaux ne sont pas noyés dans l'approche globale ?
Pascal Käser : Notre identité suisse reste au cœur de notre travail. Nous comprenons très bien les besoins et les tendances locales. Nous sommes fermement enracinés dans la culture d'entreprise locale, mais en même temps ouverts aux développements mondiaux. Cela signifie que nous adaptons les meilleures pratiques mondiales aux marchés locaux et que nous offrons ainsi le meilleur service possible. Sur le marché suisse en particulier, nos clients attachent une grande importance aux solutions sur mesure qui les distinguent de leurs concurrents mondiaux.
Quels changements et innovations technologiques attendez-vous de l'intégration de NMQ Digital ?
David Müller-Omachlik, CTO Nmq Switzerland : De nombreuses innovations technologiques sont désormais à notre disposition. L'un des domaines les plus passionnants est l'automatisation des processus grâce à des plateformes basées sur l'IA. Cela nous permet d'organiser plus efficacement les tâches répétitives et d'améliorer considérablement la qualité de nos projets. Un autre grand thème est le renforcement dans le domaine Data & Analytics. Nous disposons désormais d'outils qui nous permettent d'acquérir une connaissance plus approfondie des besoins des clients et de développer des stratégies de marketing personnalisées sur cette base.
En interview avec m&k de NMQ : Martin Radelfinger, David Müller-Omachlik, Pascal Käser et Marco Kohler (de gauche à droite)
Quelles sont les tendances technologiques mondiales que vous considérez comme particulièrement pertinentes pour NMQ Switzerland et ses clients ?
David Müller-Omachlik : L'intelligence artificielle et l'automatisation sont des thèmes centraux, mais le commerce social, le Cokieless Future et le Voice Search prennent également de l'importance. Ces tendances rendent le marketing plus complexe, car elles nécessitent de nouvelles plates-formes et de nouveaux outils. Notre objectif est d'utiliser les bonnes technologies pour nos clients afin d'améliorer l'efficacité tout en gérant la fragmentation croissante du marketing.
Comment intégrez-vous le mode de travail global 24/7 dans les processus existants des équipes suisses ?
David Müller-Omachlik : Notre plus grand défi, et en même temps notre avantage, est d'intégrer de manière transparente les équipes mondiales dans nos processus existants. Grâce à la disponibilité 24h/24 et 7j/7, nous pouvons transmettre directement aux équipes internationales des tâches qui se terminent ici en Suisse. Cela accélère énormément l'ensemble du flux de travail. En même temps, nous veillons à ce que nos équipes suisses continuent d'agir en tant qu'interlocuteurs personnels pour les clients sur place et garantissent la qualité locale.
Quel est le rôle de l'intelligence artificielle et des technologies marketing modernes chez NMQ Switzerland ?
David Müller-Omachlik: Aujourd'hui, l'IA fait partie intégrante du monde du marketing. Nous l'utilisons dans de nombreux domaines, par exemple pour l'automatisation des campagnes et l'analyse de grandes quantités de données. Mais nous ne considérons pas l'IA comme un substitut, mais comme une extension du potentiel humain. L'homme reste la force motrice derrière chaque décision, la technologie nous aide seulement à les prendre plus rapidement et plus précisément.
Qu'est-ce qui vous a incité à rejoindre NMQ Switzerland ?
Martin Radelfinger, conseiller et partenaire de Nmq Switzerland : Pour moi, c'était une combinaison de confiance et d'inspiration. Je connais les fondateurs depuis de nombreuses années et j'apprécie leur focalisation sans compromis sur le client. La fusion avec NMQ a permis de faire évoluer cette activité sans perdre la touche personnelle. De plus, j'ai appris au cours de ma carrière qu'il est essentiel de travailler avec des personnes qui inspirent et qui partagent les mêmes valeurs. L'équipe de NMQ Switzerland répond à tous ces critères.
Quels sont les défis que vous voyez dans la mise à l'échelle d'une activité d'agence ?
Martin Radelfinger : Le plus grand facteur est la gestion des personnes. Le business des agences est toujours un people business. Il n'est pas facile de faire évoluer la culture et la qualité qui font le succès d'une agence sans faire de concessions. Mais NMQ Switzerland a tout ce qu'il faut pour y parvenir. Ils apportent une combinaison de valeurs locales et de professionnalisme global qui est rare.
Il y a une boulangerie dans votre agence. Comment cela s'est-il passé ?
Maître boulanger : L'idée est née du désir d'associer le dialogue numérique, que nous vivons au quotidien dans notre travail, à un lieu de rencontre analogique. Pour nous, le travail d'agence consiste à créer des liens - entre les marques et les personnes, entre les idées et leur mise en œuvre. La boulangerie est le lieu physique où cet échange peut avoir lieu à un niveau personnel. Beaucoup de nos réunions d'affaires commencent autour d'un café ou d'un morceau de pain au levain. Cette combinaison nous rend vraiment uniques.
Quelle est votre spécialité ?
Maître boulanger : Notre spécialité est notre pain au levain fabriqué de manière traditionnelle. Il est synonyme de qualité, de patience et d'artisanat - des valeurs qui se reflètent également dans notre travail en tant qu'agence. À cela s'ajoute notre café artisanal, qui n'est pas seulement une boisson, mais une invitation au dialogue. Nous encourageons délibérément l'échange entre les personnes, que ce soit pour une discussion informelle ou une réunion créative.
Qu'est-ce que la boulangerie et l'agence ont en commun ?
Maître boulanger : Dans les deux domaines, il s'agit de la même chose : rassembler les gens. Dans le monde numérique, nous le faisons par le biais de campagnes et de plateformes créatives, dans le monde analogique par les rencontres qui ont lieu dans notre boulangerie. La qualité, la durabilité et le véritable artisanat sont des valeurs centrales qui nous guident dans les deux domaines. Qu'il s'agisse d'un morceau de pain ou d'une campagne numérique - dans les deux cas, il y a la conviction que les connexions authentiques sont déterminantes pour le succès.
L'engagement comme facteur de réussite : insights de Heads et Perikom
Heads Corporate Branding et Perikom ont invité le 18 septembre au Musée national pour discuter de l'importance de l'engagement dans les entreprises. Des experts ont montré l'importance de l'engagement pour le succès et les conditions cadres nécessaires.
Rédaction
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23 septembre 2024
Ralph Hermann lors de la table ronde avec Dr. Judith Muster et Sven Bühler (Toutes les photos : Heads)
Le 18 septembre 2024, 88 spécialistes et personnes intéressées se sont réunis dans la grande salle du Musée national de Zurich pour se consacrer à l'un des thèmes centraux de la gestion d'entreprise moderne : L'engagement. Heads Corporate Branding a organisé l'événement sous l'égide de Perikom, l'association professionnelle pour la gestion du personnel et la communication interne.
Pour les agences de branding comme Heads, l'engagement des collaborateurs est une condition de base pour le succès des repositionnements ou des re-designs. Mais qu'en est-il de l'engagement dans les entreprises suisses ? Simone Raubach et Sina Frank de Heads ont expliqué qu'il existe encore un grand potentiel dans ce domaine, bien que les entreprises suisses ne soient pas si mal classées en comparaison internationale.
Ralph Hermann : "Le rebranding sans l'engagement des collaborateurs est comme un nouveau bateau qui n'arrive pas à sortir du port".L'équipe de Heads - heureuse après une soirée réussie
Ralph Hermann, propriétaire de Heads Corporate Branding, a décrit, à l'aide d'exemples pratiques, les défis qu'il faut relever lorsqu'il s'agit d'enthousiasmer les collaborateurs pour le mile supplémentaire. Judith Muster, sociologue et partenaire chez Metaplan, a ajouté : "L'engagement ne peut être développé que si le cadre organisationnel est adéquat". Sven Bühler, psychologue et propriétaire d'icommit, a illustré avec le modèle de la "maison de l'engagement" l'importance d'assurer d'abord la satisfaction des collaborateurs avant que l'engagement ne devienne possible.
L'événement a non seulement permis d'apporter des éclairages fondés, mais a également donné lieu à des discussions animées et à des échanges inspirants lors de l'apéritif de clôture.