Le label de confiance numérique s'étend désormais à l'IA de confiance

En Suisse, le premier outil est lancé pour aider les entreprises à utiliser l'intelligence artificielle (IA) de manière fiable et responsable. Le Digital Trust Label (DTL) est une réponse à la méfiance croissante des utilisateurs et à la multiplication des réglementations.

Label de confiance numérique
Les quatre critères principaux du Digital Trust Label. (Image : Swiss Digital Initiative)

Le label de confiance numérique (DTL) a été créé lancé en janvier 2022L'objectif est de promouvoir la confiance et la transparence dans les services numériques. Sur cette base, le catalogue de critères a été élargi pour mieux inclure l'IA. Cela s'est fait dans le cadre d'un processus complet et coopératif avec des partenaires et le Digital Trust Expert Group. "Par analogie avec un label bio ou un tableau des valeurs nutritives, le label Digital Trust fonctionne comme un sceau de confiance pour le monde numérique", explique Doris Leuthard, présidente du conseil de fondation de SDI. "Avec cette liste de critères actualisée, le DTL est désormais compatible avec l'IA et comble l'écart actuel entre la demande croissante d'IA et l'évolution de la réglementation. Le DTL permet aux entreprises d'avancer dans l'utilisation de l'IA de manière fiable".

Catalogue de critères vérifiables

Le catalogue de critères actualisé sert non seulement de base aux certifications DTL, mais aussi de guide pour les organisations qui souhaitent exploiter le potentiel de l'IA de manière responsable et digne de confiance, tout en protégeant les utilisateurs finaux des services numériques basés sur l'IA. L'IA étant en constante évolution, la SDI publiera également d'autres guides. Grâce à cette extension, la DTL deviendra un outil important pour les fournisseurs de services numériques afin de maintenir et d'établir la confiance des utilisateurs, en particulier lorsqu'ils utilisent l'IA générative (GenAI). Face à la multiplication des réglementations à travers le monde et à la prolifération des principes, la DTL reste unique en ce qu'elle opérationnalise des valeurs et des principes abstraits dans un ensemble de critères vérifiables. Alors que les réglementations et les normes rattrapent leur retard, la DTL offre une solution qui améliore déjà la transparence pour les utilisateurs finaux des services numériques.

Celui qui veut profiter de l'IA doit être digne de confiance

Depuis sa création en 2020, la SDI s'intéresse déjà au thème de la confiance numérique, un thème dont l'importance s'accroît encore fortement avec l'IA. La question de la
La fiabilité des systèmes d'IA et l'intégrité des entrées et sorties de données freinent l'acceptation et attisent la méfiance des utilisateurs comme des entreprises. S'appuyant sur le catalogue de critères éprouvés de la DTL, les critères supplémentaires abordent spécifiquement les questions de confiance soulevées par l'IA et la GenAI. Le long des dimensions existantes du DTL - sécurité, protection des données, fiabilité et interaction équitable avec les utilisateurs - les critères spécifiques à l'IA mentionnent par exemple les obligations d'information et de transparence vis-à-vis des utilisateurs finaux, les procédures de gestion des risques, abordent les distorsions dans les systèmes algorithmiques et les considérations éthiques concernant les données d'entraînement.

Une solution pratique et pragmatique dans une période d'incertitude

Depuis la création de la Swiss Digital Initiative, cette fondation à but non lucratif basée à Genève travaille à la mise en pratique de principes éthiques et rassemble des experts, des praticiens et des fournisseurs de services numériques dans un processus collaboratif. Le Digital Trust Label place l'utilisateur final des services numériques au centre des préoccupations et fournit aux fournisseurs de services numériques un outil qui leur permet de communiquer clairement leur adhésion à des pratiques de confiance. Parmi les organisations qui ont déjà obtenu le DTL pour un service numérique, on trouve Cisco, Credit Exchange, Julius Bär, Kudelski IoT, OneLog, PeopleWeek, Swisscom, Swiss Post, Swiss Re, Tresorit, UNICEF et Wefox. Le DTL peut également faire l'objet d'une licence en tant que système d'audit opérationnel, ce qui représente une possibilité intéressante pour les entreprises qui souhaitent certifier la fiabilité des services numériques.

Source et informations complémentaires : Initiative numérique suisse

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/digital-trust-label-nun-auch-fuer-vertrauenswuerdige-ki/

Comment l'IA et le cloud façonnent l'avenir de l'assurance qualité

L'intégration de l'intelligence artificielle (IA) et des technologies cloud joue un rôle décisif dans l'optimisation de la gestion de la qualité et dans la prévention des erreurs. Nous présentons quelques-unes des principales tendances et la valeur ajoutée pour les utilisateurs.

Assurance qualité de l'IA
Les technologies d'IA permettent de faire des prévisions précises en analysant de grandes quantités de données et en détectant les erreurs à un stade précoce. (Image symbolique. Jakub Żerdzicki / Unsplash.com)

L'avenir de l'assurance qualité réside dans la numérisation. L'utilisation de l'IA permet d'automatiser des processus à multiples facettes, ce qui entraîne une augmentation de la qualité des produits et des services. Dans l'industrie en particulier, ces développements sont d'une grande importance pour optimiser les processus internes et garantir la satisfaction des clients à long terme.

Des prévisions précises grâce au soutien de l'IA

Les technologies d'IA permettent de faire des prévisions précises en analysant de grandes quantités de données et en détectant les erreurs à un stade précoce. Cela aide les entreprises à améliorer continuellement leurs normes de qualité. Dans le domaine de l'assurance qualité, l'IA contribue à la prévention des erreurs et reconnaît des modèles à partir desquels les défauts peuvent être rapidement identifiés et les éventuels défauts du produit final prédits. Ces prévisions de la qualité des produits et des processus basées sur les données permettent aux entreprises de se rapprocher de l'objectif de la "qualité prédictive". Grâce à la surveillance informatisée de tous les paramètres, il est possible d'identifier les défauts de qualité tout au long de la chaîne d'approvisionnement avant qu'ils n'apparaissent réellement.

Flexibilité et évolutivité grâce au cloud

Les systèmes de gestion des données et des documents (DMS) basés sur le cloud se distinguent par leur flexibilité et leur évolutivité. De nouveaux partenaires rejoignent à tout moment les processus de qualité tout au long de la chaîne d'approvisionnement, en toute simplicité et sans frais d'installation. L'environnement de données commun ainsi créé met en réseau toutes les informations importantes pour la qualité dans une "Single Source of Truth". Cela garantit que toutes les personnes concernées travaillent toujours avec la version actuelle dans toute l'entreprise. Un système intelligent de rôles et de droits veille à ce que seules les personnes autorisées aient accès aux données sensibles. Une communication réglementée et un échange d'informations transparent sont la base pour que les entreprises améliorent continuellement leur gestion de la qualité en utilisant des systèmes intelligents comme la qualité assistée par ordinateur (CAQ) ou la qualité prédictive.

L'utilisabilité comme facteur de réussite pour l'assurance qualité

Les entreprises misent de plus en plus sur les terminaux mobiles et les technologies de réalité virtuelle ou augmentée pour optimiser les processus de travail dans la gestion de la qualité. Les écarts peuvent être saisis directement au shopfloor via un appareil mobile ou un appareil VR/AR et être accompagnés d'informations supplémentaires. Une assistance IA dans la méthode de résolution des problèmes 8D aide par exemple à mettre en place des mesures immédiates et préventives appropriées ou à constituer l'équipe optimale pour la résolution des erreurs. Les mesures nécessaires sont attribuées et mises en œuvre de manière automatisée via des workflows numériques dans le DMS.

Optimiser les processus de qualité avec Low-Code

Les fonctions Low-Code et No-Code donnent aux départements spécialisés la possibilité d'adapter et d'optimiser de manière autonome les processus commerciaux et les masques de saisie. Un éditeur graphique BPMN 2.0 (Business Process Modelling Notation) et un concepteur de formulaires permettent aux collaborateurs de réagir de manière autonome à de nouvelles exigences sans connaissances en programmation et de les résoudre sans délai.

"De nombreuses entreprises utilisent déjà plusieurs logiciels hautement spécialisés pour différents domaines de la gestion de la qualité. Mais ces solutions isolées peuvent rarement être reliées entre elles. Il en résulte parfois des ruptures de médias et des taches aveugles dans la vision de la qualité", explique Andreas Dangl, directeur de Fabasoft Approve. "Avec notre système de gestion des données et des documents à part entière, nous concevons la gestion de la qualité de bout en bout tout au long de la chaîne de création de valeur. Grâce à notre technologie cloud native, l'infrastructure informatique existante peut être facilement connectée via des interfaces standard. Grâce à l'utilisation de l'IA, on obtient ainsi une vue à 360 degrés de la qualité".

Source et informations complémentaires : Fabasoft Approve

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/wie-ki-und-cloud-die-zukunft-der-qualitaetssicherung-gestalten/

Un besoin urgent de visions

Le nouveau moteur derrière la numérisation : le conflit de générations entre les nomades numériques et les natifs numériques. Les entreprises ont plus que jamais besoin d'une vision durable et numérique de leurs produits.

À propos de l'entreprise

En se concentrant sur des expériences clients intelligentes et en mettant l'accent sur le design, appmotion soutient les entreprises modernes dans le développement et l'optimisation de relations clients à long terme grâce à des expériences clients numériques uniques. L'entreprise "remote-first" se considère comme un conseiller stratégique global, un réalisateur et un intégrateur dans les processus de transformation numérique. L'entreprise, qui a reçu de nombreuses distinctions et certifications, fait partie du groupe germano-suisse MYTY depuis 2022.

S e nracinée depuis plus de dix ans en Allemagne et maintenant aussi à Berne, appmotion GmbH agit comme un partenaire solide pour les entreprises qui aspirent à une transformation numérique, en créant des applications centrées sur l'utilisateur, de la vision stratégique du produit à l'implémentation technique. Avec plus d'une décennie d'expérience, l'équipe sait pourquoi c'est précisément le moment décisif pour investir dans la numérisation : le clivage générationnel entre les natifs du numérique et les nomades du numérique crée désormais un conflit dans lequel les entreprises ne s'imposeront que si elles se distinguent aussi à l'avenir sur le marché par le numérique. Pour pouvoir rester durablement dans la course, il faut aborder le tout de manière stratégique avec des équipes interdisciplinaires.

Pourquoi il faut se dépêcher

La transformation numérique se présente désormais à nous avec une nouvelle urgence : la génération Z (née entre 1997 et 2012) exige la numérisation dans tous les secteurs. Elle ne fait pas seulement partie de la première génération de natifs du numérique, elle a désormais rejoint les rangs de la population active. Dans les années à venir, elle deviendra le groupe de population au pouvoir d'achat le plus élevé et contribuera donc à l'avenir à déterminer les besoins auxquels le marché devra répondre. En tant que première génération à avoir grandi et été socialisée avec les technologies numériques, elle a des exigences claires en matière d'applications numériques : Elles doivent être transparentes et centrées sur l'utilisateur. Alors que dans les entreprises, c'est la génération de leurs parents qui siège actuellement dans les conseils d'administration et les départements stratégiques, ce sont eux qui influencent l'orientation du marché. Le directeur d'appmotion, Lasse Gruner-Lüders, est convaincu que "la génération Z est désormais le moteur de la transformation numérique. Car seules les applications numériques de haute qualité sont réellement utilisées, ce qui augmente les taux de conversion, la fidélité à la marque et, à long terme, le chiffre d'affaires. Les entreprises qui ne suivent pas le mouvement maintenant perdront le contact à long terme".

Des partenariats solides, des stratégies intelligentes

La solution est évidente : investir dans la numérisation. Mais qu'est-ce que cela signifie ? Cette étape exige plus que des développeurs qui conçoivent un site web ou une application attrayants. Il faut une approche stratégique pour que les exigences de l'entreprise et des clients s'y retrouvent de manière authentique. Une application numérique est toujours un produit de l'entreprise, et pour que la numérisation soit vraiment réussie, il faut une vision durable du produit.

Pour cela, il faut un changement sur deux fronts : Les entreprises doivent reconnaître que les réalisations uniques ne fonctionnent pas, car les produits numériques doivent être développés en permanence pour rester pertinents. C'est pourquoi un partenariat à long terme avec des studios numériques est judicieux. Du côté des agences, un changement doit également avoir lieu. Elles doivent penser davantage en termes de solutions de produits qu'en termes de campagnes. En effet, pour pouvoir s'imposer à long terme sur le plan numérique, les stratégies à long terme doivent être planifiées et mises en œuvre de manière itérative afin de pouvoir réagir de manière flexible et rapide au marché. Cela ne fonctionne pas si les partenariats entre les agences et les entreprises sont à court terme et liés à des projets. Les connaissances nécessaires à l'innovation sont alors perdues.

Des unités numériques plutôt qu'une pensée en silo

"Grâce à nos projets, nous avons compris que les visions de produits numériques durables fonctionnent mieux avec des équipes interdisciplinaires et c'est pourquoi nous avons introduit le modèle des Digital Units. Les Digital Units sont de véritables powerhouses, car elles agissent comme des centres de force de l'innovation afin d'assurer le succès économique à long terme", explique Lasse Gruner-Lüders.

Les Digital Units rassemblent des compétences numériques au sein d'équipes interdisciplinaires afin de développer des solutions agiles et centrées sur le client, au-delà des frontières traditionnelles de l'entreprise. Toujours dans l'optique de créer des produits numériques durables qui résolvent de vrais problèmes et apportent une réelle valeur ajoutée. Cette étroite collaboration leur permet de réagir rapidement aux changements et de créer de nouveaux modèles et opportunités commerciaux pour les clients.

Les unités numériques contredisent l'hypothèse selon laquelle les produits numériques sont exclusivement mis en œuvre par des développeurs et ne jouent aucun rôle majeur dans le processus global. Comme les clients ne reconnaissent souvent pas cette erreur, il arrive régulièrement qu'ils collaborent avec différents prestataires de services et sous-traitants. La stratégie, le design et le développement sont alors confiés à des personnes différentes, qui n'ont souvent que peu de points de contact et travaillent en silos. Il en résulte un processus long et rigide, semblable au modèle obsolète de la cascade. Ce n'est pas dans l'air du temps, car avec une vision du produit correctement pensée, tous les corps de métier s'imbriquent sans problème et travaillent main dans la main de manière itérative. Les Digital Units permettent de créer des produits qui ne sont pas seulement technologiquement avancés, mais qui offrent également une expérience client optimale. Et cela devrait toujours être l'objectif d'un produit numérique.

Expérience, expérience, expérience !

Ce n'est pas une actualité, mais un appel pertinent que les entreprises doivent comprendre : L'utilisateur est toujours au centre. Customer Centricity est donc venu pour rester. Les entreprises doivent être en mesure d'identifier les besoins et les souhaits de leurs clients et de les intégrer de manière proactive dans le développement des produits. Ce n'est qu'ainsi que de nouvelles références pourront être établies dans le paysage numérique. "À une époque où les produits et les services sont de plus en plus homogénéisés, la capacité à se démarquer par une expérience utilisateur unique est cruciale. Les entreprises qui l'ignorent risquent de perdre leur pertinence", sait Lasse Gruner-Lüders.

La conception de l'expérience utilisateur (UX) permet d'atteindre cet objectif, car les produits orientés design ne sont pas un luxe, mais une nécessité. Le design UX veille à ce que les utilisateurs aient la meilleure expérience possible avec les applications numériques, car elles sont centrées sur l'utilisateur, intuitivement navigables et visuellement attrayantes, tout en promettant des performances élevées avec des interactions transparentes.

Des qualités qui sont particulièrement pertinentes en ce qui concerne la génération Z : De nombreuses entreprises ont encore un point aveugle dans ce domaine. Il y a différentes raisons à cela : La génération n'est pas encore considérée comme pertinente, le lien entre les besoins du groupe cible et ceux de l'entreprise n'est pas encore connu ou l'identification avec elle fait défaut. Pourtant, elle joue déjà un rôle porteur pour l'économie suisse. Environ 16 pour cent de la population fait partie de la génération Z et en 2022, environ 13 pour cent des actifs appartiendront à cette génération. Une proportion qui devrait augmenter dans les années à venir. En tant que groupe de consommateurs croissant, il est stratégiquement important de l'intégrer dans la stratégie commerciale, d'autant plus qu'il s'agit du groupe qui utilise le plus les applications numériques au quotidien.

C'est pourquoi une interaction directe avec le groupe cible est nécessaire dès les premières phases du développement de la vision du produit et de la conception UX. Pour cela, il faut utiliser systématiquement les données et le feedback direct des utilisateurs. La fidélisation de la clientèle est ainsi garantie par une adaptation constante aux besoins changeants des utilisateurs. Cela garantit que les utilisateurs reviennent toujours à l'application.

Se rapprocher encore plus des utilisateurs grâce aux synergies

Les bons produits numériques, centrés sur l'utilisateur, sont développés grâce à des collaborations inter-silos entre le marketing, le développement commercial et le développement de produits. C'est pourquoi la collaboration avec des agences de communication numérique est essentielle, car elles sont proches du groupe cible, connaissent ses besoins, observent l'évolution des tendances et établissent des liens entre la marque et le groupe cible.

Cette interaction est rendue possible par MYTY Group, dont appmotion fait partie depuis 2022. Le réseau international du groupe comprend 13 entreprises et plus de 800 experts dans des domaines tels que le web3, le commerce électronique, le marketing, la création et bien d'autres. Plus de 200 d'entre eux sont basés dans les villes suisses de Zurich, Bâle, Berne et Aadorf.

En Suisse, les projets appmotions sont notamment enrichis par la collaboration avec Sir Mary AG, qui, grâce à l'analyse des données et des groupes cibles ainsi qu'à l'utilisation de l'IA, offre entre autres de précieux aperçus sur les développements actuels et les nouvelles tendances. "De même que les bonnes campagnes reposent sur de solides insights des groupes cibles, les bons produits numériques placent l'utilisateur et ses besoins au centre de leurs préoccupations. La collaboration interdisciplinaire est ici absolument centrale. Une interaction optimale entre la communication et le produit peut s'avérer décisive face à la concurrence", explique Tino Elsener, Strategy Director et partenaire chez Sir Mary.

Cette approche interdisciplinaire n'est pas seulement vécue entre les deux équipes, mais s'étend à MYTY Digital Solutions. Elle se compose d'entreprises du groupe MYTY spécialisées dans la mise en œuvre de la transformation numérique de manière transparente et durable. Comme ce modèle fonctionne avec succès et qu'il permet d'assurer une croissance stratégique grâce à la numérisation, appmotion s'est également positionné comme partenaire technologique en Suisse depuis 2024.

"Seules les applications numériques de haute qualité seront utilisées".

"Les unités numériques réfutent l'hypothèse selon laquelle les produits numériques sont exclusivement mis en œuvre par des développeurs".

"La génération Z joue déjà un rôle important pour l'économie en Suisse".

Image : unsplash.com / and machines studios.
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Le groupe Eraneos nomme Stefan Tijsinger au poste de directeur financier

Le groupe Eraneos, entreprise internationale de conseil en technologie et en transformation numérique, a nommé Stefan Tijsinger au poste de Chief Financial Officer (CFO) et membre de la direction. Il aura pour mission d'accélérer la croissance rentable et l'internationalisation de l'entreprise.

Stefan Tijsinger
Oliver Vaterlaus (à gauche) avec Stefan Tijsinger, le nouveau CFO du groupe Eraneos. (Image : zVg / Eraneos)

Le groupe Eraneos est un groupe international de conseil en management et en technologie qui propose des services dans le domaine de la numérisation et de la transformation, du développement de la stratégie à sa mise en œuvre. Il est né de la fusion, annoncée en 2021, de Ginkgo Management Consulting, Quint Group et AWK Group. En 2022, DCP a rejoint le groupe et depuis 2023, SMP et Convalid font également partie du groupe. Le groupe s'occupe de clients sur trois continents et dispose de 1075 collaborateurs.

Soutenir la croissance

Le nouveau CFO du groupe est désormais Stefan Tijsinger. Il dispose d'une longue expérience dans les domaines de la finance, de l'informatique et de la numérisation et apporte une grande expertise dans le contrôle de gestion, la comptabilité, le risque et la conformité, la trésorerie et les fusions et acquisitions. Oliver Vaterlaus, CEO du groupe Eraneos, déclare à propos du nouveau venu : "Eraneos poursuit sa croissance et la collaboration entre les différentes sociétés nationales ne cesse d'augmenter. Le profil de Stefan Tijsinger convient parfaitement à Eraneos et à notre orientation stratégique. Il dispose non seulement d'une grande expérience en tant que CFO, mais aussi d'une connaissance approfondie de la manière de gérer un groupe de conseil international afin d'en tirer un maximum d'avantages pour le client. Je suis convaincu qu'il sera un précieux complément à notre équipe".

Longue expérience dans le secteur du conseil

Stefan Tijsinger succède à Uwe Schiller, qui a rejoint Eraneos en janvier 2022 et a depuis mis en place une organisation financière internationale pour l'entreprise. Schiller assistera Stefan Tijsinger pendant une phase de transition et quittera Eraneos le 30 septembre 2024 à sa propre demande.

Stefan Tijsinger - qui a toujours travaillé dans le secteur du conseil - était dernièrement actif chez Xebia, où il occupait le rôle de Group CFO. Il avait déjà rejoint l'entreprise en 2016 en tant que CFO de Xebia Consultancy Services. Il était notamment responsable de la mise en place d'une organisation financière globale, des plans financiers stratégiques, des activités de fusion et d'acquisition, des relations avec les investisseurs ainsi que des domaines juridique et Risk & Compliance.

Source et informations complémentaires

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/eraneos-group-ernennt-stefan-tijsinger-zum-cfo/

Après 20 ans d'existence : Nouvelle image de marque pour la région de vacances de Flims-Laax-Falera

La région de vacances grisonne de Flims Laax Falera revient à une stratégie de marque unique - et mise désormais sur "Flims Laax" au lieu de "Flims" et "Laax". Auparavant, elle avait déjà essayé de le faire avec "Alpenarena".

Flims Laax
Image : JProducer ; Unsplash.

Après près de 20 ans, la région de vacances grisonne de Flims Laax Falera change d'image de marque. Alors que la destination de la Surselva se présentait jusqu'à présent sous les deux marques "Flims" et "Laax", elle s'appelle désormais uniquement "Flims Laax".

"Les deux marques suivent ainsi la perception qui va de soi depuis longtemps pour le client : Flims Laax est une destination", a fait savoir lundi l'organisation touristique des trois villages de vacances. Ensemble, les deux marques sont plus fortes que chacune d'entre elles. Avec cette stratégie de marque unique, la région de vacances veut se positionner comme une destination valable toute l'année. La nouvelle marque de destination ne doit pas seulement avoir un effet touristique, mais aussi établir la région comme un espace de vie et de travail attractif et moderne.

Retour à une stratégie de marque unique

Avec sa stratégie de marque unique, l'organisation touristique ne réinvente toutefois pas la roue. Jusqu'en 2005, la région de vacances se présentait sous la marque "Alpenarena". Des études de marketing ont cependant montré que cette appellation ne pouvait pas être positionnée en tant que marque ni être suffisamment connue.

Il est également apparu à l'époque que les clients d'été n'étaient pas les mêmes que ceux d'hiver. La région a alors opté pour deux marques. L'offre hivernale a été positionnée sous la marque "Laax". "Flims" est devenu le nom générique des vacances et des loisirs d'été. (ats)

La fondation Brändi fait peau neuve avec A4

La fondation Brändi se dote d'une nouvelle image de marque : pour cela, l'agence A4 a développé un concept global de corporate design. Les pièces maîtresses sont le nouveau logo et le nouveau slogan : Brändi. Rendre plus possible.

Brändi InclusionBeaucoup de gens connaissent Brändi grâce au jeu culte "Brändi Dog". Mais peu de gens le savent : Brändi est la plus grande institution suisse pour l'inclusion des personnes handicapées. Aujourd'hui, plus de 2000 personnes travaillent et vivent dans la fondation. Afin d'assurer le succès de l'institution à l'avenir également, la direction a lancé un vaste processus de développement stratégique.

La nouvelle identité visuelle est un élément important de ce processus : elle doit rendre la nouvelle orientation visible et perceptible pour tous. Elle a été développée par l'agence A4, un prestataire de services complet de Rotkreuz. Le nouveau logo symbolise subtilement le thème de l'inclusion avec la ligature dans la police de caractères. L'arc de cercle qui en découle est un élément central du design. Le nouveau slogan "Mehr möglich machen" (rendre plus possible) doit résumer le message de la nouvelle orientation : Brändi reconnaît et réalise les potentiels des personnes et surmonte les prétendues limites.

Film stratégique pour le lancement

Pour l'événement interne de lancement, l'agence A4 a conçu et produit un film stratégique accompagné d'un flyer. Actuellement, l'agence travaille sur différentes réalisations - de la nouvelle conception des emballages de produits alimentaires et de jeux à l'extension du screendesign du site web, en passant par les annonces, les affiches et les brochures.


Responsable chez Brändi : Marcel Hossli (président de la direction), Matthias Moser (directeur du marketing et de la communication), Karin Strik (directrice du marketing et des ventes des produits Brändi). Responsable à l'agence A4 : Patrik Frei (direction), Nicole von Wartburg (conception, texte), Simone Amrein (conception, design), Larissa Schelbert (conseil, direction de projet), Brigitte Frei (texte).

Industrie pharmaceutique : rendements croissants dans le domaine de la recherche et du développement

L'année dernière, l'industrie pharmaceutique mondiale a de nouveau obtenu des rendements plus élevés que l'année précédente dans le domaine de la recherche et du développement (R&D). C'est ce qui ressort de l'analyse annuelle des 20 plus grandes entreprises pharmaceutiques mondiales réalisée par le cabinet d'audit et de conseil Deloitte.

Industrie pharmaceutique
L'industrie pharmaceutique tire à nouveau un meilleur profit de sa recherche et de son développement dans le monde entier. (Image : Glsun Mall / Unsplash.com)

Le rendement de l'innovation dans le domaine de la recherche et du développement (R&D) des 20 plus grandes entreprises pharmaceutiques mondiales est passé à 4,1 pour cent en 2023. Après le niveau bas record de 1,2 pour cent en 2022, il s'agit d'une évolution réjouissante, comme le montre la dernière étude pharmaceutique du cabinet d'audit et de conseil Deloitte. Cela indique une reprise des rendements, largement à la baisse depuis plus de dix ans, poursuit le rapport. La seule grande augmentation de la productivité (6,8%) a été enregistrée en 2021 suite à l'autorisation rapide et à l'approbation d'urgence de médicaments suite à la pandémie COVID-19. "L'évolution positive actuelle est tirée par de nouveaux domaines de recherche comme la gestion durable du poids, la maladie d'Alzheimer et les vaccins à ARNm pour la protection contre d'autres maladies infectieuses", explique Alexander Mirow, responsable du conseil en sciences de la vie chez Deloitte Suisse.

L'industrie pharmaceutique investit à nouveau davantage dans la R&D

Les investissements financiers absolus dans la recherche et le développement ont également augmenté. Au cours de l'exercice 2023, les 20 premières entreprises pharmaceutiques mondiales ayant les dépenses de recherche les plus élevées - dont font partie les deux groupes pharmaceutiques suisses Novartis et Roche - ont investi 145 milliards de dollars US dans leur R&D, ce qui correspond à une augmentation de 4,5 % par rapport à l'année précédente. Dans ce contexte, les coûts moyens de R&D pour le développement d'un médicament - de l'identification de la substance active au lancement sur le marché - sont restés constants, à 2,3 milliards de dollars. Le pic de chiffre d'affaires prévu pour un médicament est passé de 389 millions de dollars en 2022 à 362 millions de dollars en 2023.

Selon la dernière étude pharmaceutique de Deloitte, l'augmentation globale des coûts dans le domaine de la R&D est due à plusieurs facteurs, notamment à des exigences plus complexes en matière d'études, à des changements réglementaires tels que l'Inflation Reduction Act (IRA) aux États-Unis et aux effets de l'inflation. Selon l'étude, il n'est et ne sera pas facile d'améliorer la productivité dans la recherche et le développement pharmaceutique : l'efficacité (coûts) et la création de valeur (chiffre d'affaires) doivent s'équilibrer, mais dépendent chacune de nombreux facteurs.

Rendement (en pourcentage) des investissements dans la recherche et le développement depuis 2013. (Graphique : Deloitte)

La productivité toujours sous pression

Malgré l'augmentation des rendements, le modèle commercial actuel de l'industrie pharmaceutique reste soumis à une pression considérable, poursuit Deloitte. "Diverses modifications réglementaires actuellement en cours, la perte imminente et sans précédent de l'exclusivité des médicaments de haute qualité et l'augmentation des coûts d'approvisionnement maintiennent la pression sur les entreprises pharmaceutiques. Les progrès scientifiques rapides, la complexité croissante des études cliniques et l'augmentation des coûts des diagnostics constituent d'autres défis", explique Alexander Mirow. Selon lui, les dix dernières années ont montré que le changement basé sur la technologie dans la recherche pharmaceutique et le développement de thérapies est nécessaire si les entreprises pharmaceutiques leaders veulent inverser la tendance à la baisse des rendements qui dure depuis des décennies, tout en étant en mesure de continuer à fournir des innovations aux patients.

La réglementation freine l'innovation

Selon l'association suisse des entreprises pharmaceutiques pratiquant la recherche Interpharma, dont font également partie Roche et Novartis, le secteur réinvestit environ 15 pour cent de son chiffre d'affaires directement dans la recherche et le développement de nouveaux produits. En moyenne, il faut jusqu'à douze ans pour que toutes les données nécessaires à l'autorisation de mise sur le marché soient disponibles pour les autorités et que celles-ci puissent ensuite prendre une décision.

Malgré l'augmentation des coûts de R&D, c'est l'évolution de plus en plus rapide des règles ainsi que les nouvelles exigences réglementaires qui préoccupent encore plus les cadres interrogés dans le cadre de cette étude. Comme le montre l'étude pharmaceutique de Deloitte, la moitié des programmes de développement clinique en 2023 concernaient des thérapies complexes, telles que les thérapies cellulaires et géniques. Ces thérapies inédites posent de nouveaux défis aux autorités de réglementation et aux entreprises pharmaceutiques, car elles augmentent la complexité des essais cliniques, de la fabrication des médicaments et des chaînes d'approvisionnement.

Les entreprises manquent d'une stratégie d'IA à long terme

Les dirigeants pharmaceutiques interrogés sont convaincus que l'intelligence artificielle peut accélérer le développement de ces thérapies. L'introduction à grande échelle de l'IA générative pour le traitement de grandes quantités de données structurées et non structurées est considérée par beaucoup comme un tournant potentiel dans le domaine de la recherche et du développement. En effet, le recrutement des patients et la gestion des données font partie des plus gros générateurs de coûts dans les essais cliniques et sont actuellement les domaines où l'utilisation de l'IA semble la plus prometteuse.

Les personnes interrogées dans l'industrie pharmaceutique voient également un grand potentiel pour l'utilisation de l'IA dans le recrutement et la fidélisation des volontaires dans le cadre d'études cliniques. La technologie peut améliorer l'expérience des patients, accélérer la mise sur le marché des médicaments et réduire les coûts de production, constate l'étude. Toutefois, ces efforts d'amélioration de l'efficacité n'en seraient qu'à leurs débuts : "Malgré des investissements importants dans l'intelligence artificielle, de nombreuses entreprises pharmaceutiques n'ont pas encore pleinement réfléchi au potentiel de cette technologie et ne l'ont pas mise à l'échelle. La raison en est que la plupart des entreprises n'ont pas encore de stratégie cohérente et claire pour leurs investissements dans l'IA et la numérisation et se concentrent souvent sur les premiers essais pilotes pour des objectifs opérationnels à court terme. De plus, l'environnement et les possibilités de l'IA évoluent à une vitesse fulgurante et il est difficile de rester à l'avant-garde", résume Alexander Mirow.

Source : Deloitte

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/pharmaindustrie-steigende-renditen-im-bereich-forschung-und-entwicklung/

Les marques allemandes misent désormais elles aussi sur Refluenced

Avec une campagne en ligne, une présence au salon OMR et un deuxième tour de financement réussi, la plateforme d'influence suisse "Refluenced" s'étend à grands pas en Allemagne.

Expansion par reflux
Refluenced à l'OMR à Hambourg : Quirin Hasler, Luca Eberhardt, Anke Heyser, Jonas Holzer et Carmen Würth (de g. à dr.). (Image : zVg.)

Sur le site Entretien avec Werbewoche.ch Refluenced a été qualifiée de Tinder pour les entreprises et les influenceurs. Mais la startup zurichoise veut faire bien plus que mettre en relation les entreprises et les influenceurs : "Refluenced s'est donné pour mission de simplifier le processus de marketing d'influence pour toutes les parties concernées, tout en favorisant de meilleurs résultats", explique Quirin Hasler, cofondateur et CEO.

Selon Refluenced, l'intérêt pour la plateforme d'influence en Allemagne serait déjà là : La Master Class à l'OMR 2024 avec Foundry a affiché complet en très peu de temps, malgré l'apparition simultanée de Kim Kardashian. Les marques, les influenceurs et les agences se sont vus proposer des aperçus, des défis et des solutions en matière de micro-influence.

Il s'agit surtout de la tendance du nano- et du micro-influenceur, qui progresse rapidement. "Se concentrer sur les créateurs ayant environ 1'000 à 30'000 followers favorise un contenu créatif et plus authentique, car les influenceurs ayant un nombre de followers relativement faible sont souvent plus engagés, plus crédibles et ont un impact local plus important", explique Jonas Holzer, co-fondateur de Refluenced. "En même temps, un budget qui aurait traditionnellement suffi pour une seule collaboration peut avoir plus d'impact à long terme s'il est réparti entre plusieurs créateurs".

Fondée en 2022, cette plateforme de nano- et micro-influenceurs, pilotée par les données, permet aux marques et aux agences de gérer le processus jusqu'à la diffusion réussie du contenu, y compris le reporting, via un outil simple. Ce faisant, ce sont les influenceurs qui postulent auprès des marques sur Refluenced - et non l'inverse : "En postulant aux collaborations qui se sentent authentiques et motivantes, les influenceurs créent un contenu plus convaincant. Un gagnant-gagnant pour les deux parties", explique Quirin Hasler.

Dès l'automne 2023, Refluenced a lancé sa propre campagne pour marquer le début de son expansion en Allemagne. Elle a été soutenue par l'agence Foundry, qui est également l'investisseur de la start-up.

Pour son entrée sur le marché allemand, Refluenced vient d'obtenir son deuxième tour de financement. "Nous avons terminé l'exercice 2023 avec succès et avons connu une poussée de croissance significative au premier trimestre 2024. Le financement obtenu nous permet de poursuivre notre expansion en Allemagne plus rapidement que prévu initialement", explique Hasler.

Le financement d'environ un million de francs suisses est mené à la fois par des investisseurs existants et par de nouveaux investisseurs, notamment Anja Graf, connue de l'émission "Höhle des Löwen", et Thomas Brändle, président de Swiss FinTech.

Au fait, que signifie... "cocos" ?

Dans sa chronique "Que signifie en fait... ?", Benno Maggi se penche sur des termes utilisés dans le domaine du marketing et de la communication. Cette fois-ci, il traite du terme "commis".

Signification moderne

Ce raccourci était déjà mignon pendant la guerre froide. Même si les cocos étaient les méchants à l'époque. Et ils le sont toujours aujourd'hui. A l'époque, les cocos étaient synonymes de communistes. Aujourd'hui, il n'y en a presque plus. Et ceux qui existent encore vivent et agissent dans des pays lointains et exotiques. Pourtant, le mot est redevenu très populaire. Mais avec une autre signification et une autre origine.

Aujourd'hui, les comms ne sont pas des croyants d'une idéologie politico-économique basée sur l'abolition de la propriété privée et la création d'une société sans classes, dans laquelle les biens sont détenus en commun et répartis en fonction des besoins. Aujourd'hui, le terme de "commis" désigne principalement les champs qui, dans les médias numériques, incitent les lecteurs à exprimer publiquement leur opinion par une petite bulle de langage chaleureuse en fin d'article. Et ils sont le capital des participants dans les médias sociaux. Plus j'en ai sous mon post, mieux c'est. Contrairement aux anciens commentaires, il y a les bons et les méchants. Les bons sont ceux qui, sur LinkedIn notamment, donnent le sentiment d'être soi-même totalement infructueux face à tant de succès postés. Les pré-conçus, comme les commentaires : Well done ! Félicitations ! Continuez comme ça ! Fantastique ! Mais aussi des commentaires faits maison, un peu plus détaillés, qui entraînent la libération d'endorphines et donc un sentiment d'euphorie ou de bien-être. Les méchants sont ceux qui sont postés avec une agressivité débridée et qui, souvent, incitent aussi les successeurs à perdre toute décence.

Mieux vaut pas de comi que des comi méchants

La prochaine fois qu'ils s'énerveront parce que leur message n'a pas été commenté sur les médias sociaux, ils se consoleront en se disant que cela pourrait être pire. Bien que dans la vie réelle, l'ignorance soit une punition maximale, elle est salutaire sur les médias sociaux. Ce qui reste sans commentaire génère moins d'attention. C'est pourquoi nous devrions nous abstenir d'ajouter dans les posts l'invitation "écrivez-le dans les commentaires". Et encore moins de croire que nous pouvons changer quoi que ce soit avec nos commentaires. Nous laissons cette prétention aux communistes, qui aspirent souvent à une transformation révolutionnaire de la société afin de parvenir à la création d'une société sans classes. Car si tout le monde peut tout rendre public, plus personne n'écoute personne. La situation est différente pour les opinions et pour le capital. En d'autres termes, les méchants deviennent soi-disant les bons, mais restent malgré tout les méchants.


Benno Maggi est cofondateur et CEO de Partner & Partner. Il écoute depuis plus de 30 ans dans le secteur et découvre ainsi pour nous des mots et des expressions qui peuvent être utilisés soit pour small talk, soit pour faire l'important, soit pour s'énerver, soit pour jouer au Scrabble, soit tout simplement pour le plaisir.

Voici le top des marques de vente au détail pour les parents suisses

Une enquête récente de YouGov montre quelles marques de détail sont particulièrement appréciées par les parents suisses. Chez les mères, c'est Migros qui se mêle de tout, chez les pères, c'est l'eau-de-vie de fromage Gruyère AOP.

Classements des parents en Suisse
(Graphiques : YouGov)

Le 12 mai, c'est la fête des mères en Suisse, le 2 juin la fête des pères - il est donc bon de savoir quelles marques marquent vraiment des points auprès des destinataires des cadeaux. Pour le savoir, YouGov s'est penché de plus près sur l'industrie du commerce de détail et des biens de consommation et a cherché à savoir quelles marques s'en sortaient le mieux aux yeux des mamans et des papas en Suisse.

Migros plus appréciée que Coop par les parents suisses

Chez les mères, le top 3 est occupé par les marques Migros (score de 57,4), Gruyère AOP (52,6) et Zweifel (49,9), tandis que chez les hommes, le Gruyère AOP occupe la première place (53,3), suivi par Galaxus (52,6) et à nouveau Zweifel (51,9).

Alors que de nombreuses marques de biens de consommation se classent dans le top 10 pour les deux sexes, les deux marques Galaxus et Digitec.ch occupent des positions nettement plus élevées chez les pères. Si l'on regarde les détaillants stationnaires, on remarque que Migros occupe des places élevées des deux côtés (1ère place chez les mères et 4ème place chez les pères), tandis que son concurrent direct Coop se trouve à la 7ème place chez les mères et manque de peu le top 10 chez les pères avec sa 11ème place.

Top 10 des marques de vente au détail parmi les mères.

Préférences spécifiques au genre

Les différences entre les sexes sont particulièrement marquées chez Digitec.ch, par exemple. Le commerçant en ligne obtient un score de 48,8 pour les pères (5e place) et de 32,8 seulement pour les mères (30e place). La situation est inversée pour la marque de biscuits Blévita, qui obtient un score de 40,5 chez les mères (11e place) et seulement un score de 26,8 chez les pères (39e place).

Top 10 des marques de vente au détail parmi les pères.

Les résultats Classement des parents 2024 : Retail pour la Suisse se basent sur plus de 13'000 interviews en ligne réalisées par YouGov entre le 01.04.2023 jusqu'au 31.03.2024 par marque pour le YouGov Swiss Brand Observer représentatif de la population suisse âgée de 15 ans et plus. Pour le classement, les déclarations de femmes et d'hommes en Suisse âgés de 30 à 59 ans avec des enfants de moins de 20 ans dans leur propre foyer ont été évaluées. La valeur de l'indice ou la valeur en points d'une marque représente son score moyen sur six dimensions d'évaluation différentes : Perception globale positive, qualité, rapport qualité-prix, satisfaction du client, disposition à recommander la marque et confiance en la marque. Pour ce classement, seules les marques du commerce de détail et de l'industrie des biens de consommation suivies par YouGov Swiss Brand Observer ont été analysées.

Nouvelle direction pour Lenk-Simmental Tourisme

Helena Galanakis reprend la direction de Lenk-Simmental Tourismus LST. Cette experte en tourisme aux origines bavaroises et grecques succède à Albert Kruker, qui quitte LST après douze ans pour prendre ses nouvelles fonctions de directeur de Davos Klosters Tourismus.

Tourisme de Lenk-Simmental
(Image : zVg.)

LST met en œuvre une nouvelle stratégie qui prévoit notamment d'étendre la saisonnalité à 300 jours par an. Pour y parvenir, les efforts de vente seront étendus et un ensemble de mesures sera planifié, écrit l'organisation touristique. "Pour que cette stratégie ambitieuse puisse être mise en œuvre avec succès, il faut quelqu'un qui allie passion et professionnalisme", explique Lukas Eichenberger, président désigné du CA. "Helena Galanakis incarne parfaitement ces qualités".

"L'office du tourisme de Lenk-Simmental est pour moi l'incarnation de la culture alpine suisse vécue, associée à des coutumes traditionnelles et à une offre touristique attrayante. La nouvelle stratégie de destination est l'occasion d'organiser la destination de manière orientée vers l'avenir, en collaboration avec l'équipe de LST et les partenaires de prestations sur place", déclare la nouvelle directrice.

Helena Galanakis possède une solide expérience dans le domaine de la gestion des destinations. Pendant de nombreuses années, elle a travaillé dans le marketing urbain de Goslar, ville du nord de l'Allemagne inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO, puis comme responsable du secteur marketing urbain à Constance, au bord du lac de Constance. En Suisse, elle a travaillé dans une agence de relations publiques spécialisée dans le tourisme. Dernièrement, elle était responsable du marketing et de la communication au sein de la direction du Casinotheater de Winterthur. Helena Galanakis prendra ses fonctions début juillet 2024, après avoir été formée par Albert Kruker.

Evoq avec brand refresh pour Fritschi Swiss Bindings

L'agence zurichoise Evoq a revu l'image de marque du fabricant suisse de fixations de ski de randonnée Fritschi.

Fritschi Swiss Bindings

Dans le cadre du vaste brand refresh pour Fritschi Swiss Bindings, Evoq a élaboré un système de design performant visant à rapprocher la marque et le produit et à créer une expérience de marque unique.

Un positionnement élaboré en collaboration avec Fritschi a servi de base. Sur un marché dominé par des méga-joueurs internationaux, l'entreprise accorde la plus grande importance à la sécurité et à la qualité, afin d'offrir aux skieurs de randonnée du monde entier une expérience de randonnée sans souci. Fritschi ne veut "rien de moins" que créer l'alliance parfaite entre l'homme et le ski. Le slogan "Expect nothing less" résume bien cet engagement.

Système de conception flexible

L'image de marque met des accents forts sur la communication. Le "Fritschi X-Label" nouvellement créé communique la qualité suisse et le déclenchement sûr en cas de chute. Le label doit ainsi être synonyme de sécurité et de performance optimales en terrain alpin. Il est complété par d'autres éléments de conception modulaires. Il en résulte une identité visuelle qui met en scène les messages de manière efficace et permet à Fritschi de communiquer de manière efficace et flexible sur tous les Touchpoints.


Responsable chez Fritschi Swiss Bindings : Simon Weiler (responsable du marketing). Responsable à l'agence Evoq : Adrian Schaffner (direction du mandat) ; Susanne Pfäffli (direction de la création et texte) ; Markus Wohlhüter (direction artistique) ; Martin Bettler (graphisme).

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