Baloise Session et Gelati Gasparini : une douce mélodie depuis 20 ans

Le célèbre festival de musique de boutique Baloise Session et la célèbre manufacture de glaces suisse Gelati Gasparini fêtent cette année leurs vingt ans de partenariat et annoncent la prolongation de leur collaboration.

Session baloise Gelati Gasparini 2024

Depuis deux décennies, la Session baloiseLe soir, à l'occasion d'un concert de stars mondiales dans l'ambiance unique d'un club, le restaurant propose à ses hôtes les délicieuses glaces de Gelati Gasparini. Cette collaboration fructueuse, basée sur la qualité, l'innovation et la passion, se poursuit désormais.

Beatrice Stirnimann, CEO de la Baloise Session, commente : "Les 20 ans de collaboration entre la Baloise Session et Gelati Gasparini sont la preuve de la force d'un partenariat réussi. La combinaison d'une grande musique et de délicieuses glaces fait le bonheur de nos artistes, de nos visiteurs et bien sûr de notre équipe".

Marc Schaller de Gelati Gasparini ajoute : "C'est un honneur pour nous de faire partie de ce festival international de musique de boutique et de gâter toutes les personnes présentes avec nos glaces artisanales. Les amateurs de musique et les gourmets peuvent se réjouir à l'avenir de la douce combinaison de la musique et de la glace".

Chaque automne depuis 39 ans, la Baloise Session enchante les visiteurs avec des stars nationales et internationales de premier plan. Le cadre intime avec seulement 1'550 spectateurs, la disposition particulière des tables de club éclairées aux bougies et la proximité avec les stars offrent une expérience musicale incomparable. La prochaine édition aura lieu du 17 octobre au 8 novembre 2024 dans la Event Halle de la Foire de Bâle. Le programme de cette année sera dévoilé le 21 août.

Gelati Gasparini est une manufacture de glaces suisse basée à Münchenstein, dans le canton de Bâle-Campagne. Selon un artisanat traditionnel, ils fabriquent des produits glacés pour la consommation immédiate et à domicile ainsi que pour la gastronomie dans les goûts les plus divers. Faisant partie de l'association gaw - Gesellschaft für Arbeit und Wohnen, la manufacture offre aux personnes souffrant de handicaps psychiques un environnement de travail soutenant et varié.

Les hôpitaux suisses passent de l'ornière à l'urgence

Une nouvelle étude du cabinet d'audit PwC révèle un sous-financement chronique dans un nombre croissant d'hôpitaux suisses. Des plans de sauvetage sont nécessaires, mais ils devraient coûter plus d'un milliard de CHF par an aux contribuables. Selon PwC, les solutions résident dans l'adaptation des systèmes tarifaires, la réduction des obligations, le renforcement de la concurrence et, surtout, l'amélioration de la qualité.

Hôpitaux suisses Situation financière 2023
Les groupements hospitaliers du canton de Saint-Gall - ici l'hôpital cantonal de Saint-Gall - ont également réalisé une perte en 2023, à savoir 58,9 millions de francs, malgré un chiffre d'affaires en hausse. Cela correspond au tableau général de la situation financière "alarmante" des hôpitaux suisses selon PwC. (Image : Hôpital cantonal de Saint-Gall)

L'étude de PwC Suisse "Hôpitaux suisses : la santé financière en 2023" de cette année est claire : la situation financière des hôpitaux suisses est alarmante. Certains cantons ont déjà mis en place des plans de sauvetage, d'autres devraient suivre. La question se pose donc de savoir quels établissements sont encore nécessaires et supportables et lesquels ne le sont pas. Compte tenu des lacunes et des aides déjà accordées, les paquets prévus devraient coûter plus d'un milliard de CHF par an aux contribuables suisses, selon les calculs de l'étude. L'étude a été réalisée en juillet 2024 sur la base des comptes annuels publiés de 44 hôpitaux de soins aigus et de 12 hôpitaux psychiatriques. Afin de refléter la réalité dans la pratique, l'étude contient des digressions sur divers thèmes prioritaires et trois interviews sur les meilleures pratiques avec des personnalités renommées du secteur.

La médecine somatique aiguë en danger existentiel

Selon PwC, l'exercice financier 2023 présente des valeurs sanitaires inquiétantes pour les hôpitaux de soins aigus : érosion des marges, baisse des liquidités, recul des ratios de fonds propres. Les ajustements tarifaires n'ayant pas suivi l'inflation, la marge EBITDAR médiane s'est réduite à un niveau inquiétant de 3,6 %, ce qui est significativement inférieur à l'objectif sectoriel de 10 % défini par PwC et marque également le niveau le plus bas depuis l'introduction du système tarifaire SwissDRG en 2012.

En 2023, les hôpitaux sont encore plus nombreux à enregistrer des pertes que l'année précédente. Au vu des résultats financiers actuels, pratiquement aucun des hôpitaux d'étude ne pourrait survivre à long terme par ses propres moyens financiers. Cela place les cantons, en tant que planificateurs des soins de santé, devant des décisions difficiles aux conséquences importantes pour le système de santé suisse. Patrick Schwendener, responsable Deals Santé chez PwC Suisse : "Bien que de nombreux hôpitaux et leurs propriétaires visent une marge EBITDAR de 8 % à 10 %, ils ne gèrent pas leurs activités dans un but lucratif. Cette attitude envoie de mauvais signaux et met finalement en danger l'existence des établissements". 

Les hôpitaux psychiatriques poursuivent leur croissance

En 2023, les psychiatres ont augmenté leur chiffre d'affaires total de 4,8 % en moyenne, ce qui constitue un nouveau record. Les moteurs de cette croissance ont été une augmentation substantielle des patients hospitalisés et des recettes ambulatoires. Ces derniers ont augmenté de 11,6 % en moyenne par rapport à l'année précédente. La marge EBITDAR a grimpé à 8,1 % en moyenne. Les hôpitaux psychiatriques sont donc suffisamment liquides pour faire face à leurs obligations de paiement à court terme. Le taux d'occupation élevé, les volumes d'investissement nécessaires et la pénurie croissante de personnel qualifié restent des défis clés pour ce segment. 

Les premiers secours, oui, mais

Depuis début 2022, l'assainissement structurel du paysage hospitalier suisse s'accélère en raison des défis financiers et du manque de personnel qualifié. Les consolidations liées au système sont certes utiles, mais une procédure non coordonnée peut fausser la concurrence et empêcher des adaptations structurelles judicieuses. Les mesures de premier secours prévues par les cantons devraient coûter aux contribuables suisses plus d'un milliard de CHF par an en cumulé. Philip Sommer, responsable du conseil en matière de santé chez PwC Suisse, commente ce fait comme suit : "Les plans de sauvetage ne sont pas une solution durable. Des réformes sont nécessaires à long terme pour garantir l'efficacité et la stabilité des soins de santé".

L'importance systémique comme critère clé

Comme argument clé pour un sauvetage ciblé des hôpitaux, PwC recommande de s'orienter sur l'importance systémique des différents établissements. Un établissement est d'importance systémique lorsque sa fermeture affecte fondamentalement la région sanitaire. Qu'il s'agisse d'aides en fonds propres ou en fonds de tiers, de cautionnements, d'indemnisations de prestations d'intérêt général, de reprises ou de sociétés de défaisance : Dans le processus de décision concernant les restructurations, les cantons doivent définir un instrument approprié pour chaque hôpital, de manière objective et neutre vis-à-vis des propriétaires, et le communiquer ouvertement. Stefanie Schneuwly, Senior Manager Conseil Santé chez PwC Suisse : "Les hôpitaux qui reçoivent un soutien financier de la part des cantons doivent être évalués selon des critères et des exigences clairs. Cela devrait être fait de manière transparente".

Empêcher politiquement l'effondrement

La crise actuelle est de nature structurelle et s'est développée au fil des années. La pression sur les coûts, la pénurie de main-d'œuvre, l'ambulatoire mal financé, l'absence d'investissements nécessaires dans la transformation numérique ou la modernisation des infrastructures ainsi que le manque de mise en réseau des structures hospitalières mettent les hôpitaux à rude épreuve sur le plan financier. Afin d'éviter un effondrement du système de santé suisse de haute qualité et de créer des incitations pour des soins intégrés et en réseau, PwC estime que des adaptations politiques des conditions-cadres sont nécessaires. Les instances de régulation devraient créer de meilleures conditions-cadres, par exemple en utilisant directement le financement uniforme des prestations ambulatoires et stationnaires pour créer des incitations correctes dans les systèmes tarifaires, en adaptant plus rapidement les systèmes tarifaires à la réalité des coûts par le biais de compensations de l'inflation, en réduisant les contraintes réglementaires afin d'encourager les modèles de soins innovants et en mettant l'accent sur la qualité à long terme.

Source : PwC

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/schweizer-spitaeler-rutschen-von-der-schief-in-die-notlage/

"CMO of the Year 2024" : portrait des nominés

Après l'annonce début juillet 2024 de la liste restreinte des candidats au titre de "CMO of the Year 2024" en Suisse, nous présentons maintenant les nominés "one by one". C'est Joséphine Chamoulaud, ancienne CMO et actuelle CEO de l'entreprise d'assurance Smile, qui ouvre le bal.

Joséphine Chamoulaud

Au cours de la première semaine de juillet, les finalistes du prix "CMO of the Year 2024" ont été annoncés (m&k a rapporté). Joséphine Chamoulaud, CEO de Smile et ancienne CMO de l'assurance, est l'une des nominées - et la première des candidates que nous présentons "en détail".

Une montée abrupte

L'ascension rapide de Joséphine Chamoulaud chez Smile ressemble à une montée en ascenseur fulgurante - marquée par l'innovation et le courage. Depuis février 2024, Chamoulaud est CEO de Smile, après avoir positionné avec succès l'entreprise en tant que marque numérique de style de vie en tant que CMO. "Cette nomination signifie beaucoup pour moi", déclare Chamoulaud. "C'est une appréciation particulière que d'être toujours reconnue pour mon travail de marketing en tant que CEO". Sa période en tant que CMO a été marquée par des mesures révolutionnaires telles que le marketing d'influence, les premières activités dans le Metaverse et une nouvelle identité sonore.

L'importance du titre de "CMO of the Year

L'élection du "CMO of the Year" souligne le rôle central du marketing dans l'économie suisse. Le marketing gagne constamment en importance grâce à la numérisation, la durabilité et le sens. Le ou la "CMO of the Year" sert de modèle et inspire les futurs professionnels. Cette année, cinq candidats exceptionnels ont été nominés : Joséphine Chamoulaud de Smile, Jan De Schepper de Swissquote, Christian Gut de Stöckli Swiss Sports, Nathalie Noël de V-Zug et Saskia von Moos d'intelligentfood Suisse.

Innovation et centrage sur le client

Chamoulaud souligne que l'innovation a toujours fait partie de l'ADN de Smile. Smile, en tant que première assurance avec un modèle économique freemium, a mis en place des mesures pionnières grâce à sa direction. "Notre plus grand uplift a été l'internationalisation de la marque et le doublement de notre équipe qui en a découlé", raconte Chamoulaud. Le modèle commercial numérique de Smile permet une expérience client sans faille et mise sur la devise "sans blabla". Cette philosophie offre des solutions simples, rapides et flexibles aux clients et positionne Smile comme une marque numérique de style de vie.

Le développement durable comme modèle d'entreprise

La durabilité est un élément central du travail de Chamoulaud. Smile propose une large offre de durabilité sous le label "smile.green Engagements". "La durabilité doit être pensée de manière durable - sur le plan écologique, social et économique", explique Chamoulaud. Smile mise sur la communication électronique avec les clients, la conduite automobile écologique et la gestion durable des sinistres. Le soutien de projets d'eau potable Viva con Agua et l'organisation de la première vente aux enchères NFT dans le secteur de l'assurance pour promouvoir ces projets soulignent cet engagement.

La conclusion du jury

Le parcours impressionnant de Joséphine Chamoulaud, qui est passée de CMO à CEO de Smile, et son approche innovante du marketing sont une source d'inspiration. En mettant clairement l'accent sur le centrage sur le client, la durabilité et l'innovation, elle a réussi à positionner Smile comme une marque numérique de style de vie. Le nom du lauréat du titre de "CMO of the Year" 2024 sera dévoilé lors de la soirée exclusive de remise des prix dans la Papiersaal - d'ici là, le suspense reste entier quant à l'identité de la personne qui s'imposera face à la forte concurrence.

"Une solution européenne pour des exigences mondiales"

Sur la terrasse du toit de "Decentriq" à Zurich Ouest, le fondateur Maximilian Groth donne un aperçu de son entreprise de deep-tech et explique dans quelle mesure elle joue un rôle décisif dans l'ère post-cookie de fête en Suisse.

Plate-forme de données Decentriq 2024
Le fondateur de Decentriq, Maximilian Groth, sur la terrasse du toit de son entreprise à Zurich Ouest. (Photo : Anna Kohler)

m&k : Maximilian Groth, expliquez-nous brièvement comment Decentriq a été créé ?

Maximilian Groth : Il y a cinq ans, j'ai fondé Decentriq avec mon partenaire commercial Stefan Deml. Nous sommes aujourd'hui 30 collaborateurs. L'idée de cette plateforme est née alors que nous travaillions tous les deux dans une entreprise qui analyse les données des téléphones portables dans le monde entier et les monétise, en collaboration avec les opérateurs de téléphonie mobile. La question s'est alors posée de savoir si nous pouvions aider à enrichir ces données avec des données de fournisseurs tiers, comme des fournisseurs de cartes de crédit. Pour des raisons de protection et de sécurité des données, il est très difficile de combiner les données. Et surtout, on ne confie pas simplement ses précieuses données à une autre entreprise.

 

C'est donc de cette idée qu'est né Decentriq ?

Exactement. Nous avons alors eu l'idée de construire une plateforme technologique qui permette aux entreprises de collaborer plus facilement et de manière conforme. En tant qu'entreprise, nous avons un background fortement technologique, nous sommes catégorisés comme une entreprise deep tech. Il y a quelques semaines, nous avons remporté le prix pionnier ZKP Technopark, qui est décerné chaque année à une entreprise depuis 2001. Ce prix est doté de 100'000 francs. C'est pour nous une grande reconnaissance. Notre surnom auprès des entreprises étrangères est souvent "The Switzerland of Data".

 

Pourquoi vous appelle-t-on ainsi ?

Nous avons créé un environnement neutre où l'on peut collaborer de manière sûre et conviviale sur des données sensibles. Un peu comme la Suisse, justement (rires). Ce que la Suisse est politiquement, nous l'apportons à l'économie des données. Le facteur "suissitude" est bien perçu. C'est pourquoi nous disons que nous ne sommes vraiment pas une entreprise SaaS au sens de "Software as a service", mais une "SaaS Switzerland as a Service". Nous incarnons au niveau technologique ce que la Suisse promet au niveau politique : confiance, valeur, neutralité, fiabilité.

 

Qui utilise la plate-forme Decentriq ?

Nous sommes génériques. Nous sommes utilisés par les branches les plus diverses - le secteur de la santé, les banques, les groupes de marques, les entreprises de données sportives. Dans le secteur de la santé en particulier, de grands hôpitaux utilisent notre plate-forme pour mettre des données à la disposition de la recherche. Nous avons déjà collaboré avec le ministère de la Défense dans le domaine de la cybersécurité et avec la ville de Zurich dans le domaine des transports publics. Dans le secteur privé comme dans le secteur public, nous travaillons avec des entreprises renommées. Dans ce contexte, la protection et la sécurité des données sont une priorité absolue, ce que nous pouvons garantir sur le plan technologique.

 

Comment peut-on se représenter exactement la plate-forme ? Comment la sécurité des données est-elle garantie ?

Notre background est la cryptographie. Toutes les données qui sont téléchargées sur notre plate-forme sont préalablement cryptées - et le restent. L'entreprise peut définir comment et par qui les données peuvent être utilisées. C'est ce qu'on appelle le "purpose bound data sharing". Ainsi, nous pouvons garantir de manière cryptographique que les données ne sont utilisées que dans un but précis. En bref : les données sont précieuses et c'est pour éviter qu'elles soient accessibles et utilisables par n'importe qui que nous existons. L'entreprise contrôle toujours les données et détermine qui peut les utiliser, comment elles peuvent être utilisées et pendant combien de temps. Il est désormais possible d'utiliser des données qui ne pouvaient pas l'être auparavant, comme par exemple dans le secteur de la santé, pour des raisons de protection des données.

 

Quelle est la technologie sous-jacente ?

La technologie que nous utilisons s'appelle "Confidential Computing". C'est la même technologie que Google utilisera à l'avenir pour son "Privacy Sandbox". Apple utilise la même technologie pour garantir la sécurité des données à ses utilisateurs d'iPhone.

 

Comment les médias et les entreprises de médias utilisent-ils cette plate-forme ?

Nous proposons des solutions pour l'ère des cookies post-Third Party. Les marques souhaitent atteindre leur groupe cible en respectant les règles de conformité. Nous travaillons ainsi avec les grandes entreprises de médias - pas seulement en Suisse, mais aussi à l'international. Par exemple, RTL Ad Alliance en Allemagne est notre client.

 

Comment peut-on se représenter cela exactement ?

Prenons un exemple : Goldbach, avec qui nous collaborons avec succès depuis plus d'un an, place ses données de première partie de manière cryptée sur la plate-forme, les marques font de même. Un seed est ensuite créé, sur la base duquel des audiences peuvent être créées et des campagnes peuvent être diffusées de manière ciblée aux groupes cibles. Cela est également possible via plusieurs éditeurs. Nous travaillons avec de nombreux éditeurs suisses. Nous avons ainsi créé une sorte de Swiss Garden.

 

Ils offrent donc à ces entreprises un moyen de conserver l'argent de la publicité dans le pays.

Exactement. L'industrie de la publicité est une affaire de milliards, et cette somme est tout simplement reversée aux grands groupes technologiques étrangers. La plupart des Suisses passent la majeure partie de leur temps sur des plateformes nationales, à côté des plateformes américaines et chinoises. Pourquoi ne pas utiliser ce comportement à des fins publicitaires, et ce même à l'échelle internationale ? Même de grandes agences comme Publicis misent sur notre plateforme. Lorsque je fais un pitch auprès d'une entreprise européenne, je commence par le slogan "Une solution européenne pour des exigences mondiales".

 

Quelle est la composition professionnelle des 30 collaborateurs de Decentriq ?

Sur le plan culturel, il est clair pour nous, et cela figure également dans nos valeurs, que nous considérons la protection et la sécurité des données comme des droits de l'homme. Nous n'acceptons aucune discussion à ce sujet. Une vingtaine de personnes se consacrent à l'ingénierie et au développement de produits, et une dizaine aux opérations et au commerce. Nous avons de gros clients dont nous nous occupons, la plateforme reçoit régulièrement de nouvelles fonctionnalités, elle est mise à l'échelle et développée, mais en même temps nous faisons avancer le marketing et la vente.

 

Comment faire du marketing pour un produit deep-tech comme le vôtre ?

Nous apprenons tous les jours. Nous travaillons sur la manière de rendre tangible ce qui est abstrait. L'analogie avec la Suisse a beaucoup aidé - la neutralité, la sécurité, la qualité, on peut s'en souvenir. Personnellement, je l'ai longtemps sous-estimé. Les clients doivent avoir cela en tête. Souvent, je commence par demander si quelqu'un sait ce que signifie SaaS. Tout le monde le sait, mais je dis alors "Switzerland as a Service". Et là, la glace est déjà brisée. Mais il y a encore beaucoup de chemin à parcourir jusqu'à la technologie de cryptage,

 

Comment Decentriq convainc-il sur le plan du contenu ?

Nous avons investi dans la documentation technique, dans les clarifications juridiques de cabinets internationaux renommés - car des cas d'utilisation propres sont importants. Et bien sûr, les entreprises avec lesquelles nous travaillons et qui misent sur notre technologie sont également une bonne référence.

 

Par exemple ?

Dans la région DACH, il s'agit par exemple de Goldbach, Ikea, RTL Ad Alliance, Adverserve, l'armée suisse, et dans le secteur de la santé, la clinique universitaire d'Aix-la-Chapelle. Nous travaillons également avec de grandes banques. Le prix que nous avons remporté, en tant qu'entreprise deep tech leader en Suisse, est bien sûr aussi une référence.

 

Qu'est-ce qui vous motive personnellement ?

Créer, avec notre équipe suisse, une plateforme que les organisations du monde entier utilisent en collaboration pour travailler en réseau sur des données et créer ainsi une valeur ajoutée pour la société. La publicité, par exemple, est essentielle au financement d'un journalisme de qualité.

COMPLYANT : l'avenir de la gestion de la conformité - efficace, complet, convivial

REPORTAGE PUBLIC La législation suisse est complexe et fait l'objet de mises à jour et de révisions régulières. Les entreprises sont donc confrontées au défi de s'adapter en permanence à ces changements afin de rester en conformité avec la loi. Le logiciel COMPLYANT d'IPSO ECO offre précisément une solution complète à ce problème.

COMPLYANT
COMPLYANT reproduit les prescriptions légales pertinentes pour les entreprises dans les domaines de l'environnement et de la sécurité et les actualise chaque année. L'accent est mis sur le droit fédéral suisse. Il est complété ponctuellement par des directives internationales, des décrets et des notices cantonaux ainsi que des prescriptions propres à l'entreprise, qui peuvent être déposées individuellement. (Image : COMPLYANT)

Qu'est-ce que COMPLYANT ?

COMPLYANT est un logiciel de conformité à la législation suisse dans les domaines de la protection de l'environnement, de la sécurité des installations ainsi que de la sécurité au travail et de la protection de la santé. Il est adapté aux entreprises de toutes tailles et de tous secteurs.

Les différentes exigences légales suisses sont classées par thème dans des catalogues de questions. Ainsi, même les non-juristes tels que les spécialistes de la qualité, les responsables de l'environnement, les chargés de sécurité et les facility managers peuvent vérifier facilement le respect des exigences.

L'expérience des clients dans différents secteurs montre comment COMPLYANT simplifie la conformité réglementaire et améliore l'efficacité des processus.

 

 

Comment fonctionne COMPLYANT ?

Un assistant virtuel guide l'utilisatrice à travers des catalogues de questions classées par thèmes. Après un examen de la base juridique, la situation actuelle est enregistrée. Les étapes nécessaires en sont déduites et une liste de tâches est établie.

Le reporting montre à tout moment l'état actuel de la conformité légale. Il sert de preuve dans le cadre des normes de gestion de la qualité, de l'environnement et de la sécurité ISO 9001, 14001 et 45001. En outre, il est possible d'afficher les tâches encore en cours afin d'avoir une vue d'ensemble des mesures à prendre.

Si nécessaire, plusieurs sites peuvent être évalués séparément. Grâce à l'architecture multi-clients, les responsables de sites peuvent profiter des connaissances communes.

Le logiciel crée la base d'un système de gestion de la conformité optimal. Contrairement à d'autres logiciels de gestion de la conformité, seules les exigences adaptées doivent être vérifiées au cours des années suivantes. Les efforts sont ainsi minimisés et la nouvelle preuve de conformité est établie en quelques clics.

Comment soutenons-nous nos clients ?

IPSO ECO propose, en complément du logiciel COMPLYANT, des services complets allant de l'implémentation à la formation et au support continu. Ces services garantissent que les entreprises peuvent exploiter pleinement le potentiel du logiciel.

Développé et hébergé en Suisse
Applicable aux directives de conformité internes ou à l'évaluation générale de la situation
Aligné sur les systèmes de gestion ISO 14001:2015 et ISO 45001:2018
Influence positivement la gouvernance d'entreprise et la réputation de l'entreprise

Découvrez comment COMPLYANT peut révolutionner votre gestion de la conformité. Visitez notre site Web pour plus d'informations ou contactez-nous directement pour une démo. Laissez COMPLYANT devenir le cœur de votre gestion de la conformité.

 

 

Qui est IPSO ECO ?

IPSO ECO est une entreprise suisse indépendante de conseil en gestion environnementale et en développement durable depuis 1987. Nous sommes l'interlocuteur compétent pour toutes les entreprises dont les produits ou les services ont un impact sur l'environnement.

Nous vous accompagnons de la planification à l'exploitation et au démantèlement, en passant par la construction, afin que les entreprises des secteurs les plus divers puissent satisfaire à toutes les directives et critères pertinents en matière d'écologie, de gestion d'entreprise et de droit de l'environnement.

 

 

"Le respect de la conformité est notre première priorité. COMPLYANT ne nous fournit pas seulement le contexte des bases légales. Il offre également une évaluation et une planification des mesures confortables sur l'ensemble des sites".

Pius Rösch, responsable de la gestion de la sécurité et de l'environnement en Suisse, Emmi Suisse SA

 

"Les thèmes pertinents relatifs à l'environnement et à la sécurité sont structurés de manière si conviviale que l'on a une super vue d'ensemble et que l'on n'a pas besoin de faire des recherches fastidieuses".

Thomas Stollmaier, responsable de l'administration des ventes, Düring AG Ebikon

 

"COMPLYANT nous montre clairement les éventuelles lacunes, ce qui nous permet de réagir de manière ciblée".

Marco Fasoli, chef d'atelier/chargé de l'environnement et de l'énergie, Maestrani Chocolats Suisses SA

 

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/complyant-die-zukunft-des-compliance-managements-effizient-umfassend-benutzerfreundlich/

Nouvelle responsable de la communication et du marketing chez Digitalswitzerland

Ottavia Masserini prendra ses fonctions de responsable du département communication et marketing de Digitalswitzerland le 1er octobre.

Ottavia MasseriniOttavia Masserini apporte son expérience de porte-parole et d'experte en communication aux Chemins de fer fédéraux suisses (CFF), où elle a travaillé de 2017 à 2021 dans la communication d'entreprise et les relations publiques dans les trois grandes régions linguistiques. Ces trois dernières années, elle a dirigé, en tant que Chief of Staff, l'état-major du département immobilier des CFF, où elle a pu approfondir ses connaissances en matière de stratégie, de réglementation et de processus.

Ottavia Masserini prendra en charge le département communication et marketing de Digitalswitzerland sous la direction de l'actuel CEO Stefan Metzger et accompagnera, en termes de communication, la transition vers la CEO désignée Franziska Barmettler, qui prendra ses fonctions le 1er novembre. La jeune femme de 36 ans se réjouit de sa nouvelle mission : "Les thèmes de la numérisation préoccupent aujourd'hui la société, la politique et l'économie comme jamais auparavant. Je me réjouis d'accompagner le développement numérique de la Suisse en matière de communication avec une équipe professionnellement forte".

Le CEO Stefan Metzger et le président Andreas Meyer remercient le responsable sortant de la communication et du marketing, Thomas Weidmann, pour son grand engagement au sein de Digitalswitzerland.

Au fait, que signifie... "enregistrement" ?

Dans sa chronique "Que signifie en fait... ?", Benno Maggi se penche sur des termes utilisés dans le domaine du marketing et de la communication. Cette fois-ci, il traite du terme "check-in".

Check-in dans le travail quotidien

Oui, c'est bientôt les vacances. Et malgré la honte de voler largement répandue, les aéroports seront à nouveau bondés. Les files d'attente, qui doivent être contrôlées à l'aide de ceintures de sécurité, s'étendront comme toujours bien au-delà des rangées prévues pour former des groupes incontrôlés de personnes et de valises, semblables à un anaconda suralimenté, bougeant à peine.

Les files d'attente à l'enregistrement, à la sécurité ou au contrôle des passeports sont un véritable fléau. Heureusement, si nous prenons encore l'avion, nous n'avons plus besoin de nous rendre à l'aéroport pour l'enregistrement. Nous pouvons aussi le faire confortablement en ligne et par téléphone portable. Mais ce n'est pas tout, nous n'avons même plus besoin de partir en vacances pour les check-ins, nous pouvons le vivre chaque jour ou chaque semaine dans notre travail quotidien. Le terme est en effet devenu si populaire que nous ne savons même plus où nous voulions aller à l'origine, tant les check-ins sont nombreux.

L'utilisation du mot check-in a commencé après la pandémie. Alors que les collaborateurs du monde entier devaient retourner à leur poste de travail, les employeurs ont dû constater avec étonnement que cela n'avait pas lieu. Les bureaux surpayés sont restés vides et les personnes sous-payées sont restées chez elles. Les rencontres personnelles, les discussions informelles ou le bref contact visuel au passage n'existaient plus et compliquaient énormément le quotidien professionnel. Ces rencontres étaient des petits check-ins avec les collègues sur le lieu de travail, bien avant que le terme ne quitte les aéroports et les hôtels pour s'appliquer aux bureaux ordinaires.

Avec ou sans bagages, c'est important pour la coopération

Le terme "check-in" vient de l'anglais et est utilisé dans différents contextes pour décrire le processus d'enregistrement, de réservation ou même d'enregistrement d'un étranger dans une communauté de voyage ou un hébergement. À l'origine, le terme provient du secteur de l'hôtellerie et de l'aviation, mais il s'est depuis étendu à de nombreux autres domaines.

Lors de l'enregistrement dans un hôtel, les clients se présentent à la réception pour s'enregistrer en tant qu'arrivant, recevoir les clés de leur chambre et remplir les formalités nécessaires comme le contrôle d'identité. Lors de l'enregistrement dans un aéroport, les passagers s'enregistrent pour leur vol, déposent éventuellement leurs bagages et reçoivent en échange une carte d'embarquement qui leur permet de changer d'airside à l'aéroport, c'est-à-dire d'aller là où les parfums et les spiritueux sont moins chers et où les avions sont prêts à décoller. La carte d'embarquement leur permet également de monter dans un tel avion et de voyager à une place prédéterminée.

Dans le domaine des loisirs, les check-ins existent également pour les croisières et les conférences, le second étant un hybride entre les loisirs et les affaires. Tout le contraire de l'application dans la technologie et les logiciels. Là, rien n'est leisure, même si les bureaux de Google impliquent le contraire. Là, un check-in peut décrire le processus par lequel les développeurs intègrent leur code dans un référentiel central après avoir effectué des modifications. Ou dans les rédactions, où le facteur de plaisir au travail est depuis longtemps réduit au minimum. Les articles y sont archivés et sortis, puis mis à jour pour que le prochain collaborateur, qu'il s'agisse du graphisme, de la correction, de l'édition d'images ou de qui que ce soit, puisse effectuer son travail.

Les check-ins sont donc omniprésents et, depuis peu, également nécessaires dans la gestion des collaborateurs, lorsque les personnes restées à la maison se présentent soudainement au bureau et sont irritées lorsque les responsables RH et les collègues demandent : "Comment vas-tu ?". Dans la vraie vie, ou IRL en abrégé, on ressent toujours mieux l'état d'esprit d'une personne. C'est pourquoi les check-ins sont gratuits tous les jours à la machine à café, dans le couloir, devant les salles de réunion, à la cantine, aux toilettes ou en fumant. Et ce, généralement sans file d'attente, mais avec beaucoup d'empathie. De telles rencontres sont agréables et ressemblent parfois à de petites vacances.


Benno Maggi est cofondateur et CEO de Partner & Partner. Il écoute depuis plus de 30 ans dans le secteur et découvre ainsi pour nous des mots et des expressions qui peuvent être utilisés soit pour small talk, soit pour faire l'important, soit pour s'énerver, soit pour jouer au Scrabble, soit tout simplement pour le plaisir.

Swiss Marketing fête 515 nouveaux professionnels du marketing et de la vente

Le 29 juin, la cérémonie de remise des diplômes aux diplômés en marketing et en vente 2024 s'est déroulée au Volkshaus de Zurich.

Professionnels du marketing et de la vente

Sous l'animation de Cachita, jeune talent de la musique, les nouveaux diplômés ont été honorés et mis en scène pour leurs performances exceptionnelles. Une reconnaissance particulière a été accordée aux meilleurs de la classe pour les différentes parties de l'examen ainsi que pour l'examen global.

L'accompagnement musical a été assuré par Andryy, lauréat du Swiss Music Award, qui a apporté des touches d'émotion avec sa voix exceptionnelle.

Au total, 301 spécialistes du marketing ainsi que 214 spécialistes de la vente ont réussi l'examen fédéral de spécialiste du marketing ou de spécialiste de la vente. Le taux d'échec a été d'environ 30 pour cent pour les deux spécialités.

Process avec une nouvelle image de marque pour la commune de Regensdorf

La nouvelle image de marque rend perceptible le positionnement affûté de la commune et doit renforcer à long terme le rôle de Regensdorf comme l'une des communes les plus modernes et les plus attrayantes du canton de Zurich. Process est responsable de la mise en œuvre.

Regensdorf

La commune de Regensdorf se développera au cours des prochaines années pour devenir l'une des communes les plus modernes du canton de Zurich. Outre de grands projets d'infrastructure, comme la gare nord, plus de 2 000 logements sont prévus ou déjà en construction. A cela s'ajoutent l'implantation de commerces et d'importants investissements dans la qualité de vie au sein de la commune.

Afin de répondre à tous ces changements sur le plan de la communication et de porter l'attractivité de la commune vers l'extérieur de manière ciblée au cours des prochaines années, la marque Regensdorf a été stratégiquement réorientée, développée et mise en œuvre en étroite collaboration avec l'agence Process.

Dans le cadre de la réorientation de la marque, l'ensemble de l'architecture de la marque au sein de la commune a été affûtée, réhiérarchisée et priorisée en termes de communication. L'ancienne marque figurative a été entièrement renouvelée et l'ensemble de l'identité visuelle a été repensé et défini pour l'ensemble des canaux.

Pour ce faire, des modèles et des gabarits ont notamment été développés et mis en œuvre pour tous les canaux et médias de communication, jusqu'aux documents officiels et aux modèles qui sont implémentés et déployés au sein de la commune.

"Dans la période de changement et de grande croissance dans laquelle se trouve Regensdorf, il est crucial que notre communication soit claire, homogène et cohérente", explique Sandrine Rickli, responsable de la communication. "Notre nouvelle identité visuelle nous permet de répondre aux exigences en matière de communication et de transmettre nos messages de manière attrayante et compréhensible".


Responsable chez Regensdorf : Sandrine Rickli (chef de projet, responsable de la communication), Marco Renggli (directeur de l'innovation et du développement), Fabienne Pfyl (directrice adjointe de l'innovation et du développement), Stefan Pfyl (secrétaire communal), Sanida Hasani (assistante de direction du secrétaire communal). Responsable chez Process :
Markus Hammer (responsabilité générale), Martin Kessler (Martin Kessler Consulting) et Manuela Marty (stratégie et conseil), Jasmina Seelig (conseil), Thomas Rütti (design), Pascal Hegemann (design), Timon Gschwind (motion design) Clau Isenring (texte) et Wanda Honegger (design numérique).

Nouveau président et nouveau comité pour Swiss Marketing

Après l'arrivée d'un nouveau directeur, l'association professionnelle et technique Swiss Marketing a également de nouveaux visages au comité central (CC). Marco Ancora et Ubaldo Piccone font leur entrée au comité central, et Chris Pozzoli a été élu nouveau président du CC.

Comité directeur de Swiss Marketing 2024
(Image : zVg.)

Un vent nouveau souffle sur Swiss Marketing : lors de l'assemblée des délégués 2024, trois nouveaux membres et quatre membres actuels seront élus à la tête de l'association professionnelle et spécialisée. Marco Ancora et Ubaldo Piccone ont été élus membres du comité central et Chris Pozzoli, nouveau président du CC. Simon Albisser, Katharina Mäder, Dietger Löffler et Beat Schlumpf ont été réélus.

Les nouvelles élections donnent naissance à une nouvelle combinaison de direction à la tête de l'association. Ensemble, le CC fraîchement constitué, le nouveau président du CC Chris Pozzoli ainsi que le nouveau directeur Jan Maurer vont faire avancer la mise en œuvre de la nouvelle stratégie de l'association.

L'objectif des prochaines années est avant tout d'uniformiser l'organisation de l'association et de créer une offre adaptée aux besoins du marché. Selon lui, cela implique également une collaboration accrue avec les différentes régions, le CC jouant un rôle important de passerelle.

L'étroite collaboration entre toutes les parties prenantes est donc le pilier central de l'orientation à long terme de l'association. Cela doit permettre de créer un écosystème profitable entre les clubs, les écoles, les entreprises, les sponsors et les membres, dans lequel des synergies sont créées et utilisées. C'est important pour que Swiss Marketing puisse rester agile et proposer à ses membres une offre pertinente et attrayante, explique Chris Pozzoli, nouveau président du CC de Swiss Marketing.

Le comité central de Swiss Marketing se compose désormais des membres suivants : Simon Albisser (réélu), Marco Ancora (nouveau), Dietger Löffler (réélu), Katharina Mäder (réélue), Ubaldo Piccone (nouveau) et Beat Schlumpf (réélu). Chris Pozzoli (nouveau) sera le président du comité central. Le comité central travaillera en étroite collaboration avec Jan Maurer, qui dirige les activités opérationnelles de Swiss Marketing en tant que directeur.

Jung von Matt Brand Identity développe une identité visuelle pour CISB

Jung von Matt Brand Identity a accompagné la création du Center for Innovation and Sustainability in Business Foundation (CISB) et en a assuré la réalisation visuelle. L'identité visuelle souligne la mission, les valeurs et le mandat de recherche de la fondation.

CISB

Le CISB a pour objectif de mettre en place une plateforme interdisciplinaire qui encourage la recherche dans le domaine de la durabilité et de l'innovation des entreprises et qui permet un dialogue précurseur entre l'académie et l'économie. Le CISB doit provoquer un changement tangible dans l'économie et la société en transformant des idées visionnaires en solutions pratiques.

Jung von Matt Brand Identity a été impliqué dès le début dans le processus de création de la fondation. Cela a permis de garantir une étroite imbrication entre le design et l'identité de la fondation.

Il en résulte une présentation claire, moderne et fraîche qui doit se distinguer dans l'environnement des fondations suisses. La réduction ciblée et l'approche sobre placent les thèmes et les chercheurs au centre. Sur la plateforme, les idées et les innovations pertinentes sont clairement présentes et peuvent être promues de manière constructive.

"Lors de la conception du design de la marque, il s'agissait pour nous de créer une présence visuelle qui donne non seulement un visage unique à la fondation, mais qui offre également une scène digne à la recherche", explique Micha Niederhäuser, Brand Designer chez Jung von Matt Brand Identity.

Le jaune citron caractéristique, associé aux tons gris neutres et réduits, confère à la présentation fraîcheur et caractère. De plus, les images générées par IA - qui montrent des formes abstraites dans un univers de couleurs blanches et neutres - soulignent l'accent mis sur l'innovation et la modernité. "L'utilisation d'images générées par IA a permis de refléter et de développer de manière ciblée l'idée abstraite de l'univers visuel", explique Loraine Olalia, designer numérique chez Jung von Matt Brand Identity.

Le concept de design a été mis en œuvre par Jung von Matt Brand Identity de manière cohérente sur différents points de contact. Ils garantissent ainsi une image uniforme, notamment sur le site web, qui sert de point de contact central et offre des informations complètes sur la fondation et les initiatives qu'elle soutient.


Responsable chez CISB : Alexander Bischoff (président du conseil de fondation), Stefano Bianchi (membre du conseil de fondation). Responsable chez Jung von Matt Brand Identity : Nathalie Weiss (direction de projet), Loraine Olalia (design), Micha Niederhäuser (design).

La finesse crée une nouvelle image pour Crescenda

Crescenda aide les femmes ayant une expérience de migration à s'insérer dans la vie professionnelle. Feinheit a développé une nouvelle identité d'entreprise pour cette association bâloise à but non lucratif, qui met encore mieux en valeur son identité, tant sur le plan visuel que textuel.

Crescenda Corporate

Juste à temps pour ses 20 ans d'existence, l'association d'utilité publique Crescenda de Bâle se présente avec une nouvelle identité d'entreprise. Il ne s'agissait pas d'un changement radical, mais d'une évolution. Et surtout, les groupes cibles devaient pouvoir s'y reconnaître rapidement et clairement. Telle était la mission confiée à Feinheit, qui a élaboré l'identité visuelle.

Atteindre l'objectif avec le Human Centered Design

Pour répondre aux objectifs, l'agence a combiné ses compétences en design visuel et son expérience en design centré sur l'humain et a décidé de travailler avec des personnes issues des groupes cibles. Il est vite apparu qu'un groupe cible était de loin le plus important : les femmes avec une expérience de migration qui suivent des cours de création d'entreprise ou des formations professionnelles chez Crescenda. Lors d'ateliers avec des représentantes de ce groupe cible, Feinheit a pu saisir et véhiculer l'action de Crescenda.

Il est ainsi apparu que chez Crescenda, l'appartenance et la convivialité joyeuse sont au centre des préoccupations. Cela se reflète dans la nouvelle présentation, qui se caractérise par des couleurs vives, des polices de caractères ludiques et un univers visuel authentique.

Manuel d'identité visuelle comme base

Le produit final est un manuel d'identité visuelle. Visuellement, il fait vivre l'identité avec des éléments entièrement rafraîchis - comme le logo, la typographie, les couleurs, l'univers visuel et les principes de mise en page. En outre, le texte met en évidence qui est Crescenda. La ligne directrice du logo "Ici, les femmes arrivent. Ici, les femmes avancent".

Le manuel d'identité visuelle a notamment servi de base au nouveau site web de Crescendaqui est en ligne depuis peu.


Responsable chez Crescenda : Nicole Lützelschwab, Isabelle Groeli, Katharina Stöckli, Corinna Zuckermann, Nathalie Storer, Adelina Arendarska, Linh Lam, Beatrice Speiser. Responsable de la finesse : Moritz Friess (direction de projet & conseil), Catriona Paffhausen (design visuel), Stephanie Auderset (texte).

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