CIM2025 - La métrologie sous le signe de l'avenir

Le Congrès International de Métrologie (CIM) s'est tenu du 11 au 14 mars 2025 à Eurexpo Lyon (France). L'événement était organisé par Global Industrie, le plus grand salon industriel de France.

Le CIM2025 a de nouveau été l'occasion de nombreux échanges professionnels. (Photo : GL Event, Sébastien Ferraro)

Du 11 au 14 mars 2025, des professionnels du monde entier se sont réunis à Lyon pour la 22e édition du Congrès international de métrologie (CIM2025), organisé par le Collège français de métrologie (CFM). L'événement s'est déroulé dans le cadre du salon Global Industrie et a prouvé une fois de plus son importance cruciale pour la science et l'industrie dans le domaine de la métrologie.

150 ans de la Convention du mètre - une édition anniversaire

L'année 2025 a marqué un temps fort particulier : le 150e anniversaire de la Convention du mètre, un jalon de la coopération internationale en métrologie. Dans son discours de circonstance, Martin Milton, directeur du BIPM et président du CIM2025, a salué cet événement en déclarant : "Nous célébrons les 150 ans de la Convention du mètre - elle est la base des mesures pour tous les peuples". Il a ainsi souligné le rôle fondamental de la métrologie pour la science, l'industrie et la société.

Un écho international croissant

Avec quelque 500 participants venus de 40 pays, la portée du congrès s'est clairement révélée. Des sujets d'actualité tels que la numérisation de la métrologie, l'intelligence artificielle et la durabilité ont fait l'objet de discussions approfondies dans le cadre de 180 conférences et présentations de posters au total. De nouveaux formats tels que l'atelier numérique QI et un bref séminaire sur l'ISO/CEI 17025 ont également enrichi le programme.

Un pont entre la science et l'industrie

L'un des éléments centraux du congrès était le "Metrology Village" - un espace d'exposition de 1.000 mètres carrés où 60 entreprises ont présenté leurs innovations. Le lien étroit avec l'industrie s'est également reflété dans l'ouverture, lors de laquelle sont notamment montés sur scène Thomas Courbe (DGE), Laurent Labatut (Trescal) et Cosimi Corleto (CFM). Ce dernier a souligné que "la coopération entre la métrologie et l'industrie est essentielle pour les progrès technologiques".

Les avis des professionnels

L'échange scientifique et l'atmosphère internationale ont été particulièrement appréciés par les participants. Andrea Giura (INRiM), récompensée pour la meilleure présentation de poster, a souligné : "C'était fascinant de voir comment différents domaines de la métrologie interagissent et permettent des avancées technologiques". Pauline Lemaire (MERSEN) a salué l'organisation et la diversité du public : "La communauté internationale était fortement représentée, l'environnement était ouvert et collégial".

Pour les jeunes scientifiques comme Térence Bordet (COLAS), lauréat du prix de la meilleure présentation, le congrès a été une plateforme précieuse : "Cette distinction nous motive à faire avancer nos recherches".

Une étape réussie

Avec plus de 45 000 visiteurs au salon Global Industrie, soit une augmentation de 20 % par rapport à 2023, la pertinence du CIM a été une nouvelle fois soulignée. Le congrès a offert un espace unique pour le transfert de connaissances, le réseautage et la promotion d'une dynamique d'innovation commune. La prochaine édition du Congrès international de métrologie CIM aura lieu en 2027.

Source et informations complémentaires : https://www.cim-metrology.org/en/. Le présent rapport a été rédigé avec le soutien de KI. 

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/cim2025-metrologie-im-zeichen-der-zukunft/

Marché publicitaire mars 2025 : les médias classiques toujours sous pression

En mars 2025, le marché publicitaire suisse a enregistré une baisse de 4,0 pour cent par rapport au même mois de l'année précédente. Selon Media Focus, aucun canal média classique n'a pu se soustraire à la tendance à la baisse - le secteur numérique affiche également des reculs.

Le marché publicitaire en Suisse reste en recul en mars 2025. La pression publicitaire brute dans les médias classiques s'élève à 340,7 millions de francs, ce qui correspond à un recul de 4,0% par rapport au même mois de l'année précédente. En février déjà, on enregistrait une baisse de 3,2 pour cent.

Aucun des groupes de médias classiques n'a pu clôturer positivement la comparaison avec l'année précédente. Le classement au sein du mix média reste toutefois stable : la TV continue de devancer la presse, suivie de l'out-of-home, de la radio et du cinéma.

Cumulée, la pression publicitaire brute du premier trimestre s'élève à 859,5 millions de francs, soit un recul de 4,3 % par rapport à l'année précédente.

Le marché de la publicité numérique montre également des tendances à la baisse dans les domaines du search et du display. Avec une part de 52,3 pour cent, Search reste néanmoins en tête, devant Display avec 33,1 pour cent. Seul YouTube enregistre une croissance et atteint une part de marché de 14,6 pour cent.

(Graphiques : Media Focus)

Le commerce de détail domine - mais avec une hausse modérée
Seules huit branches sur 21 ont pu progresser sur le marché publicitaire classique. Le commerce de détail reste en tête avec 36,2 millions de francs de pression publicitaire brute en mars, mais n'enregistre qu'une hausse de 5,8 %. Les branches des médias (+18,2 %), du nettoyage (+17,6 %) et du numérique et de la maison (+17,0 %), entre autres, enregistrent des hausses plus fortes.

Les loisirs, la restauration et le tourisme (+6,4 %), la pharmacie et la santé (+4,4 %), les transports (+13,7 %) et les biens personnels (+2,1 %) ont également connu une évolution positive.

Treize secteurs affichent une évolution à la baisse. Le secteur alimentaire se place néanmoins en deuxième position avec une baisse de 6,9%. Parmi les autres secteurs concernés, on trouve la construction, l'industrie, l'ameublement (-9,6 %), les véhicules (-9,1 %), les initiatives et campagnes (-3,7 %) et la finance (-1,1 %). En bas de l'échelle, on trouve l'énergie (-58,8 %) et le tabac (-29,1 %).

Sur le marché numérique, le secteur des loisirs, de la gastronomie et du tourisme est en tête du classement mensuel et annuel, tandis que sur le marché classique, c'est le commerce de détail qui est en tête.

Le classement des différents secteurs montre des parallèles entre les deux marchés : Les boissons occupent la 14e place, la pharmacie et la santé ainsi que les cosmétiques et les soins corporels se situent au milieu du classement. Alors que les produits du tabac sont en queue de peloton sur le marché classique, la branche Nettoyage occupe cette position dans le domaine numérique.

Dans le domaine de l'affichage, l'opérateur de téléphonie mobile Spusu.ch occupe à nouveau la première place. En matière de SEO, Booking.com reste en tête, tandis que sur YouTube, c'est la marque de nicotine Zyn qui arrive en tête. L'offre de vols de Swiss Airlines ainsi que la plateforme Swiss.com apparaissent chacune à la neuvième place dans les deux domaines.

Beat Imhof, nouveau membre du comité directeur de Suisse Tourisme

Mercredi, le président de GastroSuisse Beat Imhof a été élu au comité directeur de Suisse Tourisme dans le cadre de l'assemblée générale. La représentation des intérêts de l'hôtellerie-restauration reste ainsi fortement ancrée dans l'organe national de marketing touristique.

(Image : zVg. GastroSuisse)

Beat Imhof succède à Massimo Suter au sein du comité directeur de Suisse Tourisme. Il reprend ainsi le rôle de représentant de la branche de l'hôtellerie et de la restauration au sein de l'organe suprême de l'organisation nationale de marketing touristique. Il prend ses nouvelles fonctions avec effet immédiat.

Depuis l'été 2024, Imhof est à la tête de GastroSuisse, la plus grande association patronale de l'hôtellerie et de la restauration suisses. Chef de cuisine diplômé et titulaire d'un master en "General Management" de la Haute école de Lucerne, il a auparavant occupé, entre autres, le poste de CEO du Casinotheater de Winterthur.

Ochsner Sport devient le partenaire principal des Championnats du monde de VTT en Valais

Ochsner Sport s'engage en tant que partenaire principal officiel des Championnats du monde de VTT UCI 2025 en Valais. Avec la légende du VTT Nino Schurter comme ambassadeur de la marque, le distributeur de sport renforce sa présence dans le cyclisme suisse.

Les championnats du monde UCI de VTT reviendront en Suisse à la fin de l'été 2025 - avec Ochsner Sport comme partenaire principal officiel. Le plus grand magasin de sport du pays soutient ce grand événement international qui se déroulera du 30 août au 14 septembre sur plusieurs sites en Valais. Le célèbre vététiste Nino Schurter sera l'ambassadeur de la marque.

Ce partenariat souligne la stratégie à long terme d'Ochsner Sport de s'engager largement dans le sport suisse. Outre les coopérations existantes avec des organisations telles que Swiss Olympic, l'Association suisse de football ou Swiss-Ski, les championnats du monde de VTT sont une nouvelle occasion de renforcer les liens avec un groupe cible actif sur place.

"La Suisse a toujours été un pays de VTT, comme le prouvent de manière impressionnante les succès exceptionnels de ces dernières décennies", explique Marco Greco, responsable marketing chez Ochsner Sport. "En tant que partenaire principal des championnats du monde, nous donnons un signal fort de notre lien étroit avec le cyclisme suisse".

Sur place, lors des championnats du monde, Ochsner Sport sera présent avec différentes activités.

Control 2025 : focalisé sur des thèmes, international et orienté vers l'avenir

Les responsables de l'assurance qualité attendent avec impatience la 37e édition de Control, le salon international de l'assurance qualité (AQ). Il se tiendra du 6 au 9 mai 2025 à Stuttgart. Traditionnellement, cet important événement du secteur se focalise sur la qualité, la pertinence et un niveau professionnel élevé.

Du 6 au 9 mai, Control 2025 invite les professionnels de l'assurance qualité à visiter le salon. (Photo : Control Messe / Schall Messen)

Les préparatifs du salon Control 2025 entrent dans leur dernière phase. Du 6 au 9 mai 2025, les fournisseurs et utilisateurs de solutions pour la qualité d'un produit, d'un processus ou d'un service se rencontreront à Stuttgart. L'entreprise de salons P. E. Schall prévoit d'organiser le salon professionnel international de l'assurance qualité, qui illustre différents types de techniques de mesure et présente de manière pertinente tous les secteurs, dans les quatre halls 3, 5, 7 et 9 du parc des expositions de Stuttgart. L'éventail des thèmes comprend les domaines de la vision, du traitement de l'image, des capteurs ainsi que des techniques de mesure et de contrôle, y compris les logiciels et les technologies d'évaluation les plus modernes.

Control Quality Talk 2025 discute de l'IA dans l'assurance qualité

L'intelligence artificielle jouera un rôle important lors du salon de cette année. Les systèmes d'intelligence artificielle sont en effet devenus une tendance technologique importante dans le domaine de l'assurance qualité. Les exposants, les visiteurs professionnels et les invités assisteront donc cette année à la première édition d'un nouveau format de manifestation dans le cadre du programme du salon - le Control Quality Talk 2025. Sous le titre "L'IA dans l'assurance qualité - l'avenir sera-t-il sans défaut ? L'IA, un turbo pour la rentabilité et l'efficacité", une table ronde réunissant des experts de renom parlera de l'IA dans l'assurance qualité. Il s'agira de discuter des systèmes d'IA qui existent déjà, de ceux qui sont déjà utilisés dans l'industrie et des effets concrets qu'ils produisent en termes de rentabilité et d'efficacité. En outre, il sera expliqué dans quelle mesure les futurs systèmes d'IA ouvrent la voie à des produits et processus sans défaut dans le cadre d'une automatisation complète et simplifient l'assurance qualité. Ira Effenberger, chef de groupe à l'Institut Fraunhofer pour la technique de production et l'automatisation IPA, Ralf Christoph, directeur et propriétaire de Werth Messtechnik, Florian Schwarz, CEO de CAQ AG Factory Systems, ainsi que Christian Wojek, Head of AI, Zeiss IQS, feront partie des participants à la discussion. La table ronde sera animée par le Dr. Peter Ebert, rédacteur en chef du média spécialisé "inVISION". Selon les organisateurs, les exposants, les visiteurs professionnels et les invités pourront tirer de cette discussion de nombreuses informations de fond et une inspiration supplémentaire.

L'AQ favorise la fabrication de produits sûrs

Les mesures d'assurance qualité sont essentielles pour les entreprises et déterminantes pour l'avenir. C'est justement en période de conditions économiques difficiles que les solutions modernes d'assurance qualité revêtent une grande importance. C'est pourquoi, pour de nombreuses entreprises, le salon Control est l'un des événements phares de l'année. Dans tous les secteurs, il est actuellement plus important que jamais d'utiliser les avantages de la numérisation, de la mise en réseau et de l'évaluation intelligente des informations et de les mettre en œuvre dans le cadre des processus d'assurance qualité quotidiens. En effet, outre les possibilités d'augmentation de l'efficacité de la production, une AQ intelligente favorise également de manière significative la fabrication de produits sûrs. Il s'agit donc de réduire les coûts potentiels liés aux erreurs et le surcroît de travail, d'augmenter la satisfaction des clients, de détecter les erreurs cachées dans la chaîne de création de valeur, d'éviter les conséquences juridiques et, souvent, de prévenir directement les risques pour la vie et l'intégrité physique. Qu'il s'agisse de durabilité, de protection du climat, de tournant énergétique, d'e-mobilité ou d'automatisation : pratiquement aucune des mégatendances actuelles ne peut être maîtrisée sans la numérisation des processus et des procédés de production liés à l'AQ. Ainsi, les mesures modernes d'AQ contribuent directement à la maîtrise de nombreux défis d'importance mondiale.

Programme-cadre TOP avec exposition spéciale et forum spécialisé

Dans les processus de travail de la production industrielle, les mesures d'assurance qualité vont désormais jusqu'à l'automatisation complète des processus de contrôle ; ils deviennent plus rapides et plus efficaces, ils se déroulent en ligne et sont intégrés dans les processus les plus divers. Les systèmes d'intelligence artificielle apportent de plus en plus leur soutien, notamment pour l'accélération des processus de mesure, l'évaluation des données de mesure et la poursuite de l'automatisation. Ils ont déjà profondément pénétré le secteur de l'assurance qualité et seront abordés à de nombreux endroits du salon. Les visiteurs professionnels ont traditionnellement la possibilité d'obtenir des informations actualisées et de nouer de nouveaux contacts grâce à un programme-cadre de haut niveau. Cela comprend le forum spécialisé avec des exposés thématiques et pratiques, ainsi que l'exposition spéciale "Technique de mesure sans contact" du département Vision de Fraunhofer, organisée cette année pour la 19e fois. L'exposition spéciale présente à un endroit central des technologies, des applications et des composants de système du domaine de la technique de mesure et de contrôle sans contact et s'est établie comme place de marché des innovations aussi bien auprès des exposants que des visiteurs du salon. L'exposition spéciale offre d'une part aux personnes intéressées et aux utilisateurs potentiels une première aide à l'orientation dans le choix d'une technologie appropriée pour maîtriser leurs propres tâches de contrôle. En effet, la performance et la flexibilité des systèmes modernes ne cessent de croître. Des échelles de plus en plus grandes sont couvertes et de nouveaux champs d'application sont ouverts. En raison de la rapidité du développement technique, il n'est pas facile pour les utilisateurs de s'orienter sur le marché et de faire un choix approprié en fonction de leurs propres besoins. Outre cette première aide à l'orientation, les exposants proposent également sur le stand de l'exposition spéciale des systèmes complets de mesure et de contrôle sans contact, sur lesquels les visiteurs ayant des problèmes concrets trouveront des solutions.

Des contacts personnels indispensables

Les organisateurs se montrent optimistes, malgré des perspectives économiques plutôt sombres : "Nous attendons avec impatience le salon Control 2025, ce sera à nouveau un rendez-vous de premier ordre pour la branche", déclare Bettina Schall, directrice de l'organisateur du salon P. E. Schall. "Lors de cet événement traditionnel de la communauté des experts, de nombreuses nouvelles informations professionnelles sont échangées et de nouveaux contacts commerciaux importants sont noués. C'est pourquoi les entretiens personnels sur le salon sont si importants". Les exposants, dont 25 entreprises de Suisse, rencontrent au salon Control des visiteurs professionnels pré-informés qui apportent de solides connaissances techniques sur la métrologie. L'illustration concrète et l'explication directe sur l'objet, le niveau qualitatif élevé des visiteurs, le pont jeté entre la recherche et l'industrie, sans oublier le contact personnel, rendent le salon indispensable pour de nombreux acteurs de la branche. n

www.control-messe.de

 

Exemple d'application de la technique de mesure en ligne

Le fabricant canadien Polyrix présente au salon Control 2025 (hall 9, stand 9205) sa série PolyScan V pour le contrôle en cours de processus entièrement automatisé. Le "V" signifie "polyvalence", explique l'entreprise. En adaptant l'unité de balayage à une pièce spécifique ou à une application complexe, les fabricants peuvent intégrer de manière transparente une technologie de mesure de haute précision dans leurs processus de production. Les scanners 3D PolyScan Surround sans mouvement seront présentés. Il s'agit de systèmes de mesure multi-capteurs qui permettent une détection tridimensionnelle complète d'un large éventail de composants. En mettant l'accent sur la vitesse, la simplicité et la fiabilité, le système PolyScan convient à l'inspection dimensionnelle, à l'assurance qualité en cours de processus et au contrôle de composants, d'outils et de modèles.

Exemple de produit présenté au salon Control 2025 : le scanner 3D PolyScan de Polyrix. (© Polyrix)

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/control-2025-themenfokussiert-international-und-zukunftsgerichtet/

Oppenheim & Partner prend en charge le mandat de relations publiques de Relais & Châteaux

Le réseau international Relais & Châteaux a désigné Oppenheim & Partner comme nouvelle agence de relations publiques pour la Suisse et le Liechtenstein. L'objectif de cette collaboration est de renforcer de manière ciblée la présence de la marque sur les deux marchés.

(Image : zVg.)

Relais & Châteaux compte actuellement 580 établissements dans 65 pays, qui réunissent 385 étoiles Michelin. En Suisse, le réseau est représenté par plusieurs établissements. Désormais, le réseau mondial d'hôtels et de restaurants indépendants haut de gamme fait appel à Oppenheim & Partner pour son travail de relations publiques en Suisse et au Liechtenstein. L'agence dirigée par ses propriétaires assume le rôle de service de presse officiel et doit développer la visibilité de la marque dans la région.

Au cœur de cette collaboration se trouvent des conseils stratégiques en communication, des relations avec les médias ainsi que l'organisation de voyages de presse et d'événements. L'objectif est d'ancrer davantage les aspects de la marque - hospitalité exceptionnelle, excellence culinaire et ancrage culturel - sur le marché local également.

Tina Seiler, partenaire chez Oppenheim & Partner et responsable de ce nouveau mandat, commente : "Nous sommes très heureux de pouvoir nous occuper de Relais & Châteaux, une marque aussi riche en tradition et de renommée internationale. L'ajout à notre portefeuille dans le domaine de l'hospitalité est une étape importante et souligne notre passion pour l'hôtellerie et la gastronomie".

Les systèmes de gestion à la limite ?

Les obligations ESG (Environnement, Social et Gouvernance) peuvent-elles être basées sur la thématique "EHS" (Environment, Health and Safety) ? Quelques aspects essentiels s'y opposent.

Notions d'EHS et d'ESG : alors que le premier terme a une référence interne, locale et régionale (cercles orange : sites de l'entreprise, cercles verts : environnement régional), le second a une référence externe, stratégique et globale, élargie à la thématique de la chaîne d'approvisionnement et à l'aspect de la gestion responsable, intègre et transparente de l'entreprise (cercle bleu : l'entreprise dans son contexte d'impact global).© IPSO ECO 2024
Notions d'EHS et d'ESG : alors que le premier terme a une référence interne, locale et régionale (cercles orange : sites de l'entreprise, cercles verts : environnement régional), le second a une référence externe, stratégique et globale, élargie à la thématique de la chaîne d'approvisionnement et à l'aspect de la gestion responsable, intègre et transparente de l'entreprise (cercle bleu : l'entreprise dans son contexte d'impact global).© IPSO ECO 2024

En Suisse, les grandes sociétés ouvertes au public, les banques et les assurances doivent publier des rapports sur les questions non financières depuis l'exercice 2023. Depuis 2024, les entreprises doivent également publier leur impact sur le climat, tel que défini dans l'ordonnance sur le reporting climatique. Mieux encore : fin juin 2024, le Conseil fédéral a ouvert une consultation sur d'autres dispositions relatives aux obligations de reporting. Comme dans l'UE, encore plus d'entreprises devront rendre compte des risques liés à leurs activités commerciales dans les domaines de l'environnement, des droits de l'homme et de la corruption, et exposer les mesures qu'elles prennent à cet égard.

De nombreuses entreprises sont désormais confrontées à la question suivante : l'évaluation de ces obligations ESG peut-elle être intégrée dans les systèmes de gestion EHS existants ? Ou faut-il encore faire des efforts supplémentaires ? Les réponses à ces questions ne sont pas simples. Il vaut donc la peine de comparer les thèmes "ESH" et "ESG".

EHS : système de gestion axé sur la région locale

Des processus d'exploitation et de production sûrs et respectueux de l'environnement, la préservation des ressources (par exemple les approches d'optimisation "cradle-to-grave" ou les cycles "cradle-to-cradle") ainsi que la prévention des événements critiques et, par conséquent, la prévention des coûts monétaires et de réputation sont établis dans de nombreuses entreprises. De tels concepts de gestion EHS sont souvent institutionnalisés sous la forme de systèmes de certification selon ISO 14001 et ISO 45001, dans lesquels la conformité joue un rôle central, en plus de la charte, de la politique environnementale ou de sécurité, du processus d'amélioration continue (PAC), de l'utilisation d'indicateurs mesurables et de la dérivation de chiffres clés. Les audits permettent de vérifier si les processus d'exploitation spécifiques au site sont conçus de manière à ce que, par exemple, les systèmes de chauffage ne dépassent pas les valeurs limites en vigueur selon l'Ordonnance sur la protection de l'air (OPair) ou si les eaux usées sont traitées conformément à l'Ordonnance sur la protection des eaux (OEaux). D'autres points sont également le stockage des produits chimiques et l'élimination des déchets conformément à la loi. Dans le domaine de la sécurité au travail et de la protection de la santé, il s'agit de protéger les collaborateurs, par exemple, contre les effets mécaniques dangereux dus à une installation non optimale ou à une manipulation inappropriée. On pourrait citer bien d'autres exemples EHS. Tous ont en commun le fait que les impacts potentiels ou la consommation de ressources ont majoritairement un caractère interne-local ou régional. Les aspects liés aux chaînes d'approvisionnement/de création de valeur internationales, l'"amont", ainsi que les thèmes liés à la consommation et à la fin de vie, l'"aval", sont ici laissés de côté.

ESG : élargi sur le plan thématique, géographique et des parties prenantes

En revanche, l'ESG a une ambition globale, universelle et diversifiée : ainsi, si "E" et "S" dans le terme ESG signifient en principe les mêmes concepts ou des concepts similaires à ceux de l'EHS, ils élargissent le cadre de référence au niveau mondial. Les processus en amont qui, dans la chaîne d'approvisionnement, ne respectent pas les exigences environnementales ou les droits de l'homme sont recherchés, identifiés et disséqués au microscope aussi précisément que possible, évalués, les conclusions nécessaires sont tirées et des mesures sont prises. Les processus en aval sont également au moins envisagés (par exemple en ce qui concerne une conception modulaire du produit et donc une meilleure réparabilité). Enfin, avec le "G" dans la signification d'une gestion d'entreprise intègre, exemplaire et éthique, la notion de durabilité est élargie à l'éthique et à la philanthropie.

La stratégie et la politique de durabilité centrées sur les parties prenantes impliquent les investisseurs et les décideurs, ainsi que les producteurs situés bien en amont de la chaîne d'approvisionnement. En outre, des structures de prix sont établies qui permettent de verser des salaires de subsistance dans les pays à bas revenus, des accords sont conclus avec les autorités locales d'autres pays ou des ONG, par exemple pour soutenir l'éducation. "En aval, les organisations de consommateurs sont consultées afin d'initier ou d'établir, par exemple, le recyclage, l'upcycling ou le réemploi de certains biens. L'exigence ESG de responsabilité pour l'ensemble de la société contraste avec les motivations ESG égoïstes, tout à fait présentes, visant à se positionner comme entreprise "durable" afin d'augmenter la réputation, le chiffre d'affaires et la valeur actionnariale.

Quels sont les décrets et les obligations en vigueur ? Difficile d'y voir clair

Établir la conformité juridique en matière d'ESG dans le cadre d'ISO 14001 et d'ISO 45001 ne va donc pas assez loin. Ces normes exigent certes l'identification des prescriptions applicables, des analyses de statu quo, la formulation de mesures et leur vérification dans le sens d'une amélioration continue. Dans ce contexte, l'évaluation de la conformité légale reste un critère clé pour la réussite de la certification, mais elle se limite aux critères EHS et ne tient pas suffisamment compte des aspects globaux. A cela s'ajoute également le fait que, tandis que les obligations sont étendues à encore plus d'entreprises - à moins que les lois "omnibus" de l'UE allant dans la direction opposée n'entrent en vigueur -, la montagne de lois et de règlements à prendre en compte augmente parallèlement (p. ex. CSDDD, CSRD, CBAM). Cela signifie qu'il est nécessaire de disposer d'une solution d'orientation afin d'avoir les réglementations essentielles sur le radar, de surveiller les modifications en cours et de pouvoir définir des mesures. L'entreprise de conseil IPSO ECO a identifié une quarantaine d'actes législatifs centraux suisses et européens. Les articles concrets les plus importants pour l'entreprise ont été préparés sous forme de masques de questions séparés et classés par thèmes et sous-thèmes pertinents. Une telle solution électronique conviviale sous forme de liste de contrôle peut servir d'outil d'évaluation. Elle devrait aujourd'hui faire partie de l'équipement de base d'une bonne gestion d'entreprise. n

Auteur

Niklaus Renner, diplômé en sciences naturelles de l'environnement (EPF), est responsable de la gestion de la conformité et auditeur SENS eRecycling chez IPSO ECO AG. www.ipsoeco.ch, www.complyant.ch

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/managementsysteme-am-limit/

Le design rencontre la durabilité : l'économie circulaire repensée

Davide Mastrodomenico est directeur de Girsberger AG, un fabricant de meubles suisse renommé. Dans l'interview qu'il a accordée à la SAQ Swiss Association for Quality, il parle de modèles commerciaux viables, du rôle du design dans l'économie circulaire et des raisons pour lesquelles la Journée de la qualité suisse est un lieu de véritable inspiration.

Davide Mastrodomenico : "Notre objectif est de réutiliser les matériaux plutôt que de les jeter"© zVg / Girsberger AG
Davide Mastrodomenico : "Notre objectif est de réutiliser les matériaux plutôt que de les jeter"© zVg / Girsberger AG

Monsieur Mastrodomenico, que signifie pour vous la qualité dans le contexte du secteur de l'ameublement ?

Davide Mastrodomenico : Les meubles doivent être esthétiques, fonctionnels et durables. Ils doivent résister au quotidien pendant des années - sans perdre leur caractère ou leur confort.

Lors de la Journée de la qualité suisse, vous parlerez de la mise en œuvre d'une vision respectueuse des ressources. Qu'est-ce qui se cache derrière cette idée ?

Notre vision se manifeste dans le domaine du remanufacturing : nous prolongeons la durée de vie des meubles en les remaniant - et ce, indépendamment de la marque. C'est unique en son genre. Dans notre discipline reine "Upcycling", nous créons des solutions sur mesure à partir de matériaux recyclables existants. En collaboration avec des architectes et des designers, nous développons des meubles de haute qualité sans compromis optique ou qualitatif. Les solutions doivent être économiquement intéressantes, tant pour les clients que pour nous, car la durabilité ne peut être un succès à long terme que si elle est rentable.

Pour cet engagement, l'entreprise Girsberger a reçu le prix allemand du développement durable 2023. Comment en est-on arrivé là ?

L'idée est née du désir de réduire notre empreinte écologique. À l'origine, nous proposions des réparations uniquement pour nos propres produits. La demande croissante nous a amenés à élargir notre offre, indépendamment des fabricants. Le chemin à parcourir a été difficile, tant sur le plan technique que sur celui de la communication. Il a fallu beaucoup de travail de persuasion, car l'idée de rénover des meubles plutôt que de les remplacer était loin d'être évidente. Aujourd'hui, nous sentons que les mentalités évoluent.

Le slogan du TSQ 2025 est "Démarrer avec clairvoyance". Comment interprétez-vous ce thème par rapport à votre travail chez Girsberger ?

Pour moi, cela signifie : ne pas agir à court terme, mais développer des solutions viables à long terme. L'économie circulaire est ici centrale. Notre objectif est de réutiliser les matériaux plutôt que de les éliminer. Pour cela, il faut non seulement un savoir-faire technique, mais aussi le courage d'emprunter de nouvelles voies. Nos manufactures, qui disposent d'une grande compétence artisanale, constituent à cet égard un facteur de réussite décisif.

Comment convaincre les clients de préférer le remanufacturing à l'achat de produits neufs ?

Nous montrons que des meubles remis à neuf peuvent être aussi qualitatifs et personnalisés que des produits neufs. Grâce à des ateliers, une communication transparente et des offres attrayantes sur le plan écologique et économique, nous créons la confiance. De nombreux meubles que nous rénovons ont une substance qui est souvent supérieure aux standards actuels.

Comment assurez-vous la qualité des meubles remis à neuf ?

Grâce à des contrôles stricts et à des spécialistes qui maîtrisent leur métier. Nous utilisons exclusivement des matériaux de qualité supérieure et garantissons la même qualité que pour les produits neufs - garantie complète incluse.

Avez-vous un exemple de projet réussi ?

L'un des points forts est le projet d'upcycling "ReCollection ZH" pour le canton de Zurich. En collaboration avec la direction des travaux publics et l'université de Zurich, nous avons développé une collection à partir de mobilier de bureau entreposé. Au lieu d'être éliminés, ces meubles ont été transformés en soft seating pour les espaces de détente - en préservant les ressources et à moindre coût. La ReCollection ZH a été intégrée dans le catalogue d'achat du canton et donne un signal fort en faveur de la construction durable.

Quelles sont les tendances que vous attendez pour le secteur de l'ameublement ?

Le remanufacturing et l'upcycling vont continuer à gagner en importance - tout comme les concepts de leasing et de partage et, par conséquent, les offres de seconde main. Les technologies numériques aideront à améliorer les processus et à promouvoir la mise en œuvre de concepts de recyclage.

Quelles synergies voyez-vous entre le secteur de l'ameublement et d'autres industries ?

Le secteur de l'ameublement profite des synergies avec l'architecture, la science des matériaux et la technique. C'est surtout avec l'architecture que des concepts globaux durables voient le jour - grâce à l'utilisation commune des ressources et du savoir-faire. La collaboration avec des partenaires de réseau dans des domaines spécialisés apporte également des synergies utiles.

Pourquoi ne pas manquer le TSQ 2025 ?

Parce que l'événement offre une plateforme d'échange, d'inspiration et d'apprentissage concret. Les participants profitent d'un aperçu d'autres secteurs et de concepts mis en œuvre. Cela fournit à son tour une inspiration précieuse pour leurs propres solutions.

Merci beaucoup, Davide Mastrodomenico, pour ces aperçus inspirants. Votre engagement montre comment qualité et durabilité vont de pair et comment repenser la qualité.

 

A propos de la personne

Davide Mastrodomenico est entré dans l'entreprise Girsberger en 2002 et s'est découvert une passion pour les meubles haut de gamme. Il a dirigé avec succès les secteurs d'activité Customized Furniture et Remanufacturing, qu'il a considérablement marqués de son empreinte et développés. Depuis mi-2023, il est directeur de Girsberger AG, responsable des marchés suisse et français.

 

Journée de la qualité suisse 2025

La Journée suisse de la qualité a été créée en 2008 par la SAQ Swiss Association for Quality. L'objectif de cette manifestation est de promouvoir un échange intersectoriel sur le thème de la qualité, l'un des piliers de l'économie suisse. Le congrès annuel est organisé par la SAQ Swiss Association for Quality en collaboration avec Shift Switzerland. La prochaine Journée suisse de la qualité aura lieu le 13 mai à Berne.

Plus d'informations et inscription

 

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/design-trifft-nachhaltigkeit-kreislaufwirtschaft-neu-gedacht/

Dentsu est le premier groupe mondial d'agences à signer le Pacte européen sur l'intelligence artificielle

En adhérant au pacte volontaire de l'UE sur l'intelligence artificielle, Dentsu est, selon ses propres dires, le premier groupe mondial d'agences à s'engager pour une utilisation responsable de l'intelligence artificielle. Le groupe réagit ainsi de manière proactive aux évolutions réglementaires et aux préoccupations croissantes des clients vis-à-vis de l'IA générative.

Le groupe mondial d'agences Dentsu est la première holding mondiale de marketing et de publicité à avoir signé le Pacte IA de l'UE - une initiative volontaire de la Commission européenne visant à promouvoir une utilisation responsable et transparente de l'intelligence artificielle. Par cette démarche, l'entreprise se positionne non seulement en avance sur le plan réglementaire, mais répond également aux préoccupations croissantes des entreprises publicitaires, comme le montre une récente enquête de l'Association mondiale des annonceurs : 80% des entreprises de marque interrogées ont exprimé des réserves quant à l'utilisation de l'IA générative par les agences.

Le Pacte IA de l'UE s'adresse aux entreprises qui souhaitent s'aligner volontairement sur les principes fondamentaux de la prochaine loi européenne sur l'intelligence artificielle (AI-Act). L'accent est mis sur les structures de gouvernance, l'évaluation des risques des systèmes d'IA et le renforcement des compétences au sein des organisations.

Dans le cadre de ce pacte, Dentsu s'engage notamment à introduire des formations à l'échelle de l'entreprise, à mettre en œuvre une cartographie des risques élevés et à renforcer les modèles de gouvernance de l'IA existants.

La mise en œuvre se fait sur la base de coopérations existantes avec des partenaires technologiques tels que Microsoft, Adobe, AWS, Google et Salesforce. Dans le cadre d'initiatives de prototypage et de hackathons, Dentsu a déjà développé plus de 80 solutions de produits basées sur l'IA. L'objectif est de créer des solutions commerciales qui soient à la fois efficaces pour la marque et conformes à la protection des données et à l'éthique.

De plus, Dentsu fait avancer son propre écosystème d'IA en soutenant des start-ups comme Inworld, Fidder et VidMob. Avec des projets tels que GenStudio dentsu+ - une solution de flux de travail de contenu avec Adobe - le groupe montre comment les processus créatifs peuvent évoluer efficacement grâce à l'IA.

André Andrade, CEO de Dentsu EMEA, souligne : "La signature du Pacte IA de l'UE est pour nous une évidence. Chez Dentsu, nous considérons l'IA comme un outil permettant d'accroître la créativité et l'efficacité et d'obtenir de meilleurs résultats pour nos clients. Notre engagement en faveur d'une utilisation responsable de l'IA nous permet non seulement d'avoir une longueur d'avance sur les exigences réglementaires, mais aussi de tenir notre promesse de fournir des innovations qui ont un réel impact".

Sandro Tschuor nommé Senior Director Brand & MarComs chez Sunrise

Sunrise a engagé Sandro Tschuor comme nouveau Senior Director pour Brand & Marketing Communications à partir de début avril 2025. Auparavant, il occupait le poste de Chief Client Officer chez Ingo.

(Image : zVg.)

Avec Sandro Tschuor, Sunrise se dote d'une personnalité dirigeante profilée disposant d'une large expérience dans le branding, les campagnes et le sponsoring. Il succède à Andreas C. Caluori et aura pour mission d'augmenter l'impact de la stratégie publicitaire, de renforcer le programme de fidélité "Sunrise Moments" et d'intensifier les partenariats, peut on lire dans un communiqué de presse.

À 45 ans, il apporte une longue expérience du côté des agences, en dernier lieu en tant que Chief Client Officer chez Ingo et Client Lead pour les marchés spécialisés Migros dans le réseau WPP. Parallèlement à son activité d'agence, Tschuor a également été expert en hockey sur glace chez MySports et a derrière lui une carrière de joueur de hockey sur glace professionnel.

Parallèlement à sa carrière professionnelle, Tschuor s'engage entre autres en tant que président de l'organisation EMBA Alumni de l'université de Zurich.

La ZHAW devient un nouveau membre partenaire de Perikom

L'IAM Institut für Angewandte Medienwissenschaft de la ZHAW est un nouveau membre partenaire de Perikom et complète l'association avec son expertise scientifique. L'association professionnelle compte donc désormais seize membres partenaires.

Annette Pfizenmayer (à gauche) et Katharina Krämer, co-directrices d'études du CAS Corporate Communications à la ZHAW. (Image : zVg.)

"Une communication réussie n'est pas une tâche individuelle, mais une tâche collective qui ne fonctionne qu'en interaction", expliquent les codirectrices d'études du CAS Corporate Communications, Annette Pfizenmayer et Katharina Krämer, pour justifier leur engagement chez Perikom. "L'étroite collaboration entre la communication et les RH est essentielle pour créer une culture d'entreprise forte. Grâce à notre partenariat avec Perikom, nous souhaitons encourager l'échange entre la science et la pratique et faire progresser ce dialogue interdisciplinaire".

Perikom organise entre autres des manifestations régulières pour les experts en communication et en ressources humaines, comme le congrès suisse RH/communication interne qui a lieu chaque année. L'association professionnelle développe également des offres de formation continue et contribue à la recherche dans le domaine de la communication interne. Le prochain congrès suisse RH/communication interne aura lieu le 15 mai 2025 sur le thème du développement durable.

La gestion des contrats, talon d'Achille des entreprises ?

Les contrats constituent le cadre juridique dont chaque entreprise a besoin pour pouvoir planifier et gérer ses activités de manière fiable et à long terme. Il est donc d'autant plus surprenant que même les grandes entreprises de taille moyenne ne disposent souvent pas encore d'une gestion numérique des contrats.

Grâce à une gestion des contrats assistée par logiciel, tous les collaborateurs concernés sont toujours au courant de l'état de tous les contrats - et des obligations et modifications qui en découlent. (Image : istock-PrathanChorruangsak)

Les contrats sont la base juridique de toute entreprise et comprennent une multitude d'accords, tels que des contrats de vente, de location ou de licence. Malgré leur importance, de nombreuses entreprises moyennes en Suisse ne disposent toujours pas d'une gestion numérique des contrats. Selon le Dr Pascal Habegger, directeur de Fabasoft 4teamwork AG, la gestion des contrats est souvent répartie entre différents services, ce qui entraîne un manque de clarté dans les responsabilités et des risques tels que des délais manqués ou des pénalités contractuelles. Une solution logicielle intelligente pour la gestion des contrats permet de remédier à cette situation.

Utilisation de l'intelligence artificielle

La numérisation permet de stocker tous les contrats à un endroit central et de les rendre accessibles à tout moment aux personnes autorisées. Cela permet de gagner du temps, de réduire les doublons et de garantir une traçabilité complète grâce à des fonctions telles que le versionnement des contrats. En outre, l'utilisation de l'intelligence artificielle (IA) permet aux entreprises de mettre en œuvre rapidement les modifications réglementaires et de minimiser les risques sans avoir à examiner manuellement chaque contrat. Les systèmes basés sur l'IA analysent automatiquement les contrats et lancent les modifications ou les processus d'approbation nécessaires.

Signature numérique pour le travail mobile

Un autre point fort des logiciels modernes de gestion des contrats est la possibilité d'apposer des signatures numériques. Celles-ci sont infalsifiables et juridiquement contraignantes, ce qui facilite la mobilité des collaborateurs et garantit que les contrats peuvent également être signés dans un bureau à domicile ou en déplacement. De plus, une gestion des délais intégrée offre des rappels automatiques des dates et des délais importants, ce qui contribue à son tour à réduire les risques entrepreneuriaux et à exploiter les opportunités de manière optimale.

Dans l'ensemble, il apparaît que la gestion numérique des contrats permet non seulement de gagner en efficacité, mais aussi de renforcer la sécurité juridique et opérationnelle d'une entreprise. Les entreprises qui renoncent à ces solutions risquent de passer à côté d'engagements importants et de subir ainsi des inconvénients financiers ou juridiques considérables.

Source et informations complémentaires : Fabasoft 4teamwork AG

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/vertragsmanagement-als-achillesverse-in-unternehmen/

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