La nouvelle solution de Converto doit permettre un impact maximal dans le marketing en ligne B2B

Converto propose une nouvelle approche aux décideurs d'entreprise qui recherchent des solutions efficaces dans le domaine du marketing en ligne B2B. La solution "Converto B2B Targeting" vise à relever de manière ciblée les défis de la publicité en ligne dans le secteur des entreprises.

Ciblage B2B de Converto

Avec le nouveau ciblage B2B de Converto, les entreprises ont désormais la possibilité d'aborder leurs clients professionnels de manière ciblée et efficace, tout en respectant la protection des données, en minimisant les pertes de diffusion et en optimisant efficacement les budgets marketing.

Le marketing en ligne B2B est confronté à de nombreux défis. Des décisions d'achat complexes, des groupes cibles exigeants et la nécessité d'instaurer la confiance ne sont que quelques-uns des obstacles auxquels les entreprises doivent faire face. C'est là qu'intervient le ciblage B2B de Converto. L'objectif de la solution est de sensibiliser les clients commerciaux aux services et aux produits, d'acquérir de nouveaux clients, de renforcer la perception de la marque - et bien sûr d'augmenter les ventes.

Le cœur de la solution est le ciblage B2B spécifique, qui cible la publicité en fonction du type d'entreprise, du titre professionnel, de la taille de l'entreprise, des branches, du siège, du pays et de la région. Il en résulte une approche ciblée qui atteint les décideurs concernés tout en minimisant les pertes de diffusion.
Le ciblage B2B de Converto peut être combiné de manière transparente avec une multitude de solutions publicitaires et d'autres ciblages. De la 3D augmentée pour des présentations de produits impressionnantes en 3 dimensions à la diffusion d'annonces dynamiques avec vidéo, affichage et annonces natives. De même, les services peuvent être représentés de la manière la plus variée possible et offrent donc à chaque entreprise une voie adaptée à la publicité en ligne.

En plus du suivi standard, Converto propose un suivi avancé complet. Les entreprises peuvent ainsi suivre quelles entreprises concrètes s'intéressent à leurs offres, ce qui permet une adaptation optimisée des stratégies de marketing.

Bienvenue à la joie de vivre : Pinktank élabore un rebranding pour les établissements Wenger

La pénurie de personnel qualifié touche de plein fouet le secteur des soins. Les établissements de Wenger cherchent eux aussi à recruter de nouveaux travailleurs. Pinktank a créé pour l'entreprise une différenciation unique et distinctive.

Wenger Betriebs AG

Depuis plus de 35 ans, le métier de Wenger Betriebs AG se concentre sur l'encadrement et les soins professionnels des personnes âgées. Ces dernières années, l'organisme responsable de six institutions pour personnes âgées et de soins dans les cantons de Berne et de Zurich a ressenti la forte pression de la pénurie de personnel qualifié. Comment réussir à attirer les talents ? Et comment réussir à s'adresser à la fois aux professionnels et aux résidents ? Il est clair qu'un nouveau positionnement est nécessaire.

Plus facile à dire qu'à faire, car outre les multiples groupes cibles, la nouvelle communication doit refléter le niveau tactique tout en étant adaptable aux différents sites. Pinktank a soutenu l'entreprise dans l'élaboration de l'ADN comme signe d'identification et dans l'élaboration de la nouvelle communication.

Le travail créatif commun a donné naissance à une nouvelle histoire avec le message "Bienvenue à la joie de vivre". La nouvelle histoire a été mise en œuvre visuellement par des gestes des membres de l'équipe et des résidents. En partant du signe de la main "high five", divers gestes avec des messages variés ont été visualisés lors d'une séance photo. Les différentes mains doivent en même temps symboliser la diversité et l'individualité des établissements Wenger.

Résultat : le matériel visuel est utilisé pour divers nouveaux moyens de communication, comme le site web, et présente Wenger Betriebs AG dans un nouveau design unique. Grâce à cette stratégie de communication, l'entreprise se démarque clairement dans le secteur et surprend par sa présentation fraîche et audacieuse.


Responsable chez Wenger Betriebs AG : Martina Zweiacker (direction). Responsable chez Pinktank : Cordelia Hagi (responsabilité générale), Rolf Kleeb (direction de projet).

Les outils de durabilité doivent produire des rapports complets

Selon une étude sur le développement durable et l'informatique, trois entreprises sur quatre attendent d'un outil de développement durable qu'il établisse l'intégralité du reporting. La pression réglementaire croissante - par exemple l'obligation d'établir un rapport sur la durabilité - exige davantage d'automatisation.

Outils de développement durable
Moritz Röder de Lufthansa Industry Solutions voit encore un grand potentiel d'optimisation dans les outils de durabilité, surtout pour l'établissement de rapports. (Image : Lufthansa Industry Solutions)

Dans un nombre croissant de pays, le reporting sur le développement durable deviendra obligatoire, en particulier pour les grandes entreprises. Pour de nombreuses entreprises, cela accroît la pression d'agir. En effet, les sources de données hétérogènes, la qualité insuffisante des données et les exigences réglementaires complexes représentent un défi de taille qui ne peut être relevé qu'avec les outils appropriés et un degré d'automatisation élevé. Jusqu'à présent, de nombreuses entreprises misent encore sur les moyens embarqués des grands fournisseurs de logiciels et de cloud, laissant ainsi un grand potentiel d'optimisation, comme le montre l'actuel "IT & Sustainability - Index de maturité 2023". Pour cette étude, le cabinet d'études de marché PAC a interrogé, à la demande de Lufthansa Industry Solutions, 150 décideurs informatiques et commerciaux de l'industrie automobile, de l'industrie manufacturière et du secteur logistique.

Les outils de durabilité sur la liste de souhaits de nombreuses entreprises

"Pour répondre aux exigences réglementaires en matière de reporting sur le développement durable, les entreprises doivent collecter, analyser et traiter de nombreuses données. Effectuer ces tâches manuellement demande non seulement trop de temps et de personnel, mais est également très source d'erreurs", explique Moritz Röder, Associate Director Supply Chain Management & Sustainability chez Lufthansa Industry Solutions (LHIND). Pour le "IT & Sustainability - Indice de maturité 2023" le LHIND a donc déterminé un sous-indice pour le domaine "Tooling". Ce sous-indice tient compte du fait que les entreprises établissent leur rapport de durabilité à l'aide d'outils et de manière automatisée, qu'elles procèdent à une évaluation des risques de leurs fournisseurs et qu'elles utilisent des outils à cet effet. Sur une échelle de "0" (immature) à "10" (mûr), l'indice partiel a atteint une valeur de 6,4. "L'indice montre que les entreprises se préoccupent déjà intensivement du thème de la durabilité et des outils nécessaires à cet effet", explique Röder, expert en développement durable.

Et que doit faire un tel outil du point de vue des entreprises ? Outre le calcul de l'empreinte carbone (93 pour cent), 82 pour cent des personnes interrogées souhaitent un soutien pour les décisions d'achat durables et 78 pour cent souhaitent que le reporting complet sur la durabilité soit établi. Pour 70 pour cent, il est important de saisir le statu quo afin de pouvoir améliorer la durabilité et 61 pour cent attendent une approche globale des KPI financiers et de durabilité.

Seules 15% des entreprises ont automatisé leur reporting sur la durabilité

Jusqu'à présent, une entreprise sur deux interrogée dans le cadre de l'étude établit déjà un rapport de durabilité, que ce soit volontairement ou par obligation légale. Quatre entreprises sur dix s'en acquittent encore manuellement et sont assistées à des degrés divers par un outil de reporting. 44 % des entreprises établissent déjà leur rapport de manière au moins partiellement automatisée. Elles utilisent souvent des outils de suivi de la durabilité qui font partie du portefeuille de logiciels de grands fournisseurs de logiciels ou de cloud computing et qui sont déjà bien établis dans l'entreprise. Mais seulement 15 pour cent des entreprises automatisent déjà en grande partie l'établissement des rapports. Moritz Röder : "Contrairement à ce que l'indice partiel laisse supposer à première vue, il existe donc encore un potentiel d'optimisation considérable dans ce domaine".

Il en va de même pour l'évaluation des risques des fournisseurs. Deux tiers (67%) des entreprises effectuent déjà aujourd'hui une évaluation des risques liés à la durabilité de leurs fournisseurs, 26% supplémentaires ont prévu de le faire. Moins d'un tiers de ces entreprises ont jusqu'à présent largement automatisé ce processus. Contrairement au monitoring de la durabilité, des outils spécialisés sont généralement utilisés pour l'évaluation des chaînes d'approvisionnement. Le conseiller de LHIND, M. Röder, explique : "Pour améliorer leur propre niveau de maturité et faire progresser l'automatisation, les entreprises n'ont pas besoin d'un bouquet d'outils différents, mais d'une source unique de vérité sur les données. Un outil qui les guide pas à pas dans le reporting tout en assurant la transparence de la chaîne d'approvisionnement".

Solution basée sur le cloud sur le marché

Pour éviter les mauvaises surprises lors de la mise en œuvre de l'outil, les entreprises devraient en outre veiller, lors de son choix, à ce qu'il soit en accord avec la gouvernance des processus ainsi qu'avec les directives de reporting et qu'il puisse être adapté aussi bien aux exigences du domaine financier qu'aux futures structures organisationnelles. "Si ces conditions sont remplies, un tel outil permet en fin de compte une gestion de la durabilité basée sur les données, dont les entreprises ont besoin pour atteindre leurs objectifs climatiques", conclut Moritz Röder.

LHIND a donc développé EPACTO (ESG Performance Accounting Tool), une solution basée sur le cloud, qui constitue le cœur numérique de la gestion de la durabilité. EPACTO rassemble toutes les données pertinentes, calcule à partir de celles-ci la performance actuelle de l'entreprise en matière de durabilité et indique une voie de développement vers les limites de charge planétaire. 

Source : www.lufthansa-industry-solutions.com

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/nachhaltigkeits-tools-sollen-komplette-reportings-erstellen/

Coop et Kreisvier apportent l'ambiance de Bangkok à Biel-Bienne

Début juin, le restaurant "Thai Street", un concept gastronomique autonome de Coop, a ouvert ses portes au Centre Gare de Biel-Bienne. Kreisvier a été responsable du branding.

Rue thaïlandaise

"Celui qui mange au Thai Street doit avoir l'impression de se trouver au milieu de la Thaïlande", telle était l'exigence posée à la nouvelle offre de restauration, selon Fritz Gerber, responsable régional de la gastronomie Coop pour la région nord de Berne. Kreisvier a également poursuivi cet objectif lors du développement de la nouvelle image de marque. En accord avec l'authenticité gustative des plats au curry, des soupes de nouilles et des grillades proposés, une identité visuelle a été conçue sur le modèle des cuisines de rue d'Extrême-Orient.

Pour le logo, une typographie d'inspiration thaïlandaise a été utilisée, combinée à des lettres au néon dans différentes applications. Par analogie, un univers de couleurs joyeuses a été mis en œuvre pour la communication d'ouverture. Celle-ci comprenait, outre les supports publicitaires tels que le site web et les bannières en ligne, des bâches, des tatouages muraux, des spots en magasin, des dépliants de bonbons, des écrans intérieurs, des cadres LED, des inscriptions sur les fenêtres, des autocollants, des textes de menu et bien plus encore.


Responsable chez Coop Gastronomie : Barbara Paula Felix (responsable Marketing & Support Coop Gastronomie), Martin Wasserfallen (responsable Services Gastronomie), Moritz Poli (responsable Conseil spécialisé Gastronomie), Kaspar Wittwer (responsable Gastronomie). Responsable de Kreisvier : Sinia Brugger (création concept & site web), Andreas Erfert (texte), Sybille Gundry (PAO), Meret Moor (conseil).

Contrôle de marque "Twitter / X" : le chef-d'œuvre d'Elon MuX

Heinrich Paravicini de Mutabor examine à la loupe les relances de marques et les designs de marques pour Werbewoche.ch. Cette fois-ci : le passage de la marque Twitter à X.

Rebranding de Twitter en X
Le logo de la plateforme avant le changement (Twitter : à gauche) et après (X : à droite).

C'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Avec le plan directeur en tête de faire de Twitter l'"Everything App" de l'hémisphère occidental sur le modèle de WeChat, Elon Musk s'est débarrassé sans hésiter de l'une des marques les plus connues au monde. Twitter s'appelle désormais X. Il a acheté Twitter il y a un peu plus d'un an pour 44 milliards, la moitié environ - selon les experts - de la valeur de la marque, de ses symboles et de l'expression "twitter" passée dans le langage courant. Le tollé médiatique s'est alors déchaîné comme un tsunami sur tous les canaux de notre secteur de la communication, et il est toujours omniprésent. J'ai délibérément attendu ce tsunami avant d'écrire ma conclusion (provisoire) sur l'affaire Twitter - et elle est positive.

Le premier tweet d'Elon Musk sur le sujet.

Musk avait raison pour deux raisons

Il y a deux raisons pour lesquelles le pas de Musk était exactement ce qu'il fallait faire : premièrement, Twitter était limité dans son modèle d'affaires et ne pouvait pas être mis à l'échelle comme doit l'attendre un investisseur qui paie un prix aussi élevé. Le nom même de Twitter ne décrit qu'une activité précise - à savoir "tweeter", mais pas les services de paiement, le commerce électronique, les voyages et tout ce que fait une "everything app". Ici, la marque n'était donc pas optimale.

Elon Musk est l'homme le plus riche du monde et il est loin d'être stupide - et c'est là qu'intervient le deuxième aspect : je ne le connais pas personnellement, mais je connais des gens qui ont travaillé avec lui. Je sais donc qu'il déteste le marketing. C'est pourquoi la manière dont ce rebranding a été conçu n'est pas seulement typique de Musk, elle est tout simplement géniale. Alors que d'autres marques investissent des sommes folles dans des stratégies, des programmes de rebranding et des campagnes, et dépensent des millions dans les médias pour changer leur marque, lui ne paie tout simplement... rien.

Et pourtant, le monde entier le sait d'un seul coup. Peu importe à quel point ce logo X est unique, s'il peut être protégé ou comment tweeter s'appelle désormais - en quelques heures, ce X s'est gravé dans le cerveau de tous - sans un centime de paid media. Musk a utilisé sa personne et le pouvoir de la plateforme pour laquelle il a payé tant d'argent. Et voilà : son investissement était juste. Il peut maintenant ouvrir le chapitre suivant. Et une fois de plus, tout le monde attendra avec impatience de savoir quel sera son prochain mouvement. Nous le saurons sur X.


* Heinrich Paravicini est le fondateur et le directeur créatif de Mutabor.

La 100e entreprise reçoit le label "Friendly Work Space

De plus en plus d'entreprises et d'organisations réalisent qu'un engagement systématique en faveur de bonnes conditions de travail et d'un personnel en bonne santé en vaut la peine, y compris sur le plan financier. Avec le service des ponts et chaussées du canton des Grisons, Promotion Santé Suisse distingue déjà la centième organisation avec le label "Friendly Work Space".

Espace de travail convivial
Le service des travaux publics du canton des Grisons - ici une vue de la capitale Coire - est la 100e entreprise à avoir obtenu le label "Friendly Work Space". (Image : Pixabay.com)

Aujourd'hui, les 100 entreprises et organisations labellisées en Suisse et au Liechtenstein comptent notamment des noms connus comme les CFF, Swisscom, Migros, Lidl, V-Zug, les banques cantonales zurichoise et bernoise ou les assureurs Suva, Visana, Helsana ou Swica. Depuis cette semaine, le service des travaux publics des Grisons en fait également partie. "Nous sommes fiers de cette étape. Elle montre qu'il vaut la peine d'investir dans la gestion de la santé en entreprise", déclare Thomas Mattig, directeur de Promotion Santé Suisse. Le manque de personnel qualifié dans certaines branches et la prise de conscience que la gestion de la santé en entreprise est également rentable financièrement font partie des moteurs importants de l'augmentation constante du nombre d'entreprises labellisées. "En ce qui concerne la gestion systématique de la santé en entreprise, les 100 entreprises et organisations labellisées "Friendly Work Space" sont les entreprises modèles de Suisse et s'inscrivent donc pleinement dans la tendance", poursuit Thomas Mattig. Selon le BGM-Monitoring 2020 représentatif, la part des entreprises de 50 collaborateurs ou plus qui mettent systématiquement en œuvre la GSE est passée de 22,7% (2016) à 26,3% en 2020. Près de 50% supplémentaires mettent majoritairement en œuvre la GSE. La part des entreprises qui mettent aujourd'hui en œuvre des mesures de GSE devrait donc dépasser 75%.

Une entreprise modèle "Friendly Work Space" remplit six critères de qualité GSE qui peuvent être facilement intégrés dans les processus de qualité existants. "Grâce à l'évaluation, nous avons pu identifier clairement les points qui présentent encore un potentiel d'amélioration. C'est là que nous intervenons désormais de manière ciblée", explique Reto Knuchel, ingénieur cantonal de l'Office des ponts et chaussées du canton des Grisons. Une certification n'est pas seulement la récompense d'une GSE mise en œuvre avec succès, mais elle oblige à investir continuellement dans de bonnes conditions de travail et des collaborateurs en bonne santé. Après avoir réussi l'évaluation, les entreprises et organisations peuvent utiliser le label pendant trois ans pour leur communication interne et externe. Ensuite, elles seront à chaque fois recertifiées pour trois années supplémentaires lors d'un re-assessment. "Notre objectif n'est pas seulement de nous adresser à long terme à des collaborateurs potentiels grâce au label, mais nous voulons aussi être et rester attractifs pour nos collaborateurs", poursuit Reto Knuchel.

L'outil en ligne Contrôle FWS montre en quelques minutes aux entreprises et organisations intéressées quels sont leurs points forts et où des améliorations peuvent éventuellement être apportées. Ensuite, le processus de certification peut être entrepris seul ou, le cas échéant, être accompagné par un organisme externe, indépendant et compétent. un(e) conseiller(ère) certifié(e) sont accompagnés. Des assesseurs indépendants et certifiés vérifient ensuite les critères de qualité lors de la journée d'assessment.

 

Remarque :
Vous trouverez toutes les 100 entreprises et organisations ayant reçu le label "Friendly Work Space". ici. Les entreprises et les organisations pourront découvrir les derniers développements en matière de gestion de la santé en entreprise, et plus particulièrement dans le domaine du New Work, lors de la conférence annuelle de l'OMS sur la santé en entreprise. Congrès national sur la gestion de la santé en entreprise 2023 sur le thème "Un nouveau monde du travail sain ?" le 20 septembre 2023 au Kursaal de Berne. Près de 900 participants se sont déjà inscrits. www.bgm-tagung.ch

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/100-unternehmen-erhaelt-label-friendly-work-space/

Art.i.schock crée une nouvelle marque ombrelle pour les Journées du patrimoine

Lorsque les Journées européennes du patrimoine auront lieu le week-end prochain en Suisse, elles se dérouleront pour la première fois avec une présentation uniforme. Le cadre conçu par l'agence zurichoise Art.i.schock laisse une marge de manœuvre aux différents cantons.

Journées européennes du patrimoinePour leur 30e édition en Suisse, les Journées européennes du patrimoine se présentent sous un nouveau jour les 9 et 10 septembre. Avec le Complément de marque "Découvrir le patrimoine ils se présentent pour la première fois sous une bannière nationale qui définit le cadre visuel tout en laissant aux différents cantons et régions la liberté de mener leurs propres campagnes.

Le Centre national d'information sur le patrimoine culturel NIKE, qui organise les Journées en collaboration avec l'Office fédéral de la culture OFC et les services cantonaux des monuments historiques et de l'archéologie, souhaite ainsi obtenir une meilleure visibilité et une meilleure reconnaissance. Jusqu'à présent, les Journées du patrimoine, avec leurs nombreuses manifestations individuelles, se présentaient avec des campagnes nationales, régionales et cantonales.

La marque ombrelle a été développée par Art.i.schock. L'agence zurichoise a remporté un pitch pour un redesign en 2022 et a depuis conçu un manuel en trois langues et, à partir de là, les réalisations analogiques et numériques les plus diverses. Elle souhaitait une communication plus accessible et qui attire l'attention. Il en résulte une présentation claire avec des structures nettes et des couleurs fraîches.


Responsable chez NIKE : Maria Christoffel (responsable de la campagne des Journées européennes du patrimoine). Responsable chez Art.i.schock : Sylvia Brüggemann (conception), Nadine van den Berg (conseil, direction de projet), Dominik Blaas, Michèle Caduff, Dominic Fiechter (graphisme).

Consilex : Certifié ISO et sous une nouvelle direction

Grâce à un management buy-out, les trois collaborateurs de longue date Reto Schneider, Stefan Schürch et Andreas Gerber ont repris Consilex AG en milieu d'année de l'ancien propriétaire et cofondateur Niklaus Schneider. Depuis juillet 2023 également, Consilex AG dispose d'un système de gestion de la qualité et de l'environnement certifié selon les normes ISO 9001 et 14001 et entièrement numérisé.

Consilex AG
La nouvelle direction de Consilex AG : Reto Schneider, Stefan Schürch et Andreas Gerber (de g. à dr.). Des images : Consilex AG

Depuis 44 ans, Consilex AG offre à ses clients des conseils hautement qualifiés en matière d'organisation et de technologie de l'information. Des experts locaux pour des clients locaux est depuis la fondation une ligne directrice dans le développement de l'entreprise, écrit l'entreprise à ce sujet. Sur le plan thématique, Consilex se concentre sur les domaines de la gestion de projet, de l'ingénierie des exigences, de l'ingénierie juridique et de l'apprentissage en entreprise. 

En ce qui concerne la structure et la gestion de l'entreprise, Consilex AG se qualifie également de progressiste : selon l'entreprise, l'organisation allégée, la sociocratie, la responsabilité personnelle, l'esprit d'entreprise et le télétravail ne sont pas des pratiques qui datent de Corona, mais de sa création en 1979. En outre, tous les processus d'entreprise de Consilex, qu'ils soient certifiés ou non, ont été entièrement numérisés.

L'entreprise est désormais entre de nouvelles mains. Dans le cadre du règlement de la succession, les domaines de compétence sont répartis comme suit entre les trois nouveaux propriétaires : Reto Schneider, en tant que CEO, est responsable du marketing et des ventes, Stefan Schürch de l'exploitation et des finances et Andreas Gerber des ressources humaines, des activités administratives et de la gestion de la qualité.

Avec la certification de son système de gestion de la qualité et de l'environnement selon les normes ISO 9001 et 14001, Consilex documente sa structure d'entreprise avancée avec deux normes pertinentes pour les clients. La certification ISO n'est pas seulement un engagement de Consilex à améliorer continuellement ses performances vis-à-vis de ses clients et de ses collaborateurs - avec cette certification, l'entreprise exprime également sa volonté d'apporter sa contribution à une gestion durable.

Plus d'informations

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/consilex-iso-zertifiziert-und-unter-neuer-fuehrung/

Au fait, que signifie... "Cargo" ?

Dans sa chronique "Que signifie en fait... ?", Benno Maggi se penche sur des termes utilisés dans le domaine du marketing et de la communication. Cette fois-ci, il examine à la loupe la signification qui se cache derrière le terme "cargo".

Layoffs in Tech

Non, il ne s'agit pas des pantalons "lifestyle" qui donnent aux femmes et aux hommes l'impression qu'ils doivent faire des travaux manuels et transporter tous les outils nécessaires dans leur pantalon. Et pas non plus les camions qui vous empêchaient de circuler librement pendant vos allers-retours en vacances.

Non, l'application dans le cadre de l'économie et du travail est bien plus laide que dans le secteur de la mode ou de la logistique. Elle vient d'un coin qui était auparavant considéré comme l'étoile polaire du monde du travail : les entreprises tech. Au début de l'année, on a communiqué ce qui avait été décidé par le management de ces hégémones pendant les fêtes. Pour que leurs rendements ne s'effondrent pas après toutes ces années de vaches grasses et pour que leurs cours de bourse ne s'effondrent pas, ils devaient jeter quelque chose en pâture au monstre avide du marché (financier). Et quoi de mieux pour cela : des collaborateurs communs. Et en grand nombre.

Quand les collaborateurs deviennent une charge

Rien qu'au cours de la première semaine de janvier de cette année, il a été rendu public que Google - ou Alphabet - allait licencier 12'000 collaborateurs, Microsoft 10'000, Amazon 18'000 et Salesforce 7'000. En mars, Facebook (Meta) a suivi avec 10'000 "layoffs". Lorsqu'en mai, Apple a qualifié de telles mesures de "dernier recours", sans toutefois les empêcher de les mettre en œuvre de manière conséquente, tout le monde a compris que les temps allaient être plus durs. Démissions, licenciements, layoffs, cutdowns ou quel que soit le terme officiel. Parmi les décideurs et les analystes (désolé, en fait, la plupart du temps encore très masculins), l'ordre était : "Get rid of the cargo".

Aïe ! Ces mêmes groupes ont montré pendant des décennies à nos entreprises européennes de la vieille école comment faire avec l'Employer Branding et le "best workplace to be" - et puis voilà : Qualifier les collaborateurs de "cargo". Du fret, des bagages, des marchandises diverses ou tout autre terme allemand. Simplement des choses qui voyagent et qui ne participent pas.

Pourquoi tout cela nous concerne-t-il ? Les mots à la mode de l'industrie technologique ou financière d'inspiration anglo-saxonne - dans ce cas, des deux - ont encore fait leur chemin jusqu'aux bureaux des départements marketing et des agences de la région DACH. L'ETP et le nombre d'employés sont deux exemples sur le même sujet. Dans une branche où le taux de fluctuation atteint régulièrement des sommets, on parle alors en privé et avec un "excuse mon français" d'un cargo lorsqu'il s'agit de collaborateurs en général.

Cette forme de distanciation et de relativisation des déclarations discriminatoires et peu ragoûtantes, nous la connaissons bien en Suisse, malgré Protocole Gisler des discussions sur le genre et/ou le woke. On les excuse généralement en disant qu'en période de stagflation, ce mélange menaçant de stagnation et d'inflation, à savoir l'arrêt de la croissance économique accompagné d'une dévaluation de l'argent, il est permis d'utiliser des mots plus durs et que la langue de bois est désormais révolue. En revanche, "Bad News für dich" était tout à fait affectueux lorsqu'il était utilisé pour annoncer un licenciement lors d'entretiens d'embauche dans les années 90.

Gübelin est le nouveau co-partenaire du ZFF

Le Zurich Film Festival reçoit le soutien d'un nouveau co-partenaire. La bijouterie Gübelin s'associe au festival.

Gübelin

"Nous sommes très heureux d'avoir pu gagner Gübelin, une entreprise familiale suisse, comme co-partenaire, dont les exigences de qualité correspondent parfaitement au festival", a déclaré Jennifer Somm, Managing Director de Spoundation Motion Picture, citée dans un communiqué.

La direction et des talents sélectionnés feront défiler les bijoux de Gübelin cet automne. "Avec notre partenariat avec le Zurich Film Festival, nous souhaitons contribuer durablement à la promotion des talents, à l'échange culturel et à la célébration des films", explique Raphael Gübelin, président de la maison Gübelin.

L'IA et le ChatGPT rendent les conseillers (et pas seulement) paresseux !

Le programme ChatGPT ne peut pas penser "out of the box". De nombreux conseillers - quelle que soit leur couleur politique - n'y pensent pas lorsqu'ils utilisent le programme de chat.

ChatGPT
Un outil utile, mais qui ne doit pas empêcher de penser : ChatGPT. (Image : Unsplash.com)

Depuis que l'entreprise OpenAI a mis en ligne fin 2022 son programme ChatGPT pour une utilisation générale gratuite, un engouement s'est créé autour du thème de l'intelligence artificielle (IA). Le monde du conseil a également reconnu l'utilité de tels programmes de chat comme ChatGPT - à juste titre, car ils permettent de générer très rapidement et facilement au moins les premières ébauches de textes publicitaires tels que des articles de blog, des lettres publicitaires ou des messages pour les médias sociaux, que l'on peut ensuite retravailler.

Les conseillers font souvent écrire des textes par ChatGPT

Mais parfois, l'utilisation de ChatGPT par les conseillers donne lieu à d'étranges floraisons. Par exemple, lorsqu'en tant qu'agence de relations publiques et de marketing pour consultants, nous devons écrire un article sur un thème tendance actuel - comme l'intelligence artificielle, la transformation, les équipes hybrides, la durabilité, l'apprentissage mixte, la génération Z, etc. - et le placer dans les médias imprimés et en ligne, par exemple parce que le consultant en question vient de développer un nouveau produit sur ce thème et qu'il souhaite le promouvoir.

Supposons que nous disions au conseiller "Nous le ferons volontiers. Mais veuillez d'abord nous donner une idée afin que nous connaissions vos messages clés et l'orientation de votre contenu". Il n'est pas rare que nous recevions peu de temps après un texte qui a été rédigé de manière reconnaissable par ChatGPT. Cela signifie que, dans le meilleur des cas, il se compose de quelques affirmations assez générales, par exemple sur le thème de l'"intelligence artificielle" ou de la "transformation", que nous aurions également trouvées en cherchant sur le web. On ne trouve toutefois aucune trace des propres pensées du conseiller dans les textes.

Les conseillers ne réfléchissent souvent pas aux thèmes

Il n'est pas rare que ces textes, si nous les proposions à des revues spécialisées sans en modifier le contenu, seraient même une absurdité absolue de leur point de vue - par exemple parce qu'ils ne reflètent pas le fait que les petites entreprises ont moins de ressources que les grands groupes et que le secteur de la logistique, par exemple, fonctionne très différemment du secteur financier, ce qui explique que de nombreux problèmes nécessitent des solutions différentes. En d'autres termes, les articles ne font pas de distinction, alors que c'est justement là que réside l'expertise d'un consultant.

En voici un exemple. Il y a quelques semaines, un consultant en ressources humaines spécialisé dans les PME, qui avait visiblement lu quelque part "L'avenir appartient à l'IA", nous a demandé d'écrire pour lui un article sur le thème "L'utilisation de l'IA dans le processus de sélection du personnel". Après lui avoir demandé de m'envoyer quelques mots clés à ce sujet, j'ai reçu peu de temps après un texte d'une trentaine de lignes. Il y décrivait une utilisation possible de l'IA dans le processus de sélection du personnel pour la présélection des candidats - sans aucune référence aux petites et moyennes entreprises.

Pourtant, le conseiller m'avait dit au préalable que la plupart de ses clients étaient actuellement confrontés au problème suivant : ils ne reçoivent qu'un ou deux candidats au maximum en réponse à leurs offres d'emploi et doivent donc souvent, faute d'alternative, embaucher des candidats qui ne répondent que partiellement à leurs exigences afin de conserver leur capacité de travail. Lorsque j'ai appelé le conseiller et lui ai demandé quel avantage un système d'IA pour la présélection des candidats offrait aux PME dans une telle situation du marché du travail, sa réponse a été, après une courte réflexion : "En fait, aucun - car si un seul candidat se présente à la porte, alors...".

Les conseillers remâchent souvent des phrases et des clichés

J'ai vécu une situation similaire lorsque nous avons dû écrire un article sur le thème de la "collaboration intergénérationnelle" pour une grande entreprise de conseil. Dans le texte que j'ai reçu, l'impression était suggérée : La majorité des collaborateurs et des cadres des entreprises sont encore aujourd'hui des Digital Immigrants, qui sont en guerre avec l'informatique et ont de fortes réserves émotionnelles vis-à-vis des solutions informatiques, d'où des problèmes dans la collaboration avec les Digital Natives.

Lorsque j'ai demandé au fournisseur du texte dans quelle mesure cela était encore vrai aujourd'hui, étant donné que de nombreux membres des générations X et Y citées dans l'article avaient déjà 35, voire 40 ans, et qu'ils faisaient souvent partie depuis des années des personnes les plus performantes dans les entreprises, sa réponse a été : "Vous avez peut-être raison". Manifestement, il n'avait encore jamais réfléchi à la question de savoir dans quelle mesure ces clichés, valables il y a une ou deux décennies, étaient encore valables aujourd'hui. Ils ne l'ont donc pas dérangé dans le projet de texte de ChatGPT.

Les conseillers ne réfléchissent pas assez : qui sont mes destinataires ?

Nous faisons de plus en plus souvent des expériences similaires lorsque nous devons rédiger de nouvelles pages pour les pages d'accueil de conseillers et des articles pour leurs blogs, par exemple parce qu'ils ont développé un nouveau produit ou qu'ils souhaitent être trouvés par leurs clients potentiels sur le web grâce à un mot-clé particulier qui est actuellement "à la mode". Même dans ce cas, en examinant leurs modèles de texte, nous nous posons souvent la question suivante : "À quoi le conseiller a-t-il pensé ?" Et il n'est pas rare que la réponse soit : "Rien, car il a juste saisi quelques invites sur ChatGPT".

La raison en est simple : Les textes sont si banals et généraux que l'on ne sent pas la pensée autonome du conseiller, ni même son expérience du terrain et de la pratique. Mais alors, pourquoi les clients potentiels qui tombent sur le site web du conseiller en cherchant sur Google devraient-ils le contacter ? De nombreux conseillers ne se posent manifestement pas cette question lorsqu'ils utilisent ChatGPT. Ils ne se le demandent pas plus qu'ils ne se le demandent lorsqu'ils écrivent des articles : pourquoi une revue spécialisée devrait-elle publier un "article d'expert" de ma part, alors que sa rédaction pourrait le rédiger elle-même en saisissant certains messages-guides dans ChatGPT ?

ChatGPT ne peut pas penser "out of the box

Les lignes ci-dessus ne doivent pas être interprétées comme un vote contre l'utilisation du programme ChatGPT par les conseillers, quelle que soit leur couleur politique. Celui-ci est et reste un outil souvent très utile. Mais ce que ChatGPT ne peut pas faire à la place des conseillers, c'est de penser (sous toutes ses facettes, comme penser à travers, penser à et penser en dehors) et de développer des solutions adaptées aux problèmes de leurs clients cibles.

Car en fin de compte, ce programme ne peut que restituer un substrat plus ou moins judicieux des informations qu'il trouve sur le web. Il ne peut donc pas non plus (pour utiliser un mot-clé actuel des conseillers) penser "out of the box" et (trouver) des solutions entièrement nouvelles aux problèmes. Cela reste le travail des conseillers (seuls ou en dialogue avec leurs clients).

Ce qui vaut pour la profession de conseiller vaut bien entendu aussi pour l'utilisation de l'IA dans les entreprises. Ici aussi, le risque existe que les utilisateurs deviennent paresseux et fassent aveuglément confiance aux solutions proposées par les systèmes d'IA au lieu de se demander : dans quelle mesure ces solutions sont-elles adaptées aux objectifs ?

Se qualifier pour une utilisation adéquate de l'IA

Sensibiliser et former les collaborateurs des entreprises à ce sujet pourrait d'ailleurs être une offre de conseil ou de formation des prestataires dans le domaine de la formation et du conseil. En cherchant sur le web, je n'ai pas encore trouvé une telle offre. Mais ce n'est plus qu'une question de temps, au plus tard après la parution de cet article - ne serait-ce que parce qu'une référence correspondante apparaît dans un texte rédigé par ChatGPT pour les conseillers.

 

Vers l'auteur :
Bernhard Kuntz est directeur de l'agence de marketing et de relations publiques Die PRofilBerater GmbH, Darmstadt, spécialisée dans les consultants. Il est l'auteur, entre autres, des livres "Die Katze im Sack verkaufen" (Vendre son chat dans un sac), "Fette Beute für Trainer und Berater" (Grosse proie pour les formateurs et les conseillers) et "Warum kennt den jeder ?" (Pourquoi tout le monde le connaît-il ?). (Internet : www.die-profilberater.de).

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/ki-bzw-chatgpt-macht-nicht-nur-berater-denkfaul/

Pourquoi les calendriers sont importants et avantageux en tant que cadeaux d'entreprise

Dans le monde des affaires d'aujourd'hui, l'art de fidéliser les clients est d'une importance capitale. Une méthode éprouvée pour la renforcer tout en augmentant la notoriété de la marque est d'offrir des calendriers. Pourquoi les calendriers sont-ils si importants et prometteurs en tant que cadeaux d'entreprise ? Dans cet article, nous nous penchons sur les raisons qui se cachent derrière cette tendance commerciale.

Geste d'appréciation et d'engagement

Le fait qu'une entreprise offre un calendrier va au-delà de la surface de la relation commerciale. C'est un geste d'estime qui montre que l'entreprise considère ses clients comme des partenaires individuels. Cette appréciation peut renforcer le lien émotionnel entre les clients et l'entreprise. En montrant de l'intérêt pour ses clients et en se souciant de leur bien-être, une entreprise crée une expérience positive qui peut renforcer la fidélité des clients.

Calendrier en tant que

Présence continue de la marque

Un calendrier offert en cadeau est un moyen efficace de maintenir la présence de la marque tout au long de l'année. Chaque fois que le calendrier est utilisé, le logo et le nom de l'entreprise sont intégrés dans le quotidien du client. Cela crée un souvenir durable de la marque et de ses valeurs. Lorsque le client ou le partenaire commercial utilise le calendrier, l'entreprise est constamment rappelée à son souvenir, ce qui augmente la probabilité qu'elle soit considérée comme le premier choix pour les besoins futurs.

Une publicité et une diffusion de l'information efficaces

Un calendrier offre une possibilité subtile de faire de la publicité et de transmettre des informations. Les entreprises peuvent intégrer habilement des dates importantes, des événements, des lancements de produits ou des offres spéciales dans la conception du calendrier. Cela permet d'attirer l'attention sur des événements ou des développements à venir sans paraître intrusif. Un calendrier bien conçu peut attirer l'attention des clients sur des aspects importants de l'entreprise sans pour autant être intrusif.

Un compagnon utile au quotidien

Un calendrier n'est pas seulement une plateforme publicitaire, c'est aussi un compagnon utile au quotidien. Les clients peuvent utiliser le calendrier pour organiser des rendez-vous, des réunions et des tâches. Son utilisation quotidienne rappelle discrètement au client l'entreprise qui l'offre et crée une association positive avec ses services ou ses produits. La fonctionnalité pratique du calendrier fait en sorte qu'il ne soit pas simplement mis de côté, mais utilisé activement.

En résumé, les calendriers offerts par les entreprises sont un moyen puissant de renforcer la fidélité des clients et la notoriété de la marque. Ils représentent un geste d'appréciation et montrent que l'entreprise valorise la relation avec ses clients. Grâce à une présence durable de la marque, une publicité subtile et une utilité pratique, les calendriers créent un lien positif entre les clients et l'entreprise. À une époque où les liens personnels et la satisfaction des clients sont essentiels, offrir des calendriers est une stratégie commerciale intelligente.


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