Les ambassadeurs pour Stadtwerke Gossau : "Vraiment bien approvisionné"

En collaboration avec l'agence "Die Botschafter", les services industriels de Gossau ont continué à développer leur image de marque. Celle-ci doit réaffirmer son positionnement en tant que fournisseur d'énergie et employeur innovant, sûr, économique et durable.

Présentation de la marque Stadtwerke Gossau

Les services municipaux de Gossau proposent un large éventail de services et de produits qui s'adressent à des groupes cibles très différents. Afin de créer un profil progressif et centré sur le client, les services municipaux ont lancé une nouvelle image de marque à l'été 2024. Les services industriels se sont ainsi préparés à l'avenir sur le plan de la communication dans un contexte de marché en pleine mutation et de libéralisation croissante.

Des soins vraiment efficaces

La nouvelle image de marque des services municipaux de Gossau, développée par Die Botschafter, se base sur les trois promesses de prestations centrales "approvisionnement sûr", "approvisionnement complet" et "approvisionnement simple", qui sont réunies dans le slogan "Richtig gut versorgt".

Le développement de la marque met l'accent sur les clients et les services des services municipaux de Gossau qui leur sont adaptés et qui vont bien au-delà du triptyque électricité-eau-gaz. Le logo est le "fil rouge" de l'identité visuelle et, dans ses variantes et son univers de couleurs, il est conçu pour être très reconnaissable. La forme symbolise le dynamisme, l'innovation ainsi que l'émotion humaine. Le slogan accrocheur "Vraiment bien approvisionné" doit résumer de manière concise cette promesse de prestations.

Parés pour l'avenir énergétique

Les ambassadeurs ont affiné le positionnement des services municipaux de Gossau et en ont déduit les messages clés et le slogan. L'agence a également réalisé le nouveau site Internet, rafraîchi les canaux de médias sociaux ainsi que la newsletter, conçu une campagne de lancement et retravaillé les brochures et flyers existants. Suivront à l'automne 2024 une nouvelle présence sur les salons et des outils de communication soutenant les conseils.


Responsable chez Stadtwerke Gossau : Rafael Mittelholzer (responsable marché et énergie), Daniela Schwitter-Meister (responsable marketing). Responsable chez Die Botschafter Kommunikationsagentur : Axel Thoma (stratégie et concept), Carmen Fraefel (direction de projet), Tammy Kissling (conception), Jessica Obrist (numérique).

Quatre livres qui pourraient vous intéresser

En collaboration avec GetAbstract, nous vous présentons quatre livres dans le domaine du marketing et de la communication. Cette fois-ci, il s'agit de "Liberté offensée", "Ça existe aussi en vert ?", "Laisse partir la peur" et "Speak Up and Shine".

Liberté bafouée

Liberté bafouée

Aspects de l'autoritarisme libertaire.

  • Auteur:interne : Oliver Nachtwey et Carolin Amlinger
  • Maison d'édition : Suhrkamp Verlag, 2022
  • Pages : 480
  • ISBN : 9783518430712

Des drapeaux arc-en-ciel qui flottent à côté des drapeaux du Reichstag ; des citoyens éduqués aux idées antiautoritaires qui manifestent contre une prétendue dictature d'opinion avec une étoile juive sur la poitrine ou qui diffament le port d'un masque en le qualifiant de "nouveau salut hitlérien" : On peut rejeter cela comme du théâtre absurde. Ou alors, on peut analyser pourquoi des personnes issues du centre progressiste dérivent vers des modèles de pensée autoritaires et conspirationnistes. Carolin Amlinger et Oliver Nachtwey démasquent le concept de liberté des mouvements de protestation actuels sans faire passer leurs protagonistes pour des monstres. A lire absolument.

Est-ce que cela existe aussi en vert ?

Déjouer les pièges de l'industrie, acheter durablement.

  • Les auteures : Kerstin Scheidecker et Katja Tölle
  • Maison d'édition : Campus Verlag, 2024
  • Pages : 256
  • ISBN : 9783593518374

"Climatiquement neutre", "régional", "cosmétique naturelle" - ce qui est censé nous donner un bon sentiment lors de nos achats n'est souvent rien de plus que de l'air chaud. Les auteurs le savent mieux que la plupart des gens. Chez Öko-Test, elles scrutent l'industrie depuis des années et ont rassemblé leurs connaissances dans ce livre. Grâce à des recherches minutieuses, elles expliquent de manière claire et fondée quel est le problème des tomates sur nos pizzas préparées et des images de vaches heureuses sur les briques de lait. Effrayant, mais extrêmement intéressant à lire.

Laisse partir la peur

Briser le cycle des soucis et vivre sans peur.

  • Auteur : Pia Callesen
  • Maison d'édition : Beltz Verlagsgruppe, 2021
  • Pages : 286
  • ISBN : 9783407866202

Les troubles anxieux sont généralement traités par une thérapie cognitivo-comportementale. Dans ce cadre, les personnes concernées analysent leurs soucis et leurs peurs avec un soutien psychothérapeutique et réfléchissent à leurs causes. Ce n'est pas la bonne approche, selon Pia Callesen. Selon elle, le fait de penser et d'analyser de manière excessive génère ou renforce le trouble anxieux. Elle recommande d'observer passivement ses propres angoisses et de les laisser simplement passer. Dans son livre, riche en exercices et en exemples tirés de sa propre pratique, elle propose un regard alternatif sur les troubles anxieux et obsessionnels.

Speak Up and Shine

Avec le Vocal Empowerment, plus de présence et de force d'affirmation.

  • Auteur : Monika Hein
  • Maison d'édition : Campus Verlag, 2024
  • Pages : 256
  • ISBN : 9783593518497

Au travail, les femmes ont plus tendance que les hommes à se faire petites, à parler à voix basse ou même à se taire complètement. Cela est notamment dû aux rôles traditionnels, estime Monika Hein. Il ne suffit donc pas de s'entraîner à parler plus fort : celui qui veut parler plus fort doit d'abord apprendre à fixer des limites, à supporter les conflits et à s'assumer. Outre des conseils psychologiques, la coach propose également des conseils plus spécifiques sur l'intonation, l'expression et la prononciation. Si vous souhaitez améliorer vos présentations ou vos interventions en réunion, ce guide est fait pour vous.

Wirz aménage l'univers de la santé de Zollikerberg

Considérer l'être humain dans sa globalité et apporter une aide globale - tel est le cœur de la fondation Diakoniewerk Neumünster - Schweizerische Pflegerinnenschule. Avec une stratégie de communication à l'échelle du groupe, une nouvelle image de marque et une nouvelle marque ombrelle, Wirz place cette attitude de la fondation au cœur de son identité.

Le monde de la santé de Zollikerberg

Il y a 165 ans, des femmes courageuses se sont réunies pour professionnaliser les soins et améliorer le système de santé. L'organisation de santé comprend aujourd'hui plus de 1'600 collaborateurs répartis dans huit établissements - dont l'hôpital de Zollikerberg.

En collaboration avec Wirz, la fondation a lancé un vaste projet d'avenir. L'objectif était de rendre l'identité plus perceptible à l'intérieur et à l'extérieur et de se positionner encore plus clairement. "Nos valeurs humaines associées à des prestations de santé de haute qualité nous distinguent sur le marché. Nous voulons mettre ces atouts en avant et les rendre plus visibles pour les gens", explique la directrice de la fondation Regine Strittmatter.

Transformation axée sur les valeurs

L'agence a développé la nouvelle identité visuelle étape par étape, en collaboration avec la fondation et les établissements. Dans un premier temps, une stratégie de communication à l'échelle du groupe a été élaborée sur la base des objectifs de la fondation. Ensuite, elle a été traduite en une image de marque qui place les valeurs et l'attitude au centre et qui permet un positionnement différencié sur le marché pour toutes les entreprises. Ensuite, la mise en œuvre et la traduction en moyens et mesures concrets ont eu lieu. La conception et le développement du site Internet du groupe ont été au cœur de cette démarche.

"Les valeurs communes sont fortement ancrées et font avancer cette organisation. Nous avons utilisé cette force pour affiner le profil et le rendre plus perceptible. La nouvelle présentation inspire, crée une proximité et ouvre de nouvelles perspectives d'avenir", explique Pascal Künzli, Director Brand Consulting chez Wirz.

En route vers l'avenir de la santé

Afin de communiquer plus clairement aux gens la vaste gamme de prestations, le "Gesundheitswelt Zollikerberg" a été créé en plus de la nouvelle image. Il regroupe sous un seul nom ce que la fondation et ses huit établissements réalisent au quotidien. La marque ombrelle met l'accent sur l'approche globale de la santé et crée une vue d'ensemble et une cohésion. La marque ombrelle positionne également le monde de la santé auprès des employés potentiels et montre les nombreuses possibilités de carrière.

Avec la Lancement du nouveau site web Fin mars 2024, une étape décisive a été franchie. Wirz a accompagné la fondation dans toutes les phases du projet et l'a soutenue avec un conseil stratégique, une création et une mise en œuvre en matière de branding et de communication. Le résultat est une image fondamentalement développée, qui crée plus de visibilité et de pertinence et qui se concentre sur ce qui est important dans le monde de la santé de Zollikerberg : être là pour les gens - dans toutes les situations de la vie.


Responsable chez Gesundheitswelt Zollikerberg : Lic. oec. HSG Katharina Kull-Benz (présidente du conseil de fondation), Dr. Regine Strittmatter (directrice de la fondation), Annika Perrozzi (directrice communication & marketing de la fondation Diakoniewerk Neumünster), Daniela Thier (directrice marketing & communication de l'hôpital Zollikerberg). Responsable chez Wirz Group : Pascal Künzli, Timo Lorch, Ann-Iris Weinblum, Bastian Heer, Louise Chanton.

Rosarot présente ce que Saicon n'est pas

Trop de gens ne connaissent pas encore Saicon. L'agence immobilière zurichoise dirigée par son propriétaire aimerait changer cela. C'est pourquoi Saicon mise, en collaboration avec l'agence Rosarot, sur un rebranding frais et une campagne qui met en avant le nom de l'entreprise.

Saicon Marketing immobilier

Depuis 2011, Saicon vend et commercialise des biens immobiliers à Zurich avec une spécialisation professionnelle dans les immeubles collectifs. Jusqu'à présent, l'équipe dirigée par Moreno Pinelli s'est occupée de manière autonome du marketing. Aujourd'hui, Saicon a décidé de passer à l'étape suivante et d'atteindre un nouveau niveau de notoriété grâce à l'expertise publicitaire de Rosarot.

L'agence zurichoise a été chargée de la refonte complète de la marque Saicon, en commençant par une analyse approfondie du groupe cible et un développement stratégique, en passant par le branding et jusqu'à la réalisation finale. Le résultat de la nouvelle présentation est une image épurée qui doit refléter la structure et la minutie de Saicon. Le choix d'une police de caractères solide et intemporelle au caractère bien trempé souligne le professionnalisme de Saicon, tandis que de grands titres et un jaune joyeux et frais soulignent l'ouverture et l'accessibilité de l'entreprise.

Éveiller la curiosité avec des associations de noms

La campagne développée en même temps joue avec l'autodérision sur la méconnaissance du nom Saicon dans le grand public. Grâce à des associations d'idées étrangères à la branche et à leur résolution correcte, le nom Saicon doit être ancré dans l'esprit du groupe cible et invite les clients potentiels à s'adresser à Saicon pour toute question immobilière.

Dans sa mise en œuvre, la nouvelle image de marque de Saicon mise sur différents canaux tels que les affiches imprimées, les annonces vidéo, les mailings directs, le site web remanié et des mesures de marketing en ligne renforcées comme le SEO et le SEA.


Responsable chez Saicon : Moreno Pinelli (propriétaire), Aline Pinelli (propriétaire), Mara Schiavone (chef de projet backoffice). Responsable chez Rosarot : René Karrer, Michael Schmidt (direction créative), Corinna Kost, Laura Weinhofer (direction artistique), Carmen Stähelin (texte, concept), Noel Mühlberg, Claire Hulla (PAO), Bettina Walder (conseil), Moreno Carroccia, Mauro Zoffoli (performance, SEA, SEO).

Au fait, que signifie... "sprint" ?

Dans sa chronique "Que signifie en fait... ?", Benno Maggi se penche sur des termes utilisés dans le domaine du marketing et de la communication. Cette fois-ci, il traite du terme "sprint".

Athlètes suisses

De l'or. De l'or. De l'or à revendre. Les athlètes suisses viennent de sprinter d'une médaille d'or à l'autre aux championnats d'Europe de Rome. Ce n'était pas le cas auparavant. A l'époque, on ne gagnait guère de médailles en athlétisme - et si on en gagnait, ce n'était certainement pas en sprint. Et à l'époque, le mot n'était pas aussi galvaudé qu'aujourd'hui. Celui qui est capable d'évaluer la force, l'énergie et le temps qu'une personne comme Mujinga Kambundji ou Timothé Mumenthaler investit pour réaliser une performance de 20 secondes devrait être un peu plus économe dans l'utilisation de ce mot. Il a en effet évolué de ses origines de course et de saut rapides vers une métaphore polyvalente pour des efforts intenses et concentrés dans différents domaines. Et c'est agaçant.

Si nous devons aujourd'hui tout appeler sprint, c'est à cause de Scrum. Lorsque notre secteur a dû dire adieu aux modèles idylliques en cascade à la fin des années 1990 et que Scrum a été introduit, le rythme s'est accéléré et au milieu des années zéro, il n'était plus question de flâner ou de se balader.

Le monde idéal des chefs de projet est soudainement devenu rugueux, rapide et en avance. Comme une bande de rugbymen crasseux, ils gagnent depuis lors mètre après mètre et appellent cela un sprint. Ou une approche agile. Aujourd'hui, on sprinte donc tout le temps et on interagit dans des dailys, des weeklys et on place des alignements et des adaptations définis par l'utilisateur ou le donneur d'ordre dans n'importe quel ordre, si bien que les projets finissent par ressembler à des terrains de rugby piétinés et que, malgré tous les efforts, ils ne sont pas terminés dans les délais.

Tout ce qui brille n'est pas or

Dans le contexte de la gestion de projet agile et de Scrum, les sprints sont utilisés pour décrire une période de travail courte et focalisée, visant à progresser rapidement et à livrer fréquemment. Voilà pour la théorie. Mais dans la pratique, c'est plutôt comme si les entraîneurs de Mujinga Kambundji ou de Timothé Mumenthaler les faisaient courir tout le temps sur 200 mètres et pensaient qu'ils auraient encore la force nécessaire pour décrocher l'or lors de la finale des championnats d'Europe.

Le sprint n'est donc pas la poule aux œufs d'or de la direction de projet et des développeurs. Mais bien d'autres choses encore. Sprint est par exemple aussi le nom d'une compagnie aérienne à bas prix aux Etats-Unis, avec laquelle certains n'osent pas réserver parce qu'elle a toujours du retard ou que des vols sont annulés sans raison. Mais c'est justement pour cela qu'elle est bon marché, comme les sites web DIY qui ne sont jamais terminés. Sprint était également le nom de la société de télécommunications du même pays, fondée en 1987 et vendue en 2020 à T-Mobile, cette filiale extrêmement prospère de Deutsche Telekom. Swisscom, l'entreprise locale, rêve également d'un tel succès. Il est vrai qu'elle se paralyse déjà dans ses efforts pour s'imposer sur le marché national, en embrouillant et en irritant ses clients avec des renouvellements d'abonnement cryptiques. Mais cette année, elle aussi a réussi un coup en Italie, comme les athlètes. Un accord contraignant a en effet été conclu avec Vodafone Group Plc pour la reprise de 100% de Vodafone Italia pour un prix d'achat de 8 milliards d'euros. Reste à savoir s'il s'agit également d'une médaille d'or.


Benno Maggi est cofondateur et CEO de Partner & Partner. Il écoute depuis plus de 30 ans dans le secteur et découvre ainsi pour nous des mots et des expressions qui peuvent être utilisés soit pour small talk, soit pour faire l'important, soit pour s'énerver, soit pour jouer au Scrabble, soit tout simplement pour le plaisir.

Le pouvoir de l'imperfection : comment des données même lacunaires permettent d'obtenir des résultats mesurables

À une époque où l'information est surabondante et la distraction constante, générer de l'attention est devenu le défi fondamental du marketing. Mais : la communication doit générer de la résonance - ce n'est qu'à cette condition que l'on obtient une réflexion approfondie sur la marque, qui conduit finalement à la décision d'achat.

CRM La résonance est générée par une communication spécifique au groupe cible, mais surtout adaptée aux besoins et personnelle : au moment optimal, au bon endroit, avec le média approprié, un message pertinent et donc au plus haut degré individuel. Dans ce contexte, la connaissance des clients potentiels et donc la qualité des données disponibles dans la gestion de la relation client (CRM) jouent un rôle décisif. Cela entraîne de nouveaux défis, car ces données ne sont souvent pas à jour, sont incomplètes et ne semblent donc utilisables que de manière limitée dans le sens du marketing.

Données actuelles

Pour simplifier, nous savons que : Plus les données clients sont actuelles et complètes dans le CRM, plus le potentiel de chiffre d'affaires de l'entreprise est élevé. L'art consiste donc à créer rapidement et efficacement, avec des ressources limitées, une base de données pour différentes mesures telles que la vente croisée ou le lead scoring. Dans ce contexte, le marketing automation fournit des résultats fiables. Il s'agit d'une mise en place progressive, basée sur des données et donc ciblée, d'itinéraires et de campagnes de communication sur tous les canaux de communication, numériques et imprimés. La communication adaptée à la marque et au marché, avec ses objectifs de marketing opérationnels spécifiques, reste au premier plan. Elle s'accompagne presque automatiquement d'un enrichissement continu des données CRM existantes : En effet, grâce à une communication programmée ou déclenchée, la base de données est optimisée à chaque boucle - aussi bien pour les futures mesures de marketing que pour les ventes.

Évolutivité

Un autre avantage d'un marketing automation basé sur le CRM est l'évolutivité : à partir d'éléments déclencheurs, le parcours de communication est mis en place une fois par événement et peut ensuite être diffusé de manière automatisée et continue. Grâce à des éléments de dialogue intégrés de manière ciblée, les réactions et donc les données du groupe cible sont saisies en temps réel, ce qui permet de mesurer et d'optimiser la performance de la campagne. Cette transparence permet d'orienter les stratégies de marketing et de vente dans leur ensemble directement sur les réactions du marché.

Quels déclencheurs permettent de poursuivre quels objectifs de marketing opérationnel ? Comment et où le canal de l'imprimé améliore-t-il les résultats ?

Campagnes médiatiques programmatiques

L'étape suivante consisterait par exemple en des campagnes médiatiques programmatiques visant à générer des leads (inscriptions à des newsletters ou autres). Les données clients/CRM existantes peuvent ici être rendues anonymes par voie numérique, être mises en correspondance avec des paramètres en ligne et être traduites en segments de groupes cibles. Les annonceurs dont la profondeur de données n'est pas (encore) suffisante utilisent des segments de données curatés de fournisseurs de données renommés ou peuvent même faire créer des audiences personnalisées. Ceux-ci sont ensuite déposés comme ciblage dans les plateformes de campagne pour une diffusion ciblée des contenus publicitaires numériques.

Dans l'ensemble, le marketing automation représente une solution pragmatique aux défis du marketing multicanal moderne. En permettant une communication axée sur les données et donc ciblée, elle ouvre la voie à une utilisation efficace des données existantes, même lacunaires, et à la mise à jour, au complément et à la génération continue d'informations supplémentaires pertinentes. L'évolutivité de cette méthode et les réactions en temps réel offrent une flexibilité supplémentaire et permettent de s'adapter efficacement aux ressources internes ainsi qu'aux besoins d'un marché qui évolue rapidement.


*Alex Schmid est Topic Lead Dialogue chez Farner.

Impulsion de la marque Kitzbühel : repositionnement "comme une marque de mode".

L'agence positionne la célèbre station de sports d'hiver comme une marque sportive de luxe et de style de vie dans le cadre d'un rebranding complet.

Rebranding de Kitzbühel Kitzbühel est connue dans le monde entier comme l'une des stations de sports d'hiver les plus exclusives des Alpes. Brandpulse a créé pour cette marque emblématique, dans le cadre d'un rebranding complet, une stratégie de marque différenciante avec un nouveau design et une nouvelle expérience de marque, qui doit également intéresser les groupes cibles plus jeunes.

La ville alpine du Tyrol, ville sportive légendaire, allie tradition et style de vie. L'objectif du rebranding développé par Brandpulse était donc d'augmenter clairement l'attractivité. Les millennials, qui forment désormais le groupe de touristes le plus important et le plus vaste au monde, voyagent avec une nouvelle conception des valeurs : ce n'est plus la possession qui est au premier plan, mais le désir de vivre des expériences ("Collect Moments, not Things").

"Your time is now"

Le paramètre de réussite de Kitzbühel pour attirer les jeunes groupes cibles conformément à la nouvelle stratégie de marque est donc le suivant : la marque emblématique doit se débarrasser de sa bravoure et devenir une marque de luxe moderne et sportive - sans toutefois perdre ses éléments traditionnels importants comme le légendaire chamois de Kitzbühel et la couleur rouge. De ces conclusions d'analyse, Brandpulse a déduit le nouveau message de Kitzbühel, selon la devise "Your time is now" - n'attendez pas demain, mais (re)vivez aujourd'hui.

L'analyse de l'environnement concurrentiel a révélé que les stations touristiques alpines misent sur leurs biens de destination et se présentent principalement avec de beaux paysages et des panoramas de montagne. Le nouveau concept Brandig pour Kitzbühel rompt avec cette tradition et présente Kitzbühel comme une marque de style de vie, comparable à une marque de mode. Fini la nature "interchangeable", place à une expérience de style de vie - jeune, insolente, non-conformiste, glamour et au rayonnement international.

L'ancien logotype, créé il y a plus de 90 ans par le célèbre artiste de Kitzbühel Alfons Walde et légèrement adapté au milieu des années 70, a été remplacé par une police de caractères grotesque géométrique à fort impact. Grâce au "Ü" suggéré et à l'intégration de la tête de chamois stylisée, Kitzbühel se présente avec un nouveau mot-image-marque.

Boom des créations de start-up grâce à l'IA

Grâce à l'intelligence artificielle, le secteur des start-up bat des records : le nombre de nouvelles entreprises inscrites au registre du commerce suisse a augmenté d'environ 3 pour cent, peut-on lire sur Startups.ch.

Start-ups Suisse
Image : Júnior Ferreira ; Unsplash.

Dans toute la Suisse, environ 27'329 entreprises ont été inscrites au registre du commerce au premier semestre 2024, ce qui correspond à une augmentation de 3 pour cent par rapport à la même période de l'année précédente. C'est ce qu'a déterminé la plateforme en ligne startups.ch dans une nouvelle évaluation.

La Suisse romande progresse nettement

Ensuite, on constate une croissance dans presque toutes les régions. La Suisse romande (nombre de nouvelles inscriptions par rapport à la même période de l'année précédente : +5,9%) a connu une évolution particulièrement forte. Le leader de la région est le canton de Vaud (+13,9%). Il s'est établi depuis des années comme un site particulièrement attractif pour les jeunes entreprises. Le canton de Zurich, fort de son économie et de son large éventail de branches, affiche une hausse de 2,9%.

Plus de jeunes créateurs d'entreprise

"Les jeunes entrepreneurs créent des entreprises en position de force. Si le moteur économique tourne, cela se répercute positivement sur le secteur des start-up. C'est le cas actuellement", commente Michele Blasucci, fondateur et CEO de Startups.ch. C'est surtout le boom de l'intelligence artificielle qui donne une impulsion. Les entreprises ont reconnu la nécessité d'investir dans l'IA et font appel à des conseils externes. "C'est là que les jeunes entrepreneurs interviennent. Ils aident les entreprises confirmées à automatiser leur comptabilité ou à mettre en œuvre des applications basées sur l'IA, comme la programmation de bots qui se chargent par exemple du premier conseil aux clients. Ou ils montrent comment atteindre efficacement un jeune public avec l'IA via Tiktok et d'autres plateformes", explique Blasucci.

La jeune génération est proche de ces nouvelles technologies. C'est sans doute l'une des raisons pour lesquelles elle est à l'origine d'un grand nombre de créations d'entreprises. Comme le montrent les propres données analysées par Startups.ch, la part des créateurs d'entreprise âgés de 18 à 27 ans a augmenté d'un point de pourcentage pour atteindre 20,8 %, tandis que celle des 28-37 ans - qui représentent la plus grande part des créateurs - a nettement baissé, passant de 39,4 à 32,8 %.

Le secteur de l'automobile et de la carrosserie devrait profiter du boom des campeurs

Les taux d'intérêt modérés sont un autre moteur de l'augmentation du nombre d'entreprises nouvellement créées. "La demande dans les secteurs de l'immobilier, de la construction et de l'artisanat est élevée, ce dont de nombreux artisans ont su profiter pour se lancer dans l'aventure de l'indépendance, une catégorie professionnelle qui ne peut guère non plus être supplantée par l'IA", constate Michele Blasucci.

C'est également le cas dans le domaine des véhicules et des carrosseries. Ici aussi, les start-ups sont de plus en plus nombreuses, ce qui est sans doute dû en grande partie au boom du camping de ces dernières années. Les artisans sont également très demandés dans ce domaine. Michele Blasucci est confiant pour le deuxième semestre. Il s'attend à ce que la dynamique se poursuive et prévoit un nombre record de nouvelles entreprises pour 2024.

Image : Startups.ch Statistiques, 19.06.2024.

Brand Finance : Nestlé perd, mais reste la marque la plus précieuse

Chaque année, l'entreprise d'évaluation de marques Brand Finance passe au crible plus de 5000 des plus grandes marques et examine également les marques les plus précieuses de Suisse dans son propre classement. 

Marques les plus précieusesQuelles sont les marques les plus précieuses de Suisse ? C'est ce que Brand Finance révèle cette année encore dans son nouveau Country Report Suisse 50 2024. Les positions des dix premières marques suisses ont été modifiées : Ainsi, Zurich a gagné une place avec une croissance de 26% et a remplacé la marque pharmaceutique Roche à la quatrième place. Avec une croissance à deux chiffres, Rolex (montres) et UBS ont également réussi à se rapprocher du sommet.

Nestlé arrive en tête avec une valeur de marque de 18,5 milliards de CHF, malgré une perte de valeur de 13 pour cent. ABB a réussi à se hisser dans le top 10 avec une croissance de 12 pour cent (5 milliards de CHF), tandis que l'emblématique marque suisse de tradition Nescafé a glissé de la 7e à la 10e place avec une perte de valeur de 30 pour cent.

Dans l'environnement de valeurs de la perception du développement durable, Rolex a même pu se hisser en tête devant Nestlé. L'étoile montante du top 50, FMB, est passionnante. La marque a réussi à s'imposer à la 47e position avec une augmentation de valeur de 20 %. Dans l'ensemble, le Top 50 suisse n'a progressé que de manière marginale par rapport à l'année précédente (0,66%).

Les marques des trois secteurs de l'alimentation, de l'habillement/accessoires et de l'assurance représentent la moitié du volume total de la valeur des marques et ont encore gagné en dominance.

Jim & Jim : les jeunes lisent les actualités sur les médias sociaux

Les jeunes connaissent la numérisation depuis leur plus jeune âge. Mais qu'est-ce que cela signifie pour les marques - et comment peuvent-elles encore atteindre la génération Z aujourd'hui ? C'est ce que montre une nouvelle étude de Jim & Jim et 20 minutes.

jeune génération La soi-disant hyper-numérisation nous confronte à différents défis ainsi qu'à des opportunités. Les jeunes générations, et donc les "hyperconnected customers", sont nées dans cette ère et font face aux changements en cours. Mais qu'est-ce qui caractérise les consommateurs d'aujourd'hui et à quels modèles de comportement ou besoins fondamentaux une marque doit-elle être attentive ?

Une nouvelle étude de Jim & Jim et 20 minutes fournit des réponses. Selon cette étude, la jeune génération semble traverser la vie avec un état d'esprit confiant, même si cet optimisme juvénile semble être très superficiel. Des thèmes tels que la situation économique inflationniste actuelle, la cherté du logement ou la difficulté à assurer sa sécurité financière sont autant de maux de ventre quotidiens et de craintes pour l'avenir. Ainsi, plus de la moitié des participants à l'étude ont indiqué que le travail devait avant tout servir à assurer l'existence, en plus du développement personnel. Malgré quelques facteurs qui préoccupent les jeunes Suisses, le baromètre de l'humeur semble être plus positif que chez les voisins allemands et autrichiens. Les jeunes ont également été interrogés sur le thème de la durabilité :

Instagram reste la plateforme de médias sociaux la plus populaire

La jeune génération consomme de plus en plus d'informations via les médias sociaux. Instagram compte parmi les favoris absolus avec une part de 37 % de toutes les personnes interrogées, suivi des applications d'information classiques avec 22 % et de Snapchat avec 15 %. La simplicité de consommation des contenus est une condition préalable. On peut donc en conclure que l'on attend aujourd'hui une omniprésence sur les plates-formes de médias sociaux ou autres canaux numériques. Les formats classiques tels que le journal ou la radio sont certes moins souvent consommés que les médias sociaux, mais ils sont considérés par le jeune groupe cible comme des canaux plus riches en informations ou plus sérieux.

GfK : le commerce de détail suisse continue de progresser grâce à l'alimentation

Pour la 34e fois, GfK a publié le Detailhandel Schweiz (commerce de détail suisse) avec des chiffres clés pertinents et des hit-parades sur le commerce de détail suisse et le commerce en ligne, ainsi que les tendances actuelles. Il en ressort que le commerce de détail continue de progresser.

Chiffres d'affaires du commerce de détail suisseLes chiffres d'affaires du commerce de détail en valeur ont à nouveau légèrement augmenté pour atteindre 103 milliards de francs suisses. Au total, les chiffres d'affaires du commerce de détail suisse ont augmenté d'environ un demi-milliard de francs suisses en 2023, pour atteindre 103 milliards de francs suisses. Cela correspond à une augmentation de 0,5% par rapport à l'année précédente. La croissance démographique et l'évolution positive du secteur alimentaire ont notamment contribué à cette évolution.


En 2023, les consommateurs suisses ont acheté pour 14,4 milliards de francs suisses de biens et de marchandises en ligne. Cela correspond à une augmentation de 0,4 milliard de francs suisses ou 3 % par rapport à l'année précédente. La consommation en ligne sur Internet augmente de 0,2 milliard en 2023 par rapport à l'année précédente. Les achats en ligne à l'étranger ont atteint un nouveau record avec 2,2 milliards de francs suisses et augmentent de 10 % par rapport à 2022. Les moteurs de cette croissance sont les petits colis en provenance d'Asie. Ceux-ci sont livrés par les grandes plateformes, principalement par fret aérien, directement à Zurich et Genève. D'ici la fin de l'année, on s'attend globalement à une croissance modérée du chiffre d'affaires allant jusqu'à 1 pour cent. La barre des 104 milliards de francs suisses sera ainsi dépassée pour la première fois.

Enquête Xing : l'importance du télétravail pour les Suisses

Il y a quatre ans, la pandémie de Corona a permis au télétravail de percer. Quatre ans plus tard, Xing veut savoir : Dans quelle mesure le transfert du lieu de travail à domicile s'avère-t-il durable ?

Enquête sur le travail à domicile
Image : Arnel Hasanovic ; Unsplash.

Le home office est aujourd'hui possible pour moins de la moitié des personnes interrogées, et pour un quart des personnes actives ayant la possibilité de travailler à domicile, l'employeur a de nouveau limité cette possibilité. De nombreux actifs accordent de l'importance au travail à domicile, mais pour peu d'entre eux, il s'agit d'un critère décisif dans le choix d'un employeur. Ce sont les résultats d'un sondage du réseau d'emploi Xing, pour lequel l'institut d'études de marché et d'opinion Forsa a interrogé en début d'année cinq cents salariés en Suisse alémanique sur le thème du home office et du travail à distance.

Autres résultats :

  • Quatre personnes interrogées sur dix indiquent qu'elles ont la possibilité de travailler au moins partiellement en home office. Pour 20 pour cent, il y a une obligation générale de présence et 35 pour cent exercent une profession qui ne peut être exercée que sur place. Les hommes, avec 50 pour cent, ont plus souvent la possibilité de travailler en home office que les femmes, avec 29 pour cent.
  • Parmi les personnes interrogées qui peuvent travailler au moins partiellement en home office, 26 pour cent déclarent que leur employeur a déjà limité les possibilités de travail à domicile. Dix-neuf pour cent supplémentaires craignent qu'une réduction soit imminente. Environ la moitié (52%) pense que les possibilités actuelles de travail à domicile seront maintenues dans leur entreprise.
  • 41 % des personnes interrogées indiquent que la possibilité de travailler à domicile rend un employeur plus attractif. Pour environ un cinquième (21%) des personnes interrogées qui ne peuvent actuellement pas travailler à domicile, ce serait une raison de changer d'employeur. Pour peu de personnes, l'absence de possibilités de travail à domicile est un critère décisif dans la recherche d'un emploi. Alors que 45 % renoncent à postuler si le lieu d'implantation d'une entreprise ne leur convient pas, malgré la perspective d'un salaire plus élevé, seuls 21 % se laissent décourager par l'absence de possibilités de travail à domicile ou à distance. Une mauvaise culture de gestion, de mauvaises expériences avec l'employeur dans le cercle de connaissances, une situation financière difficile de l'entreprise ou une mauvaise image de l'entreprise sont également des critères d'exclusion plus importants que l'absence de possibilités de travail à domicile.
  • L'effet du home office sur la productivité est évalué positivement par les personnes interrogées qui peuvent travailler au moins partiellement à domicile. 21 pour cent estiment que leur propre rendement au travail est beaucoup plus élevé en home office, 27 pour cent un peu plus élevé. 9 % estiment qu'ils sont un peu moins performants au bureau à domicile et 4 % indiquent que leur direction de travail à domicile est beaucoup plus faible.
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