SGA|SGA : Nouveaux objectifs climatiques à l'échelle du groupe et certification EcoEntreprise

APG|SGA Rapport sur la durabilité 2024 offre un aperçu des progrès de l'entreprise dans la mise en œuvre des mesures de durabilité et des objectifs de la stratégie de responsabilité sociale de l'entreprise (RSE).

En 2024, les nouveaux objectifs climatiques à l'échelle du groupe ont été validés par la Science Based Targets initiative (SBTi) avec une feuille de route nette zéro jusqu'en 2045. Par rapport à l'année précédente, les émissions de gaz à effet de serre ont pu être réduites de 5% dans les scopes 1 et 2, grâce notamment à l'augmentation de la part de biogaz et à de nouvelles mesures d'optimisation de la consommation de carburant. "La validation de nos objectifs climatiques par la SBTi était la prochaine étape logique de notre gestion environnementale ambitieuse. À long terme, la SGA|SGA s'engage à réduire considérablement ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2045. Nous avons prévu une série d'autres mesures qui nous soutiendront sur cette voie de réduction", explique Andres Trautmann, responsable du développement durable de la SGA|SGA.

La durabilité et la responsabilité sociale sont solidement ancrées dans la stratégie de l'entreprise. La preuve en est que la gestion de la durabilité de la SGA|SGA a reçu en 2024 le certificat "EcoEntreprise Développement durable - Responsabilité sociale". Ce certificat est basé sur la norme ISO 26000 et est délivré après un audit indépendant. La structure organisationnelle de la RSE a été révisée de manière ciblée en amont afin d'améliorer l'intégration globale de la stratégie de durabilité dans les activités opérationnelles.

Une étape centrale a été la création du "CSR Board", afin d'impliquer de manière conséquente tous les secteurs de l'entreprise et d'unifier la stratégie avec les affaires courantes. En outre, APG|SGA s'engage en faveur de la diversité, de l'égalité salariale et de conditions de travail équitables tout au long de la chaîne d'approvisionnement. En complément, l'entreprise soutient de nombreuses initiatives culturelles et sociales par le biais du sponsoring d'affiches.

22. rapport de durabilité 2024 avec mesures et objectifs

Niveaux d'impact de la stratégie RSE


APG|SGA, Société Générale d'Affichage SA, est la première entreprise de publicité extérieure de Suisse. Spécialisée dans les solutions publicitaires numériques et analogiques ainsi que dans les formes de publicité spéciales aux endroits très fréquentés dans la rue, les gares, les points de vente, les points d'intérêt, à la montagne ainsi que dans et aux abords des moyens de transport et des aéroports, elle couvre tous les domaines de la publicité extérieure. Complétée par la publicité mobile et des possibilités d'interaction, APG|SGA est synonyme de qualité et de tradition combinées à l'innovation et veut enthousiasmer les gens avec les meilleures solutions de communication dans l'espace public. Plus de 500 collaborateurs veillent à laisser une impression durable en contact avec les clients, les autorités et le secteur publicitaire. Ils entretiennent avec beaucoup de soin, de technique Nous assurons avec la plus grande précision le succès des diffusions publicitaires et des affichages dans toute la Suisse.

Codata et Flin unissent leurs compétences

Codata et Flin ont conclu un partenariat stratégique à partir de juillet. Les clients se verront offrir une combinaison parfaite de savoir-faire technologique et marketing.

Flurina Klarer, cofondatrice de Flin et Andrin Spring, CEO de Codata.

Avec cette étape, Codata se positionne encore plus clairement comme un sparring partner technique pour la conception, la mise en œuvre et l'exploitation de solutions numériques dans les domaines du web/CMS, du développement de logiciels, du commerce électronique, des systèmes PIM, de la gestion des données MDM / Business Intelligence et de l'intégration de systèmes.

"Nous ne pouvons pas tout faire. Mais il y a des choses que nous faisons très bien. Nous voulons continuer à les développer", explique Andrin Spring, CEO de Codata. "Avec Flin, nous gagnons une
partenaire qui complète parfaitement nos prestations techniques en matière de marketing - et avec qui nous parlons le même langage".

Flin apporte à cette collaboration une expertise de longue date dans le domaine du marketing de contenu et de performance. Dans le cadre de la future collaboration, l'agence basée à Zurich couvrira notamment le marketing via Google et les médias sociaux, le SEO, le GEO et le marketing de contenu, le tracking et l'analytique ainsi que le marketing piloté par l'IA. Une partie de l'équipe vit et travaille sur le site de Lucerne et utilisera à l'avenir également le bureau de Codata afin de renforcer la proximité opérationnelle et d'exploiter les synergies.

"Je me réjouis beaucoup de la collaboration avec Codata", déclare Flurina Klarer, cofondatrice de Flin et responsable du site de Lucerne. "Le marketing numérique orienté vers l'avenir vit de solutions technologiques sur mesure. Grâce à ce partenariat, nous pouvons précisément offrir cela à nos clients:es et obtenir ainsi plus d'impact".

Critères de qualité importants pour les fournisseurs de services gérés

La technologie informatique devient un facteur de compétitivité de plus en plus important pour les entreprises. Cependant, les ressources informatiques internes sont de plus en plus surchargées pour faire face aux exigences croissantes dans un pool de talents de plus en plus restreint. Cette situation critique rend nécessaire l'examen d'alternatives externes. Un partenariat stratégique dans le cadre de services gérés est considéré comme la meilleure solution. Mais quels critères de qualité un fournisseur de services gérés (MSP) doit-il remplir ?

Pour décharger les ressources informatiques internes, il n'y a pas d'autre solution que de faire appel à des fournisseurs de services gérés (MSP). Ceux-ci doivent répondre à quelques critères de qualité. (Image : Unsplash.com)

Les entreprises sont actuellement confrontées à trois grands défis : leur transformation numérique, le renforcement de leur résilience et la pénurie de main-d'œuvre qualifiée. Comme le montre l'étude La voix de nos clients du prestataire de services informatiques global CGI-Group, elles échouent souvent à cause de leurs frontières internes en silos qui empêchent la mise en place de solutions interdépartementales de bout en bout. La conséquence logique de ce dilemme est que les entreprises travaillent de plus en plus avec des fournisseurs de services gérés. Il ne s'agit plus seulement de fournir des prestations informatiques bon marché selon un accord SLA, mais de résoudre des problèmes complexes qui peuvent être résolus bien mieux, plus rapidement et de manière plus flexible par des spécialistes externes. La condition préalable est une collaboration intensive qui tient également compte du degré de maturité de l'entreprise concernée. La liste suivante montre les critères de qualité qu'un Managed Service Provider (MSP) doit remplir pour faire progresser les entreprises dans leur transformation numérique :

  • Gamme de servicesManaged Services : les services gérés proviennent de la mise à disposition externe de l'infrastructure informatique, comme les serveurs, les clients ou le stockage. Transposé dans le modèle du cloud, il s'agit de la couche inférieure (Infrastructure-as-a-Service ou IaaS en abrégé) de la pile. Mais cela ne suffit plus. Un MSP doit plutôt être en mesure de couvrir toutes les couches - comme Platform-as-a-Service (PaaS) et Software-as-a-Service (SaaS) - et de les intégrer en tenant compte des solutions d'automatisation et d'IA actuelles, du matériel à l'application.
  • Niveau d'intégration et partenariatLa solution doit être adaptée au degré de maturité de l'informatique de l'entreprise concernée, c'est pourquoi une analyse de maturité est effectuée au début de chaque collaboration. Celle-ci est d'autant plus efficace qu'elle est intensive et s'inscrit dans la durée. L'objectif est d'établir un partenariat stratégique durable qui libère les entreprises des tâches informatiques et leur permet de se concentrer sur la réalisation de leurs objectifs commerciaux.
  • Flexibilité et diagnostic des fournisseursCompte tenu du rythme de l'innovation numérique, un MSP doit être en mesure non seulement de fournir des services standard, mais aussi d'adapter en permanence de nouvelles solutions, par exemple à partir du marché des fournisseurs dans le domaine de l'IA, qui évolue presque quotidiennement. Il doit être à la pointe du développement technologique et l'utiliser pour répondre aux besoins spécifiques de l'entreprise. Un MSP ne doit donc pas être lié à certains fournisseurs et à leurs offres. Le diagnostic des fournisseurs (par analogie à Cloud Agnostic : faire fonctionner une application simultanément sur différents clouds, ndlr) est également un must pour exclure toute dépendance.
  • Automatisation et IAL'intelligence artificielle est devenue indispensable, non seulement pour l'analyse des données, les prévisions, les planifications complexes et l'automatisation des processus. L'expertise correspondante fait donc absolument partie du portefeuille de prestations d'un MSP. Il doit être en mesure d'analyser correctement le niveau de maturité de l'IA d'une entreprise et, sur cette base, de mettre en œuvre des projets d'IA qui créent une réelle valeur ajoutée.
  • Consolidation et gestion de la complexitéLa consolidation de l'environnement informatique est actuellement l'une des tâches les plus difficiles, mais aussi les plus importantes pour les entreprises, afin de le rendre gérable, agile et abordable. Le profil de qualité d'un MSP comprend donc la maîtrise d'infrastructures informatiques et d'environnements applicatifs complexes, leur transformation et leur modernisation ainsi que leur intégration dans les processus commerciaux.
  • Transformation et orientation vers les résultatsL'informatique n'est pas une fin en soi, mais un outil pour atteindre les objectifs de l'entreprise. Par analogie, cela vaut également pour un MSP. La valeur de ses services et de ses prestations ne se reflète donc plus dans le taux de réalisation des SLA. Au contraire, il est essentiel de ne pas prendre en compte uniquement les prestations informatiques pures, mais de s'orienter de plus en plus vers les résultats commerciaux.

"Les entreprises luttent actuellement contre une multitude de défis", explique Ralf Bauer, président de CGI Allemagne. "La situation économique est difficile, la pression de l'innovation est forte, la complexité est élevée, le manque de personnel qualifié est un frein dangereux et les ressources informatiques doivent être consolidées de toute urgence. Dans cette situation, les entreprises ont besoin d'un partenaire aussi compétent qu'orienté vers le long terme, qui ne se contente pas de fournir des prestations informatiques, mais qui a aussi à cœur le succès de l'entreprise".

Source et informations complémentaires : www.cgi.com/de

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/wichtige-qualitaetskriterien-fuer-managed-service-provider/

Zweifel est la marque Promarca de l'année 2025

Lors de la Journée de la marque 2025, le prestigieux Promarca Brand of the Year a été décerné pour la 11e fois. Depuis 2015, l'Union suisse de l'article de marque Promarca récompense ainsi la marque la plus dynamique ou la plus digne de confiance parmi ses membres.

1ère place : Philip Honegger, Christoph Zweifel (CEO) & Sascha Meier

La journée de la marque s'est déroulée mercredi à Laufen, sur le site de production de Ricola. Plus de 250 invités et membres de l'association Promarca ont été parfaitement pris en charge par Ricola, et plusieurs visites guidées ont montré comment les 13 herbes contenues dans chaque bonbon Ricola sont soigneusement conservées. Les invités ont pu admirer le site de production et renifler les herbes séchées. Après un flying lunch dans un cadre champêtre magnifique, l'événement Promarca, la journée de la marque, a commencé.

La présidente Monique Bourquin a donné un aperçu détaillé de la situation politique et sociale du secteur et a souligné l'importance de l'association en tant qu'appui solide pour les membres. L'animateur a ensuite mené une interview avec Barbara Castegnaro, directrice de l'association Promarca depuis janvier. Avec compétence et clairvoyance, elle a décrit l'agenda qu'elle a en tête pour sa fonction et a apporté soutien et confiance à la branche.

Le Promarca Brand Award a ensuite été décerné.

Le gagnant de cette année : Zweifel Chips & Snacks, une entreprise familiale suisse riche en traditions, déjà récompensée en 2018.

"Le prix Promarca Brand of the Year est un immense honneur pour nous et le résultat d'un fantastique travail d'équipe. Pour nous, c'est plus qu'un titre - c'est une preuve de confiance qui nous incite à continuer à donner le meilleur de nous-mêmes jour après jour", déclare Christoph Zweifel, CEO de Zweifel Chips & Snacks.

 Enquête représentative auprès des consommateurs avec plus de 6'000 participants

Cette distinction se base sur une étude indépendante menée par Havas Switzerland auprès de 6 251 consommateurs de Suisse romande et alémanique. L'évaluation a porté sur 396 marques, dont celles des membres de Promarca. Le dynamisme perçu ainsi que la confiance de la population dans la marque ont été décisifs. Jonas Eliassen, CEO de Havas Switzerland, ajoute

"Zweifel remporte pour la deuxième fois le prestigieux Promarca Brand of the Year Award. Cette évolution exceptionnelle est le résultat d'une stratégie de marque et d'innovation cohérente : Avec un portefeuille de produits en constante évolution, des solutions d'emballage durables, une proximité tangible avec les clients et une image de marque moderne et sympathique, Zweifel prouve comment tradition et progrès peuvent être combinés avec succès".

Zweifel allie tradition, force d'innovation et ancrage local

Zweifel est une marque familiale riche en traditions, profondément enracinée en Suisse, qui mise sur la proximité avec ses clients, notamment grâce à son réseau communautaire "FriendZ". La marque poursuit une stratégie d'innovation claire, par exemple en diversifiant son offre de snacks avec des marques comme Zweifel VAYA ou Berger. En élargissant son assortiment et en ouvrant une nouvelle usine à Spreitenbach (ZH), l'entreprise réaffirme son engagement en faveur de la qualité et de l'emploi durable en Suisse.

2e place : Thomas P. Meier (CEO), Daniela Ruoss

Ricola et Kambly sur le podium

La deuxième place est occupée par Ricola. Symbole de la suissitude, la marque séduit les consommateurs par ses ingrédients naturels, son mode de production durable, son identité de marque claire et son image Ricola unique.

3e place : Tanja Schütz, Dania Kambly (présidente de l'association Verwaltunsgrat), Stefan Stoll

La troisième place est occupée par Kambly. La marque de biscuits riche en tradition enthousiasme par sa qualité artisanale, son innovation douce, ses expériences de marque et sa capacité à créer une expérience de dégustation émotionnelle avec chaque produit.

Les membres de Promarca restent le moteur de l'innovation en Suisse

Promarca se réjouit d'honorer chaque année les performances exceptionnelles des marques. La force d'innovation des entreprises membres reste constamment élevée : en 2024, les membres de Promarca ont lancé 8'750 nouveaux produits sur le marché suisse - une preuve impressionnante de leur rôle de précurseurs économiques et technologiques. L'année dernière, les entreprises membres ont réalisé un chiffre d'affaires total de plus de 14,2 milliards de francs suisses, exportations comprises.

 


Promarca, l'Union suisse de l'article de marque, est depuis 1929 la voix engagée des marques en Suisse. Promarca compte aujourd'hui 102 entreprises nationales et internationales de renom parmi ses membres. L'association s'engage pour la représentation des valeurs de la marque et pour de bonnes conditions cadres des entreprises de marque en Suisse. L'année dernière, les entreprises membres ont réalisé un chiffre d'affaires total de plus de 14,2 milliards de francs suisses, exportations comprises. Les unités de ces entreprises établies en Suisse créent 18'811 emplois et investissent chaque année des millions à plusieurs chiffres dans le pays. L'industrie de l'article de marque apporte ainsi une contribution importante à la compétitivité et à la stabilité de l'économie suisse.

Une enquête révèle une baisse de la qualité du service dans la restauration

A quelle fréquence les Suisses vont-ils manger à l'extérieur ? Qu'est-ce qui les énerve au restaurant - et que pensent-ils du pourboire ? L'institut de recherche en ligne Marketagent a mené une étude sur la qualité du service, les pourboires et les lignes rouges dans le secteur de la restauration.

Les Suisses aiment se faire plaisir au restaurant de temps en temps - si la qualité du service est bonne. (Image : LuckyLife11 / Pixabay.com)

L'entreprise Marketagent, spécialisée dans la recherche en ligne, dispose d'un panel en ligne de plus de 3 millions de personnes, qui a été certifié ISO en janvier 2010 en tant que premier access pool de la région D-A-CH et recertifié en janvier 2024 selon la norme ISO 20252 actuelle. Au sein de ce panel, Marketagent réalise des projets de recherche consommateurs pour des clients de renom. Récemment, dans le cadre d'une telle étude, 1000 Suisses de Suisse alémanique et de Suisse romande ont été interrogés sur leurs expériences dans les restaurants. 

Servi, mais pas gâté

Environ 7 Suisses* sur 10 s'offrent au moins une fois par mois un repas hors de chez eux (69 %) - plus qu'en Allemagne (54 %) ou en Autriche (65 %). Mais ce plaisir culinaire a ses limites : Globalement, la majorité des Suisses ont certes le sentiment que le client est effectivement "roi" dans la restauration (75 %). Mais seule une bonne* personne sur cinq en fait souvent l'expérience (22 %), tandis que 52 % n'en font qu'occasionnellement l'expérience. Un autre quart ne se sent que rarement ou jamais traité comme un roi (25 %). Les clients sont le plus souvent irrités par un mauvais rapport qualité-prix (32 %), suivis par de longs temps d'attente (28 %) et un service peu aimable ou de mauvaise qualité (27 %).

Changements de la qualité du service dans les restaurants : comparaison entre les pays DACH. (Source : Marketagent)

Environ une*personne sur quatre a l'impression que la qualité du service a baissé ces dernières années (27 %). Sur ce point, les personnes interrogées en Suisse donnent une meilleure note que les Autrichiens. Dans le pays voisin, un bon tiers perçoit une baisse de la qualité du service (35 %). En dépit d'un agacement occasionnel, le ton reste généralement aimable - voire inexistant - dans les restaurants du pays. En moyenne, les Suisses ne laissent qu'environ deux fois par an une remarque critique et seulement une fois une plainte claire.

Entre pourboire et salaire conventionnel

Le thème du pourboire est un sujet conflictuel : près de 9 Suisses* sur 10 sont prêts à donner un "overtip" en cas de bon service. Dans le même temps, 86 % se prononcent en faveur d'un bon service rémunéré par des salaires équitables - au lieu d'un don volontaire. 80 % plaident pour une exonération fiscale du pourboire et près de 4 sur 10 souhaiteraient le supprimer en principe.

Attitude vis-à-vis du pourboire*

Pour un bon service, je donne volontiers un bon pourboire

87,1 %

J'apprécierais qu'un bon service soit récompensé par des salaires équitables - et non par des pourboires.

85,9 %

Je pense que les pourboires devraient être exonérés d'impôts.

80,1 %

Je ne sais pas toujours quel est le pourboire approprié

58,2 %

Je pense que les pourboires devraient être supprimés

37,6 %

Je donne un pourboire même si le service est mauvais

27,4 %

Valeurs de la boîte Top 2 : "tout à fait d'accord" + "plutôt d'accord" || n = 1.039 personnes de Suisse alémanique et de Suisse romande

Réserver avec décence - mais sans carte de crédit

La majorité des clients de la restauration locale respectent les accords : Seuls 16 % ne se sont déjà pas présentés une fois malgré une réservation et sans avoir annulé. Ils sont tout aussi peu nombreux à avoir déjà réservé en parallèle dans plusieurs établissements (16 %). En revanche, les nouvelles pratiques issues de la restauration, qui visent à améliorer encore le moral des réservataires, ne trouvent guère d'écho auprès des Suisses. Ainsi, 72 % refusent clairement de devoir fournir les détails de leur carte de crédit dès la réservation. De même, les time-slots, les frais de service fixes ou les pénalités représentent pour la majorité des clients de la restauration* des lignes rouges claires qui les dissuaderaient de se rendre (à nouveau) au restaurant.

Oui aux prestations gratuites - mais pas contre un supplément de prix

Commander de l'eau du robinet est très répandu en Suisse - environ deux tiers l'ont déjà fait (63 %). Mais peu d'entre eux souhaitent payer pour cela : en moyenne, ils accepteraient de payer 1,50 CHF maximum pour un verre d'eau du robinet. Si ce service devenait payant, beaucoup préféreraient y renoncer.

Dans l'ensemble, Roland Zeindler, directeur de Marketagent Suisse, voit un résultat différencié en ce qui concerne la qualité du service : "Les Suisses apprécient la bonne nourriture et sont prêts à mettre la main au porte-monnaie pour cela - à condition que la qualité et le service soient au rendez-vous. Mais la satisfaction s'effrite : Une personne sur quatre perçoit une dégradation de la qualité. Les nouvelles règles telles que l'eau du robinet payante, les frais supplémentaires pour les assiettes ou l'obligation d'utiliser une carte de crédit pour les réservations sont souvent mal perçues. La restauration est appelée à faire preuve de tact pour ne pas gâcher l'envie de manger à l'extérieur".

Source : www.marketagent-schweiz.ch

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/befragung-zeigt-nachlassende-servicequalitaet-in-der-gastronomie/

Nouvelle direction pour le secteur Certifications au Swiss Safety Center

Après plus de 20 ans passés à la tête des certifications du Swiss Safety Center, Heinrich A. Bieler prendra une retraite bien méritée en juin 2025. Il transmettra à son successeur l'œuvre de sa vie, le centre de certification qu'il a su développer pour en faire un acteur renommé du marché suisse de la certification.

Dirigera désormais le domaine des certifications au Swiss Safety Center : Dr. Michael Grünenfelder. (Photo : zVg / Swiss Safety Center)

Un passage de témoin a lieu dans le domaine des certifications au Swiss Safety Center : Heinrich A. Bieler prend sa retraite. Michael Grünenfelder, Dr. oec. HSG, reprend ses fonctions. En tant que dirigeant expérimenté dans le secteur des services professionnels, Michael Grünenfelder a dirigé des départements nationaux et internationaux en tant que manager de ligne et dispose d'une vaste expérience dans la direction de grands projets et d'équipes de projet pour des projets d'infrastructure (centrales thermiques et énergies renouvelables). Il dispose également d'une vaste expérience dans la collaboration avec les autorités ainsi que dans le domaine de la conformité et de la prévention des conflits d'intérêts et de la garantie de l'impartialité. Son expérience pratique dans le domaine de la certification comprend de nombreux cas d'application pour l'optimisation des processus et la mise en place de systèmes de gestion selon différentes normes.

Dr Elisabetta Carrea, CEO de Swiss Safety Center AG, voit dans la nomination de Michael Grünenfelder à la tête de l'organisme de certification une opportunité de consolider sa position de prestataire de certification renommé et leader en Suisse. Parallèlement, Swiss Safety Center entend ainsi poursuivre sur la voie du succès pour une croissance supplémentaire dans ce domaine. Le Swiss Safety Center SA est une entreprise du groupe ASIT et fait donc partie du centre de compétences pour la sécurité technique et la gestion des risques. L'entreprise propose des solutions pour toutes les branches avec des services, des produits et des qualifications spécifiques dans le domaine de la sécurité et de la qualité. 

Source et informations complémentaires : Centre suisse de sécurité

Cet article est paru initialement sur m-q.ch - https://www.m-q.ch/de/neue-leitung-fuer-den-bereich-certifications-im-swiss-safety-center/

Nouvelle stratégie d'entreprise : Zense accompagne Helsana

Zense a traduit les contenus complexes de la nouvelle stratégie d'Helsana en une histoire tangible et émotionnelle et les a présentés dans un key visual central.

Roman Sonderegger, CEO d'Helsana, lors du lancement de la stratégie. (Source : Helsana, LinkedIn)

En étroite collaboration avec Helsana, l'agence de conseil et de création zurichoise Zense a structuré les contenus complexes de la stratégie, les a visualisés et les a rendus tangibles grâce au storytelling. L'objectif est de présenter les contenus de manière simple et d'emmener les quelque 3400 collaborateurs sur le plan émotionnel dans le voyage stratégique qui les attend.

Le résultat de cette collaboration est, dans un premier temps, une présentation de la stratégie, un visuel clé concis, un site Intranet interactif ainsi que des informations d'accompagnement.
des moyens de communication comme des posters ou des économiseurs d'écran. Le lancement de la stratégie avec la présentation de la direction a eu lieu en janvier lors d'un grand événement pour les collaborateurs.

Même si la communication stratégique se poursuit, on peut déjà tirer un premier bilan intermédiaire positif : Les messages centraux ont été entendus et les collaborateurs d'Helsana utilisent volontiers et de manière autonome le visuel clé développé par Zense, que ce soit pour des présentations, des visualisations ou comme décoration dans leur bureau, explique Marisa De Faveri Schweizer, responsable du projet stratégique au sein de la Communication d'entreprise Helsana.

Yellow renforce Kestenholz pour l'avenir

Yellow a développé différents scénarios pour Kestenholz et a réorienté la marque. L'agence accompagne désormais l'entreprise dans la mise en œuvre de sa nouvelle stratégie de marque.

Le Groupe Kestenholz, dont le siège principal est à Pratteln, est spécialisé dans les Mercedes-Benz et a quadruplé sa taille au cours des vingt dernières années. L'expansion s'est faite majoritairement en Allemagne, ce qui a amené la famille propriétaire à repenser fondamentalement la signification de la marque. Une analyse effectuée par Yellow a révélé que "Kestenholz" pouvait contribuer de manière significative à la différenciation, spécialement en Allemagne, un pays très concurrentiel. Le point de départ du renouvellement de la marque était ainsi posé.

En partant de l'origine et de l'histoire de l'entreprise, les spécialistes de la marque bâloise ont affiné les valeurs ainsi que le positionnement en collaboration avec la famille propriétaire et la direction et ont identifié les caractéristiques de différenciation. Dans un deuxième temps, ils ont retravaillé la Corporate Identity et le design.

Les résultats sont documentés dans un manuel de marque complet qui sert de guide aux responsables marketing dans les différentes régions de distribution. De plus, l'équipe créative a conçu un brand booklet compact pour les collaborateurs, qui leur sert de guide pour vivre activement la marque dans leur travail quotidien.

Dans le cadre d'un camp de marque, Yellow a en outre sensibilisé les membres de l'encadrement, au cours duquel le nouveau Corporate Movie a également été présenté en avant-première. Le département créatif de Yellow accompagne désormais le déploiement du nouveau Corporate Design et soutient en permanence les équipes de marketing dans le développement de mesures de communication qui renforcent la compréhension interne et la perception externe de la marque.


Responsable au sein du Groupe Kestenholz Thomas Kestenholz (CEO), Jan Kriwanek (Marketing), Agence Jaune, Partenaire Corporate Movie Grunerfilms

Rheintal.com fête ses dix ans de marketing territorial

La marque de localisation Rheintal.com est active depuis dix ans et regroupe les intérêts des communes et de l'économie de la vallée du Rhin saint-galloise. A l'occasion de son anniversaire, l'association de soutien a présenté des projets actuels et a mis en place un changement de personnel à sa tête.

Avec une présence anniversaire à Rhema et diverses mesures de communication, la marque du site Rheintal.com a fêté ses dix ans d'existence. La plateforme a été lancée en 2015 par l'association St.Galler Rheintal et a pour objectif de rendre la région visible au-delà des frontières communales - aussi bien pour les professionnels, les candidats au retour et les entreprises que pour la population locale et les visiteurs.

Rheintal.com se veut un instrument de marketing régional. La marque dresse le portrait des personnes, des entreprises et des lieux de la vallée du Rhin et présente la région comme une entité cohérente. En termes de contenu, elle mise sur la proximité et l'authenticité, par exemple avec des contributions sur la qualité de vie, les perspectives économiques et l'attachement à la région.

Projets à forte visibilité

Parmi les projets à succès figure le film d'image "Wa macht üsers Rhintal so grossartig ?", réalisé en collaboration avec l'artiste de Widnau Nico Arn. Selon les indications, la vidéo a atteint 2,8 millions de vues en l'espace de deux mois. L'initiative de médias sociaux "Rhinfluencer:innen", dans le cadre de laquelle des personnes de la région sont devenues des ambassadeurs, a également atteint une grande portée.

Sur le stand de Rheintal.com au salon Rhema de cette année, les visiteurs ont reçu du matériel d'information ainsi qu'un sac imprimé avec un motif nocturne de la vallée du Rhin. En outre, une vidéo a été réalisée sur place avec des voix de la population, qui saisit des perspectives personnelles sur la vie dans la région.

Ruedi Mattle prend la relève

L'anniversaire a également été l'occasion d'un changement à la tête de l'association : Reto Friedauer, président de longue date, a cédé sa place à Ruedi Mattle, jusqu'ici vice-président. La direction est assurée par Sabina Saggioro. Elle souligne : "Avec Rheintal.com, nous rendons visible ce qui caractérise notre région en tant que lieu de vie et d'activité économique. La marque rassemble les personnes, les communes et les entreprises - et montre que la vallée du Rhin est plus qu'un terme géographique : c'est une promesse commune".

Neuf régions touristiques présentent un manifeste alpin pour un tourisme durable

Lors du deuxième sommet AlpesClimat à la Zugspitze, le réseau de tourisme AlpNet a publié un engagement commun pour plus de durabilité dans le tourisme alpin. Le Manifeste alpin comprend dix principes directeurs et est porté par des projets concrets issus des régions participantes.

Neuf organisations touristiques d'Allemagne, d'Autriche, de Suisse et d'Italie forment le réseau AlpNet afin de promouvoir le développement d'un tourisme alpin responsable et respectueux de la nature.

Les membres d'AlpNet sont Allgäu Tourismus, Tirol Werbung, SalzburgerLand Tourismus, Graubünden Ferien, Luzern Tourismus, Made in Bern, Valais/Wallis Promotion, IDM Südtirol-Alto Adige et Trentino Marketing. Ensemble, ils représentent environ 155 millions de nuitées par an.

Dans le cadre du Sommet alpin sur le climat 2025 à la Zugspitze, AlpNet a présenté ce que l'on appelle le "système d'information sur le climat". Manifeste des Alpes qui formule dix principes directeurs communs. L'objectif est une gestion durable de la nature, de l'homme et de l'environnement dans l'espace alpin.

Karin Seiler, présidente d'AlpNet et directrice de Tirol Werbung, souligne : "Le Manifeste des Alpes est plus qu'une union symbolique. C'est un guide pratique et une mission commune pour nous-mêmes".

Invitation à participer

Les principes du manifeste vont du comportement respectueux de la nature à la promotion de la valeur ajoutée régionale, en passant par des déplacements respectueux du climat. Pour ce faire, les régions misent sur des mesures qui ont déjà fait leurs preuves. Le Tyrol, par exemple, mise sur la coordination de l'utilisation et le dialogue avec le programme "Bergwelt Tirol - Miteinander Erleben". Dans le Land de Salzbourg, des projets tels que "GuestMobility Ticket" et "Respect and Protect" permettent une mobilité douce et une orientation des visiteurs.

Dans l'Allgäu, plus de 120 entreprises partenaires du projet "Allgäu climatiquement neutre 2030" contribuent à la réduction des émissions de CO₂. Le Tyrol du Sud met l'accent sur les offres et les coopérations durables avec "Achtsam am Berg" et "Zu Gast bei Pionieren". Le Trentin met l'accent sur la sécurité et la qualité locale avec des projets comme "Prudenza in montagna".

Les destinations suisses misent également sur des contributions concrètes : Lucerne offre aux hôtes hébergés la gratuité des transports publics, Berne encourage un tourisme conscient avec "ViaBerna" et des offres de formation sur la thématique du climat, et en Valais, de nouvelles approches sont en cours de réalisation, notamment avec "Fairtrail Valais" et le futur "Mobility Ticket".

Selon AlpNet, le Manifeste des Alpes ne doit pas être seulement un document de prise de position, mais une invitation aux hôtes, aux entreprises, aux communes et aux politiques à contribuer activement au développement durable dans l'espace alpin. Vous trouverez de plus amples informations sur le manifeste et les projets régionaux sur le site suivant Alp-net.eu.


Les principes directeurs en bref

  1. Nous respectons la nature et la faune des Alpes. 
  2. Nous nous comportons de manière respectueuse envers les autres hôtes et les habitants de la région. 
  3. Nous ne laissons rien dans le paysage alpin naturel. 
  4. Nous privilégions l'offre d'hébergement existante.
  5. Nous choisissons soigneusement les excursions dans les Alpes et les préparons bien. 
  6. Nous traversons les Alpes avec précaution et restons sur les chemins, les trails et les pistes. 
  7. Nous respectons les heures d'ouverture et les règles des installations de sports d'hiver et des pistes de ski de fond. 
  8. Nous faisons des achats régionaux et soutenons les entreprises locales. 
  9. Nous voyageons dans le respect de l'environnement. 
  10. Nous portons dans nos cœurs les beaux souvenirs des Alpes. 

HWZ : Ursula Nötzli devient codirectrice de la filière

La HWZ Hochschule für Wirtschaft Zürich renforce le domaine de la formation continue avec Dr. Ursula Nötzli. Dès l'automne, elle prendra la codirection du CAS Strategisches Kommunikationsmanagement mit KI au sein du département Marketing & Digital.

(Image : zVg. HWZ)

Dr Ursula Nötzli sera co-directrice de la filière CAS Strategisches Kommunikationsmanagement mit KI à la HWZ Hochschule für Wirtschaft de Zurich à partir du 1er septembre 2025. Elle succède progressivement à Stefan Eggenberger, qui dirigeait la formation jusqu'à présent et qui se concentrera sur des mandats de conseil à partir du printemps 2026.

Le transfert s'effectue dans le cadre du développement stratégique du département Marketing & Digital. Le transfert échelonné doit permettre de garantir un transfert de connaissances continu et une qualité élevée du programme. Selon la HWZ, d'autres experts ont déjà été recrutés afin d'élargir l'offre de formation continue.

"Avec Ursula Nötzli, nous gagnons une personnalité de premier plan dotée d'une excellente expérience pratique et de recherche avérée", déclare le Dr Valerio Stallone, directeur du département Marketing & Digital. "Son profil complète parfaitement notre équipe et renforce durablement la position de la HWZ dans le domaine de la communication".

Nötzli lui-même souligne la pertinence du sujet : "Le développement rapide de l'intelligence artificielle nous met au défi de repenser la pratique de la communication. Les gains d'efficacité sont rapidement visibles - mais une véritable réorientation stratégique nécessite de l'expérience, de la profondeur et de l'ouverture. Transmettre mes connaissances et développer de nouvelles perspectives dans le dialogue avec les étudiants est pour moi un grand enrichissement".

Docteur en économie, elle dispose d'une vaste expérience dans la communication stratégique, le développement durable et la gestion d'entreprise. En septembre, elle deviendra également partenaire et copropriétaire de Hirzel.Neef.Schmid.Konsulenten. (Markt-kom.com a rapporté). Parmi les postes qu'il a occupés précédemment, citons TX Group, ABB Suisse, Credit Suisse, GAM Holding ainsi que des rédactions de Neue Zürcher Zeitung et Finance et économie. Elle a suivi le programme de gestion avancée de la MIT Sloan School of Management.

IAB Tech Lab : un cadre pour soutenir les éditeurs et les marques sur le réseau zéro clic

L'IAB Tech Lab présente l'initiative LLM Content Ingest API. Cette nouvelle spécification technique vise à sécuriser la monétisation et le contrôle des marques sur le web alimenté par l'IA et à promouvoir une collaboration équitable entre les propriétaires de contenus et les développeurs d'IA.

Avec la "LLM Content Ingest API Initiative", l'IAB Tech Lab a proposé un nouveau cadre qui répond aux défis croissants posés par l'IA générative. L'objectif de cette initiative est de fournir aux éditeurs une possibilité technique de gérer l'utilisation de leurs contenus par de grands modèles linguistiques (LLM) et des agents d'IA, ainsi que de garantir une rémunération équitable.

La raison en est l'utilisation croissante de contenus web par des systèmes d'intelligence artificielle, dont il est prouvé qu'ils réduisent le trafic sur les sites des éditeurs. Selon les études de l'IAB Tech Lab, une baisse de 15 % ou plus n'est pas rare. Parallèlement, l'importance des résultats de recherche et des interfaces de chat contrôlés par l'IA augmente, ce qui permet également de diffuser des contenus de marque sans contrôle direct.

Le nouveau cadre doit, d'une part, aider les titulaires de droits à monétiser leurs contenus et, d'autre part, offrir la possibilité de contrôler activement sa propre présence et ses propres contenus dans les systèmes d'IA. "Il est évident que les agents d'IA basés sur de grands modèles linguistiques vont changer la manière dont les utilisateurs interagissent avec les contenus", explique Anthony Katsur, CEO de l'IAB Tech Lab. "Cette initiative vise à offrir aux éditeurs et aux marques une voie d'avenir équitable, exécutoire et techniquement fondée".

Martin Radelfinger, président de l'association IAB Switzerland, souligne la pertinence pour le marché local : "L'initiative LLM Content Ingest API lancée par l'IAB Tech Lab est une étape importante pour garantir les bases économiques du web ouvert, même à l'ère de l'IA générative. Pour les éditeurs et les marques, il s'agit de gagner en transparence et en contrôlabilité dans les diffusions basées sur l'IA et de créer un cadre équitable pour la monétisation de leurs contenus".

L'initiative est ouverte à la discussion et au développement. Les éditeurs, les marques et les développeurs sont invités à participer au processus de normalisation. De plus amples informations sont disponibles sur le Site web de l'IAB Tech Lab peut être consulté.

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