Le GDI présente un modèle d'analyse pour l'évolution dynamique des tendances
Avec le modèle "GDI Major Shifts", l'Institut Gottlieb Duttweiler présente un nouvel instrument d'analyse des évolutions sociales, technologiques, économiques, écologiques et géopolitiques. Il doit aider les entreprises à s'orienter stratégiquement dans des environnements complexes.
Rédaction
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18 juin 2025
(Graphique : GDI)
L'Institut Gottlieb Duttweiler GDI a élaboré le modèle "GDI Major Shifts" sur la base de ses longues années de recherche sur les tendances. Celui-ci identifie 20 évolutions centrales dans cinq catégories - société, technologie, économie, environnement et géopolitique - et les classe dans leur cycle de vie respectif. L'objectif est de ne pas considérer les tendances macroéconomiques de manière isolée, mais de les comprendre en tant qu'évolutions dynamiques qui reflètent plus précisément les phases de transition et les incertitudes stratégiques.
Le modèle se base sur le cadre STEEP établi et est continuellement complété par de nouvelles connaissances. Dans son application pratique, il aide les entreprises à classifier les développements futurs et à en déduire des options d'action concrètes.
Dans le cadre du service Strategic Foresight du GDI, l'institut accompagne les organisations dans la traduction des conclusions de l'analyse des tendances en mesures stratégiques concrètes. "Avec les Major Shifts du GDI, nous proposons à nos clients une analyse de l'environnement basée sur des données. Elle sert de base solide à une prise de décision stratégique fondée", explique Susan Shaw, Head of Strategic Foresight et membre de la direction de l'Institut Gottlieb Duttweiler.
Livre blanc : Dans quelle mesure les entreprises doivent-elles s'exprimer sur le plan politique ?
Le deuxième livre blanc des Reputation Experts se penche sur la question de savoir si et dans quelles conditions les entreprises doivent s'exprimer sur des thèmes politiques. Il fournit des points de repère concrets pour une prise de décision stratégiquement fondée au sein du conseil d'administration et de la direction.
Rédaction
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18 juin 2025
Hans-Jakob Boesch et Sabrina Huber des Reputation Experts présentent le deuxième livre blanc. (Images : zVg.)
Les attentes croissantes envers les entreprises, qui doivent également prendre position sur des thèmes sociaux ou politiques, soulèvent des questions sur les chances et les risques pour la réputation. Avec un nouveau livre blanc, Hans-Jakob Boesch de Hjb et Sabrina Huber de Sabrina Huber Consulting donnent aux décideurs une aide à l'orientation. Ils font partie du réseau "Reputation Experts".
Trois critères sont au centre d'une décision fondée : La pertinence d'un thème pour l'entreprise, l'acceptation par les groupes d'intérêt et un avantage clairement identifiable. "Et les entreprises ne devraient surtout pas se laisser mettre sous pression par des tiers sur cette question, mais décider uniquement en fonction de leurs propres intérêts", selon Hans-Jakob Boesch.
Ce guide s'adresse aux membres des conseils d'administration, aux directions et aux responsables de la communication. Il aborde aussi bien la réflexion stratégique que la mise en œuvre opérationnelle des prises de position politiques. "Rien n'est plus dangereux que de parler fort ou de se taire bruyamment, sans plan ni substance", explique Sabrina Huber.
Le livre blanc comprend des pistes de réflexion, identifie les risques et contient une liste de contrôle pour la mise en œuvre. Il est disponible sur Reputationexperts.ch prêt à être téléchargé.
En février déjà, Reputation Experts avait publié un livre blanc. Susanne Müller Zantop y plaidait pour l'introduction d'un "Reputation Board" dans les entreprises.
La cybersécurité dans les achats : entre la pression des coûts et le manque de normes
Les plus grands déficits structurels se situent au niveau de la standardisation des critères de sécurité et de la pondération stratégique de la sécurité par rapport aux coûts. Les grandes entreprises luttent contre la coordination interne, les petites entreprises contre le manque de savoir-faire. C'est ce qu'a révélé une enquête de Sophos.
Rédaction
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17 juin 2025
Dans de nombreuses entreprises, la cybersécurité des achats est encore freinée par la pression des coûts, l'absence de normes et le manque de coordination. (Image : Depositphotos.com)
L'importance de la cybersécurité dans les achats ne cesse de croître, mais de nombreux départements achats des entreprises sont confrontés à des défis considérables. C'est ce que révèle une récente enquête menée par le fournisseur de services de sécurité informatique Sophos auprès de 201 responsables des achats de différents secteurs et de différentes tailles d'entreprises en Allemagne.
L'optimisation des coûts, le plus grand obstacle
Selon l'enquête, les quatre plus grands défis parmi toutes les personnes interrogées sont
Focalisation sur la réduction des coûts plutôt que sur la sécurité à long terme (45%)
Absence ou quasi-absence de critères de sécurité standardisés dans l'évaluation des fournisseurs (41,6 %)
Trop peu de sensibilisation à la cybersécurité dans les services d'achat (40,1 %)
Manque de coordination avec le propre service informatique/sécurité (39,6 %)
Avec 45 %, l'orientation vers la réduction des coûts représente le défi le plus souvent cité. Cette tension entre efficacité et mesures de protection montre que la cybersécurité est peut-être encore souvent traitée comme une priorité secondaire dans le domaine des achats.
La taille de l'entreprise détermine les défis
Environ 42 pour cent des personnes interrogées déplorent l'absence ou la quasi-absence de critères de sécurité standardisés dans l'évaluation des fournisseurs. En outre, près de 40 pour cent déplorent un manque de coordination avec leur propre service informatique ou de sécurité ; ce facteur est particulièrement cité dans les grandes entreprises (plus de 52 pour cent dans les entreprises de plus de 1000 collaborateurs).
L'enquête révèle en outre des différences selon la taille de l'entreprise. Les petites entreprises (100 à 249 collaborateurs) sont particulièrement confrontées à un manque de savoir-faire technique (35,8 %) et à des critères de sécurité non standardisés (54,7 %). Les grandes entreprises de plus de 1000 collaborateurs voient surtout des problèmes de coordination avec le service informatique ou de sécurité (52,6 pour cent).
Alors que les petites entreprises semblent donc manquer de compétences, les grandes entreprises ont souvent des structures complexes qui rendent difficile une intégration efficace de la sécurité.
Les administrations manquent de savoir-faire, les fournisseurs de services publics rappellent la sensibilisation à la cybersécurité
Il existe également de nettes différences entre les secteurs. L'administration publique signale particulièrement souvent un manque de savoir-faire et de normes (60,0 % dans les deux cas). Dans le secteur financier, c'est surtout le manque de formation qui pèse dans la balance (53,8 %).
Dans le secteur de la distribution, en revanche, les valeurs sont toujours faibles : seuls 13 % considèrent que le manque de savoir-faire est un problème, et seuls 17,4 % déplorent le manque de transparence des fournisseurs. Les entreprises de services publics déplorent à près de 100 % un manque de sensibilisation à la cybersécurité dans les services d'achat.
"Le fait que les entreprises de services publics se plaignent du manque de sensibilisation à la cybersécurité dans leurs achats est à prendre très au sérieux", commente Michael Veit, expert en sécurité chez Sophos. "Dans les secteurs sensibles en particulier, les aspects de sécurité ne devraient pas être sacrifiés sur l'autel de l'optimisation des coûts".
L'appel : donner encore plus la priorité à la cybersécurité, y compris dans les services d'achat
Les résultats de l'enquête le montrent : La cybersécurité est également de plus en plus reconnue comme un facteur critique dans les achats des entreprises. Toutefois, les connaissances, la coordination interne et les directives structurelles font encore défaut dans de nombreux endroits. Les entreprises sont donc appelées à accorder une plus grande priorité à ce thème, tant par des formations que par des directives claires dans l'évaluation des fournisseurs.
"De nombreux services d'achat sont aujourd'hui confrontés au défi d'intégrer de manière structurée les aspects de cybersécurité dans leurs processus", explique Michael Veit. "Mais il manque souvent un savoir-faire, des critères clairs ou une étroite collaboration avec le service informatique. Pourtant, la chaîne d'approvisionnement est justement un levier décisif pour la situation de sécurité d'une entreprise. C'est pourquoi les achats nécessitent des directives de sécurité claires, des collaborateurs formés et une coordination étroite avec les responsables informatiques. La résilience de réseaux d'approvisionnement entiers, par exemple, ne dépend plus depuis longtemps uniquement des pare-feu, mais aussi des décisions prises au niveau des achats".
Le conseiller national bernois Reto Nause devrait devenir le nouveau président de la Fédération suisse du tourisme. L'élection est prévue pour l'assemblée générale du 22 août 2025 à Locarno.
Rédaction
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16 juin 2025
(Image : zVg.)
Le comité de la Fédération suisse du tourisme FST propose le conseiller national Reto Nause comme nouveau président. Ce conseiller municipal bernois de longue date devrait succéder à Nicolò Paganini, qui quitte la fédération après environ cinq ans et demi à sa tête.
Nause apporte son expérience de l'exécutif et de la politique fédérale et connaît aussi bien les réalités du tourisme urbain que celles du tourisme alpin. En tant que chef de la Direction de la sécurité, de l'environnement et de l'énergie de la ville de Berne, il dispose de connaissances spécialisées dans les questions de durabilité - un domaine qui joue un rôle central au sein de la FST. Son activité au sein de la commission des finances du Conseil national souligne sa familiarité avec les questions de politique financière, qui sont également importantes pour le travail de politique touristique au niveau fédéral.
"Avec Reto Nause, nous proposons à l'assemblée générale une forte personnalité dirigeante avec des qualités de bâtisseur de ponts", explique Stephan Kurmann, vice-président de la FST. "Il apporte son expérience politique, sa compréhension de la politique financière et un engagement clair en faveur du développement du tourisme à l'échelle de la Suisse".
En tant que président, Nause veut rassembler les différents intérêts au sein de la branche et les représenter de manière ciblée. Il considère le tourisme comme un élément de liaison entre l'économie, la société et l'environnement. "La chaîne de création de valeur touristique est centrale pour notre pays. Elle mérite l'attention politique correspondante et de bonnes conditions-cadres", déclare Nause. "Je considère que ma tâche consiste à rassembler les intérêts des différentes branches, à aiguiser les préoccupations communes et à les défendre avec conviction face aux politiques et au public".
L'ancien président Nicolò Paganini était en poste depuis 2020. (Markt-kom.com a rapporté). Durant son mandat, il a notamment développé les structures de la fédération STV et relevé les défis de la pandémie Covid 19. L'annonce de son départ marque le début d'une phase de transition réglementée. Nause doit pouvoir se préparer suffisamment tôt à la nouvelle période de promotion du message sur la promotion de la place économique qui s'annonce. L'élection et la passation de pouvoir officielle auront lieu lors de l'assemblée générale du 22 août 2025 à Locarno.
L'IA générative frappe à la porte des chambres d'hôpital
L'IA générative offre aux établissements de santé la possibilité d'optimiser durablement leurs processus et d'améliorer encore la prise en charge de leurs patients. Mais comment aborder au mieux l'introduction de cette technologie ? Un fournisseur de technologie donne des idées pour le développement d'une stratégie globale.
Rédaction
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16 juin 2025
L'IA générative présente un grand potentiel pour les établissements de santé. Après une phase d'expérimentation, de nombreux hôpitaux sont en train de passer à la vitesse supérieure. (Image : Depositphotos.com)
L'intelligence artificielle transforme le secteur de la santé depuis des années. L'émergence de l'IA générative donne désormais un coup de pouce supplémentaire à cette évolution. Elle promet aux établissements de santé d'optimiser davantage leurs processus et de fournir des soins encore plus personnalisés aux patients, notamment grâce à l'analyse automatisée des dossiers médicaux, à la création de documentation médicale ou aux assistants virtuels.
L'IA générative dans le secteur de la santé : Cinq aspects essentiels
Les établissements de santé ont reconnu depuis longtemps l'énorme potentiel de l'IA générative et nombre d'entre eux ont déjà expérimenté de premières applications. Ils souhaitent maintenant utiliser cette technologie à grande échelle, mais réfléchissent encore souvent à la meilleure façon d'aborder ce projet. Le fournisseur de technologies Dell Technologies explique cinq aspects essentiels pour le développement d'une stratégie GenAI.
Des objectifs clairs. L'introduction de l'IA générative (GenAI) ne doit évidemment pas être une fin en soi. Elle doit résoudre des problèmes étroitement liés aux priorités stratégiques du secteur de la santé, telles que l'amélioration du traitement des patients, la rationalisation des processus ou l'augmentation de l'efficacité opérationnelle. Les établissements de santé trouvent ces cas d'application en identifiant les points faibles pour lesquels les méthodes traditionnelles ne fonctionnent pas et en déterminant si et comment GenAI peut combler ces lacunes.
Une infrastructure de données robuste. Une qualité élevée des données est une condition préalable à la réussite de l'utilisation de l'IA générative. Or, les données de santé sont souvent fragmentées et dispersées dans de nombreux systèmes. Une infrastructure robuste pour la préparation des données est donc nécessaire pour soutenir les applications GenAI. Elle comprend des pipelines de données, des systèmes de stockage sécurisés et des outils permettant d'intégrer les informations provenant de différentes sources telles que les dossiers des patients, les systèmes d'imagerie et les notes cliniques. Il est préférable de recourir à des solutions évolutives qui peuvent suivre la croissance du volume de données.
Cadre de gouvernance. L'IA générative est soumise à des exigences réglementaires telles que la loi sur l'IA de l'Union européenne et doit répondre à des normes éthiques. Pour s'assurer que leurs applications d'IAG répondent à ces exigences, les établissements de santé peuvent mettre en place un cadre de gouvernance. Celui-ci devrait être élaboré conjointement par l'informatique, les responsables de l'hôpital et le service juridique, et fournir aux employés des directives sur l'utilisation des données des patients, la conformité aux réglementations et les décisions éthiques.
Culture de l'innovation. Pour tirer le meilleur parti des opportunités offertes par l'IA générative, il faut une culture de l'innovation et de l'expérimentation. Une étape décisive pour y parvenir est de surmonter les silos formés par l'informatique et les équipes cliniques. Une mesure simple mais efficace pour y parvenir est l'introduction d'un programme de formation dans lequel l'IT montre aux professionnels de la santé comment utiliser les outils GenAI dans leurs processus de travail. En outre, il convient d'aider les équipes informatiques et les cadres cliniques à développer ensemble des solutions adaptées à la pratique.
Mesure de la réussite. Il est préférable que les établissements de santé commencent par introduire l'IA générative à petite échelle, mesurent l'impact et étendent ensuite la mise en œuvre en fonction des succès prouvés. Par exemple, si une solution GenAI réduit de manière significative les erreurs administratives dans un service, une mise à l'échelle horizontale de cette solution pourrait avoir un impact positif sur l'ensemble de l'entreprise. Les indicateurs clés de performance (ICP) importants pour la mesure sont par exemple les gains d'efficacité, les économies de coûts ou la satisfaction des patients.
"L'IA générative offre aux établissements de santé la possibilité d'optimiser durablement leurs processus et d'améliorer encore les soins aux patients", explique le Dr Marten Neubauer, directeur terrain du secteur de la santé chez Dell Technologies en Allemagne. "La meilleure façon pour eux d'exploiter ce potentiel est de développer une stratégie qui crée un cadre clair pour anticiper et surmonter les défis qu'ils rencontrent lors de la mise en œuvre de cette technologie".
Best of Swiss Apps 2025 cherche les meilleures apps suisses
Best of Swiss Apps 2025 est ouvert. Les personnes intéressées peuvent soumettre leurs projets d'application jusqu'au 8 septembre. Le programme de promotion des start-up Swico et le prix "hack an app" de ti&m pour les enfants et les jeunes sont également de la partie.
Rédaction
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15 juin 2025
C'est reparti : Best of Swiss Apps lance la recherche des meilleures applications suisses de l'année. Le délai de soumission est fixé au 8 septembre 2025. Depuis son lancement en 2013, le Best of Swiss Apps Award (BoSA) s'est établi comme le prix le plus important de la branche pour les applications mobiles et basées sur le web en Suisse. Il est la vitrine de l'excellence numérique dans le développement d'applications en Suisse - et un prix de qualité reconnu qui rend visible l'innovation, l'artisanat et l'impact.
L'édition 2025 du Best of Swiss Apps apporte les évolutions et les distinctions spéciales suivantes :
La catégorie Web Apps devient "Technology
Dans la catégorie "Technology", nous évaluons l'excellence technique des applications mobiles et de leurs systèmes back-end. L'évaluation porte notamment sur la performance, la stabilité et la sécurité de la solution mise en œuvre, sur le respect des directives de la plate-forme, sur la résilience face aux pannes de réseau ou de système et, surtout, sur la pertinence du choix technologique par rapport à l'objectif du projet.
La catégorie Web Apps devient "Extended Interaction
La catégorie "Extended Interaction" récompense les applications qui se distinguent par des expériences d'utilisation innovantes et immersives en repoussant les limites de l'interaction mobile traditionnelle. Cette catégorie évalue entre autres les projets qui utilisent des réalités étendues (mixtes, augmentées & virtuelles) ainsi que les applications pour smartphones qui créent des formes d'interaction inédites et des expériences numériques étendues grâce à l'utilisation créative de capteurs, de fonctions de caméra ou d'autres possibilités technologiques.
Programme de soutien aux start-up Swico
L'association économique de la branche TIC et en ligne Swico soutient les entreprises nouvellement créées dans leur participation au concours Best of Swiss Apps. Trois start-ups ont la chance de soumettre gratuitement un projet dans deux catégories de concours au maximum pour le prix "Best of Swiss Apps" - d'une valeur de 1350 francs.
Les projets de start-up participent régulièrement au concours et sont évalués par les jurys spécialisés des catégories respectives. Sont admises les start-ups qui sont inscrites au registre du commerce depuis moins de cinq ans en tant que SA ou Sàrl. Il n'est pas nécessaire d'être membre du Swico. Les start-ups intéressées peuvent s'inscrire postuler ici jusqu'au jeudi 21 août 2025.
"Prix "hack an app
Le prix "hack an app" de ti&m est de nouveau de la partie. Depuis plus de dix ans, ti&m enthousiasme les enfants pour l'informatique avec son programme de promotion de l'informatique pour les jeunes "hack an app". Lors des cours de quatre jours, ils développent leur propre application avec l'aide de collaborateurs ti&m et se plongent ainsi de manière ludique dans le monde fascinant de la technologie. Afin d'enthousiasmer encore plus d'enfants pour l'informatique, ti&m a créé, en collaboration avec Best of Swiss Apps, le "Prix "hack an app a été créé. Il récompense la meilleure application créée par des enfants âgés de 11 à 14 ans.
Award Night le 6 novembre 2025 au Palais des Congrès
Cette année, la remise des prix aura lieu le 6 novembre 2025 au Kongresshaus de Zurich. Le prix "hack an app" et le prix "Best of Swiss Software" seront également de la partie.
ADC Awards : 6x or, pas de Grand Prix
Le jury ADC s'est réuni pour la 49e fois et a jugé pendant deux jours consécutifs la communication la plus créative de Suisse. Le résultat est d'une part très réjouissant, puisque les 30 membres du jury ont attribué au total 6 cubes d'or, 22 cubes d'argent, 1 ADCESG Award, 1 Student of the Year et 1 Evergreen. Seul le Grand Prix n'aura pas de nouvelle agence cette année.
Rédaction
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13 juin 2025
Au total, 289 travaux ont été envoyés par 50 expéditeurs différents. C'est moins que l'année précédente, ce qui a d'abord fait penser qu'il ne s'agissait pas d'un millésime très supportable. Il n'en est rien. Le niveau était supérieur à la moyenne et, en y regardant de plus près, on constate que les catégories numériques sont toujours aussi bien remplies en nombre et en contenu. La tendance a été renforcée par la création de la nouvelle catégorie Social & Creators, qui a également apporté diverses nouvelles sous-catégories, par exemple Real-Time Respone ou Influencer Marketing. Alors que - il faut bien l'avouer - les catégories très traditionnelles comme les annonces ou les affiches entament l'automne de leur carrière.
Le jury : les wizards se réunissent
Le premier jour, 66 travaux au total ont été jugés dignes d'un bronze ; ils ont donc été retenus par le jury d'or, qui s'est réuni le deuxième jour. Chaque année, une personnalité particulière fait partie de ce jury d'experts préalablement choisi : Cette fois-ci, le CEO de "20 Minuten", Bernhard Brechbühl, a fait office de juré invité. Au final, le jury a attribué 22 cubes d'argent (ce qui n'était pas arrivé depuis longtemps) et 6 cubes d'or. Sans oublier le prix ADCESG, le Student of the Year et un Evergreen.
3x or pour thjnk.
Les cubes d'or sont allés à
Dans la catégorie "Photographie - mode, beauté, people, portrait" à "Zermatt Unplugged 2025" pour Zermatt Unplugged de Studio Geissbühler.
Dans la catégorie "Digital - Interactive Promotions" à "Steal Marina's Artwork" pour le Kunsthaus Zürich par SiR MaRY.
Dans la catégorie "Film long format" à "Chocolat sans trallala" pour Migros Supermarkt AG de thjnk Zurich (production : Pumpkin Film).
Dans la catégorie "Social et Créateurs - Réponse en temps réel" à "Nemo broke the trophy" pour le mobilier de Jung von Matt LIMMAT.
L'or a même été remporté deux fois : Dans la catégorie Film Craft et dans la catégorie Direction artistique "La Beauté du Sport" pour Ochsner Sport de thjnk Zurich (production : Czar Film).
Les cubes d'argent sont allés à
Dans la catégorie Digital - Technological Craft à "Accessibility Cybathlon ETH Zürich" pour Cybathlon ETH Zürich de Farner | Team Farner.
Dans la catégorie Digital - Creative Data à "Geberit Toilettenpause" pour Geberit International par INGO Zurich.
Dans la catégorie film long format à "La Beauté du Sport" pour Ochsner Sport de thjnk Zurich (production : Czar Film).
Dans la catégorie film - film en ligne à "Psychische Gewalt" pour la Protection de l'enfance Suisse de Neu Creative Agency (production : Rosas & Co Film).
Dans la catégorie film - film en ligne à "Galaxus Deutschland - Wer bin ich ?" pour Digitec Galaxus de Digitec Galaxus.
Dans la catégorie film long format à "Moneymaker" pour Migros Supermarkt AG de thjnk Zurich (production : Feit Film).
Dans la catégorie Film Craft à "Chocolat sans trallala. pour Migros Supermarkt AG de thjnk Zurich.
Dans la catégorie Design - Editorial et conception de livres à "YES Magazin" pour Studio Thom Pfister de Studio Thom Pfister.
Dans la catégorie Affiches - Print à "Galaxus - Campagne Babel" pour Digitec Galaxus de Digitec Galaxus.
Dans la catégorie Affiches - Imprimés à "Werbung aufräumen" de Neu Creative Agency pour Rotho.
Dans la catégorie RP à "Nemo broke the trophy" pour Die Mobiliar de Jung von Matt LIMMAT.
Dans la catégorie Creative Effectiveness à "Nuggets of Love" pour McDonald's Suisse par TBWA\N Switzerland.
L'argent en double a été remporté par:
Dans la catégorie Digital - Mesure en ligne et dans la catégorie Creative Media à "WOZ - The News in the News" pour WOZ Die Wochenzeitung de Freundliche Grüsse.
Dans la catégorie RP - Campagnes et dans la catégorie Good à "Bracelets de l'amitié" pour Pro Juventute par Farner | Team Farner.
Dans la catégorie Film long format et dans la catégorie Film Craft à "100 Jahre Jubiläum" pour Migros Supermarkt AG de Wirz Group (production : Zauberberg Productions / Feit Film).
Dans la catégorie Film - film en ligne et dans la catégorie Audio Craft à "Falling for Autumn" pour Suisse Tourisme de Wirz Group AG (production : Mcqueen Films).
Dans la catégorie Design - Product- & Package Design et dans la catégorie PR - travaux individuels à "Migros Recycling Taschen" pour Migros Supermarkt AG de Wirz Group.
L'étudiant de l'année
Dans le cadre du concours créatif le plus important de Suisse, les étudiants et les diplômés des hautes écoles (spécialisées) ou des écoles privées spécialisées dans la création sont appelés à soumettre leurs meilleures créations, travaux de semestre ou de fin d'études dans la catégorie "Students". C'est "Spitfire - Raging Together" de Jessica Baumgartner pour la Zürcher Hochschule der Künste (ZHdK) qui a remporté le concours. Il s'agit d'un court documentaire qui dresse le portrait de femmes dans le milieu du metalcore et du hardcore.
Pour la troisième fois déjà, le prix convoité Prix ADCESG qui n'est pas seulement une récompense pour une meilleure publicité, mais aussi pour une contribution à un monde meilleur. Cette année, un partenaire a été trouvé en la personne d'exelixis capital AG, ce qui donne encore plus d'importance au prix. Le cofondateur Michael Dieckell a fait office d'expert et a aidé le jury à classer les cas en question grâce à ses connaissances spécialisées. Sur cette base, le jury a décidé d'attribuer le prix ADCESG au "Accessibility Cybathlon ETH Zürich" pour le Cybathlon ETH Zürich de l'équipe Farner.
Le cube est différent chaque année ; cette fois-ci, l'exemplaire élégant et cool a été conçu par Le Bois ou plutôt par sa fondatrice et designer Bianca Gerber, dont les créations sont synonymes de régionalisme, de durabilité, de production écologique et d'esthétique intemporelle.
Gagner un Evergreen, c'est divertir les gens pendant des années avec une publicité de haut niveau. Et être récompensé plusieurs fois par l'ADC au cours de cette période. C'est ce qu'un client a réussi à faire les années précédentes et cette année encore. L'Evergreen a donc été attribué à "Die Schweiz ist unser Sportplatz" pour Ochsner Sport de Thjnk Zurich.
Le prix Evergreen a également été attribué à thjnk.
Après avoir décerné un Grand Prix deux années de suite, le jury n'a pas réussi à se mettre d'accord sur le vainqueur cette année. Selon le président du jury Thomas Wildberger, la magie des 6 prix d'or rendait ici un Grand Prix improbable, car comme ils étaient tous classés au même niveau, il était tout simplement impossible de se mettre d'accord sur un vainqueur. D'autant plus que pour cela, la décision doit être prise à l'unanimité.
L'abracadabra
Dans l'ensemble, les membres de l'ADC ont vécu une semaine d'envol créatif. Le slogan "Orchestra of Wizards", qui a présidé à la journée créative qui a comme toujours clôturé le jury, a été source d'inspiration dans divers domaines créatifs. La remise des prix le vendredi soir a fait paraître tous les gagnants encore plus heureux grâce à la présentation magique de Christa Rigozzi. Le tout a été couronné par un dîner suivi d'une fête au restaurant Dupont, en plein centre-ville de Zurich.
Hanna Jackl, directrice de l'ADC : "Les Creative Days 2025 ont été un signe puissant de l'excellence créative en Suisse - courageux, pertinent et inspirant. Je tiens à remercier notre conseil d'administration et en particulier Thomas Wildberger, les membres, les nombreux invités, les formidables orateurs pour leur inspiration et l'équipe qui a donné vie à ces journées avec tant d'engagement et de passion.."
Le président de l'ADC, Thomas Wildberger, s'est lui aussi montré enthousiaste et le temps grandiose a également reflété l'ambiance. "Il n'y a pas de formule magique pour une bonne publicité. Mais un véritable magicien sait comment s'y prendre et essaie au moins de transformer n'importe quel briefing, aussi générique soit-il, en un cube ADC. Il s'est avéré que malgré la pression souvent évoquée sur le secteur, on ne peut pas empêcher la créativité. Là où l'on croit que les grandes idées font la différence, la créativité trouve toujours son chemin vers des résultats qui touchent les gens."
SGA|SGA : Nouveaux objectifs climatiques à l'échelle du groupe et certification EcoEntreprise
APG|SGA Rapport sur la durabilité 2024 offre un aperçu des progrès de l'entreprise dans la mise en œuvre des mesures de durabilité et des objectifs de la stratégie de responsabilité sociale de l'entreprise (RSE).
Rédaction
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12 juin 2025
En 2024, les nouveaux objectifs climatiques à l'échelle du groupe ont été validés par la Science Based Targets initiative (SBTi) avec une feuille de route nette zéro jusqu'en 2045. Par rapport à l'année précédente, les émissions de gaz à effet de serre ont pu être réduites de 5% dans les scopes 1 et 2, grâce notamment à l'augmentation de la part de biogaz et à de nouvelles mesures d'optimisation de la consommation de carburant. "La validation de nos objectifs climatiques par la SBTi était la prochaine étape logique de notre gestion environnementale ambitieuse. À long terme, la SGA|SGA s'engage à réduire considérablement ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2045. Nous avons prévu une série d'autres mesures qui nous soutiendront sur cette voie de réduction", explique Andres Trautmann, responsable du développement durable de la SGA|SGA.
La durabilité et la responsabilité sociale sont solidement ancrées dans la stratégie de l'entreprise. La preuve en est que la gestion de la durabilité de la SGA|SGA a reçu en 2024 le certificat "EcoEntreprise Développement durable - Responsabilité sociale". Ce certificat est basé sur la norme ISO 26000 et est délivré après un audit indépendant. La structure organisationnelle de la RSE a été révisée de manière ciblée en amont afin d'améliorer l'intégration globale de la stratégie de durabilité dans les activités opérationnelles.
Une étape centrale a été la création du "CSR Board", afin d'impliquer de manière conséquente tous les secteurs de l'entreprise et d'unifier la stratégie avec les affaires courantes. En outre, APG|SGA s'engage en faveur de la diversité, de l'égalité salariale et de conditions de travail équitables tout au long de la chaîne d'approvisionnement. En complément, l'entreprise soutient de nombreuses initiatives culturelles et sociales par le biais du sponsoring d'affiches.
APG|SGA, Société Générale d'Affichage SA, est la première entreprise de publicité extérieure de Suisse. Spécialisée dans les solutions publicitaires numériques et analogiques ainsi que dans les formes de publicité spéciales aux endroits très fréquentés dans la rue, les gares, les points de vente, les points d'intérêt, à la montagne ainsi que dans et aux abords des moyens de transport et des aéroports, elle couvre tous les domaines de la publicité extérieure. Complétée par la publicité mobile et des possibilités d'interaction, APG|SGA est synonyme de qualité et de tradition combinées à l'innovation et veut enthousiasmer les gens avec les meilleures solutions de communication dans l'espace public. Plus de 500 collaborateurs veillent à laisser une impression durable en contact avec les clients, les autorités et le secteur publicitaire. Ils entretiennent avec beaucoup de soin, de technique Nous assurons avec la plus grande précision le succès des diffusions publicitaires et des affichages dans toute la Suisse.
Codata et Flin unissent leurs compétences
Codata et Flin ont conclu un partenariat stratégique à partir de juillet. Les clients se verront offrir une combinaison parfaite de savoir-faire technologique et marketing.
Rédaction
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12 juin 2025
Flurina Klarer, cofondatrice de Flin et Andrin Spring, CEO de Codata.
Avec cette étape, Codata se positionne encore plus clairement comme un sparring partner technique pour la conception, la mise en œuvre et l'exploitation de solutions numériques dans les domaines du web/CMS, du développement de logiciels, du commerce électronique, des systèmes PIM, de la gestion des données MDM / Business Intelligence et de l'intégration de systèmes.
"Nous ne pouvons pas tout faire. Mais il y a des choses que nous faisons très bien. Nous voulons continuer à les développer", explique Andrin Spring, CEO de Codata. "Avec Flin, nous gagnons une
partenaire qui complète parfaitement nos prestations techniques en matière de marketing - et avec qui nous parlons le même langage".
Flin apporte à cette collaboration une expertise de longue date dans le domaine du marketing de contenu et de performance. Dans le cadre de la future collaboration, l'agence basée à Zurich couvrira notamment le marketing via Google et les médias sociaux, le SEO, le GEO et le marketing de contenu, le tracking et l'analytique ainsi que le marketing piloté par l'IA. Une partie de l'équipe vit et travaille sur le site de Lucerne et utilisera à l'avenir également le bureau de Codata afin de renforcer la proximité opérationnelle et d'exploiter les synergies.
"Je me réjouis beaucoup de la collaboration avec Codata", déclare Flurina Klarer, cofondatrice de Flin et responsable du site de Lucerne. "Le marketing numérique orienté vers l'avenir vit de solutions technologiques sur mesure. Grâce à ce partenariat, nous pouvons précisément offrir cela à nos clients:es et obtenir ainsi plus d'impact".
Critères de qualité importants pour les fournisseurs de services gérés
La technologie informatique devient un facteur de compétitivité de plus en plus important pour les entreprises. Cependant, les ressources informatiques internes sont de plus en plus surchargées pour faire face aux exigences croissantes dans un pool de talents de plus en plus restreint. Cette situation critique rend nécessaire l'examen d'alternatives externes. Un partenariat stratégique dans le cadre de services gérés est considéré comme la meilleure solution. Mais quels critères de qualité un fournisseur de services gérés (MSP) doit-il remplir ?
Rédaction
-
12 juin 2025
Pour décharger les ressources informatiques internes, il n'y a pas d'autre solution que de faire appel à des fournisseurs de services gérés (MSP). Ceux-ci doivent répondre à quelques critères de qualité. (Image : Unsplash.com)
Les entreprises sont actuellement confrontées à trois grands défis : leur transformation numérique, le renforcement de leur résilience et la pénurie de main-d'œuvre qualifiée. Comme le montre l'étude La voix de nos clients du prestataire de services informatiques global CGI-Group, elles échouent souvent à cause de leurs frontières internes en silos qui empêchent la mise en place de solutions interdépartementales de bout en bout. La conséquence logique de ce dilemme est que les entreprises travaillent de plus en plus avec des fournisseurs de services gérés. Il ne s'agit plus seulement de fournir des prestations informatiques bon marché selon un accord SLA, mais de résoudre des problèmes complexes qui peuvent être résolus bien mieux, plus rapidement et de manière plus flexible par des spécialistes externes. La condition préalable est une collaboration intensive qui tient également compte du degré de maturité de l'entreprise concernée. La liste suivante montre les critères de qualité qu'un Managed Service Provider (MSP) doit remplir pour faire progresser les entreprises dans leur transformation numérique :
Gamme de servicesManaged Services : les services gérés proviennent de la mise à disposition externe de l'infrastructure informatique, comme les serveurs, les clients ou le stockage. Transposé dans le modèle du cloud, il s'agit de la couche inférieure (Infrastructure-as-a-Service ou IaaS en abrégé) de la pile. Mais cela ne suffit plus. Un MSP doit plutôt être en mesure de couvrir toutes les couches - comme Platform-as-a-Service (PaaS) et Software-as-a-Service (SaaS) - et de les intégrer en tenant compte des solutions d'automatisation et d'IA actuelles, du matériel à l'application.
Niveau d'intégration et partenariatLa solution doit être adaptée au degré de maturité de l'informatique de l'entreprise concernée, c'est pourquoi une analyse de maturité est effectuée au début de chaque collaboration. Celle-ci est d'autant plus efficace qu'elle est intensive et s'inscrit dans la durée. L'objectif est d'établir un partenariat stratégique durable qui libère les entreprises des tâches informatiques et leur permet de se concentrer sur la réalisation de leurs objectifs commerciaux.
Flexibilité et diagnostic des fournisseursCompte tenu du rythme de l'innovation numérique, un MSP doit être en mesure non seulement de fournir des services standard, mais aussi d'adapter en permanence de nouvelles solutions, par exemple à partir du marché des fournisseurs dans le domaine de l'IA, qui évolue presque quotidiennement. Il doit être à la pointe du développement technologique et l'utiliser pour répondre aux besoins spécifiques de l'entreprise. Un MSP ne doit donc pas être lié à certains fournisseurs et à leurs offres. Le diagnostic des fournisseurs (par analogie à Cloud Agnostic : faire fonctionner une application simultanément sur différents clouds, ndlr) est également un must pour exclure toute dépendance.
Automatisation et IAL'intelligence artificielle est devenue indispensable, non seulement pour l'analyse des données, les prévisions, les planifications complexes et l'automatisation des processus. L'expertise correspondante fait donc absolument partie du portefeuille de prestations d'un MSP. Il doit être en mesure d'analyser correctement le niveau de maturité de l'IA d'une entreprise et, sur cette base, de mettre en œuvre des projets d'IA qui créent une réelle valeur ajoutée.
Consolidation et gestion de la complexitéLa consolidation de l'environnement informatique est actuellement l'une des tâches les plus difficiles, mais aussi les plus importantes pour les entreprises, afin de le rendre gérable, agile et abordable. Le profil de qualité d'un MSP comprend donc la maîtrise d'infrastructures informatiques et d'environnements applicatifs complexes, leur transformation et leur modernisation ainsi que leur intégration dans les processus commerciaux.
Transformation et orientation vers les résultatsL'informatique n'est pas une fin en soi, mais un outil pour atteindre les objectifs de l'entreprise. Par analogie, cela vaut également pour un MSP. La valeur de ses services et de ses prestations ne se reflète donc plus dans le taux de réalisation des SLA. Au contraire, il est essentiel de ne pas prendre en compte uniquement les prestations informatiques pures, mais de s'orienter de plus en plus vers les résultats commerciaux.
"Les entreprises luttent actuellement contre une multitude de défis", explique Ralf Bauer, président de CGI Allemagne. "La situation économique est difficile, la pression de l'innovation est forte, la complexité est élevée, le manque de personnel qualifié est un frein dangereux et les ressources informatiques doivent être consolidées de toute urgence. Dans cette situation, les entreprises ont besoin d'un partenaire aussi compétent qu'orienté vers le long terme, qui ne se contente pas de fournir des prestations informatiques, mais qui a aussi à cœur le succès de l'entreprise".
Lors de la Journée de la marque 2025, le prestigieux Promarca Brand of the Year a été décerné pour la 11e fois. Depuis 2015, l'Union suisse de l'article de marque Promarca récompense ainsi la marque la plus dynamique ou la plus digne de confiance parmi ses membres.
Rédaction
-
11 juin 2025
1ère place : Philip Honegger, Christoph Zweifel (CEO) & Sascha Meier
La journée de la marque s'est déroulée mercredi à Laufen, sur le site de production de Ricola. Plus de 250 invités et membres de l'association Promarca ont été parfaitement pris en charge par Ricola, et plusieurs visites guidées ont montré comment les 13 herbes contenues dans chaque bonbon Ricola sont soigneusement conservées. Les invités ont pu admirer le site de production et renifler les herbes séchées. Après un flying lunch dans un cadre champêtre magnifique, l'événement Promarca, la journée de la marque, a commencé.
La présidente Monique Bourquin a donné un aperçu détaillé de la situation politique et sociale du secteur et a souligné l'importance de l'association en tant qu'appui solide pour les membres. L'animateur a ensuite mené une interview avec Barbara Castegnaro, directrice de l'association Promarca depuis janvier. Avec compétence et clairvoyance, elle a décrit l'agenda qu'elle a en tête pour sa fonction et a apporté soutien et confiance à la branche.
Le Promarca Brand Award a ensuite été décerné.
Le gagnant de cette année : Zweifel Chips & Snacks, une entreprise familiale suisse riche en traditions, déjà récompensée en 2018.
"Le prix Promarca Brand of the Year est un immense honneur pour nous et le résultat d'un fantastique travail d'équipe. Pour nous, c'est plus qu'un titre - c'est une preuve de confiance qui nous incite à continuer à donner le meilleur de nous-mêmes jour après jour", déclare Christoph Zweifel, CEO de Zweifel Chips & Snacks.
Enquête représentative auprès des consommateurs avec plus de 6'000 participants
Cette distinction se base sur une étude indépendante menée par Havas Switzerland auprès de 6 251 consommateurs de Suisse romande et alémanique. L'évaluation a porté sur 396 marques, dont celles des membres de Promarca. Le dynamisme perçu ainsi que la confiance de la population dans la marque ont été décisifs. Jonas Eliassen, CEO de Havas Switzerland, ajoute
"Zweifel remporte pour la deuxième fois le prestigieux Promarca Brand of the Year Award. Cette évolution exceptionnelle est le résultat d'une stratégie de marque et d'innovation cohérente : Avec un portefeuille de produits en constante évolution, des solutions d'emballage durables, une proximité tangible avec les clients et une image de marque moderne et sympathique, Zweifel prouve comment tradition et progrès peuvent être combinés avec succès".
Zweifel allie tradition, force d'innovation et ancrage local
Zweifel est une marque familiale riche en traditions, profondément enracinée en Suisse, qui mise sur la proximité avec ses clients, notamment grâce à son réseau communautaire "FriendZ". La marque poursuit une stratégie d'innovation claire, par exemple en diversifiant son offre de snacks avec des marques comme Zweifel VAYA ou Berger. En élargissant son assortiment et en ouvrant une nouvelle usine à Spreitenbach (ZH), l'entreprise réaffirme son engagement en faveur de la qualité et de l'emploi durable en Suisse.
2e place : Thomas P. Meier (CEO), Daniela Ruoss
Ricola et Kambly sur le podium
La deuxième place est occupée par Ricola. Symbole de la suissitude, la marque séduit les consommateurs par ses ingrédients naturels, son mode de production durable, son identité de marque claire et son image Ricola unique.
3e place : Tanja Schütz, Dania Kambly (présidente de l'association Verwaltunsgrat), Stefan Stoll
La troisième place est occupée par Kambly. La marque de biscuits riche en tradition enthousiasme par sa qualité artisanale, son innovation douce, ses expériences de marque et sa capacité à créer une expérience de dégustation émotionnelle avec chaque produit.
Les membres de Promarca restent le moteur de l'innovation en Suisse
Promarca se réjouit d'honorer chaque année les performances exceptionnelles des marques. La force d'innovation des entreprises membres reste constamment élevée : en 2024, les membres de Promarca ont lancé 8'750 nouveaux produits sur le marché suisse - une preuve impressionnante de leur rôle de précurseurs économiques et technologiques. L'année dernière, les entreprises membres ont réalisé un chiffre d'affaires total de plus de 14,2 milliards de francs suisses, exportations comprises.
Promarca, l'Union suisse de l'article de marque, est depuis 1929 la voix engagée des marques en Suisse. Promarca compte aujourd'hui 102 entreprises nationales et internationales de renom parmi ses membres. L'association s'engage pour la représentation des valeurs de la marque et pour de bonnes conditions cadres des entreprises de marque en Suisse. L'année dernière, les entreprises membres ont réalisé un chiffre d'affaires total de plus de 14,2 milliards de francs suisses, exportations comprises. Les unités de ces entreprises établies en Suisse créent 18'811 emplois et investissent chaque année des millions à plusieurs chiffres dans le pays. L'industrie de l'article de marque apporte ainsi une contribution importante à la compétitivité et à la stabilité de l'économie suisse.
Une enquête révèle une baisse de la qualité du service dans la restauration
A quelle fréquence les Suisses vont-ils manger à l'extérieur ? Qu'est-ce qui les énerve au restaurant - et que pensent-ils du pourboire ? L'institut de recherche en ligne Marketagent a mené une étude sur la qualité du service, les pourboires et les lignes rouges dans le secteur de la restauration.
Rédaction
-
11 juin 2025
Les Suisses aiment se faire plaisir au restaurant de temps en temps - si la qualité du service est bonne. (Image : LuckyLife11 / Pixabay.com)
L'entreprise Marketagent, spécialisée dans la recherche en ligne, dispose d'un panel en ligne de plus de 3 millions de personnes, qui a été certifié ISO en janvier 2010 en tant que premier access pool de la région D-A-CH et recertifié en janvier 2024 selon la norme ISO 20252 actuelle. Au sein de ce panel, Marketagent réalise des projets de recherche consommateurs pour des clients de renom. Récemment, dans le cadre d'une telle étude, 1000 Suisses de Suisse alémanique et de Suisse romande ont été interrogés sur leurs expériences dans les restaurants.
Servi, mais pas gâté
Environ 7 Suisses* sur 10 s'offrent au moins une fois par mois un repas hors de chez eux (69 %) - plus qu'en Allemagne (54 %) ou en Autriche (65 %). Mais ce plaisir culinaire a ses limites : Globalement, la majorité des Suisses ont certes le sentiment que le client est effectivement "roi" dans la restauration (75 %). Mais seule une bonne* personne sur cinq en fait souvent l'expérience (22 %), tandis que 52 % n'en font qu'occasionnellement l'expérience. Un autre quart ne se sent que rarement ou jamais traité comme un roi (25 %). Les clients sont le plus souvent irrités par un mauvais rapport qualité-prix (32 %), suivis par de longs temps d'attente (28 %) et un service peu aimable ou de mauvaise qualité (27 %).
Changements de la qualité du service dans les restaurants : comparaison entre les pays DACH. (Source : Marketagent)
Environ une*personne sur quatre a l'impression que la qualité du service a baissé ces dernières années (27 %). Sur ce point, les personnes interrogées en Suisse donnent une meilleure note que les Autrichiens. Dans le pays voisin, un bon tiers perçoit une baisse de la qualité du service (35 %). En dépit d'un agacement occasionnel, le ton reste généralement aimable - voire inexistant - dans les restaurants du pays. En moyenne, les Suisses ne laissent qu'environ deux fois par an une remarque critique et seulement une fois une plainte claire.
Entre pourboire et salaire conventionnel
Le thème du pourboire est un sujet conflictuel : près de 9 Suisses* sur 10 sont prêts à donner un "overtip" en cas de bon service. Dans le même temps, 86 % se prononcent en faveur d'un bon service rémunéré par des salaires équitables - au lieu d'un don volontaire. 80 % plaident pour une exonération fiscale du pourboire et près de 4 sur 10 souhaiteraient le supprimer en principe.
Attitude vis-à-vis du pourboire*
Pour un bon service, je donne volontiers un bon pourboire
87,1 %
J'apprécierais qu'un bon service soit récompensé par des salaires équitables - et non par des pourboires.
85,9 %
Je pense que les pourboires devraient être exonérés d'impôts.
80,1 %
Je ne sais pas toujours quel est le pourboire approprié
58,2 %
Je pense que les pourboires devraient être supprimés
37,6 %
Je donne un pourboire même si le service est mauvais
27,4 %
Valeurs de la boîte Top 2 : "tout à fait d'accord" + "plutôt d'accord" || n = 1.039 personnes de Suisse alémanique et de Suisse romande
Réserver avec décence - mais sans carte de crédit
La majorité des clients de la restauration locale respectent les accords : Seuls 16 % ne se sont déjà pas présentés une fois malgré une réservation et sans avoir annulé. Ils sont tout aussi peu nombreux à avoir déjà réservé en parallèle dans plusieurs établissements (16 %). En revanche, les nouvelles pratiques issues de la restauration, qui visent à améliorer encore le moral des réservataires, ne trouvent guère d'écho auprès des Suisses. Ainsi, 72 % refusent clairement de devoir fournir les détails de leur carte de crédit dès la réservation. De même, les time-slots, les frais de service fixes ou les pénalités représentent pour la majorité des clients de la restauration* des lignes rouges claires qui les dissuaderaient de se rendre (à nouveau) au restaurant.
Oui aux prestations gratuites - mais pas contre un supplément de prix
Commander de l'eau du robinet est très répandu en Suisse - environ deux tiers l'ont déjà fait (63 %). Mais peu d'entre eux souhaitent payer pour cela : en moyenne, ils accepteraient de payer 1,50 CHF maximum pour un verre d'eau du robinet. Si ce service devenait payant, beaucoup préféreraient y renoncer.
Dans l'ensemble, Roland Zeindler, directeur de Marketagent Suisse, voit un résultat différencié en ce qui concerne la qualité du service : "Les Suisses apprécient la bonne nourriture et sont prêts à mettre la main au porte-monnaie pour cela - à condition que la qualité et le service soient au rendez-vous. Mais la satisfaction s'effrite : Une personne sur quatre perçoit une dégradation de la qualité. Les nouvelles règles telles que l'eau du robinet payante, les frais supplémentaires pour les assiettes ou l'obligation d'utiliser une carte de crédit pour les réservations sont souvent mal perçues. La restauration est appelée à faire preuve de tact pour ne pas gâcher l'envie de manger à l'extérieur".